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Citations de Melissa de La Cruz (250)


- La défamiliarisation, c’est-à-dire la désactivation des marqueurs de votre vampire d’origine, n’est pas un processus physique, lui expliqua celui-ci. Le poison présent dans votre sang est la manifestation de l’amour que vous éprouvez pour l’être en question. Ce que nous faisons ici, c’est éradiquer cet amour et désavouer son influence sur votre psychisme, ce qui élimine le poison. L’expérience peut être douloureuse, et son issue est imprévisible. Certains familiers se retrouvent si désemparés qu’ils passent très près de la mort. D’autres perdent tout souvenir de leur vampire. Chaque cas est unique, comme l’est chaque relation entre vampire et familier. Pouvez-vous me parler un peu de votre relation ?

- Nous étions amis. Je la connais depuis toujours. J’étais son Intermédiaire. Oliver constata avec soulagement que le médecin ne semblait pas désapprouver cette révélation. Je l’aimais, poursuivit-il. Je l’aime toujours. Pas seulement parce qu’elle est mon vampire … C’est bien davantage que cela.

- Que voulez-vous dire ?

- Je veux dire que je l’aimais déjà avant qu’elle m’ait mordu. Il repensa à la manière dont il avait voulu se convaincre qu’il ne l’avait aimée qu’après sa transformation. C’était faux. Il l’avait aimée toute sa vie. Il ne s’était menti à lui-même que pour se sentir moins mal.

- Je vois. Commençons par le commencement. Vous allez reprendre tous vos souvenirs heureux, un par un, puis les rejeter. Vous allez lâcher prise. Les paroles du psychiatre résonnaient directement dans sa tête. Il comprit que c’était une compulsion. Tu n’es pas lié à elle. Tu ne lui appartiens plus. Tandis que la voix calme du médecin continuait à bourdonner, des images se succédèrent dans l’esprit d’Oliver. Theodora à cinq ans : timide et mutique. Theodora à neuf ans : taquine et enjouée. Theodora à quinze ans : belle et calme. L’hôtel Mercer. Les gestes maladroits. Puis sa chambre d’enfance, où cela s’était finalement produit. Sa senteur douce, son parfum de jasmin et de chèvrefeuille. Ses crocs acérés lui perçant la peau. Oliver sentit que ses joues étaient mouillées. Il pleurait. C’était trop. Theodora occupait chaque recoin de son âme, de son sang ; elle lui était aussi nécessaire que sa propre peau. Il ne pouvait pas lâcher prise. Que se passait-il ? Il n’avait rien à faire là. C’était contraire au Code. Si le Sanctuaire l’apprenait, il serait renvoyé de son poste. Ce serait une humiliation pour sa famille ; leur réputation serait ruinée. Il ne se rappelait même pas pourquoi il était venu. Il commença à paniquer et se mit à chercher une issue, mais la litanie continuait et martelait la compulsion dans sa tête. Tu n’es plus son familier. Tu n’es personne. Non. Non. Ce n’est pas vrai. Oliver se sentait misérable et perdu. Il ne voulait pas lâcher son amour pour Theodora. Même si le chagrin l’empêchait de dormir et de manger. Il voulait s’accrocher à ces souvenirs. Son seizième anniversaire, où Theo avait peint son portrait et lui avait apporté un gâteau décoré de deux cœurs. Non. Il devait retenir tout cela… Il le fallait… Il le fallait… Non… il pouvait lâcher prise. Il pouvait écouter cette voix agréable, apaisante, et lâcher prise. Tout lâcher. Il n’était personne. Il n’était rien. Le cauchemar touchait à sa fin.
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Les cœurs brisés souffrent en silence. Mais les blessures de l’âme, la menthe les panse. La Déesse t’insuffle une vie nouvelle. Retrouve l’amour et tu verras comme elle est belle.
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C’était léger. Tout son contraire. Il voyait en elle un aspect que personne n’avait encore jamais deviné. Aux yeux des sang-bleu, elle serait toujours Gabrielle, la Vertueuse, la Responsable, leur Souveraine, leur Mère, leur Salut. Mais pour Bendix Chase, elle n’était même pas Allegra Van Alen, elle était Belles Gambettes. À cette idée, elle se sentait jeune, téméraire et insouciante. Des qualités qui ne convenaient pas à Gabrielle.
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Elle l’attira plus près encore, et lorsqu’il vit ce qu’elle voulait, son regard fondit. Jamais elle n’avait vu de si gentils yeux bleus. Il était si beau, ce garçon, le plus beau garçon de la Terre… et lorsqu’elle leva le visage vers lui, il se baissa de son côté, les bras autour de sa taille, pour la serrer contre lui. Ce n’était qu’un baiser, mais elle savait déjà qu’il y en aurait d’autres.

- Tu as mis le temps à te décider, Belles Gambettes, murmura Ben.

- Mmm, confirma-t-elle. Elle avait voulu aller lentement. Mais quel mal y avait-il ? Ce n’était qu’un humain. C’était un simple flirt ; au pire, il finirait par devenir son familier. Elle en avait eu beaucoup au cours de son existence immortelle.
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Lorsque Theodora et Jeck sortirent de l'église au son des joyeux accords de la marche nuptiale de Mendelssohn, leurs amis les accueillirent avec des feux de Bengale qui illuminèrent la nuit noire et clamèrent leurs noms jusqu'aux cieux.

Jack resserra sa main autour de celle de Theodora, et celle-ci lui rendit son étreinte.C'était leur code secret.

Cela signifiait : "Je t'aime."

Demain, jack la quitterait.Demain il regagnerait New York et elle s'en irait vers Alexandrie.

Mais ce soir, ils allaient danser.
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Pff. Pourquoi fallait-il qu’il soit si parfait ? C’était irritant, à la fin. Allegra détestait, plus que tout au monde, le mot « parfait ». La seule chose qu’elle méprisait encore davantage, c’était les gens qui l’incarnaient. Elle exécrait qu’on lui dise qu’elle était parfaite, que les gens ne voient pas au-delà de son apparence, au-delà de ses vagues de cheveux blonds et brillants, de son joli bronzage et de ses proportions idéales. Pourquoi on accordait tant d’importance à des éléments aussi superficiels, voilà une chose qu’elle ne comprenait jamais. Elle, pour sa part, trouvait tout le monde beau, et pas simplement par une sorte d’angélisme gnan gnan, du genre « chacun est beau à l’intérieur ». Non. Allegra trouvait sincèrement la plupart des individus qu’elle rencontrait magnifiques à voir. Quelle importance s’ils avaient quelques kilos de trop ici ou là, le nez tordu ou un drôle de grain de beauté ? Elle adorait regarder les gens. Elle les trouvait magnifiques.
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Celle-là était très sobre, simplement décolletée dans le dos, mais lorsqu’elle l’enfila, Theodora eut l’impression d’être quelqu’un d’autre. Et le jour de son union, elle tenait par-dessus tout à être elle-même… en un peu mieux. Comme bien des jeunes filles, elle avait toujours pensé qu’elle se marierait, un jour, dans un futur lointain. Tout le monde le faisait, non ? Mais cela n’avait jamais pris la forme d’un désir, d’une intention ou d’un projet concret. D’abord, elle était bien trop jeune. Elle venait de fêter ses dix-sept ans. Mais cette union-là n’était pas ordinaire, et les temps étaient étranges. Et surtout, elle avait promis son cœur à un garçon extraordinaire. Jack Force dépassait ses rêves les plus fous, et il valait bien mieux qu’un rêve ou un fantasme… parce qu’il était vrai. Il était loin d’être parfait, il pouvait se montrer boudeur et distant ; son tempérament bien trempé et son impulsivité faisaient partie de sa nature ombrageuse. Mais elle l’aimait plus qu’elle ne le croyait possible. Il n’était peut-être pas parfait dans l’absolu, mais il l’était pour elle.
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Enfant, Theodora n’avait jamais eu de rêveries sucrées sur son mariage. Elle n’avait jamais joué à mettre en scène l’échange des serments avec une petite camarade pouffant de rire, jouant le rôle du garçon idéal. Le mariage exigeait des préparations compliquées et des plans grandioses. C’était une journée qui promettait de transformer une fille ordinaire en princesse, or Theodora n’avait jamais particulièrement nourri d’ambitions princières.
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Et en même temps, cela paraissait trop facile. Il entreprit la transformation dans sa forme véritable, appelant l’esprit immortel abrité dans son sang depuis les temps immémoriaux. Abbadon, l’Improbable. L’Ange de l’Apocalypse. Destructeur des Mondes.

Et là, rien ne se passa. Pas d’ailes noires surgissant dans son dos, pas de cornes poussant sur son front : il était privé de la force du million de démons qui couraient dans ses veines. Il n’était que Jack Force. Un garçon de dix-huit ans comme les autres.

Ah.

C’était donc ça, l’idée.

Il avait pressenti quelque chose de ce genre lorsque Theodora avait tracé ces deux cercles dans sa paume. Il avait vu ses mains trembler lorsqu’elle lui avait passé la bague au doigt. L’ennemi leur avait jeté un sort pour limiter ses pouvoirs. Pour l’empêcher de se transformer en Abbadon. Ligoté par l’amour qu’elle éprouvait pour lui. Il avait remarqué la pierre qu’elle portait au cou, cachée sous forme de bijou. Ils surveillaient, ils attendaient. C’était donc à cela qu’ils avaient voulu l’amener. Ils voulaient le voir faible et vulnérable, privé de son pouvoir immortel.
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C’était le plus beau jour de sa vie.

Quelque part, pas très loin, elle devinait la présence de ceux qui n’étaient pas là. Elle sentait Dylan, souriant. Elle percevait l’amour de ses grands-parents, Lawrence et Cordelia. Mais par-dessus tout, elle éprouvait la présence aimante et protectrice de sa mère et de son père, où qu’ils soient.
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Il se tenait devant elle, sous sa forme véritable, ses ailes d’ébène incurvées dans son dos, ses cornes sur le front.

Theodora, en regardant de nouveau l’anneau à son doigt, vit que c’était un anneau de feu noir.

[Sais-tu comment les anges ont été conçus ? ]

Elle fit non de la tête.

[Lorsque le Tout-Puissant créa le monde, il façonna les Premiers Nés. Les Anges de la Lumière : Michel, Gabrielle et leurs semblables furent taillés dans l’impalpable étoffe des étoiles. Les Anges des Ténèbres, eux, furent forgés dans la Matière Noire qui soutient la Terre. Car il n’est nulle Lumière sans Ténèbres. Je suis fait de feu et de fer, de braises et de soufre.

Lorsque nous fûmes bannis du Paradis, nous perdîmes à jamais une partie de notre âme. En châtiment, nous fûmes condamnés à ne plus jamais apprendre à aimer. Liés à un destin décidé depuis le départ. Azraël et moi ne nous sommes pas choisis ; on a choisi pour nous. Nous ne connaissions rien d’autre.

L’anneau que tu portes est une portion de mon âme que ta mère m’a aidé à recouvrer. C’est elle qui nous sauva des Ténèbres et nous guida vers la Lumière. Étant sa fille, tu es toi aussi un Ange de Lumière. Le feu ne te brûle pas. J’ai perdu cette bague pendant la crise de Rome. Mais elle m’a été rendue à présent.

Cet anneau a été béni par Gabrielle elle-même.

Je n’ai jamais donné cet anneau, ni mon âme, à personne. Azraël n’a jamais joué aucun rôle là-dedans.

Ceci est la seule partie de moi qui m’appartienne vraiment, et désormais, ceci est à toi. ]

Lorsqu’ils sortirent du Glom, Theodora s’émerveilla du sombre anneau qui ceignait son doigt. Il paraissait si terne et ordinaire ! Et pourtant, il cachait une secrète histoire de guerre, de sang, d’amour, de perte, de pardon et d’amitié.

- Je ne l’enlèverai jamais, promit-elle. Et moi aussi, j’ai une bague pour toi.

Cette fois, ses mains ne tremblèrent pas lorsqu’elle glissa l’anneau à son doigt. C’était un simple bandeau d’or. À l’intérieur était gravée la date du mariage de ses parents. En partant de New York, elle avait réussi à emporter quelques biens précieux.

Ceci était l’alliance de mon père, lui dit-elle mentalement. Elle est porteuse d’une protection dont l’a dotée ma mère lors de leur union. Je veux qu’elle soit à toi.

Ils se prirent les mains et, devant tous leurs amis, prononcèrent les paroles qui les liaient, des paroles qui ne pouvaient être retirées.

- Je me donne à toi et t’accepte comme mienne, déclara Jack d’une voix légèrement tremblante, les yeux humides.

- Je me donne à toi et t’accepte comme mien, répondit Theodora en écho.

Elle se sentait calme et sereine, et posait sur lui un regard plein d’amour.

C’était fait.

Ils étaient unis.

Lorsqu’elle releva la tête vers Jack, ses yeux émeraude étincelaient. Il rayonnait de joie, de bonheur, de fierté. Theodora sentit son cœur se gonfler d’amour. Envers et contre tout, ils étaient ensemble. Envers et contre tout, elle était à lui et il était à elle.
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Il n'y avait pas d'échappatoire.La nuit, il rêvait d'elle, de leur année vécue ensemble, de leurs nuit passées dos à dos. Il se souvenait de l'odeur de ses cheveux après la douche, du pli de ses yeux quand elle souriait. Le matin, au réveil, il était un vrai zombie, fébrile, dépourvu d'énergie. Elle n’était partie que depuis 1 mois, et c’était un départ sans retour. Olivier l'avait pratiquement donné a l'autre - non qu'il lui appartînt de la donner, mais elle ne serait jamais partie sans cela. Il savait jusqu'où pouvait aller la loyauté de Theodora, car elle était aussi profonde de la sienne.
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- Je voulais attendre pour te donner ceci le jour de notre union, mais puisque le temps presse… Veux-tu bien la porter pour moi, dès maintenant ?

En réponse, Jack lui tendit sa main avec un grand sourire, et elle passa l’anneau à son doigt. Elle murmura les mots que le Venator lui avait dit de prononcer.

- Cette bague est le symbole de ma fidélité, elle te lie à moi, et mon amour te retiendra à jamais.

Voilà. C’était fait.

Elle garda la main dans la sienne pendant un long moment, et, du bout de l’index, traça deux cercles sous sa paume. Ce geste faisait partie du code qu’ils avaient mis au point alors qu’ils étaient sous la « protection » de la comtesse. Les deux cercles signifiaient qu’ils étaient surveillés. Ils avaient inventé ces signes secrets afin de pouvoir communiquer et planifier leur évasion sous la garde des Venator.

Jack regarda l’anneau à son doigt, mais son visage ne trahit rien. Comprenait-il ce qu’elle venait de lui dire ? Se souvenait-il de leur code ? Il le fallait.
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Tôt le lendemain matin, dans l’intimité de leur lit, Theodora se blottit contre Jack. Le soleil entrait à flots dans la chambre, l’emplissant de chaleur. Le jour de leur union était arrivé. Elle sentit la main de son homme dans le bas de son dos, sa peau sur la sienne lorsqu’il la glissa sous le tissu léger. Elle se tourna vers lui de manière à être enveloppée, broyée dans ses bras.

Sans dire un mot, Jack couvrit de baisers sa joue et son cou, et Theodora sentit son corps passer sur le sien, peser sur elle. Ce soir, ils seraient unis.

Mais ce matin-là, ils étaient encore deux individus.

Après tous ces rendez-vous galants dans l’appartement secret, on aurait pu croire qu’ils avaient déjà sauté le pas. Mais non, elle était encore chaste. Encore innocente, quoique tout de même pas aussi naïve qu’une jeune vierge se glissant dans le lit nuptial, nerveuse et tremblante. Non. Pas innocente à ce point. Mais elle avait tenu à attendre pour ceci, à attendre d’être prête ; et à présent, elle ne voulait plus attendre.

Elle ouvrit les yeux. Jack la regardait. À sa question muette, elle répondit par un baiser. [Oui, mon amour. Oui. Maintenant. ]

Elle souleva le tee-shirt du garçon sur son torse et l’aida à s’en défaire, tout en caressant son corps du bout des doigts. Il était si beau, si fort…

Et il était à elle. Elle se sentait douce et souple en dessous de lui. Il avait la peau chaude, et tous deux étaient brûlants à l’intérieur.

Elle ne pouvait plus respirer, ne pouvait plus penser, elle ne pouvait plus que ressentir : ressentir ses baisers, ses caresses, son poids, leur unité à tous les deux.

Jack plongea ses crocs dans son cou et elle s’abandonna à lui, à l’amour, au plaisir, au contact de son corps partout sur elle – dans toutes les parties d’elle-même. Il la prit et la retint, et lorsque cela arriva, elle se sentit brisée, libre et neuve.

Elle ne pouvait plus s’arrêter de pleurer. Elle était trop heureuse, bien que « heureuse » ne fût pas le terme exact. C’était plus que cela. C’était fort et ça courait en elle comme si elle était une chandelle allumée, une extension de son amour et de son désir, un paquet de nerfs à vif. Elle se sentait ouverte, comblée, vaincue.

- Qu’est-ce qui ne va pas, mon amour ? lui glissa-t-il à l’oreille.

Le beau visage de Jack n’était qu’à un souffle du sien.

Elle l’attira plus fort contre elle et l’embrassa voracement. [Rien. Rien… Rien du tout. ]

C’était merveilleux, effrayant, maladroit, extatique, et le sang et la douleur lui donnaient le tournis. Mais le plaisir était plus fort, bien plus fort que tout ce qu’elle aurait pu imaginer.

Un doux oubli de soi.

Ce soir, ils seraient unis. Ce soir, elle serait à lui. Mais elle l’était déjà.
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On dit que les femmes d'un certain âge n'ont que faire de leur apparence physique, mais c'est un mensonge. La vanité ne meurt pas de vieillesse, surtout chez les belles femmes et, oh, qu'elle était belle autrefois... Si belle qu'elle avait épousé le dieu le plus redoutable de tous. Il était trop tard pour songer au passé. Son mari l'avait abandonnée, ainsi que sa beauté, voilà fort longtemps. Certes sous une lumière avantageuse, elle était séduisante, supposait-elle, toujours "jolie", pourtant qui voudrait être qualifiée de jolie après avoir été belle?
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Le garçon était couché sur le dos dans le sable, du sang coulant encore goutte à goutte des deux petits trous qu'il avait au cou.
- Il ne respire pas, dit Bliss nerveusement. Je crois que je suis allée trop loin.
Theodora s'agenouilla et prit son pouls.
- Pas de pouls.
- Oh, mon Dieu, je vais me faire massacrer ! Aucun humain n'a jamais été tué par la Caerimonia ! Jamais !
- Chhht... Laisse-moi réfléchir... Jack. Il faut aller chercher Jack, décida Theodora.
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Adieu cachemire, velours et soie. Jafar traînait en marcel troué, en baskets dépareillées, et cocotait le vieux bouc.
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Point après point, elle cousit dans la robe tous ses vœux et tous ses rêves, noués par son sang et son amour.
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Tu es aussi belle que tragique.
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C'était à devenir folle. Il était une étoile filante qu'elle tentait d'attraper à mains nues. Elle ne pouvait que se brûler.
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