Citations de Michel Honaker (264)
Sans un mot, l'homme inspecta la chambre, salle de bains comprise, pour s'assurer qu'ils etaient bien seuls. Cliff le regarda faire avec curiosité, avant de lâcher :
- Douze mètres carrés de surface, vous finirez par trouver ce que vous cherchez.
Toucher terre n'avait jamais eu qu'un seul charme pour Cliff : lui rappeler que sa place était en mer et aiguilloner son désir de repartir.
Pas seulement, de Vinci était un génies universel qui explora maintes disciplines et excella en toutes: l'anatomie, l'optique, la mécanique. Quand il séjourna à Venise, il était déjà un expert reconnu en fortifications et procédés de toutes sortes visant à assurer la sécurité des cités en cas d'invasion.
-Si jeune mais rêvant voici un peu de goutter à la grande vie de Venise et de conquérir les servantes peu farouches ? Est-on adulte à l'heure des plaisirs pour se réfugier enfant à celle des tracas ? Regarde, les gonds ont été récemment graissés....
-Vous êtes ridicule, le sermonna-t-elle.
-Ridicule ? Viens à Vérone, et je te conterai l'histoire entendue de Juliette, qui aima Roméo pourtant issu d'une famille hais !! Quand ne sais-tu ces amours qui émeuvent les pierres les plus dures, détournent les cours des rivières et devant lesquelles les autres eux même s'inclinent ! Je suis un bien piètre poète mais je trouverai les mots d'enfant qui fléchiront ton cœur, les mots d'amant qui ôteront les mille voiles de tes atours sans jamais glisser sur ta peau, je....
Je bondis en un éclair et happe le cornac entre mes griffes. Je le désarçonne sans plus de bruit qu'un courant d'air et l'aplatis au sol sous ma gueule. Il n'a pas eu le temps de crier. L'éléphant me considère avec son regard d'enfant épouvanté et s'éloigne en balançant sa trompe.
Va. Porte donc la nouvelle à tes maîtres.
Ils ne sont plus chasseurs.
Ils sont devenus proies.
- Tu n’as que ce mot à la bouche : justice, justice…
- Parce que c’est le fondement de tout ! Il n’est pas d’État, de société, de civilisation sans une justice ferme et incorruptible. Encore faut-il la rendre. Encore faut-il en avoir le courage. Une peine est une peine. Une punition est une punition. Il ne saurait y avoir de relaxe, de sursis, d’avertissement timide. On sait quand on faute. On doit savoir ce qu’on risque.
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- Tu n'as pas répondu à ma question. Si tu avais franchi la crête, tu serais libre à l'heure qu'il est. Pourquoi être revenu ?
- Ce n'est pas Ghost City qui me retient prisonnier. C'est toi.
- La chaleur du midi, c'est mortel pour le cerveau.
- C'est ça, petite fille, rêve donc du grand large sans avoir le courage de lever l'ancre. Plante-toi devant un chemin et détourne-toi par peur de l'explorer. Moi, je fais vivre des images dans ma tête parce que j'ai vu le monde et que je sais à quoi il ressemble. Et cet univers-là, aucun juge ne pourra jamais me l'enlever. Il est trop vaste, il se perd dans l'infini, et je suis libre d'y galoper à ma guise. [...] Sors de mon rêve, Miranda, jeta-t-il froidement. Aussi longtemps que tu penseras et agiras comme ton père, tu n'y auras pas ta place.
- Oh, j'ai vu descendre le docteur Briggs, ajouta-t-il. Il a une mine fatiguée si vous voulez mon avis.
- J'ai remarqué, admit Miranda. Il est resté ici trop longtemps.
- Beaucoup d'entre nous sont restés ici trop longtemps, souligna Crainshaw.
- Miranda a grandi sans que tu t'en rendescompte. C'est une belle jeune fille qui renferme des trésors dans son coeur. Des trésors bien plus puissants que toutes les tempêtes, et qu'elle ne demande qu'à partager.
- Mais moi, son père, je suis là. Je devrais lui suffire.
- Le problème des vieux, c'est qu'ils oublient de quelle façon ils ont été jeunes, déclara abruptement Ariel.
- J'ai dû t'encombrer, songea Miranda, prise d'un curieux remords.
- Toi, petit être ? Non. Alors que je pleurais les larmes les plus enfouies de mon corps, tu souriais sans comprendre et tu me donnais foi en l'avenir. Sans toi, je n'aurais jamais supporté cet exil. Sans toi, je n'aurais jamais eu le courage de bâtir ce que j'ai bâti ici, au milieu de nulle part.
- Jeb, bon sang, ralentis, tu vas tous nous tuer !
- Pas question, Farley, mon gars ! Je peux les sentir d'ici. Ils nous collent aux fesses comme les mouches au cul des vaches.
À seulement deux ans, il savait jouer du clavecin, à quatre composer de petites pièces.
je n'ai pas trop aimée par se que je trouve qu'il manque d'accition
Et soudain, dans cette atmosphère de recueillement si paisible, qui serrait d’émotion le cœur des participants, un violent courant d’air glacé s’invita et souleva les tentures. Sur le seuil de la porte, une haute silhouette voûtée revêtue d’une traine noire à parements d’argent se présenta, de sorte qu’on eût juré voir un grand vautour jeté là par une bourrasque.
De grands changements étaient encore en marche, conduits par un entrelacs d’actes regrettables et malencontreux, de sentiments puissants, et d’ambitions monstrueuses. La folie des hommes pouvait les conduire tous à l’abîme. Mais plus encore l’humanité des fous.
je ne vais pas vous parler du livre je n'ai pas compris mais je n'ai pas du tout aimé(e)
Saburo, jeune mafieux, vit sa vie de "délinquant". Sa mère veut qu'il arrête pour devenir peintre mais lui refuse. Il rencontre une jeune fille au passé mystérieux car elle parle très peu. Saburo va tous faire pour protéger cette fille tandis que son maître Wakamatsu veut qu'il l'abandonne à son sort.
Le titre induit en erreur : les yakusa ne sont pas le sujet principal même si le héros est un yakusa très attaché au règle et au code d'honneur. L'histoire de Mariko est inspirée de fait réel.