Critiques de Mitch Albom (311)
Un livre qui fait sourire et qui arrache souvent une larme. Un texte superbe avec des citations à surligner à presque toutes les pages. Une construction du récit des plus captivantes. On passe du narrateur, qui se trouve à être l'âme, l'essence de la musique même (un peu comme dans le livre LA Voleuse de Livres, où c’est la mort qui narrait le récit), qui nous raconte la vie du guitariste prodige Frankie Preston. Ensuite, il y a le point de vue des gens qui on croisés Frankie sur la route de leurs vies et qui nous raconte un souvenir qu’ils ont de lui. Je suis comme ça, il faut que je tombe dans un livre tête première, si non... l'on me perd et je referme le tout. Assurément un livre plein de magie, à lire.
J'ai lu ce livre en anglais. Je ne peux donc rien dire sur le style en français. Par contre, ce petit bijou a été une très belle surprise. J'ai beaucoup aimé la narration et les recherches poussées sur toutes les pointures guitaristes qui font partie de l'histoire. Je recommande chaudement, même pour les non-musiciens :-)
Un bijou.
Ça commence en Espagne, en 1936. Si tu as un minimum suivi tes cours d’histoire au collège, tu sais que, comme destination pour les premiers congés payés, l’Espagne n’était pas le meilleur endroit.
Frankie Presto – Francisco de son petit prénom –, lui, n’a carrément pas de chance, parce qu’il naît, précisément dans une église incendiée alors que Franco commence à s’enjailler comme jamais dans le rôle d’apprenti dictateur à la noix de coco.
Sauf que le bébé, un an après sa naissance, il est abandonné dans la flotte façon Moïse, et recueilli par un certain Baffa, quarantenaire célibataire chauve et moustachu – important, la moustache… -, maître d’un chien sans poil.
Une histoire bien banale, me diras-tu. Sauf que le gamin, il se trouve qu’il est super doué à la guitare. Genre vraiment. Si bien que lorsqu’il atteint cinq ans, son père (adoptif, mais on va dire que c’est son père, fais pas chier), son père, donc, décide de lui faire prendre des cours chez un vieux guitariste acariâtre et aveugle par-dessus le marché.
Et puis un jour, alors que Francisco atteint ses dix ans, il tombe amoureux d’une petite fille, avec une peau rose et des cheveux jaunes, comme nous dirait le Petit Nicolas. Sauf que c’est aussi ce jour-là que son padre se fait arrêter par les pandores.
Apparemment, il était socialiste.
Ouais, le padre, c’est El Famoso Philou Martinez.
A une époque, en Espagne, si tu voulais faire chier quelqu’un, tu n’avais qu’à dire qu’il était socialiste (« Mais si, l’autre jour je l’ai entendu siffler un air qui ressemblait beaucoup à l’Internationale, je vous jure… »), et là, tu étais certain que tu ne le voyais pas avant un petit bout de temps. Un peu à l’image des Juifs en zone occupée, aux temps vert-de-gris.
Bref, le gamin, devenu orphelin, part pour les Etats-Unis afin de retrouver la sœur de Baffa-le-moustachu-socialiste.
Sur son chemin, il va rencontrer des gens sympa, genre Darlene Love, Duke Ellington, ou Django-notre-dieu-à-tous. Il va aussi tomber de désillusions en désillusions. Parce que la vie est injuste, mais ça tu le sais déjà.
- Mais alors, est-ce un bon livre ? me demandes-tu tout de go.
Eh bien, contre toute attente, c’est pas mal.
Oui, je suis en train d’écrire un billet élogieux à l’égard d’un bouquin dont l’auteur n’est toujours pas mort. Profite, ça n’arrive pas souvent.
C’est vrai que de moi-même, je n’aurais jamais eu l’idée de l’ouvrir. Voire d’y toucher. C’est ma mère-grand qui a eu pitié de moi, vu que je me suis fracturé le poignet et que je ne peux plus me gratter le ventre.
- Allez, lis-ça, plutôt que de déprimer en lisant Astérix. Au moins, tu auras l’impression de renouer un peu avec la musique.
Je ne sais pas si j’ai vraiment renoué avec la musique, mais ce que je sais, c’est que j’ai bien aimé. Quelques passages larmichouille-au-coin-de-l’œil, un peu de bons sentiments, un peu de cruauté envers les personnages. Et un peu d’amour-guimauve, aussi. Mais quand c’est avec des vieillards, ça m’attendrit.
J’ajouterai que j’ai beaucoup aimé l’ambiance décrite, notamment celle des petites rues espagnoles, qu’on rencontre en surtout au début du livre, quand Franco commence à faire chier mais que ça passe encore. L’Espagne étant une contrée dont je ne connais rien, hormis Porque te vas, El Risitas et El documento que vamos à estudiar, ça m’a permis de me souvenir que j’ai éventuellement des épreuves de bac l’année prochaine portant sur l’espagnol, et que je vais me foirer si je continue à faire mes exercices sur GoogleTranslate et d’écrire des critiques impertinentes sur ce merveilleux-site-de-partage-et-d’information-à-caractère-livresque-totalement-bienveillant.
- Est-ce un livre à mettre entre les mains de tous ?
Bien sûr. Que tu aies une oreille musicale aussi désastreuse que celle de ma tante Odile ou que tu sois polyglotte instrumentalistiquement parlant, que tu écoutes Mötorhead ou Mireille Mathieu, que tu lises Gérard de Villiers ou Caroline à la ferme, ça devrait te plaire.
Néanmoins, si tu es un adepte de S.A.S., et que tu veux quand même lire ce livre, je te mets en garde : il n’y a pas la moindre évocation libertine dans ces lignes. Désolée de briser tes rêves. Tu devrais plutôt lire T’choupi enterre son papy, ça devrait te remettre dans le droit chemin.
Bon, sur ces paroles empreintes d’humanité et de tolérance, je te laisse. J’ai ma guitare à douze cordes à réaccorder.
Frankie Presto – Francisco de son petit prénom –, lui, n’a carrément pas de chance, parce qu’il naît, précisément dans une église incendiée alors que Franco commence à s’enjailler comme jamais dans le rôle d’apprenti dictateur à la noix de coco.
Sauf que le bébé, un an après sa naissance, il est abandonné dans la flotte façon Moïse, et recueilli par un certain Baffa, quarantenaire célibataire chauve et moustachu – important, la moustache… -, maître d’un chien sans poil.
Une histoire bien banale, me diras-tu. Sauf que le gamin, il se trouve qu’il est super doué à la guitare. Genre vraiment. Si bien que lorsqu’il atteint cinq ans, son père (adoptif, mais on va dire que c’est son père, fais pas chier), son père, donc, décide de lui faire prendre des cours chez un vieux guitariste acariâtre et aveugle par-dessus le marché.
Et puis un jour, alors que Francisco atteint ses dix ans, il tombe amoureux d’une petite fille, avec une peau rose et des cheveux jaunes, comme nous dirait le Petit Nicolas. Sauf que c’est aussi ce jour-là que son padre se fait arrêter par les pandores.
Apparemment, il était socialiste.
Ouais, le padre, c’est El Famoso Philou Martinez.
A une époque, en Espagne, si tu voulais faire chier quelqu’un, tu n’avais qu’à dire qu’il était socialiste (« Mais si, l’autre jour je l’ai entendu siffler un air qui ressemblait beaucoup à l’Internationale, je vous jure… »), et là, tu étais certain que tu ne le voyais pas avant un petit bout de temps. Un peu à l’image des Juifs en zone occupée, aux temps vert-de-gris.
Bref, le gamin, devenu orphelin, part pour les Etats-Unis afin de retrouver la sœur de Baffa-le-moustachu-socialiste.
Sur son chemin, il va rencontrer des gens sympa, genre Darlene Love, Duke Ellington, ou Django-notre-dieu-à-tous. Il va aussi tomber de désillusions en désillusions. Parce que la vie est injuste, mais ça tu le sais déjà.
- Mais alors, est-ce un bon livre ? me demandes-tu tout de go.
Eh bien, contre toute attente, c’est pas mal.
Oui, je suis en train d’écrire un billet élogieux à l’égard d’un bouquin dont l’auteur n’est toujours pas mort. Profite, ça n’arrive pas souvent.
C’est vrai que de moi-même, je n’aurais jamais eu l’idée de l’ouvrir. Voire d’y toucher. C’est ma mère-grand qui a eu pitié de moi, vu que je me suis fracturé le poignet et que je ne peux plus me gratter le ventre.
- Allez, lis-ça, plutôt que de déprimer en lisant Astérix. Au moins, tu auras l’impression de renouer un peu avec la musique.
Je ne sais pas si j’ai vraiment renoué avec la musique, mais ce que je sais, c’est que j’ai bien aimé. Quelques passages larmichouille-au-coin-de-l’œil, un peu de bons sentiments, un peu de cruauté envers les personnages. Et un peu d’amour-guimauve, aussi. Mais quand c’est avec des vieillards, ça m’attendrit.
J’ajouterai que j’ai beaucoup aimé l’ambiance décrite, notamment celle des petites rues espagnoles, qu’on rencontre en surtout au début du livre, quand Franco commence à faire chier mais que ça passe encore. L’Espagne étant une contrée dont je ne connais rien, hormis Porque te vas, El Risitas et El documento que vamos à estudiar, ça m’a permis de me souvenir que j’ai éventuellement des épreuves de bac l’année prochaine portant sur l’espagnol, et que je vais me foirer si je continue à faire mes exercices sur GoogleTranslate et d’écrire des critiques impertinentes sur ce merveilleux-site-de-partage-et-d’information-à-caractère-livresque-totalement-bienveillant.
- Est-ce un livre à mettre entre les mains de tous ?
Bien sûr. Que tu aies une oreille musicale aussi désastreuse que celle de ma tante Odile ou que tu sois polyglotte instrumentalistiquement parlant, que tu écoutes Mötorhead ou Mireille Mathieu, que tu lises Gérard de Villiers ou Caroline à la ferme, ça devrait te plaire.
Néanmoins, si tu es un adepte de S.A.S., et que tu veux quand même lire ce livre, je te mets en garde : il n’y a pas la moindre évocation libertine dans ces lignes. Désolée de briser tes rêves. Tu devrais plutôt lire T’choupi enterre son papy, ça devrait te remettre dans le droit chemin.
Bon, sur ces paroles empreintes d’humanité et de tolérance, je te laisse. J’ai ma guitare à douze cordes à réaccorder.
"How to profiter du temps car Dieu à eu raison de nous donner une fin (et de pas l'expliquer)"
Dieu, un mec barbu qui vous enferme pour des millénaires dans une caverne (et pas le soleil et la lune déifiés car ça c'est pour les barbares des âges anciens "sic") avait une bonne raison de ne pas donner d'explications (la science c'est le mal absolu) et va punir ici le premier type à avoir voulu s'expliquer le monde. Au moment où le barbu demande au héros pourquoi il à voulut tout mesurer et si c'était pour le pouvoir, et que Dor (le héros) répond que c'était juste pour comprendre, on aurait pu s'attendre à des excuses du dieu en question sur sa méprise et un relâchement sous conditionnelle de ce vilain libre penseur... Mais non.
Donc voilà que la science est le péché originel (tour de Babel effondrée comprise), que la seule chose que trouve à faire Dieu (god bless américa) est de laisser un pauvre type devenir fou dans une caverne où il subit les voix de milliards d'êtres humains souffrant de leur rapport au temps... Ce qui est de sa faute à Dor, car il est le premier à avoir voulu comprendre la mécanique divine. Hem !
Saupoudrée de petites phrases simplettes et bien pensantes, construite sur une vision du monde à la limite des créationnistes, avec des archétypes plus qu'usés (le bon berger trop curieux, l'homme d'affaire pressé qui ne croit qu'en l'argent, et l'adolescente ingrate déçue par l'amour), ce roman est une bouse cosmique tout droit venue de l’Amérique profonde. (je suis un peu en colère, il est vrai).
Passons sur le côté "how to", évacuons pour un temps Dieu, le péché de science et tout ce qui en fait un objet de pure propagande... Reste que l'histoire en elle-même est simpliste et que la fin n'est pas à la hauteur des choses mises en place; non vieillissement du héros, pouvoir d'arrêter le temps, compréhension universelle des langues humaines... Tout ceci aurait pu mener bien plus loin et sur des chemins intéressants, mais non, Dor en restera à son rôle de brebis égarée cherchant son enclos. Aucune discussion avec Dieu, aucune colère d'avoir été enfermé et rendu quasi fou (catatonique du moins), aucun questionnement sur la conscience du temps propre aux humains à mettre en rapport (peut-être) avec le libre arbitre, notion pourtant si chère aux lecteurs du Deutéronome...
Loin de moi l'idée de critiquer ceux et celles qui ont apprécié ce roman; la morale de l'histoire, pour simple qu'elle est, à bien évidemment pu reconnecter certains avec une notion du temps plus humaine et dans le vécu que dans l'efficience. Je comprends que ce petit roman ait pu en aider certains. Je regrette néanmoins que, par son existence, ces lecteurs soient passés potentiellement à côté d'ouvrages bien plus nutritifs et contenant néanmoins le même message de base sans les adjuvants white protestants.
(la suite sur mon blog)
Lien : http://unlivresurmeslevres.b..
Dieu, un mec barbu qui vous enferme pour des millénaires dans une caverne (et pas le soleil et la lune déifiés car ça c'est pour les barbares des âges anciens "sic") avait une bonne raison de ne pas donner d'explications (la science c'est le mal absolu) et va punir ici le premier type à avoir voulu s'expliquer le monde. Au moment où le barbu demande au héros pourquoi il à voulut tout mesurer et si c'était pour le pouvoir, et que Dor (le héros) répond que c'était juste pour comprendre, on aurait pu s'attendre à des excuses du dieu en question sur sa méprise et un relâchement sous conditionnelle de ce vilain libre penseur... Mais non.
Donc voilà que la science est le péché originel (tour de Babel effondrée comprise), que la seule chose que trouve à faire Dieu (god bless américa) est de laisser un pauvre type devenir fou dans une caverne où il subit les voix de milliards d'êtres humains souffrant de leur rapport au temps... Ce qui est de sa faute à Dor, car il est le premier à avoir voulu comprendre la mécanique divine. Hem !
Saupoudrée de petites phrases simplettes et bien pensantes, construite sur une vision du monde à la limite des créationnistes, avec des archétypes plus qu'usés (le bon berger trop curieux, l'homme d'affaire pressé qui ne croit qu'en l'argent, et l'adolescente ingrate déçue par l'amour), ce roman est une bouse cosmique tout droit venue de l’Amérique profonde. (je suis un peu en colère, il est vrai).
Passons sur le côté "how to", évacuons pour un temps Dieu, le péché de science et tout ce qui en fait un objet de pure propagande... Reste que l'histoire en elle-même est simpliste et que la fin n'est pas à la hauteur des choses mises en place; non vieillissement du héros, pouvoir d'arrêter le temps, compréhension universelle des langues humaines... Tout ceci aurait pu mener bien plus loin et sur des chemins intéressants, mais non, Dor en restera à son rôle de brebis égarée cherchant son enclos. Aucune discussion avec Dieu, aucune colère d'avoir été enfermé et rendu quasi fou (catatonique du moins), aucun questionnement sur la conscience du temps propre aux humains à mettre en rapport (peut-être) avec le libre arbitre, notion pourtant si chère aux lecteurs du Deutéronome...
Loin de moi l'idée de critiquer ceux et celles qui ont apprécié ce roman; la morale de l'histoire, pour simple qu'elle est, à bien évidemment pu reconnecter certains avec une notion du temps plus humaine et dans le vécu que dans l'efficience. Je comprends que ce petit roman ait pu en aider certains. Je regrette néanmoins que, par son existence, ces lecteurs soient passés potentiellement à côté d'ouvrages bien plus nutritifs et contenant néanmoins le même message de base sans les adjuvants white protestants.
(la suite sur mon blog)
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Vous avez déjà vécu ces moments ? Ce où vous vous dites « J’ai bien trop d’affaires dans ma bibliothèque, pas le moment de racheter des livres… ». Sauf qu’à ce moment là, vous accompagnez quelqu’un dans une libraire.
Alors vous jeter un œil. Comme ça. Juste pour voir. Et là, c’est magique. Vous tombez nez à nez avec un livre, et vous savez que vous en avez besoin. Pas envie. BESOIN.
Besoin parce que depuis quelques temps, toutes vos lectures vous semblent fades. Mais pas celle-là. Celle-là va vous redonner goût à la lecture ?
Non ? Jamais vécu ça ? Je délire sans doute ^^
En tout cas pour moi ce livre fut un vrai miracle. Cela fait plusieurs mois que je repose des lectures entamées sans les finir, que je ne prends plus goût à la lecture. Juste parce que je ne prenais pas le temps.
Quand j’ai vu ce livre, je me suis dit que ce serait parfait. Arrêtez un peu de courir, pas évident pour une souris ! Mais ce livre est magique pour cela.
Commençons par l’histoire. Le roman nous plonge dans les destins de trois personnes. Dor, le premier homme a avoir tenter de calculer le temps, et Sarah et Victor, deux personnes de notre monde moderne qui vont devoir affronter un tournant dans leur vie. Leur destin vont se mêler, résonner les uns avec les autres. Chacun va devoir comprendre ce qui échappe à tellement d’entre nous…
L’écriture est très agréable. Rythmée, en chapitre court, on avance facilement. En même temps, au milieu de l’histoire principale, s’insère de mini-chapitre, écho des sentiments de personnage qu’on ne connaît pas encore bien, ce qui crée une attente, voire même une frustration, qui va très bien avec le thème du livre. On voudrait savoir la suite, maintenant, tout de suite, mais on va devoir attendre, prendre son temps.
Il n’y a pas à dire, quand le style fait écho au thème du roman, c’est vraiment génial, ça rend la lecture magique.
Pour ne rien gâcher, je trouve la mise en page très belle. Idem pour a première de couverture (en même temps, avec des montres à gousset, ça allait forcément me plaire)
Bref, je m’attarde, mais vous aurais compris que je trouve ce livre vraiment génial !
Lien : http://wp.me/p8fh8w-5
Alors vous jeter un œil. Comme ça. Juste pour voir. Et là, c’est magique. Vous tombez nez à nez avec un livre, et vous savez que vous en avez besoin. Pas envie. BESOIN.
Besoin parce que depuis quelques temps, toutes vos lectures vous semblent fades. Mais pas celle-là. Celle-là va vous redonner goût à la lecture ?
Non ? Jamais vécu ça ? Je délire sans doute ^^
En tout cas pour moi ce livre fut un vrai miracle. Cela fait plusieurs mois que je repose des lectures entamées sans les finir, que je ne prends plus goût à la lecture. Juste parce que je ne prenais pas le temps.
Quand j’ai vu ce livre, je me suis dit que ce serait parfait. Arrêtez un peu de courir, pas évident pour une souris ! Mais ce livre est magique pour cela.
Commençons par l’histoire. Le roman nous plonge dans les destins de trois personnes. Dor, le premier homme a avoir tenter de calculer le temps, et Sarah et Victor, deux personnes de notre monde moderne qui vont devoir affronter un tournant dans leur vie. Leur destin vont se mêler, résonner les uns avec les autres. Chacun va devoir comprendre ce qui échappe à tellement d’entre nous…
L’écriture est très agréable. Rythmée, en chapitre court, on avance facilement. En même temps, au milieu de l’histoire principale, s’insère de mini-chapitre, écho des sentiments de personnage qu’on ne connaît pas encore bien, ce qui crée une attente, voire même une frustration, qui va très bien avec le thème du livre. On voudrait savoir la suite, maintenant, tout de suite, mais on va devoir attendre, prendre son temps.
Il n’y a pas à dire, quand le style fait écho au thème du roman, c’est vraiment génial, ça rend la lecture magique.
Pour ne rien gâcher, je trouve la mise en page très belle. Idem pour a première de couverture (en même temps, avec des montres à gousset, ça allait forcément me plaire)
Bref, je m’attarde, mais vous aurais compris que je trouve ce livre vraiment génial !
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Ce sont trois histoires qui convergent en un temps précis, un point qui va réconcilier les protagonistes avec leur vie, ou plutôt avec la véritable valeur de la vie. Dor, le maître du temps, Sarah, une adolescente amoureuse éconduite et Victor, un homme d’affaire en phase terminale d’une maladie incurable. L’un veut maîtriser le temps, l’autre en finir avec la vie et le dernier en revivre une seconde, dans l’avenir.
Au final, pas de grande surprise, mais cette fiction cousue aux petits oignons fait du bien et est pleine de bon sens. Très abordable, elle se lit très facilement, à la vitesse que l’on veut.
Une sorte d’hymne à la lenteur à lire sur la plage.
Au final, pas de grande surprise, mais cette fiction cousue aux petits oignons fait du bien et est pleine de bon sens. Très abordable, elle se lit très facilement, à la vitesse que l’on veut.
Une sorte d’hymne à la lenteur à lire sur la plage.
Pseudo LA : eowyntara
Nom : LASTELLA
Prénom : Virginie
Age : 37 ans
Adresse postale : 21B rue des Prunelles 67560 ROSHEIM
Pays : FRANCE
Adresse du point relay (si vous acceptez cette alternative) : TABAC ICHTERTZ, 87 rue du Général De Gaulle, 67560 Rosheim
Acceptez-vous d'envoyer à l'étranger ? si oui, où ? Non
Adresse e-mail : eowyntara@gmail.com
Livres :
Acceptez-vous les livres d'occasions ? oui
Genre préféré : romance
Genre le moins apprécié : science fiction
Votre Wishlist pour ce swap (environ 15 livres pour laisser du choix à notre binôme):
http://www.livraddict.com/profil/eowynt … o=wishlist (il y en a 19 actuellement)
Thés :
Vous le préférez vert, noir, blanc ? vert
Buvez-vous des infusions ? Du roïbos ? rarement des infusions mais du rooïbos oui
Plutôt vrac, ou en sachets ? en vrac
Saveur fleurie, gourmanes, fruitée, épicée, quelle est votre préférée ? gourmande
Lesquels sont à éviter ? aucune
Surprises :
Des allergies ou choses à éviter (gourmandises ou non) ? non
Vous êtes plutôt sucré ou salé ? les deux
Votre gourmandise préférée ? le chocolat noir
Plutôt goodies de déco, utiles ou les deux ? les deux
Plutôt goodies imposants, moyens, petits, ou peu importe ? peu importe
Faites-vous une collection ? (Si oui, donnez des précisions sur ce que vous avez déjà, pour éviter les doublons) non pas de collection particulière
Des passions autres que la littérature et le thé ? l'Histoire
Une couleur préférée ? le bleu
Une odeur particulière ? la vanille
Répondre par oui ou non (si oui, donnez quelques précisions pour guider votre binôme dans sa quête !) :
- DVD : oui je suis très cinéphile et j'aime les comédies romantiques et les thrillers
- BO films ou séries : non
- Bijoux : non
- Carnets : oui, j'adore les petits carnets à glisser dans mon sac pour prendre des notes dans le train sur mes lectures
- Stylos, crayons: oui, pas de préférence
- Affiches : non
- Figurines : non
- Calendriers : pourquoi pas mais plutôt à poser sur le bureau
- Stickers : oui pour mon bujo des déco
- Cadres : non
- Magnets : pourquoi pas
- Mugs : oui
- Sacs : oui plutôt style tote bag
Aimerais tu recevoir une surprise en particulier
Un petit mot à ajouter pour votre binôme afin de l’aider dans la conception de son colis ? J'aime faire des découvertes alors j'aimerais que mon binôme me fasse partager ses goûts
Vous pouvez aussi, par exemple faire une WL thés ou bien donner la liste de vos thés à votre binôme pour éviter des doublons dans votre collection !
Lien : http://virginielastella.over..
Nom : LASTELLA
Prénom : Virginie
Age : 37 ans
Adresse postale : 21B rue des Prunelles 67560 ROSHEIM
Pays : FRANCE
Adresse du point relay (si vous acceptez cette alternative) : TABAC ICHTERTZ, 87 rue du Général De Gaulle, 67560 Rosheim
Acceptez-vous d'envoyer à l'étranger ? si oui, où ? Non
Adresse e-mail : eowyntara@gmail.com
Livres :
Acceptez-vous les livres d'occasions ? oui
Genre préféré : romance
Genre le moins apprécié : science fiction
Votre Wishlist pour ce swap (environ 15 livres pour laisser du choix à notre binôme):
http://www.livraddict.com/profil/eowynt … o=wishlist (il y en a 19 actuellement)
Thés :
Vous le préférez vert, noir, blanc ? vert
Buvez-vous des infusions ? Du roïbos ? rarement des infusions mais du rooïbos oui
Plutôt vrac, ou en sachets ? en vrac
Saveur fleurie, gourmanes, fruitée, épicée, quelle est votre préférée ? gourmande
Lesquels sont à éviter ? aucune
Surprises :
Des allergies ou choses à éviter (gourmandises ou non) ? non
Vous êtes plutôt sucré ou salé ? les deux
Votre gourmandise préférée ? le chocolat noir
Plutôt goodies de déco, utiles ou les deux ? les deux
Plutôt goodies imposants, moyens, petits, ou peu importe ? peu importe
Faites-vous une collection ? (Si oui, donnez des précisions sur ce que vous avez déjà, pour éviter les doublons) non pas de collection particulière
Des passions autres que la littérature et le thé ? l'Histoire
Une couleur préférée ? le bleu
Une odeur particulière ? la vanille
Répondre par oui ou non (si oui, donnez quelques précisions pour guider votre binôme dans sa quête !) :
- DVD : oui je suis très cinéphile et j'aime les comédies romantiques et les thrillers
- BO films ou séries : non
- Bijoux : non
- Carnets : oui, j'adore les petits carnets à glisser dans mon sac pour prendre des notes dans le train sur mes lectures
- Stylos, crayons: oui, pas de préférence
- Affiches : non
- Figurines : non
- Calendriers : pourquoi pas mais plutôt à poser sur le bureau
- Stickers : oui pour mon bujo des déco
- Cadres : non
- Magnets : pourquoi pas
- Mugs : oui
- Sacs : oui plutôt style tote bag
Aimerais tu recevoir une surprise en particulier
Un petit mot à ajouter pour votre binôme afin de l’aider dans la conception de son colis ? J'aime faire des découvertes alors j'aimerais que mon binôme me fasse partager ses goûts
Vous pouvez aussi, par exemple faire une WL thés ou bien donner la liste de vos thés à votre binôme pour éviter des doublons dans votre collection !
Lien : http://virginielastella.over..
J’ai choisi Le Passeur du Temps essentiellement pour sa très belle couverture. C’est une histoire où Ciel et Terre se rencontrent d’une certaine façon. Dor est le premier à avoir eu l’envie de mesurer et de quantifier le temps. Son obsession était telle que Dieu l’a placé dans une grotte à écouter les lamentations du monde entier concernant le temps. Au bout de plusieurs millénaires, les divinités lui confient une mission : sauver deux personnes de notre époque.
L’idée principale me plaisait beaucoup. Le temps fait tellement partie de nos vies qu’on n’imaginerait pas vivre sans. C’est une réflexion que j’ai appréciée, me rendre compte qu’on veut souvent accélérer ou ralentir le temps et qu’on en oublie souvent de profiter de la vie.
Si le concept m’a plu, l’histoire moins. J’ai eu du mal à accrocher aux personnages de notre époque. On sait peu de choses d’eux et je n’ai pas manifesté beaucoup d’empathie à leur égard. J’ai trouvé le livre bien réparti (petits chapitres aérés) mais trop court. De ce fait, on reste trop en surface et le roman m’a paru trop léger à mon goût. Pour conclure, c’est une très bonne idée mais je n’ai pas accroché plus que ça. J’attendais bien mieux de ce titre.
Lien : http://romansurcanape.fr/le-..
L’idée principale me plaisait beaucoup. Le temps fait tellement partie de nos vies qu’on n’imaginerait pas vivre sans. C’est une réflexion que j’ai appréciée, me rendre compte qu’on veut souvent accélérer ou ralentir le temps et qu’on en oublie souvent de profiter de la vie.
Si le concept m’a plu, l’histoire moins. J’ai eu du mal à accrocher aux personnages de notre époque. On sait peu de choses d’eux et je n’ai pas manifesté beaucoup d’empathie à leur égard. J’ai trouvé le livre bien réparti (petits chapitres aérés) mais trop court. De ce fait, on reste trop en surface et le roman m’a paru trop léger à mon goût. Pour conclure, c’est une très bonne idée mais je n’ai pas accroché plus que ça. J’attendais bien mieux de ce titre.
Lien : http://romansurcanape.fr/le-..
Un livre qui surpasse tous les mots... Une claque, et un réel coup de coeur.
Ce roman débute par la fin si j'ose dire. Une histoire d'amour et une mort. S'engage un périple qui conduit le lecteur à se questionner, à poser son regard autour de lui afin de prendre le temps d'admirer.
Ce livre est une claque, une de ces histoires qui donnent à réfléchir, un de ces romans indémodables qui restera éternel. Je me suis laissé bercer par ce récit. J'ai laissé chaque mot prendre forme dans mon âme et la marquer. Une lecture qui m'a fait grandir, comme peu en sont capables.
Certains reprocherons à ce roman de parler de religion, il n'en est rien. L'auteur ne formule pas de prières ou de paroles saintes. Il nous livre un récit. Et nous sommes libre de l'interpètrer comme bon nous semble.
Un livre que je vais conserver religieusement et relire sans hésitation.
Bonne lecture à tous.
Ce roman débute par la fin si j'ose dire. Une histoire d'amour et une mort. S'engage un périple qui conduit le lecteur à se questionner, à poser son regard autour de lui afin de prendre le temps d'admirer.
Ce livre est une claque, une de ces histoires qui donnent à réfléchir, un de ces romans indémodables qui restera éternel. Je me suis laissé bercer par ce récit. J'ai laissé chaque mot prendre forme dans mon âme et la marquer. Une lecture qui m'a fait grandir, comme peu en sont capables.
Certains reprocherons à ce roman de parler de religion, il n'en est rien. L'auteur ne formule pas de prières ou de paroles saintes. Il nous livre un récit. Et nous sommes libre de l'interpètrer comme bon nous semble.
Un livre que je vais conserver religieusement et relire sans hésitation.
Bonne lecture à tous.
Un peu dubitative à la suite de la lecture de ce roman. Le sujet de l'intrigue est très intéressant mais il est traité de façon un peu trop simpliste. Je pense que le récit aurait pris une toute autre dimension s'il avait été un peu plus approfondi et les personnages avaient été un peu plus travaillés pour avoir plus de consistance . Du coup, ce récit se lit très vite, sans vraiment de surprise, il est un peu plat, je pense que certains iront jusqu'à dire insipide.
Du coup après lecture, on ressent une petite déception. Tous les ingrédients au départ étaient réunis pour faire une histoire captivante malheureusement le traitement littéraire n'a pas suivi.
Un peu mitigée, je dirais que vous pouvez lire ce livre mais si vous avez l'occasion d'en lire d'autres plus captivants alors mettez le de côté.
Du coup après lecture, on ressent une petite déception. Tous les ingrédients au départ étaient réunis pour faire une histoire captivante malheureusement le traitement littéraire n'a pas suivi.
Un peu mitigée, je dirais que vous pouvez lire ce livre mais si vous avez l'occasion d'en lire d'autres plus captivants alors mettez le de côté.
Nous disons tous : "Vivement demain".
Pourquoi ne dirions-nous pas : "Je voudrais être à hier".
Il m'est arrivée de vouloir être à hier .
Hier ma fille a réalisé un de mes rêves d'enfant elle m'a fait le bonheur immense de m'emmener assister à un ballet "Le Lac des Cygnes" Ballet et Orchestre National de Russie et j'ai passé là, l'un des moments le plus merveilleux de ma vie, mes yeux et mes oreilles ont été comblés au-delà de tout, c'était Sublissime !
Mais, revenons à ce livre de Mitch Albom,
Ici il s'agit de la vie de Dor et Alli qui s'aiment et vivent sans tenir compte du temps qui s'écoule.
Mais la passion de Dor, celui de compter le temps va le condamner à vivre exilé dans une caverne.
Il va inventer cadran solaire, clepsydre, sablier, pendules...... va devenir le plus vieil horloger du monde.
Il sera le Père Temps et vivra des siècles.
Il va devoir pour se sauver et pour nous sauver apprendre la vraie valeur du temps.
Ce livre est dédié à sa femme dont il dit qu'elle donne du sens à chaque minute de sa vie. (quelle belle dédicace)
* J'ai déniché ce livre dans une bourse aux livres, la couverture m'a tout particulièrement attirée, je la trouve vraiment très jolie.
Pourquoi ne dirions-nous pas : "Je voudrais être à hier".
Il m'est arrivée de vouloir être à hier .
Hier ma fille a réalisé un de mes rêves d'enfant elle m'a fait le bonheur immense de m'emmener assister à un ballet "Le Lac des Cygnes" Ballet et Orchestre National de Russie et j'ai passé là, l'un des moments le plus merveilleux de ma vie, mes yeux et mes oreilles ont été comblés au-delà de tout, c'était Sublissime !
Mais, revenons à ce livre de Mitch Albom,
Ici il s'agit de la vie de Dor et Alli qui s'aiment et vivent sans tenir compte du temps qui s'écoule.
Mais la passion de Dor, celui de compter le temps va le condamner à vivre exilé dans une caverne.
Il va inventer cadran solaire, clepsydre, sablier, pendules...... va devenir le plus vieil horloger du monde.
Il sera le Père Temps et vivra des siècles.
Il va devoir pour se sauver et pour nous sauver apprendre la vraie valeur du temps.
Ce livre est dédié à sa femme dont il dit qu'elle donne du sens à chaque minute de sa vie. (quelle belle dédicace)
* J'ai déniché ce livre dans une bourse aux livres, la couverture m'a tout particulièrement attirée, je la trouve vraiment très jolie.
Voici mon avis en vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=D6OrVDACtgw
Lien : https://www.youtube.com/watc..
https://www.youtube.com/watch?v=D6OrVDACtgw
Lien : https://www.youtube.com/watc..
J'ai beaucoup aimé certains livres de M. Albom. Mais celui-ci, je me suis accrochée pour essayer d'arriver à la fin.
Est-ce que le "filon" M. Albom est trop gros ? Je ne sais
Est-ce que le "filon" M. Albom est trop gros ? Je ne sais
Voilà un livre que je voulais lire depuis un moment.
Le sujet m'intéresse au plus haut point : le temps qui passe.
Ce livre lie 2 vies : une qui veut prendre fin et l'autre qui veut être prolongée jusqu'à l'éternité autour d'un personnage central qui a voulu mesurer le temps et qui en a subit les conséquences.
Cette rencontre improbable entre ces trois protagonistes est bien tournée mais je regrette un peu le travail d'analyse du temps qui passe. A la lecture de cet ouvrage, je n'ai pas vraiment eu de révélation : profiter du temps et le rentabiliser en le partageant avec les gens qu'on aime vraiment, voilà la leçon à tirer de ce livre et d'une manière beaucoup plus large, voilà la leçon qu'il faut retenir de la vie.
Le sujet m'intéresse au plus haut point : le temps qui passe.
Ce livre lie 2 vies : une qui veut prendre fin et l'autre qui veut être prolongée jusqu'à l'éternité autour d'un personnage central qui a voulu mesurer le temps et qui en a subit les conséquences.
Cette rencontre improbable entre ces trois protagonistes est bien tournée mais je regrette un peu le travail d'analyse du temps qui passe. A la lecture de cet ouvrage, je n'ai pas vraiment eu de révélation : profiter du temps et le rentabiliser en le partageant avec les gens qu'on aime vraiment, voilà la leçon à tirer de ce livre et d'une manière beaucoup plus large, voilà la leçon qu'il faut retenir de la vie.
Ce livre est un mix entre conte et roman. Il veut, en tout cas, faire réfléchir sur le temps qui passe et sur la manière dont nous passons chaque minute de notre vie.
Tout commence avec Dor, le premier homme qui a voulu mesurer et arrêter le temps. C'est une obsession et il passe toutes ses journées à inventer cadran solaire, clepsydre, sablier, pendules,... Il deviendra Père Temps, sera enfermé dans une caverne pendant des siècles avant de revenir sur Terre et rencontrer les deux autres personnages du roman :
- Victor a réussi dans la vie, il a de l'argent à ne plus savoir qu'en faire, il a du pouvoir, mais il a plus de 80 ans et le temps lui est compté. Son médecin lui donne 2 mois, pas plus. Pourra-t-il arrêter le temps et vivre éternellement?
- Sarah est un peu trop, trop grosse, trop intelligente, trop plongée dans ses bouquins et dans ses études. Un jour, elle tombe amoureuse, mais ça ne se passe pas du tout comme elle l'espérait. Elle veut en finir avec la vie...
Ces 3 personnages au destin lié finiront par se rencontrer...
Certains adhéreront, d'autres pas. Je suis un peu passé à côté...
Tout commence avec Dor, le premier homme qui a voulu mesurer et arrêter le temps. C'est une obsession et il passe toutes ses journées à inventer cadran solaire, clepsydre, sablier, pendules,... Il deviendra Père Temps, sera enfermé dans une caverne pendant des siècles avant de revenir sur Terre et rencontrer les deux autres personnages du roman :
- Victor a réussi dans la vie, il a de l'argent à ne plus savoir qu'en faire, il a du pouvoir, mais il a plus de 80 ans et le temps lui est compté. Son médecin lui donne 2 mois, pas plus. Pourra-t-il arrêter le temps et vivre éternellement?
- Sarah est un peu trop, trop grosse, trop intelligente, trop plongée dans ses bouquins et dans ses études. Un jour, elle tombe amoureuse, mais ça ne se passe pas du tout comme elle l'espérait. Elle veut en finir avec la vie...
Ces 3 personnages au destin lié finiront par se rencontrer...
Certains adhéreront, d'autres pas. Je suis un peu passé à côté...
L'histoire mets un peu de temps à se mettre en place - le fond est bon
C'est plutôt dingue le temps que l'on perd pour des choses qui au final se révèlent sans importance même si nous croyons le contraire avec force. Du temps que l'on aurait pu avoir avec des êtres chers à profiter de ces petits moments de bonheur précieux.
Le message est beau mais malheureusement le récit est trop froid, je n'ai rien ressenti, aucune émotion et ça m'a gênée pour un récit tel que celui-ci. Peut-être parceque tout va trop vite justement dans cette histoire et que de ce fait, les personnages ne sont pas exploités en profondeur, que je n'ai pas eu le temps de les connaitre assez pour les apprécier à leur juste valeur.
C'est vraiment dommage.
Le message est beau mais malheureusement le récit est trop froid, je n'ai rien ressenti, aucune émotion et ça m'a gênée pour un récit tel que celui-ci. Peut-être parceque tout va trop vite justement dans cette histoire et que de ce fait, les personnages ne sont pas exploités en profondeur, que je n'ai pas eu le temps de les connaitre assez pour les apprécier à leur juste valeur.
C'est vraiment dommage.
"Cette histoire parle du temps et de ce qu’il signifie." Et elle en parle très bien. Ce joli conte du Temps moderne, est parfaitement structuré, vraiment très bien écrit, et m'aurait sans doute toute chamboulée si...
Si les personnages principaux, exception faite de Dor, n'avaient pas été si niais et dénués d'intérêts... Si leurs problématiques avaient été plus profondes... Et si je n'avais pas préalablement placé l'auteur sur un piédestal.
Voilà, c'est tout ce que j'en pense. J'ai passé un bon moment, jusqu'à ce que je me rappelle ce que Mitch Albom avait fait de moi entre les pages des Cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut. Et ce n'était tellement pas comparable, que je n'ai pas pu me satisfaire du Passeur du Temps.
Lien : http://www.sakalivres.com/20..
Si les personnages principaux, exception faite de Dor, n'avaient pas été si niais et dénués d'intérêts... Si leurs problématiques avaient été plus profondes... Et si je n'avais pas préalablement placé l'auteur sur un piédestal.
Voilà, c'est tout ce que j'en pense. J'ai passé un bon moment, jusqu'à ce que je me rappelle ce que Mitch Albom avait fait de moi entre les pages des Cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut. Et ce n'était tellement pas comparable, que je n'ai pas pu me satisfaire du Passeur du Temps.
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