Mizuki Tsujimura

Kokoro vit au Japon mais n'arrive plus à sortir de chez elle et à se rendre dans son collège. Alors qu'elle s'apprête à passer la journée seule, enfermée dans sa chambre, son miroir se met à miroiter. Kokoro peut alors passer à travers et se rendre dans un mystérieux château de contes de fées. Elle va alors rencontrer d'autres adolescents, qui comme elle, ne vont plus au collège et Mademoiselle Loup qui va leur expliquer le fonctionnement du lieu. Au fur et à mesure, on va découvrir l'histoire de chacun de ses adolescents et les raisons pour lesquelles ils ne se rendent plus à l'école. L'histoire est intéressante même si j'ai toujours un peu de mal avec la culture japonaise. Le traitement du harcèlement est original avec le côté fantastique qui donne envie de poursuivre la lecture : on veut savoir pourquoi trois de nos personnages qui fréquentent le même établissement ne peuvent se voir dans la réalité.

Encore un très chouette tome ! Les personnages sont très attachants, et leurs aventures sont prenantes. Ils ont parfois des réflexion que l'on aurait eues beaucoup plus tôt, mais les révélations sont toujours aussi chouettes à découvrir. De belles illustrations, une histoire qui donne envie de découvrir la suite, et un univers prenant !

Kokoro continue à aller au château et retrouver ses nouveaux amis. Elle prend plaisir à se rendre dans ce lieu où elle se sent en sécurité.

Kokoro est l'incarnation de la collégienne qui ne veut pas déranger, n'ose pas s'exprimer de peur de vexer les gens. Elle a tellement vécu l'enfer que donner son avis est une épreuve pour elle.

Son quotidien est chamboulé quand sa mère la questionne sur son absence. Cette dernière est ravie de voir Kokoro sortir de la maison mais la collégienne le prend comme un affront, une violation de sa vie privée. La mère de Kokoro essaye de comprendre sa vie, elle fait tout pour la soutenir et est catastrophée de voir sa fille ainsi comme beaucoup de parents qui vivent ce quotidien...



Malgré cet épisode, Kokoro continue à aller voir ses nouveaux amis. Une preuve que le processus de guérison commence. C'est un grand pas en avant comme le fait d'ouvrir la porte à son professeur de l'école "spéciale". L'histoire est peut-être lente, on peut avoir la sensation qu'il ne se passe pas grand-chose mais pour des adolescents comme Kokoro, c'est énorme !



Dans ce tome également, on découvre un peu plus les collégiens, certains se dévoilent plus que d'autres et ils constatent qu'ils ont plus en commun, que certains caractères révèlent une forme de bouclier afin de se protéger des autres.



J'aime beaucoup cette série qui parle d'un thème d'actualité. Ces enfants souffrent et trouvent du réconfort entre eux et ça fait plaisir à lire.

J'ai hâte de lire le tome 3 !

L'univers de ce manga est magique...

Kokoro, une jeune écolière souffrant de phobie scolaire, découvre que le miroir de sa chambre, quand il se met à briller, se transforme en passage vers un magnifique château, gardé par une mystérieuse petite fille affublée d'un masque. Elle y rencontre d'autres jeunes, avec qui elle va essayer de tisser des liens.

L'histoire est intrigante et nous donne envie d'en savoir plus. Les personnages également et on attend avec impatience d'en connaître davantage sur leur vie !

Voilà donc un très bon manga dont j'ai hâte de lire le tome 2 et découvrir le mystère de ce grand château !

Vous avez été embêté à l'école et vous avez peur d'aller au collège ? Alors lisez le Château

Solitaire dans le miroir de Mizuki Tsujimura.

Une héroïne qui ne peut pas aller au collège et un miroir pleins de mystères .

Dès que les élus le traverseront, ils seront dans un château. Une fois dans le château, une seule mission et une seule clé pour accéder à la chambre des souhaits. Kokoro,, Rion,, Aki, Sabaru,Fuka, Masamuné et Oureshino se retrouvent un jour de rentrée dans un château et sont accueillis par une petite fille avec un masque de loup. Elle leur explique

qu'il va falloir trouver une clé qui est dissimulée dans le château pour accéder à la Chambre des souhaits. Elle leur explique aussi qu'un seul d'entre eux pourra exaucer son vœu.MaMais les adolescents ne semble pas très motivés. Masamune rapporte une télévision avec une console pour jouer. Une seule règle s'impose : ne jamais rester après 17 h. Que se passera-t-il quand un des adolescents restera dans le château 17 h passées ? Se fera-t-il manger par le grand méchant loup ?

On a pris beaucoup de plaisir à lire ce livre. Car c'est une aventure qui se balade entre la réalité et le fantastique…

En fait, cette histoire est à la fois triste et joyeuse, car le personnage principal

ne peut pas aller à l'école, car elle s'est faite harceler. Mais le château lui redonne une 2nde chance de pouvoir se faire des amis.

Insolite ou réaliste ?Atoi de te forger ton opinion.

On conseille très fortement ce livre a des garçons ou des filles de plus de 10 ans à s'engager dans cette aventure pleine de suspense insoutenable.

Le château solitaire dans le miroir de Mizuki Tsujimura est un roman exceptionnel. Je le conseille et je pense que ce roman peut plaire à beaucoup de monde. Cependant, pour avoir vu le film, je conseille de lire le roman que je trouve meilleur. Ce roman m’a fait passer par plein d’émotions comme la tristesse, la joie ou encore l’angoisse. J’ai adoré le lire et je pense que je ne suis pas prête de l’oublier. C’est une très belle et touchante histoire.



L’intrigue aborde des sujets délicats qui touchent de plus en plus les jeunes. Il y a le sujet du harcèlement scolaire et du décrochage scolaire. Le harcèlement est montré à travers les yeux de Kokoro, une jeune fille qui a vécu l’enfer à cause de cela. Je trouve que c’est assez réaliste dans l’ensemble, surtout sur les émotions de la victime. L’autrice arrive vraiment à nous faire partager voire, ressentir les émotions des personnages. Mais je dois avouer avoir eu une haine contre certains personnages de cette histoire. Il faut dire que ce roman m’a réellement captivé et touché.



Ce que j’aime particulièrement, ce sont toutes les références aux divers contes que l’on peut trouver. Il y a Le Petit Chaperon Rouge ou encore Le Loup et les sept chevreaux. Ce sont les deux qui m’ont le plus marqué au moment où j’écris cette critique.



Ce qui est également intéressant, c’est la culture qui est différente de la nôtre. À travers ce roman, on découvre une culture différente et une manière de penser qui l’est également. De plus, je trouve que les coutumes sont bien expliquer ce qui fait que l’on n'est pas totalement perdu.



Je suis triste que ce livre soit terminé.

Le château solitaire dans le miroir est un roman de fantasy japonaise écrit par Tsujimura Mizuki et a été publié aux édition Milan en 2023.



Kokoro se fait harceler à l’école et décide de ne plus y aller. Un jour , alors qu’elle s’approche de son miroir, celui-ci scintille bizarrement. Kokoro tend sa main vers le miroir et rentre à l’intérieur. Elle découvre que un château immense et magnifique. Elle fait la rencontre de la reine louve et de pleins d’autres personnes : Rion, Ureshino, Subaru, Masumané et Fuka. Kokoro devra surmonter sa peur face à son pire ennemi, Miori Sanada. Ils devront rentrer tous les jours à 17h sinon un malheur s’abattra sur eux . Ils devront trouver une clé qui exaucera un seul vœux . Mais tout ne va pas se passer comme prévu... Ils auront des obstacles à parcourir pour comprendre d’où ils viennent tous.



J’ai adoré ce livre car l’idée qu’un miroir qui scintille et d’une femme avec un masque de loup cela m’intrigue et me donne envie de savoir la suite. J’ai bien aimé quand la louve leur donne pour défi de trouver une clé pour n’exaucer qu’un seul vœux. Je n’ai trouvé aucun argument négatif à part que c’était un gros livre avec beaucoup de pages. J’ai adoré ce livre !



Je mets 5 sur 5



Raphaël B.

Lecture facile, stylé très simple voir un peu étrange (traduction), mais thèmes et intrigue très biens ! Je trouve la phobie scolaire très bien abordée, il y a beaucoup de bienveillance dans l'œuvre. Quelques passages frustrants car on comprends rapidement certaines choses avant les personnages qui vont aller sur des fausses pistes etc.

Je pense que c'est un livre plus adapté à un public adolescent presque adulte, mais ayant 24 ans j'ai quand même lu de bon cœur. Je crois même avoir versé une petite larme car les sujets du harcèlement scolaire et de la santé mentale me touchent.

J'ai vu le film éponyme au cinéma lors de sa sortie. Je voulais lire le roman à l'origine mais je lisais déjà un autre registre de roman et je ne sais pas, ce n'était pas le bon moment pour moi de lire un livre sur le harcèlement scolaire...



Le manga est sorti peu de temps après il me semble et pareil. Je n'avais pas spécialement envie pour le moment. Puis, récemment, j'ai décidé d'emprunter le tome 1 à la bibliothèque. Le manga est différent du film. Alors certes, c'est la même histoire mais je trouve qu'il y a plus de détails, plus d'éléments, des scènes plus longues, de nouveaux personnages (le père de Kokoro est présent) et le mal-être de Kokoro est plus fort. Sans raison, Kokoro est devenue la cible de petites pestes. Malheureusement, c'est la réalité : des enfants se retrouvent victime de harcèlement sans raison, gratuitement.



Je trouve que le manga exprime plus les sentiments de Kokoro, sa souffrance. Je ne dirai pas qu'on ne le voit pas dans le film mais dans le manga, on a accès à ses pensées.



J'ai hâte de re-découvrir l'histoire de Kokoro en manga et le fait de savoir qu'il y a plus de détails m'encourage à lire le roman éponyme.

J'ai tristement abandonné cette lecture à même pas une centaine de pages.

L'histoire prend un temps fou à démarrer selon moi et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages...

J'ai aussi trouvé les description assez faible, surtout avec la forte utilisation du : "comme tel château de Disney".



Je pense que je m'attendais à une histoire plus rythmée avec beaucoup de mystère à découvrir, dommage.

Le livre est bien, il est très intéressant!



Ça parle d'une fille qui n'aime pas le collège, à chaque fois qu'elle va dans un nouveau collège ça se passe mal. Un jour elle découvre que son miroir est un portail magique et elle entre dans le portail. Elle devra trouver une clé pour faire un souhait, ce sera un quête difficile et semée d'embûches.

Kokoro est une jeune fille de 12 ans originaire du Japon. Comme toutes les filles de son âge, elle devrait aller au collège, mais non, elle n'y va pas. Ce n'est pas qu'elle ne veut pas, c'est qu'elle ne peut pas ; pourquoi ? A cause de Sanada Miori, une élève de sa classe. Rien que prononcer ce nom lui donne une profonde, rage; dégoût et angoisse à s'en faire faire mal au ventre, d'ailleurs, c'est ce que la jeune fille dit à sa mère : "J'ai mal au ventre."

Entre inquiétude et agacement, sa se sent obligée de ne pas mettre la collégienne en cours. Toutes ses journées, Kokoro reste dans sa chambre pour lire ou dans le salon pour regarder la télévision. Lors d'un jour de lecture comme les autres, quelque chose se met à briller très fort dans sa chambre : son miroir. La japonaise pose la main dessus... Non, plonge la main dedans, à sa grande surprise ! Dans le château derrière le miroir, une seule règle : sortir avant 17h sous risque de se faire dévorer par le grand méchant loup.

Dans le château derrière le miroir, une seule mission : trouver la clé de la chambre des souhaits pour avoir accès à un voeu.



C'est un roman fantastique avec une touche de suspens en accompagnement.



Honnêtement, j'ai beaucoup aimé le livre malgré les 200 premières pages qui sont un peu longues.

Des collégiens séparés par le temps puis réunis par un passage dans un miroir, j'adore l'idée !

De plus, j'aime bien le personnage de Kokoro parce que l'on peut facilement s'identifier a elle (pour moi) : elle a déjà eu des sentiments que l'on a tous déjà ressentis comme par exemple la peur à s'en faire mal au ventre ou encore la colère à en trembler. Elle n'est pas comme les autres personnages principaux de fantastique qui n'ont aucune peur, faiblesse et qui sont plus puissants que tout le monde, non : l'auteur nous montre bien toutes les facettes de notre personnage principal, en parti ses faiblesses.

De plus , ce livre dénonce une situation qui est, malheureusement, trop souvent oubliée : la phobie scolaire.



Comme dit au début, ce qui m'a un peu ennuyée, c'est le début. Il est long et il ne s'y passe pas grand chose, c'est pour cela que je n'ai pas mis 5 étoiles sur 5 dans ma notation.

En revanche, la suite se passe a toute vitesse : entre trahisons et retournements de situations, on ne s'ennuie pas, c'est très plaisant à lire !

Pour le publique ciblé, je dirais que cela va de 10 ans à n’importe quel age. Si vous aimez les énigmes, les mystères et autres intrigues, ce livre est fait pour vous !

📚Malgré la compréhension de sa mère, Kotoro Anzai ne veut plus remettre les pieds dans un établissement scolaire. Pris de maux de ventre, elle vit recluse en se remémorant ses difficultés liées au collège. Or un jour, une voix l'appelle à travers le miroir de sa chambre. Elle décide de le traverser et se retrouve devant l'entrée d'un château solitaire avec 6 autres collégien.nes.Leur jeune hôte porte un masque de loup et leur propose un étrange marché. Retrouver une clé qui leur permettra d'exaucer leur voeu le plus cher.



🖊Le château solitaire dans le miroir de Tomo Taketomi, adapté du roman de Mizuki Tsujimura, est un récit aussi mystérieux qu'émouvant. Alors que le début du récit traite du mal être scolaire et du harcèlement, l'intrigue prend un virage plus fantastique sans pour autant laisser de côté son objectif premier. À travers les flashbacks de Kotoro, on découvre les rouages d'une violence psychologique intolèrable qui l'oblige à trouver refuge dans ce château mystérieux.Les interrogations restent nombreuses mais la gestion des personnages et les différents indices posés de ci de là, apportent de l'intensité à l'ensemble. En prime, le dessin de Tomo Taketomi est de toute beauté, ce qui ne gache rien au plaisir



🧔 Chronique complète :


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Je n'ai pas lu le manga, ni vu le film, et je n'avais aucune idée des sujets abordés dans cette histoire. J'ai été agréablement surprise de découvrir le talent de Mizuki Tsujimura à mêler le fantastique avec un sujet aussi grave que le harcèlement scolaire. Car le château solitaire dans le miroir, c'est d'abord l'histoire de sept adolescents qui, un beau jour, traversent leur miroir pour se retrouver dans un château merveilleux. Kokoro, Masamuné, Ureshino, Fûka, Aki, Rion et Subaru ont un point commun particulier : ils subissent du harcèlement et ont pour la plupart décroché du système scolaire.



Le récit débute avec la jeune Kokoro, douze ans, qui a abandonné le collège à cause d'une certaine Sanada Miori et sa bande, qui l'ont harcelée jusqu'à la menacer de mort. Kokoro souffre de phobie sociale, rien que sortir de chez elle est devenu difficile. Elle se sent isolée, et même celle qu'elle croyait être son amie ne lui adresse plus la parole. Alors que tout semble aller de pire en pire, Kokoro découvre un beau jour que le miroir dans sa chambre luit. Une jeune fille portant un masque de loup y apparaît et l'invite à la rejoindre au château solitaire, lieu où se déroulera la majorité du récit. Un ultimatum est posé par Mlle Loup aux sept jeunes gens : ils auront jusqu'au 30 mars pour trouver la clé d'une pièce secrète qui leur permettra de réaliser leur voeux le plus cher. Une seule règle dans le château : quitter impérativement les lieux avant 17 heures.



Le sort de Kokoro m'a beaucoup émue, ainsi que celui des autres adolescents. Le harcèlement scolaire est un véritable fléau et le Japon n'échappe pas à cette calamité. Si vous vous attendiez à découvrir un château magique dans un univers fantastique, il n'en est rien ici. La magie réside en chacun des sept adolescents qui vont faire connaissance petit à petit et se découvrir des points communs. Ce n'est pas le genre d'histoire niaise où ils vont se promettre une amitié pour la vie. Ils ne s'intéressent pas forcément les uns aux autres, ils se disputent parfois, ne se comprennent pas toujours. Mais chacun et chacune à leur manière, ils apportent aux autres le réconfort dont ils ont terriblement besoin. Ils s'enrichissent au contact des uns et des autres et vont petit à petit reprendre confiance en eux.

En revanche, j'ai trouvé ça très long avant qu'ils ne se rendent compte de leurs similarités et qu'ils n'essaient de se retrouver dans la réalité. Ils ont eu plusieurs mois avant l'échéance du 30 mars, alors que le gros de l'intrigue se révèle à la toute fin. C'est dommage car je me serais attendue à d'autres choses entre temps. Les personnages auraient pu discuter davantage et découvrir bien avant qu'ils venaient tous les sept du même lycée, qu'ils vivaient proches les uns des autres. Cela résulte à un rythme inégal dans la narration et la sensation désagréable qu'il va se passer quelque chose sans que cela n'arrive jamais. J'imagine que ce style est plus adapté aux mangas !



Malgré tout, les thèmes abordés dans le récit sont des enjeux de société cruciaux, surtout à l'heure actuelle avec les réseaux sociaux et les drames qui surviennent régulièrement dans les écoles. C'est primordial d'en parler et de libérer la parole des victimes. Le fait qu'un livre en parle avec autant de justesse et d'honnêteté me donne l'impression qu'il faut le mettre entre les mains de tous les jeunes dans les écoles. Alors rien que pour cela, merci Mizuki Tsujimura !

Ce conte moderne m’a touché bien plus profondément que je ne saurais vous le décrire…

chaque page y est un miroir,

chaque personnage, un reflet de nous-mêmes,

chaque rêve, une étoile à poursuivre…



Ce roman est un chœur d'âmes en quête, un ballet d'individus perdus, sept jeunes cœurs battant au rythme de leurs rêves.



Et parmi eux, Kokoro nous prend par la main et nous fait découvrir, un univers où le fantastique et le merveilleux s'entremêlent avec la réalité; un monde teinté d’étrangeté où les masques dissimulent autant qu'ils révèlent.



Explorant avec une sincérité désarmante les relations humaines, le harcèlement et la phobie scolaire, l’auteurice nous rappelle l'essence même de ce qui nous anime, nous relie, et fait résonner avec délicatesse ses messages, ses valeurs et sa poésie dans les recoins les plus intimes de notre être.



C’est une lecture qui perdure en moi bien après que la dernière page ait été tournée, comme une mélodie qui persiste dans le silence de mes pensées.



Lire ce roman est une nécessité,

le partager avec d'autres est primordial,

et en discuter avec vous est désormais pour moi une perspective à laquelle j'aspire ardemment...
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Un roman incroyable. Un univers fantastique où une bande de collégiens découvre un château dans le reflet de leur miroir et une quête pour exaucer un seul vœu.



Et sous ce thème fantastique, l'auteur aborde des sujets sensibles dont le harcèlement, la phobie scolaire, la maltraitance, le deuil.



Je trouve que les récits d'auteurs japonais ont une sonorité, une poésie particulière, dont la traduction ne rend pas forcément justice.



La magie a bien opéré cependant. La fin est bien émouvante.

En lisant le synopsis de ce livre, je m’attendais à tout sauf à une histoire d’une telle profondeur.

Kokoro ne va plus à l’école depuis quelque temps, depuis le jour où elle a été victime de harcèlement de la part de filles sa classe.

Ses parents essaient par tous les moyens de l’aider, allant même jusqu’à lui proposer d’intégrer une école spéciale mais Kokoro n’est pas prête.

Un jour, le miroir de sa chambre s’ouvre sur un monde différent où elle fera la connaissance de six autres enfants déscolarisés et d’une fille loup bien mystérieuse.

Le choix qui se présente à elle est simple: continuer à vivre avec la peur au ventre à chaque fois qu’elle sort ou tenter de trouver la clé cachée dans le château solitaire qui exaucera son voeu le plus cher?



Le rythme de cette histoire pourrait en refroidir plus d’un-e et c’est ce point qui a failli gâcher ma lecture.

L’histoire se déroule sur l’espace d’une année et je peux comprendre que les relations entre nos sept protagonistes prennent un peu de temps à se mettre en place, mais le personnage de Kokoro est présenté comme une fille qui a peur de son propre reflet alors il m’est arrivé de lire certains passages en diagonal.

J’ai beaucoup apprécié le fait que l’autrice ait voulu mettre en avant le harcèlement scolaire et la sévérité du système scolaire japonais mais au lieu de développer ces thèmes qui auraient apporté encore plus de profondeur à son texte, elle décide de nous dépeindre le quotidien apathique de jeunes élèves descolarisés.



Le récit s’accélère néanmoins vers le dénouement quand les mystères qui entourent le château devient alors une évidence pour Kokoro et ses nouveaux amis et même si le plot twist n’a rien de bien nouveau.

Et quand elle n’essaie pas de décrire de façon maladroite le mal être de ces enfants, la plume fluide de Mizuki Tsujimura est assez agréable à suivre.

En bref, quelques longueurs en début de roman mais le lien qui unira ces sept enfants demeurera extraordinaire et intemporel.

Dans un Japon relativement contemporain, Kokoro se retrouve avec un miroir brillant dans sa chambre, et des traumas. Le château de l'autre côté du miroir sera-t-il la solution à ses problèmes ?



Le livres traite de sujet très dur (déscolarisation, violences familiales ou non, harcèlement scolaire...) mais de manière presque douce, surtout détachée, via les histoires et le vécu de jeunes adolescent, dont les plus vieux ont à peine 15 ans. Il démontre sous thème de contes de fée et de dure réalité l'importance de la communication (de l'écoute et du bon jugement), et des recherches alternatives à ce dont la société nous a toujours montré comme obligatoire et non négociable. Je recommande (le film aussi, qui est une excellente adaptation de mon point de vue).

Kokoro est une jeune collégienne déscolarisée. Harcelée par un groupe de filles de son école, elle n’ose plus y mettre un pied et sortir de chez elle en devient même angoissant. Lorsqu’un jour le miroir de sa chambre se met à scintiller et l’aspire au travers, la jeune fille se retrouve propulsée de l’autre côté. Elle y rencontre 5 autres jeunes de son âge et une fillette au masque de loup qui leur explique qu’ils ont 1 an pour trouver la clé cachée de la chambre au souhait, et que l’un d’eux pourra se voir exaucer ce qu’il désire le plus.



Entre les références aux contes des Grimm, la culture japonaise et les sujets graves liés au mal-être et au décrochage scolaire, le Château représente une véritable échappatoire à la vie de ces jeunes ! Plus “tranche de vie” que fantastique, à l’écriture très douce, il met en avant les vertus de l’amitié, de l’entraide, et de la compréhension.

C’est un roman d’une grande sensibilité, dont la fin n’aurait pu être plus belle…



A partir de 12-13 ans.

Honnêtement, je ne m'attendais pas à ce que ce livre... me plaise autant !!! Au début de l'histoire je me demandais un peu de quoi ça parlait puis petit à petit j'accrochais de plus en plus avec le livre et maintenant, c'est un we mes livres favoris !! Ke vous le conseille vivement.

Pour le petit résumé, c'est l'histoire de Kokoro (qui veut dire coeur), une jeune collégienne de 6ème (au Japon le collège est de la 6ème à la 4ème) qui ne veut plus retourner au collège car elle est victime de harcèlement. Elle reste donc chez elle toute la journée, subissant de cruels maux de ventre lorsqu'on lui propose de sortir. Mais un jour, le miroir de sa chambre se met à briller. Elle tend la main et, à son grand désarroi, le traverse...

Alors je ne vais pas vous spolier toute l'histoire mais voilà je vous le conseille vraiment !! Et même pour les petits lecteurs, ils ne faut pas se laisser décourager par l'épaisseur car les mots sont très simples. Bonne lecture à tous et j'espère que ma critique vous aura plu !!