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Critiques de Mazo de La Roche (230)
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

Philippe et Adeline Whiteoak quittent les Indes, avec leur fille Augusta. Ils ont décidé d’émigrer vers le Canada. Sur le chemin, ils passent par l’Angleterre et l’Irlande pour visiter leurs familles respectives.

Après une traversée pleine de péripéties, ils emménagent à Québec dans la maison de l’oncle de Philippe qui lui ai laissé sa fortune en héritage. Finalement ils choisissent d’aller s’installer dans l’Ontario, dans la communauté anglophone, où ils construisent leur domaine sous le nom de Jalna. Entre temps deux enfant sont nés, Nicolas et Ernest.

La lecture est agréable et facile. Les descriptions sont riches, aussi bien les personnages que les paysages, ce qui permet de se plonger dans l’histoire.

Je ne pensais pas lire un livre de Mazo de la Roche un jour, n’étant pas très fan des sagas, et je ne crois pas que je lirai les autres. A lire pour les amateurs du genre.
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

J'aime les "vieilles" histoires, les récits démodés, les ambiances nostalgiques désuètes.

On m'a conseillé Jalna durant un stage d'observation dans un cabinet d'avocats (comme quoi tout arrive et c'est vrai que les études de droit mènent à tout !) et le conseil était judicieux : j'ai passé de très agréables moment en compagnie de la famille Whiteoak.

Ce roman est le premier de la série et nous raconte principalement l'histoire des "fondateurs" de Jalna : Philip Whiteoak et sa jeune épouse Adeline. Ils quittent les Indes et s'installent au Canada, où il font construire une superbe propriété : Jalna.

J'ai apprécié le caractère fougueux d'Adeline, les descriptions douces et détaillées de Mazo de la Roche et la profusion de personnages qui accompagnent les Whiteoak dans leurs aventures. En plus d'être désuets, ce roman-ci, avec la construction de la propriété et la découverte d'un nouveau monde, a un petit parfum d'aventure qui n'est pas pour me déplaire.

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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

J'avais dévoré tout Jalna quand j'étais adolescent, et si je suis incapable aujourd'hui de me souvenir de chacun des tomes qui composent cette saga gigantesque, je me souviens tout de même que j'avais pris beaucoup de plaisir à découvrir cette famille et ce domaine familial que l'on suit pendant presque un siècle.
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

Philippe Whiteoak et sa jeune épouse, Adeline, vivent aux Indes, où Philippe occupe un poste militaire dans la garnison de Jalna. Mais les jeunes époux sont fatigués de cette vie où ils rencontrent toujours les mêmes personnes aux mêmes endroits. De plus, Philippe s'est disputé avec son supérieur et craint de ne plus pouvoir s'entendre avec celui-ci.

Mais voilà que Philippe apprend que son oncle Nicolas, établi à Québec, vient de décéder. Le vieil homme, qui n'a pas d'autre héritier que Philippe, lui lègue sa maison.

Il n'en faut pas plus pour décider Philippe et Adeline à quitter les Indes. Le couple et leur petite fille se rend d'abord en Angleterre et en Irlande, pour revoir leurs familles respectives, avant de s'embarquer pour le Canada.

Arrivés à Québec, les Whiteoak doivent fair face à un climat froid et hostile. Les moeurs très françaises de la ville choquent Philippe, qui parvient à convaincre Adeline de se rendre dans l'Ontario, où se trouve établie une petite communauté de gentleman farmers britanniques. C'est là que les Whiteoaks commencent la construction de Jalna, la demeure familiale.

376 pages
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

Cet article risque d’être un peu long. Tant pis, pour une fois que je lis le premier tome d’une saga, tout en ayant la certitude que je ne lirai pas la suite. Lire un livre qui ‘est pas votre genre de lecture, oui. Poursuivre et découvrir la dizaine de volumes suivant, non.



Adeline et Philippe, c’est d’abord pour moi l’histoire d’un couple aisé, d’un couple qui peut se permettre de n’en faire qu’à sa tête. Ils se sont rencontrés puis mariés en Inde, leur fille Augusta y est née, et c’est après qu’ils décident de partir pour le Canada, où Philippe a hérité d’un de ses oncles. Ils se rendent néanmoins avant en Angleterre, puis en Irlande, pour voir leurs familles respectives. Au Québec, nous assisterons alors à la naissance de Jalna.



Simple et efficace. Sauf que…. il est des faits qui peuvent étonner, ce n’est pas une romance, c’est bien une saga familiale. Premier exemple : il est question, dans ce roman, de la dépression post-partum. Certes, elle n’est pas nommée ainsi, et elle ne l’est pas toujours actuellement (certains la confondent encore avec le baby blues), mais ce dont souffre Adeline est clairement décrit, tout comme est clairement décrit les maux de sa seconde grossesse. Autre point que l’on voit rarement dans les romans : alors qu’Adeline annonce cette seconde grossesse, Philippe lui reproche d’être tombé enceinte « trop tôt » – et elle de lui rappeler que c’est lui qui l’a mise dans cet état. Oui, Adeline ne se laisse pas faire, et c’est tant mieux. De même, Philippe se trouve fort démuni pendant la traversée quand Adeline ne peut pas s’occuper de Gussie, leur fille, parce qu’elle est trop malade du fait de sa grossesse et du mal de mer. Il confie donc la petite à une écossaisse mère de famille nombreuse : l’ayah dévouée n’a pas survécu à la traversée.



Je devrais dire « aux traversées » parce qu’ils ont dû rebrousser chemin, et que cela aura des conséquences pour la famille d’Adeline. Philippe dit tout le bien qu’il pense de certains membres, et Adeline de ne pas apprécier les reproches qui sont faits à elle et à sa mère. Oui, Adeline comme sa mère se « serre » pendant la grossesse – et même si cela est dit abruptement par Philippe, je me dis aussi que ce n’est pas très bon. Elle se serrera aussi pendant sa troisième grossesse, qui survient alors que Jalna est en construction – nom choisi en souvenir du régiment de Philippe, nom qui a vu naître leur amour.



Adeline tranche avec les autres femmes, parce qu’elle n’en fait qu’à sa tête et que personne ne parvient à raisonner. Le qu’en dira-t-on ? Très peu pour elle. Se rendre seule chez un homme ? Oui, c’est un ami, ils ont effectué la traversée vers le Québec ensemble, et il lui a livré un gros secret pas très reluisant (à mes yeux) même si, autre temps, autre moeurs, il aurait pu de nos jours résoudre ses soucis personnels autrement. Adeline tranche avec les autres femmes, plus conventionnelles, plus attentives à leur famille aussi – Adeline ne sait pas trop comment tenir une maison. Adeline est irlandaise aussi, qu’on se le dise ! Ne venez surtout pas lui dire du mal de son pays.



Adeline ne se laisse pas faire non plus. Les ordres du docteur, qui lui interdit de se lever avant trois jours après son accouchement ? Elle n’en tient pas compte. Ses menaces ? Elle s’en moque également. L’allaitement ? Avoir une charmante chèvre à disposition, c’est bien utile. Le slogan n’existait pas à l’époque, et pourtant : son corps, son choix, pourrait dire Adeline. Par contre, les enfants… sont souvent livrés à eux-même, la nurse semble débordée, prompte à se reposer sur la jeune Gussie (quatre ans), qui a bien compris que ses frères étaient les chouchous de la famille.



Jalna – un domaine dont nous assistons à la construction pas à pas, au fil des saisons, des joies liées à chacune d’entre elles, comme le fait de patiner, par exemple, ou de se baigner, l’été, au grand dam de certains canadiens.



La fin de ce tome 1 annonce déjà la suite – l’on sait qui sera le prochain maître de Jalna, liant ainsi trois familles entre elles.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

Premier tome sur les 16 que compte la sage de Jalna et un véritable coup de cœur pour cet univers.

Tout d'abord j'ai aimé l'époque (nous sommes au milieu du 19ème siècle) et l'atmosphère d'attente créée par l'immigration de la famille d'Adeline et Philippe vers le Canada.

Leur découverte de ce nouveau monde est passionnante et on vibre avec eux lors de la construction de leur maison.

J'ai aussi beaucoup aimé les personnages, surtout Adeline, à la fois passionnée et écervelée, une deuxième Scarlett, avec un caractère entier.

Je pense que je ne vais pas m'en arrêter là :)
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

J’ai lu le 1er tome de la saga de Jalna (la saga des Whiteoak) dans le cadre d’une lecture commune. Et je peux dire que j’ai été très emballée par cette lecture.



Philippe et Adeline Whiteoak, vivent dans une garnison dans les Indes Britanniques. Ils souhaitent changer de vie et émigrer au Canada, nouvelle terre promise des Britanniques en mal d’aventures.

Nous les suivons dans leur quotidien entre long voyage en bateau, découverte du Canada et la construction de leur domaine de Jalna qui abritera leur grande famille.



Malgré un début poussif j’ai trouvé cette chronique de la vie quotidienne de la famille Whiteoak, que l’on va suivre sur plusieurs générations, vraiment passionnante.

La plume de Mazo de la Roche est addictive. Les superbes descriptions de la nature canadienne, les nombreux personnages au caractère complexe et les dialogues incisifs et directs ont été un réel plaisir à lire.

Concernant les personnages, ils sont tous charismatiques et bien écrits. C’est un régal de suivre leurs aventures, qu’on les aime (Gussie, Wilmott…) ou qu’on les déteste (comme Daisy qui est affreusement horripilante). L’autrice a même réussi l’exploit de me faire apprécier Adeline, héroïne vive, libre, intelligente et séduisante mais aussi capricieuse, enfant gâtée et très égoïste, qui rappelle beaucoup Scarlett O’Hara.

Elle n’a pas vraiment la fibre maternelle et considère sa fille Augusta (la première née) comme un fardeau. La pauvre petite est plusieurs fois laissée de côté, critiquée ou rabrouée, à l’inverse de ses deux jeunes frères qui sont admirés. Mais malgré tous ses défauts, Adeline est un vent de fraîcheur et d’impertinence bienvenu dans le roman.



J’ai donc beaucoup aimé cette lecture, que j’ai trouvé vraiment passionnante malgré certains points négatifs, comme la description romanesque d’Adeline et Philippe qui m’a plusieurs fois fait lever les yeux au ciel. L’auteure appuie régulièrement sur la grande beauté et la perfection du couple. Partout où ils passent, tout le monde tombe sous leur charme ce qui est assez énervant et irréaliste.

Mais ce premier tome est une grande réussite et s’inscrit dans la veine des grandes sagas familiales romanesques.

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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

Moi qui adore les sagas familiales, je me demande comment j'ai fait pour ignorer totalement celle des Jalna, l'histoire sur plusieurs générations d'une famille de pionniers canadiens entre 1850 et 1950. Découverte grâce au Challenge Multi Défis de Babelio, j'ai un peu hésité avant de plonger dans cette série... 16 tomes (!) ce n'est pas rien et cela risque de représenter une bonne partie de mes lectures 2020. Et puis c'était finalement trop tentant, j'ai décidé de me lancer.

La naissance de Jalna est sur le plan narratif le premier tome et début de cette sage mais a été écrit par l'auteur longtemps après les premiers romans de la série... bref c'est ce qu'on n'appelait pas encore à l'époque une "prequel". Ce roman raconte l'histoire des fondateurs de la dynastie familiale, Philippe et Adeline Whiteoak, quittant les colonies anglaises des Indes où Philippe est officier pour aller s'établir au Canada suite à un héritage. On suit leur périlleux voyage en bateau entre l'Irlande et le Canada, leur arrivée à Québec et enfin leur installation sur des terres encore quasi vierges sur les bords des Grands Lacs où ils établiront leur domaine de Jalna.

Il m'a fallu un peu de temps pour entrer dans ce roman : j'étais sans doute un peu intimidée à l'idée d'être au tout début d'une saga aussi longue et de faire connaissance avec les personnages qui, si tout va bien et si je poursuis ma lecture, risquent de m'accompagner pendant longtemps. Les premiers chapitres sont assez descriptifs et l'action est longue à se mettre en place : on fait connaissance en douceur avec la flamboyante Adeline, sa famille haute en couleurs également, et son beau mari au flegme typiquement anglais. Mais à partir de la traversée en bateau, l'action s'accélère. L'auteur excelle à rendre l'atmosphère des voyages de l'époque et des longues traversées transatlantiques sur des bateaux encore rudimentaires. J'ai apprécié le côté "roman d'aventures" avec les péripéties de la traversée, les dangers encourus en cas de tempête et surtout la peinture des différents personnages tous très bien campés.

L'arrivée au Canada et le départ pour le futur Jalna est également très bien rendue. On ressent bien ce que pouvaient représenter à l'époque ces grands espaces vierges et le courage qu'il fallait à ces pionniers pour aller s'installer ainsi loin de tout, quelques familles éparpillées sur des hectares de terres inoccupées.

L'écriture est très vivante et l'auteur excelle à nous faire imaginer en quelques phrases un décor ou un personnage, on a vraiment l'impression de partager le quotidien des héros. Ce roman a aussi un petit côté désuet que j'ai trouvé très amusant au regard de lectures plus contemporaines : ah ces parents qui songent à laisser définitivement leur jeune enfant en Angleterre avec sa tante pour qu'elle puisse ainsi hériter des biens de celle-ci à son décès et parce qu'ils n'ont pas envie de s'encombrer d'un bébé pour leur traversée ! Ou cette jeune fille qui s'enfuie pour se marier clandestinement, laissant sa mère effarée devant un tel scandale !

Ce premier tome a donc tenu toutes ses promesses en me plongeant dans une époque qui paraît maintenant bien lointaine et en me laissant curieuse de savoir ce qu'il allait advenir de la famille Whiteoak une fois celle-ci installée dans ses murs. C'est avec grand plaisir que je vais m'attaquer à la suite.
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

Adeline et Philippe Whiteoak, un jeune couple marié de nationalité Anglo-Irlandaise vit aux Indes. La carrière militaire de Philippe les a mené loin du Royaume-Uni. Militaires de père en fils, Philippe veut changer de vie avec sa femme Adeline, en déménageant dans une bâtisse ancienne, léguée par un vieil oncle Whiteoak au Canada, à Québec.

On y suit les aventures de cette jeune famille aux bonnes conditions de vie à travers les saisons. C'est cela d'ailleurs qui m'a accroché jusqu'à la fin de l'histoire. Les paysages d'un ancien temps, d'un ancien monde. Un monde arraché aux Amérindiens qui soit-dit en passant occupent une place plus que maigre dans l'histoire comme c'est souvent le cas.



Le premier d'une longue série où l'on voit la construction sociale et familiale de la famille Whiteoak et de leur communauté aux moeurs typiquement britannique. J'ai commencé cette saga par le troisième tome: « Mary Wakefield » qui pour moi est bien plus réussi que le premier. Impossible de m'attacher à un personnage à la lecture de «La naissance de Jalna » et encore moins celui de la protagoniste principale: Adeline. Son caractère et sa façon de voir les choses ont tendance à me faire décrocher très vite même si elle n'est pas la seule...



Pour finir, je dirais que La naissance de Jalna est un livre divertissant qui se lit bien et qu'il a le mérite de nous faire voyager. De plus, l'écriture est fluide et assez poétique. Cependant, si j'avais commencé par ce volume, je ne suis pas certain que j'aurais eu envie de lire la suite car ce premier tome est nettement moins immersif et prenant que le troisième tome « Mary Wakefield » et peut-être les suivants, que pour ma part je pense lire.
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

J'ai en ce moment la très grande envie de m'attaquer à des sagas familiales.

Sur les bons conseils de Babounette et de Bill ( merci !), je m'aventure donc dans l'univers de Jalna.



C'est en plus tombé juste, car j'aime beaucoup ce style de roman, ou on a l'impression de regarder un film.

Ce premier tome m'a fait penser à ma première lecture d'autant en emporte le vent, dans l'atmosphère.



C'est ici, l'histoire d'un couple et plus précisément de la belle et pétillante Adeline. Une femme au fort caractère qui se fiche pas mal de l'opinion des autres , mais qui est aussi pleine de défauts.



Je suis conquise par ce premier tome, avec ses personnages haut en couleur et très travaillés. Et puis se roman se lit tout seul. On a l'impression d'y être . L'écriture de l'auteur est très descriptive.



Un tome qui vous fait voyager à une autre époque et dans un autre lieu.



Je suis ravie de cette belle découverte.
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

Ma première saga familiale. Enfin des histoires qui semblent ne jamais se terminer, ouf moi qui suis une addict des tres gros pavés, me voici servi.

je découvre avec passion, le début d'une saga familiale. La naissance d'une grande famille celle des Whiteoks, leur départ des Indes pour le canada.

Tiens je les relirais presque...





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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

Je me demande comment j'ai pu ignorer la saga familiale de Mazo de la Roche, mais je vais la découvrir au fil des tomes...il y a de quoi faire!

Philippe Whiteoak et Adeline Court se sont rencontrés et mariés aux Indes au milieu du XIXè siècle. Ils décident de quitter ce pays et en revenant vers leur famille d'origine en Angleterre et Irlande pour elle, ils s'exilent vers le Québec où ils pourront s'installer sur le domaine d'un oncle qui leur a fait cadeau de son bien en héritage.

Le voyage en bateau leur permettra de faire de belles rencontres, ils pourront ainsi commencer leur petite vie de jeune couple avec leur petite Augusta.

Au fil des mois, ces derniers vont acheter des terres en Ontario et s'y installer, le décor est planté autant dans le roman que dans la communauté qui s'y développe en toute harmonie... Jalna, le domaine des Whiteoak.

A suivre...
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

C'est l’histoire de la famille Whiteoak, sur quatre générations, de 1854 à 1954 :

Adeline Court et le capitaine Philippe Whiteoak s’installent au Canada après avoir vécu aux Indes. Ils y font construire leur maison, qu’ils nomment Jalna en souvenir de la ville indienne où ils se sont rencontrés et mariés. Beaucoup de charme et de souvenirs attachants.
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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

En fan des sagas familiales, j'ai évidemment apprécié cette incursion dans le monde de Jalna. C'est une belle langue, un peu surannée mais douce à la lecture. On y croise des personnages plus ou moins attachants et qui, on le suppose, vont apparaître dans les tomes suivants.



Pour ce premier spécifiquement, j'y ai trouvé un côté "Les Sims" vraiment très sympathique^^



En revanche, je serai mitigée par rapport au personnage principal : Adeline.

Je l'ai trouvé déjà passablement égocentrique. Ensuite, un aspect m'a perturbée : si je peux comprendre que l'on fasse passer son amour conjugal au-dessus de son amour maternel (encore que, pour moi l'un n'est pas au-dessus de l'autre, ils sont juste différents), j'ai été néanmoins réellement choquée par le si peu d'attention qu'elle accordait à sa fille ou le peu de cas qu'elle faisait de son enfant à naître ! Mais par ailleurs, force est de lui reconnaître une noble sensibilité à l'égard des animaux mais surtout une force de caractère et de modernité. Elle se moque bien du qu'en dira-t-on, elle tient tête à ceux qui s'opposent et c'est admirable.



Un début de saga qui contient tous les attributs d'une telle dénomination. A suivre !



~ Challenge solidaire 2021

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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

Dans ce premier tome, nous faisons la connaissance de Philippe Whiteoaks et de son épouse Adeline qui partent s’installer au Canada et qui seront les fondateurs du domaine de Jalna.

Il y a bien longtemps que je voulais découvrir cette saga fleuve et je n’ai pas été déçue. Dès ce premier tome, l’auteur a su m’embarquer dans son univers et me transporter au milieu du 19ème siècle avec ses difficultés mais aussi dans les manières de vivre de l’époque.

Le premier tome d’une saga qui annonce une suite prometteuse.

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Chronique des Whiteoaks, tome 1 : La naissa..

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé cette saga familiale avec toute sa douceur! Ce premier tome est celui de la fondation de la saga et de la construction de Jalna , témoin de l'engouement historiquement parlant des Européens qui s'enthousiasment à découvrir le nouveau monde des Amériques et le Canada, beaucoup tombent sous le charme de ce terrain encore vierge et s'y installent. le charme auquel vont succomber Phillippe et Adeline Whiteoak., propriétaires du domaine Jalna...

Ce n'est que l'implantation de cette importante saga, les murs vont s'élever au fil des tomes!
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Chronique des Whiteoaks, tome 10 : Le maître ..

Tome 10 de Jalna, on commence un peu à s'essouffler à la lecture. Peu de dynamisme dans la vie au domaine, Finch revient d'Angleterre avec sa tante Augusta, le temps passe et l'argent est plus vite dépensé que ce qu'il pourrait  rapporter à la ferme ou autre activité au domaine. A ce rythme là l'héritage risque de disparaître en peu d'années.

Les descendants Whiteoak naissent les uns après les autres,  Renny et Alayne ont prénommé leur fille Adeline, Piers et Pheasant ont déjà deux garçons quant à Wakefield le dernier de la famille, 17 ans et déjà amoureux de Pauline.

Enfin, l'attitude du maître de Jalna, Renny, n'est pas toujours enviable et ce dernier n'en fait qu'à sa tête, sa fille risque de déteindre sur lui et ne porte, pas le prénom de son arrière grand - mère pour rien.

Un tome assez long et mou dans son déroulement mais qui ne finit pas pour autant dans l'ennui.

A Jalna, on est toujours bien servi...
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Chronique des Whiteoaks, tome 10 : Le maître ..

J'avais dévoré tout Jalna quand j'étais adolescent, et si je suis incapable aujourd'hui de me souvenir de chacun des tomes qui composent cette saga gigantesque, je me souviens tout de même que j'avais pris beaucoup de plaisir à découvrir cette famille et ce domaine familial que l'on suit pendant presque un siècle.
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Chronique des Whiteoaks, tome 10 : Le maître ..

La vie se poursuit à Jalna avec un tome dans la continuité des précédents et sans grande surprise, je serais presque tentée de dire "la routine" de la vie de cette extraordinaire famille Whiteoaks qu'on est toujours content de retrouver. Wakefield, le benjamin de la fratrie, est devenu grand et tombe amoureux à son tour : il souhaite arrêter ses études et commencer à travailler pour pouvoir épouser la jolie Pauline. Quand à Finch, le voici de nouveau confronté à Sarah et il ne sait plus s'il doit s'en réjouir ou s'en inquiéter...



J'ai pris plaisir à lire ce tome même si j'ai trouvé qu'il recelait moins de surprises et de rebondissements que certains. Il m'a semblé que cet épisode marquait également l'entrée de Jalna dans l'ère moderne, avec pour le lecteur du XXIe siècle des problématiques et des situations qui se rapprochent de plus en plus de ce que nous connaissons. La nature exubérante et vierge des premiers tomes où les pionniers défrichaient un bout de terrain pour construire leurs maisons semble déjà loin : maintenant Renny voit avec désespoir la route s'élargir au détriment des chênes plantés par ces ancêtres. Finie également l'opulence des premiers propriétaires terriens dont la fortune familiale semblait suffire à les faire vivre dans un confort matériel inégalé à leur époque. Les questions d'argent n'ont jamais été aussi prégnantes que dans ce tome : il semble que plus aucun des frères Whiteoaks n'en ait assez. La propriété ne rapporte plus assez, l'héritage d'Adeline est déjà loin et aucun des membres de la famille n'a d'économies. Maurice souhaite vendre une partie de ses terres pour y construire d'autres villas, préfigurant sans doute les futurs bouleversements de cette région dans les prochaines décennies. Et la solution trouvée par Renny pour mettre fin à ce projet et se renflouer temporairement semble bien dangereuse... mais ça nous le saurons sans doute dans les prochains épisodes.
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Chronique des Whiteoaks, tome 10 : Le maître ..

Le maître de Jalna est dans la ligne de mire dans ce dixième tome. On retrouve Jalna avec sa nature conviviale et des petites réunions de famille pour décider sur des drames qui surviennent périodiquement! L'un parmi tant d'autres est l'hypothèque du domaine de Jalna engagée par Renny pour venir en aide à son amie Mrs Lebraux , une nouvelle qui place le maitre de jalna en mauvaise estime face aux siens. A côté de ça, survient la mort précoce d'Eden le poète, par la suite, celle de tante Augusta. On découvre aussi la fille de Renny , Adeline, une pétulante petite fille dont l'esprit extrêmement vif et capricieux ravive le souvenir de sa grand-mère, au point que sa mère se prive d'autres occupations rien que pour prendre soin d'elle, il faut dire qu'Alayne s'est affiliée à l'esprit Jalna...

Un dixième tome qui se lit d'un trait, c'est juste par habitude... eh oui, on a pris l'habitude de retrouver des amis dont on connait les caractères et des agissements, c'est l'impression que ça me fait en poursuivant cette série... c'est comme si on ne s'attendait plus aux surprises, on voit juste la vie de nos héros s'écouler dans le temps...
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