Mon âme en est triste à la fin;/
Elle est triste d'être lasse,/
Elle est lasse enfin d'être en vain,/
Elle est triste et lasse à la fin/
Et j'attends vos mains sur ma face./
[...] les vieillards ont besoin de toucher quelquefois, de leurs lèvres, le front d'une femme ou la joue d'un enfant, pour croire encore à la fraîcheur de la vie et éloigner un moment les menaces de la mort.