Mickaël Parisi

Conseil préliminaire : lisez avant toute chose le petit mot de l'auteur dans la description de son oeuvre sur Amazon. A titre préventif.



On a du vulgaire, du provocateur, du sanglant... j'adhère vraiment, parce que c'est totalement décalé comme roman ! On est obligé d'adorer Grant, malgré tous ses défaut, il n'est pas difficile de deviner qu'il n'est jamais qu'un indésirable de la société qui cherche au fond, rien qu'une place dans ce monde de fous furieux.



L'auteur, bien que n'ayant pas la main légère sur les insultes (y'a de quoi en apprendre de belles d'ailleurs !), n'en reste pas moins un amoureux des lettres, avec des jeux mots à foison.
Lien : https://adviennequelira.word..

Tout d’abord j’aimerai remercier l’auteur de m’avoir offert un exemplaire de son livre, « Friend Zone » est un spin-off de son premier roman « Néant », personnellement, je n’ai pas lu « Néant » ce qui n’a en rien empêché la compréhension de « Friend Zone » !

Nous retrouvons donc le même personnage principal : Thomas.

Aah, Thomas, alcoolique à ses heures perdues, sociopathe, obsédé sexuel, fan d’armes à feu, vulgaire et accessoirement détective privé offrant ses services sur le « Dark Web ». A-t-il une qualité ? me demanderez-vous, eh bien il a un foie a tout épreuve !

Et puis nous avons Opaline, douce jeune fille végan qui cherche à sortir son frère d’une secte appelé « Les Trentenaires », qui se transforme en folle de la gâchette au fur et à mesure de la lecture.

Vous l’aurez donc compris, Opaline va faire appel aux services de Thomas pour essayer de sortir son frère de cette secte.



Il est vrai que quand j’ai lu le résumé, je m’attendais à une enquête, des filatures… Bref, ce que promet un roman policier d’habitude, cependant, plus j’avançais dans la lecture, plus la mission de sauvetage passait au second plan. Notamment lors de la deuxième partie du livre, où, là, tout est partie en vrille si je puis dire ! Des fusillades en veux-tu en voilà, des pétage de plomb de la part de notre Végan, bref, je me suis demandé ce qu’il se passait. J’ai trouvé que nos deux « héros » avaient beaucoup de chance de ne pas se faire attraper par la police, ce qui m’a un peu freiné dans ma lecture, je trouvais ça trop « gros ». Ce que je n’ai pas apprécié non plus, c’est les dialogues tout en majuscule, pour moi, ce n’est pas agréable à l’œil.

Mais malgré ces petits détails, le livre en vaux vraiment le coup ! Thomas et sa vulgarité qui donne un coup de fraicheur, Opaline et son amour pour le véganisme, et puis le côté un peu délirant du livre ! ce n’est pas tous les jours qu’on peut lire un livre comme celui-ci !

En effet, dans ce livre on nous parle d’un sujet qui peut fâcher : le véganisme. Mais on nous le parle de façon légère, sans prise de tête, sans discours haineux d’un partie ou de l’autre, sans leçon de moral, on nous expose simplement des faits, pas plus, pas moins.

En revanche, ce roman n’est pas fait pour tout le monde, ce n’est pas un roman dans lequel le personnage principal ce la joue Bad Boy, non, non, dans ce roman, Thomas est vraiment un type que l’on pourrait qualifier de « rater ». Il est vulgaire, mais vraiment vulgaire, il ne va pas se contenter d’un putain ici et d’un merde par-là, non, lui ce sera plutôt des insultes assez élaborées, voir même ridicule. Il y a beaucoup de violence aussi, est pas des plus sympathique, quand je parlais de fusillade, ce n’est rien comparé au reste du roman. Vous l’aurez donc compris, âmes sensibles, passaient votre chemin !
Lien : https://leslecturesencouleur..

Thomas est un détective privé pas comme les autres, avec son humour bien à lui et son penchant pour l'alcool et pour la violence, il ne s'attire pas que des amis. Opaline, jeune végane va faire appel à lui pour qu'il l'aide à sortir son frère Bastien des mains de la secte des trentenaires. Si Thomas n'est, au début, pas très emballé par la mission que lui propose cette fille au drôle de prénom, lorsqu'il apprend combien cela pourrait lui rapporter, il n'hésite plus à participer en utilisant la violence. Opaline, quant à elle, prête à tout pour sauver son frère, mais surtout pour défendre la cause animale, va suivre le détective dans ses actions les plus folles, jusqu'à elle aussi, se transformer en tueuse sans pitié.



Je voudrais d'abord remercier l'auteur, Mickaël Parisi, qui m'a gentiment proposé de m'envoyer son roman pour que je le lise. Après cette lecture, je ressors un peu perturbé, si Friend Zone m'a d'abord beaucoup plu, il a fini par me déplaire sur certains points que je vais développer ci-dessous.

Commençons par l'intrigue, au début on nous présente les deux personnages: Thomas et Opaline, ainsi que leur mission commune: sauver Bastien de la secte des Trentenaires. On nous promet de l'action, des missions de surveillance, de sauvetage, des accidents... et c'est bien cela qui se passe au début. Jusqu'à, je dirais, la moitié du roman, où j'ai eu l'impression que cette mission passait en arrière plan, voire n'existait plus à la fin du livre. J'ai eu l'impression que le pauvre Bastien a été totalement oublié à partir d'un certain moment et que, finalement, la mission de base ne servait que de prétexte pour la suite.

Attention lecteur sensible, ici pas de paillettes et de gentilles licornes... Non, on a le droit à du sang, des meurtres barbares, de la vulgarité, mais tout cela est traité avec humour et un tel second degré que ça passe plutôt bien et que ça fait même rire à certains moments. Le roman traite également du véganisme mais avec humour et sans vouloir être moralisateur. En effet, à travers Opaline, l'auteur essaye de faire comprendre aux lecteurs les raisons qui poussent une personne à se tourner vers le véganisme. Mais pour ne pas plomber l'ambiance du roman en donnant l'impression de donner une leçon à ceux qui raffolent de la viande, Thomas et son humour spécial sont là pour prendre tout cela à la dérision. J'ai adoré cela et pour moi, c'est le meilleur point du livre.

J'ai par contre, beaucoup moins aimé la fin du livre, si le début arrivait à me faire rire et se lisait plutôt rapidement, j'ai eu l'impression que la fin se relâchait et je l'ai trouvé un peu longue. De plus, j'ai pas été fan du fait que l'auteur s'intègre dans l'histoire, c'est le genre de chose que je n'apprécie généralement pas. En effet, j'aime bien que les histoires restent fictives, et ce mélange de fiction et de réalité me dérange un peu. Ensuite, toujours vers la fin, j'ai trouvé trop facile de faire "rêver" Thomas à plusieurs reprises, il lui arrive quelque chose et pouf il se réveille et rien de ce qui vient de se passer n'est vrai... à mon avis, l'auteur a trop joué avec cette carte "joker" et ça m'a un peu ennuyé.

Concernant le style de l'auteur, c'est ce qui m'a le plus déconcerté parce que je l'ai aimé, et en même temps je ne l'ai pas aimé... je m'explique. Il y a énormément de vulgarité dans ce roman, alors au début ça m'a fait rire, je trouvais ça plutôt marrant et je trouvais que ça changeait des autres livres. Par contre au bout d'un moment, j'ai trouvé que c'était trop et ce qui a commencé par me plaire, a fini par me déranger. Néanmoins, j'ai adoré l'humour de l'auteur et la façon directe dont il dit les choses, sans passer par quatre chemin. De plus, Thomas est le narrateur et il s'adresse directement au lecteur, j'ai beaucoup aimé cela.

Terminons par les personnages. Tout d'abord Thomas, ce n'est pas un détective comme les autres, il n'a qu'une envie c'est de rester invisible aux yeux du monde. Par contre, il n'hésite pas à user de la violence pour avoir ce qu'il veut. J'ai bien aimé son habitude de donner des petits noms à ses armes, ça lui donne un petit côté sensible (même s'il ne l'est absolument pas), j'ai également apprécié le fait que ce grand carnivore essaye de comprendre les convictions d'Opaline par rapport au véganisme. Néanmoins, ce n'est pas un personnage auquel on peut s'attacher, il n'a pas une once de bienveillance et on préférerait tous ne pas croiser son chemin. Opaline, quant à elle, est au début une jeune femme timide et peu sûre d'elle mais elle finit par devenir une tueuse sans pitié qui n'hésite pas à "punir" ceux qui ne partagent pas ses façons de voir les choses. Elle évolue énormément au cours du livre, à tel point qu'on est l'impression d'avoir un tout nouveau personnage. Je l'ai pas forcément trouvé attachante, sauf à la fin, où elle se remet en question et décide de changer, là je l'ai apprécié.
Lien : http://lesmotsdeclo.eklablog..

J'ai beaucoup aimé ma lecture de Friend Zone, qui est le deuxième roman que j'ai lu de l'auteur.



L'humour noir, les situations complètement dingues et grotesques, l'absurdité de l'histoire mais avec des personnages super bien développés.



C'est tellement absurde que ça en devient excellent!



Il faut tout de même être prévenus que cette lecture n'est pas pour tous, par sa crudité et son obscénité qui pourraient choquer les plus sensibles d'entre nous.



C'est à lire au second degré et à ne pas prendre trop au sérieux... 😉



Mais personnellement, j'ai ri à haute voix tout au long de ma lecture!

Grant et Opa vont me manquer...

"Friend zone" c'est l'histoire de Thomas qui est détective privé, surfeur sur le dark web, grand consommateur d'alcools et de drogues en tout genre, propriétaire d'armes qu'il renomme,... Il est direct dans ses paroles et s'exprime avec un langage assez fleuri.

Thomas va rencontrer sa cliente Opaline, végane très investie pour défendre la cause animale dont le frère s'est fait embarqué dans une secte appelée "les trentenaires".

Le concept de l'histoire est bien trouvé et le style décalé de l'auteur est assez drôle. J'avais beaucoup aimé sa plume lors de ma lecture de "Mode avion", ici j'ai beaucoup aimé le début, mais plus l'histoire avançais et moins j'accrochais.

Je vais commencer par les points positifs du livres.

L'histoire est bien trouvée et les personnages de Thomas et d'Opaline sont intéressants. La plume décalé et directe de l'auteur rend de nombreux passages drôles et surprenant.

Cet humour pimente vraiment la lecture du livre et ça c'est chouette.

De plus, dans ce livre est abordée la question de la cause animale et du véganisme qui est pratiqué par Opaline, et même si le personnage de Thomas ne comprend pas cette façon de penser, il est intéressant d'en avoir parlé et de l'avoir mis en lumière.

Maintenant parlons des points négatifs.

A mon goût, il y a trop de gros mots et de vulgarité tout au long du livre, j'ai trouvé ça drôle un instant mais après ça a été un peu trop pour moi, et je ne suis pas sûre que ce soit du goût de tous les lecteurs de se faire insulter de "connasse" ou de "suceurs de pines". Ce point là a failli me faire abandonner ma lecture, c'est dommage.

Sinon les personnages ne sont pas très attachants et pour Opaline elle passe surtout d'un extrême à l'autre. De jeune femme désespérée qui veux sauver son frère elle devient une tueuse de d'humain mangeant de la viande.

Dans ce livre, nous retrouvons le personnage de Thomas Grant, déjà rencontré dans le premier livre de Mickaël Parisi, Néant. Il est contacté sur le Dark Web par Opaline, jeune femme végan, qui souhaite retrouver son frère, enrôlé dans une secte aux dessins mystérieux. Comme à son habitude, l’enquête de Grant ne se déroule pas de manière classique et va le mener dans des situations les plus périlleuses, toujours avec ses fidèles compagnons : alcools forts et armes.



Comme pour Néant, Friend zone est totalement inclassable. Il dépeint la société actuelle et traite de nombreux sujets d’actualité. Toujours avec le regard acéré de Grant. Mickaël Parisi traite ces sujets avec intelligence et originalité, poussant le lecteur à se questionner sur ces derniers et le monde dans lequel il vit.



Dans Friend zone, le lecteur est confronté autant à des scènes violentes, voire gores qu’à des scènes loufoques, burlesques.



Le personnage d’Opaline est également une belle trouvaille. Au premier abord, elle semble être une jeune femme sans réelle personnalité, sans souci. Une personne classique, ennuyeuse au plus haut point pour notre Thomas Grant national. Puis au fil des chapitres, elle se métamorphose pour devenir le parfait allié du détective timbré.



La plume de l’auteur, Mickaël Parisi est toujours aussi originale et percutante que dans Néant, même si je note une évolution. L’écriture est plus fluide, on enchaîne plus facilement les chapitres que dans le premier livre. Pour comparer, j’avais lu Néant sur près d’une semaine, alors que pour Friend zone, moins d’une journée a suffi.



C’est sans surprise que je classe Friend zone dans mes coups de coeur. J’attendais depuis un moment ce second roman avec Grant. Et maintenant il me manque déjà… A quand une nouvelle aventure du détective ?
Lien : https://desplumesetdeslivres..

Sur proposition de l’auteur, Mickaël Parisi, que je remercie, j’ai eu l’occasion de lire Friend zone, spin-off de son premier roman, Néant. Surprise totale pour ce livre qui sort totalement des sentiers battus, et ce pour plusieurs raisons. Si l’intrigue m’a semblé confuse et décousue par moments, j’ai adoré les deux personnages principaux explosifs et leur volonté de se faire justiciers des causes qu’ils défendent, subtilement abordées au fur et à mesure du livre. Ajouté à cela un style qui correspond parfaitement au narrateur, même si loin des envolées dont j’ai l’habitude, de par une crudité (et parfois une vulgarité) que je ne regrette pas. Si l’intrigue manque de crédibilité, ce n’est en aucun cas la même chose pour les personnages !
Lien : http://letagereephemere.blog..

Ce n'était pas une lecture pour moi, pas mon style.

(Chronique complète sur le blog)
Lien : https://leslecturesdangeliqu..

"𝐿𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑏𝑒𝑎𝑢 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒𝑟 : 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑚𝑖𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑙𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑡𝑜̂𝑡 𝑝𝑒́𝑛𝑒́𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑔𝑟𝑖𝑙𝑙𝑒-𝑝𝑎𝑖𝑛."



Je retrouve avec plaisir la plume de Mickaël, une plume à l'humour décalé, plein de mots qu'il ne faut surtout pas dire aux enfants, bref un humour légèrement bien à lui, qui pour le coup, me fait rire.



Ici, Thomas, détective privé porté sur la boisson et l'argent et Opaline, jeune femme souhaitant sortir son frère de l'impasse vont se rencontrer et plus si affinité (n'ayez pas les idées mal placé, croyez-moi ou pas, mais il peut y avoir énormément d'affinités différentes.)



Ici, l'auteur à travers Opaline va nous parler de la cruauté faite envers les animaux avec hargne. Cette jeune femme a des convictions et met en action ses convictions.



Certains passages m'ont énormément fait rire dû à cet humour décalé et aux situations parfois très cocasses.



Un plaisir de lecture qui musclera vos zygomatiques. À lire sans modération.



Et vous, laissez-vous tenter par ce détective haut en couleur !

J'ai tout d'abord été désarçonnée par le langage utilisé, plutôt cru parfois.

J'ai eu du mal à m'immerger dans la peau de ce personnage que je ne comprenais pas trop.

En même temps heureusement pour moi, notre héros est un français alcoolique expatrié au Japon.

🕷On est très vite projeté dans le livre, on va droit au but, l'auteur nous oblige à attraper la corde au vol.



🕷On se laisse bercer (bien fort) par l'histoire quand on croit avoir compris, l'auteur se joue de nous. Des bains de migales ? Il parle et comprend toutes les langues ? Ces personnages aux noms de défauts très "animés" ?



🕷Il y a pleins de moments ou j'aurai bien pris mon téléphone pour appeler l'auteur car il parle de sujets délicats actuels et je n'étais pas toujours d'accord avec lui ! Mais les sujets sont là et amènent à se poser des questions sur notre monde actuel.



🕷On sent que l'auteur connait très bien le Japon, on est presque dans un voyage initiatique nippon.



🕷C'est très difficile de vous en parler car il est vraiment atypique, et quand on le ferme il y a une ambiance, une atmosphère qui reste avec nous. Le mieux c'est de le lire, car l'univers est très intéressant, et mérite d'être développé. On se pose un million de question !!! Je veux des réponses XD !!

Dans cette histoire, un expatrié francais qui vit au Japon, ayant un problème d’alcoolisme, entame une aventure initiatique avec l’aide d’une mystérieuse femme au visage balafré, nommée Izanami. Il se découvre alors des talents insoupçonnés, tels que la capacité de parler plusieurs langues ou de communiquer avec les mourants. Au fil de ce voyage, il est confronté à des expériences déstabilisantes et à des rencontres étranges qui remettent en question sa propre réalité.

Même si le livre est court, j’ai trouvé que la longueur est idéale puisque ça rend la lecture agréable et rythmée.

L’histoire est assez mystérieuse, laissant suffisamment de place à l’imagination du lecteur.

La plume de l’auteur nous transporte dans un monde à la fois fascinant et assez déroutant, avec une touche d’ironie qui permet de mieux appréhender les réflexions profondes qui sont faites sur la vie, la mort et la société.

J’ai vraiment apprécié la manière dont l'auteur a exploité le thème de la quête de soi tout en maintenant un suspense constant.

La conclusion du roman est surprenante, ce qui en fait une lecture captivante.

Je recommande vivement ce livre si vous êtes à la recherche d’une histoire étonnante qui vous fera réfléchir.

Original et déroutant voilà les mots que je choisirai pour décrire « Mode Avion » de Mickaël Parisi. Atypique, différent de tout ce que j'ai pu lire jusqu'à présent.

Ceci est un service presse.



Adepte de l'alcool, français expatrié au Japon, le narrateur dont le nom ne sera jamais révélé, est suivi par une femme au visage balafré, Inazumi, qui le guide vers des rencontres lourdes de sens. Il se retrouve à parler des langues qu'il ignorait jusque-là, à prendre bains d'araignées, à jouer les mannequins croisant la route de personnages au noms atypiques tels qu'Arogance ou Fierté. Délire d'alcoolique ou histoire véridique ?



Comme vous l’aurez peut-être deviné, j’ai été vachement surprise par ce livre. La plume de l'auteur est fluide, à la fois aiguisée et prompte au cynisme.

Même si l’histoire est originale et différente de ce que l’on peut lire d’habitude, j’ai eu du mal avec le vocabulaire employé, un peu trop vulgaire par moment.



Certains passages m’ont marqué. Il y a une certaine critique de la société, c’est intéressant de se pencher sur autant de sujets.



Pour tous ceux qui aiment l'originalité, pour ceux qui réfléchissent trop au sens de la vie et pour tous les curieux, immergez-vous dans ce court roman, oubliez tout le temps d'un instant, oubliez vos notifications et passez en mode avion.



3/5

C'est un livre pas commun et très original. Cette histoire nous entraîne sur le terrain de la vie, ses dérives, de la mort et se qu'il se passe après ! C'est un voyage mystique à travers le Japon et l'Asie que nous propose l'auteur. J'ai bien aimée découvrir cette plume rare et différente.

Inclassable, cynique et déroutant. Voilà ce que je dirais pour résumer ma lecture de Mode Avion

Adepte de l'alcool, français expatrié au Japon, le narrateur dont le nom ne sera jamais révélé, est suivi par une femme au visage balafré, Inazumi, qui le guide vers des rencontres lourdes de sens. Il se retrouve à parler des langues qu'il ignorait jusque là, à prendre bains d'araignées, à jouer les mannequins croisant la route de personnages au noms atypiques tels qu'Arogance ou Fierté. Délire d’alcoolique ou histoire véridique ?



La plume de l'auteur est fluide, à la fois aiguisée et prompte au cynisme lorsqu'il s'agit de mettre en lumière les défauts de la société, et à la fois douce pour retranscrire l'émotion qui émane de certaines situations. Un certain flou subsiste tout au long du roman, parfois perturbant, mais cela laisse toute la place aux thématiques quasi philosophiques que l'auteur développe sur fond de culture et de légendes nippones.



Loin d'être habituée à ce genre de lecture, un peu déstabilisée, il a fallut laisser l'histoire se dérouler d'elle-même pour que s'esquissent les ébauches de réflexions existentielles, sur la vie comme sur la mort, sur ce que l'on juge ou non important. Pour tous ceux qui aiment l'originalité, pour ceux qui réfléchissent trop au sens de la vie et pour tous les curieux, imergez-vous dans ce court roman, oubliez tout le temps d'un instant, oubliez vos notifications et passez en mode avion.

Cette histoire est une sorte de réflexion critique, un constat (déplorable) de notre monde. On est aussi confronté à certaines ''théories du complot''.



J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur nos dépeint un monde dans lequel il n'est pas très agréable de vivre, un certain reflet de notre société moderne.

Le langage utilisé est cru et sans détour! J'aime car c'est très authentique.

C'est assez spécial, ça me change de mes lectures ordinaires mais assez sympa et ça se lit vite. Je pense toutefois que le point de vue abordé pourrait dérouter et gêner certaine personne



La dédicace donne tout de suite le ton de l'ouvrage!



Au Japon, nous découvrons un jeune homme blasé et presque toujours alcoolisé. Il fera la rencontre d'Izanami qui le fera se remettre en question et voyager de par le monde. Il sera confronté à d'étranges personnages portant des noms de démons troublant l'esprit humain tel que Culpabilité, Angoisse, Fierté, ... Il se pourrait qu'il soit dans une de post-existence



Le personnage principale est cynique et très critique sur la vie, ou les gens en général. Il en viendra à changer sa perception des choses.

On se retrouve d'un point de vue de l'au-delà intéressant. Sur une vie après la mort et la vision de l'humanité.

« Je suis resté un peu plus de trois ans sous la pluie, à faire mon propre deuil… Quand la pluie s’arrêtait, je me déplaçais jusqu’à un autre endroit où le ciel avait ouvert les vannes, pour profiter pleinement de la saison des pluies. Noyé dans le nihilisme absolu (et parfois, noyé tout court), j’ai arrêté de manger, de boire, de dormir, de communier et communiquer avec le reste de l’humanité… Je me suis recroquevillé sur moi-même, les yeux vitreux, sans expression, et j’ai réfléchi à ce monde, à ma vie passée, et à ce qui allait m’attendre. »

Lorsqu’un jeune homme a reçu son Visa Travail Vacances pour le Japon et quitte enfin la France qu’il ne supporte plus, tout ne se passe pas comme il l’aurait imaginé…

Déjà, Il aurait préféré un Visa pour le Canada, mais bon, cela lui a été refusé.

Ensuite, ici, Il ne trouve pas de travail. Et Il lui convient mieux désormais de se noyer dans l’alcool.

Le Japon est sûrement le plus beau pays du monde !

C’est avec quelques grammes en trop, qu’Il se rend compte qu’il est suivi. Et cette personne n’est pas du genre discrète ! Izanami, de son nom, se présente comme étant son guide. Un guide envoyé pour l’aider à s’accomplir. Est-elle vraiment ce qu’elle prétend être ? Le jeune homme est-il en pleine hallucination ? L’alcool l’a-t-il emporté bien malgré lui ? Sommes-nous dans une autre réalité ?

Déjà autant de questions qui nous submergent, dès le début de cette lecture ! À vous, chers lecteurs, êtes-vous prêts à plonger dans ces pages abstraites…

Mes chères lectrices et chers lecteurs, voici un livre qui ne facilitera pas la tâche à vos neurones ! Je m’explique ? Chaque mots, chaque phrases… sont porteurs de sens ; mais ça, vous ne le comprenez qu’à la fin ! Il faut être attentif à tout ce qui se passe et tout ce qui entoure notre personnage.

En toute honnêteté, j’ai dû relire ce livre par deux fois tant j’ai eu beaucoup de difficultés à imbriquer chaque pièces du puzzle. Et je vous avoue qu’il y a encore des pièces manquantes. Une troisième lecture s’imposerait-elle ? Un peu trop à mon goût et puis je n’y trouve plus le plaisir à ce stade.

C’est aussi un livre puissant où tout autour d’un récit romancé, l’auteur trouve le temps de refaire le monde. De nous présenter un panorama complet d’un monde en mal d’existence. Tout à son idée, comme vous aurez les vôtres, c’est un livre riche en réflexions.

Chers lecteurs, vous l’aurez compris, malgré son titre « Mode avion » : restez connectés 😉

En vous souhaitant une bonne lecture !

Pas du doute possible sur le fait que le personnage principal est paumé. J’aurais aimé en savoir vraiment plus sur Izanami et son parcours, son histoire.

Concernant les autres personnages, il aurait été plus intéressant je pense de trouver une parade à leur nom, un anagramme, une métaphore, pour que le lecteur comprenne moins vite le fond de l’histoire.

J’ai apprécié que l’Asie soit mise en avant dans ce récit, ça change des pays européens ou américains de la plupart de mes lecteurs. Et pour autant l’auteur ne nous inonde pas de termes asiatiques incompréhensibles

J’ai soulevé quelques points incohérents à mon sens avec l’auteur mais ça ne reste que mon interprétation et je ne peux pas le développer au risque de vous spoiler. Disons que l’avion et la brioche en début d’histoire ne sont pas pertinents pour moi au vu de ce que l’on sait par la suite.

La fin de l’histoire à partir de la plage doit être plus étoffée, plus imbriquée pour laisser libre cours à l’imagination du lecteur sur la suite.

C’est un livre très atypique !

J’ai eu un peu de mal au début avec ce livre, car l’écriture est très familière, voire vulgaire par moment, ce à quoi je ne suis pas du tout habituée. J’ai par la suite réussi à faire abstraction de ce langage familier pour me concentrer sur l’histoire. J’avais également du mal à comprendre où l’auteur voulait aller et à quelle réflexion ce livre devait m’amener.

Bref, j’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire au début, mais finalement, j’ai plutôt bien apprécié ! C’est un livre très court et très sombre, avec un personnage torturé et très critique sur la réalité de notre monde, avec une vision très pessimiste. Et c’est précisément ce style décalé et cette vision du personnage principal que nous suivons tout au long du roman qui m’a amené à apprécier ma lecture ! J’ai trouvé l’approche du regard de l’au-delà sur la vie actuelle très originale. On est vraiment sur une lecture assez déroutante. Mais au final on veut savoir la fin. Au fur et à mesure, notre protagoniste va rencontrer des personnages assez particuliers qui vont l’amener à se questionner (et le lecteur aussi, par la même occasion) sur la vie en général.

Si vous cherchez une lecture atypique et décalée, ce roman est fait pour vous !

Cette lecture a été une réelle aventure pour ma part , je me suis posée énormément de questions au cours de ma lecture.

Cette histoire nous transporte au Japon entre cultures japonaises, tristesse, rédemptions et critiques de la société.

Laissez-vous tenter par un bain de mygale !

Ah non ce n'était pas ce que je voulais dire :

Laissez-vous tenter par cette histoire complètement unique dans son genre et d’une fluidité à couper le souffle!!🧚‍♀️

Dans ce roman, qui est très court, nous suivons les aventures d’un homme mystérieux qui paraît capable de communiquer dans toutes les langues, et qui fait des rencontres toutes plus étranges les unes que les autres. L’auteur nous entraîne au Japon, mais aussi dans des tas d’autres pays. Le protagoniste semble voué à devoir résoudre une quête pour passer d’épreuves en épreuves… Mais est-il seulement encore en vie ? Certains le dénomment comme un prophète, d’autres l’incitent à enchaîner la consommation d’alcools… Je ne peux pas en dire plus sans risquer de révéler le fond même de l’histoire ou encore de spoiler la fin.

En tout cas, si je devais être honnête, je dirais que ce qui m’a le plus manqué dans l’histoire, ce sont les descriptions. Le personnage principal (dont nous ne connaissons pas le nom, hormis qu’il est français) voyage énormément et il n’y a pas de description de paysage. Je n’ai pas su me plonger entièrement dans le récit. Toutefois, il y a de bonnes idées, c’était assez intéressant. Il s’agit d’une histoire qui se lit en à peine une heure, et qui change des lectures ordinaires.