Citations de Michel Peyramaure (365)
Ne regrette rien. Chacun de tes doutes est une arme donnée à l’adversaire.
La vie était une coupe pleine d’un breuvage amer.
Des femmes s'étiraient en bâillant sur le pas des portes et chassaient le frais du matin sur leurs bras nus.
Vous auriez pu dormir dans la voiture en attendant le jour.
Toussaint a trouvé en moi , son maitre , un client fidéle sinon exceptionnel , le gros de sa clientèle se composant de propriétaires de cafés.
Aucune loi ne peut interdire à une femme mariée de regagner le domicile conjugal après une fugue.
L’histoire, est une chose singulière. Il suffit d’un coup de vent pour faire tourner ses pages. Celui-ci est une tornade. Un jour nous avons la République, un autre l’Empire, puis la royauté et de nouveau l’Empire, en attendant, qui sait ? que revienne la République. J’en suis étourdi.
L’histoire, est une chose singulière. Il suffit d’un coup de vent pour faire tourner ses pages. Celui-ci est une tornade. Un jour nous avons la République, un autre l’Empire, puis la royauté et de nouveau l’Empire, en attendant, qui sait ? que revienne la République. J’en suis étourdi.
J’aurais accepté de souffrir de la faim et de la soif pour avoir la certitude que ma femme et notre petit Eugène étaient en bonne santé et exempts d’ennuis.
Quand un oiseau en cage voit sa mangeoire vide et la porte ouverte, peut-on lui reprocher de s’enfuir ?
Bénis soient les Indiens d’Amérique, qui nous ont inventé ce dictame : le tabac !
Tous ces noms semblent butiner comme un essaim de guêpes sur un cadavre desséché.
Une île peut être un paradis pour de nouveaux Robinsons, mais les hommes peuvent aussi en faire une géhenne…
Le mot « capitulation » nous donnait des frissons, alors que « suspension d’armes » offrait l’espoir d’une reprise des combats, la prise de Baylen nous ouvrant les portes de l’Andalousie.
Nos officiers et nos hommes auraient volontiers prolongé leur séjour dans cette Capoue où ils trouvaient tout et à satiété : la nourriture, le vin et les femmes. Le moindre troupier avait l’impression de vivre comme un nabab
Cordoue, antique capitale des Omeyyades, avait été, l’an 1236, l’objet d’un événement identique, lorsque le roi de Castille, Ferdinand III, avait passé la population au fil de l’épée et emporté tous ses trésors.L’histoire se répète inlassablement…
L’Andalousie était un fruit facile à cueillir, les Andalouses des créatures belles et faciles, les vins capiteux y coulaient à flots...
La quarantaine venue, on aspire davantage à une vie tranquille qu’à l’aventure.
Je garderai toute ma vie la honte de m’être battu contre ces gens qui ne font que défendre leur roi, leur Dieu et leurs traditions.