Mr Tan

Voici le deuxième tome de cette série absolument géniale pour les enfants et aussi pour les grands:).



Tout comme dans le premier tome, j'ai tout aimé. Les personnages sont super attachants, l'intrigue est prenante et les dessins sont géniaux. C'est un début de saga que j'apprécie particulièrement. C'est drôle et émouvant. Ce que j'ai bien apprécié dans ce second volet c'est le fait d'en apprendre plus sur le passé des fantômes. J'ai l'impression qu'ils nous réservent bien des surprises.



Bref, une bande dessinée à découvrir si ce n'est déjà fait.


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ADELE, une héroïne trop mortelle !



Quand t’as été élevée à coup de trique par la comtesse de Ségur, tu regardes d’un mauvais œil les opus de Mortelle Adèle envahir les étagères de ta Princesse à paillettes. Et pour cause, l’impertinente Adèle est une peste nombriliste et indisciplinée qui risque de refiler à ta poupée des envies d’enfant-roi qui mettraient en périls l’équilibre fragile instauré par quelques années d’éducation pointilleuse…



C’est la voix ferme et assurée d’Antoine Dole, entendue fortuitement à la radio, qui m’a fait retourner ma veste en louzdé, vite fait bien fait…



Parce que, d’abord, Adèle, c’est l’héroïne de toute une génération, garçons et filles confondus. J’avais pas vu ça comme ça, mais, déjà, ça change la donne.



Et puis, Adèle, c’est l’effronterie et la malice combinées, c’est le résultat d’une « stratégie de survie » improvisée par son auteur alors qu’il subissait un harcèlement scolaire violent. Adèle, c’est celle qui sait dire NON, qui a le courage d’assumer ce qu’elle pense et qui explore le monde qui l’entoure à la manière d’une aventurière des temps modernes. Adèle finalement, désinhibe la transgression, invite à l’empirisme et à la détermination et prône la confiance en soi. Elle fait barrage aux diktats sociétaux, loin des clichés genrés et des idoles caricaturales qui emprisonnent les petits garçons et les petites filles dans des impératifs castrateurs…



Comme je comprends que ma Princesse dépailletée vibre à l’unisson de cette rebelle mortelle, et comme je l’admire, en réalité, lorsqu’elle maintient mon regard pour me tenir tête, là où, moi, je me liquéfiais sous le moindre regard parental accusateur ! J’avoue, depuis peu, ses étagères sont un tantinet plus mortelles qu’avant…

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oh un deuxième tome tout aussi drôle que le premier, Adèle est une peste attachante et bourré d'humour...noir mais bon on ne peut que l'apprécier, les gags sont plus gros les uns que les autres, parfois tiré par les cheveux mais finalement ça passe super bien, je passe toujours un excellent moment en compagnie de ces personnages.

Parfois les mots me manquent, parfois je doute d'arriver à mettre des mots sur ce qu'une lecture m'a fait ressentir.



Jizo est un manga dont la lecture fut digne d'un tsunami émotionnel.



Au début il y a Aki, un garçon seul assis sur un banc dans un parc public, il est perdu et ne parvient pas à se souvenir du chemin de sa maison.

Ensuite vient Jizo, garçon tendre et souriant aux vêtements abîmés, il lui propose son aide et sa protection.



Tous les deux vont alors partir dans une aventure fantastique, l'un découvrant peu à peu la vérité sur son état, l'autre mettant tout en oeuvre pour accomplir sa mission.



L'intrigue se dévoile petit à petit, on découvre ce que cachent en vérité les deux enfants, c'est fantastique, c'est sombre, c'est un peu terrifiant, mais c'est palpitant, c'est émouvant, c'est triste, c'est beau aussi, c'est bouleversant.



En résumé, la clé de ce manga c'est l'amour au delà de tout.



Les illustrations fonctionnent en harmonie avec l'histoire, lumineuses parfois, sombres et angoissantes quand c'est nécessaire.



J'ai beaucoup aimé l'esthétisme de ce manga, les émotions passent même sans texte.



Je ne peux pas parler de coup de cœur pour Jizo, c'est autre chose quelque chose de plus fort et de plus intime.



Je ne connaissais pas cette légende, ce conte japonnais du Bouddha Jizo, et ça a permis à ma lecture d'être une vraie découverte, si c'est votre cas je vous conseille aussi de lire le manga et ensuite d'aller faire des recherches sur cette très jolie croyance.

J’étais loin d’imaginer en débutant ce manga que j’allais avoir un énorme coup de cœur pour cette histoire au message si important. Le scénario est touchant et les illustrations m’ont totalement transportée dans l’univers de Jizo et Aki.



Il y a des œuvres comme celles-ci qui sont à même de me marquer, j’ai trouvé cette lecture tellement intense. J’ai été émue aux larmes et j’ai vraiment envie de vous recommander la lecture de ce manga.



Aki ne retrouve plus le chemin pour rentrer chez lui, en route il fait la rencontre de Jizo, un étrange petit garçon qui semble vouloir l’aider. Mais qui est Jizo ? Et quelles sont ses intentions ?



Cette histoire m’a touché en plein cœur, elle saura vous émouvoir et vous faire vivre un moment singulier. Les deux auteurs m’ont vraiment séduite, les dessins sont sublimes, et on se sent directement absorbé par l’ambiance étrange et poétique. L’aspect fantastique a pour but de nous livrer un message important. Et c’est fait avec brio et beaucoup d’humanité.



En bref, Jizo est un véritable coup de cœur ! Je vous recommande vivement la lecture de ce seinen singulier qui saura toucher votre cœur de diverses façons.
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On peut dire qu'elle n'est pas toujours tendre Adèle... Ni avec son chat à qui elle en veut cruellement de n'être pas un bébé lion, ni avec ses parents qu'elle fait tourner en bourrique, ni avec son amoureux transi qu'elle rudoie allègrement et encore moins avec ses camarades de classe qu'elle méprise profondément.



C'est mon fils de 8 ans qui m'a lu cette BD avec délectation. Il a adoré ! C'est vrai que les gags sont courts et efficaces, la petite Adèle est un monstre à couettes très réussi et l'humour noir décapant ravi les jeunes lecteurs.



Pour ma part, le gros hic ce sont les illustrations, je n'adhère pas du tout à ce style...

Mais cela ne m'empêchera pas de conseiller cette BD petit format aux enfants dès 7 ans jusqu'au collège, notamment pour les petits lecteurs car elle est très accessible sans être trop enfantine.

Je tiens une librairie d'occasion et les enfants ne réclament que des livres de cette chipie d'Adèle, il fallait bien que je me lance pour en parler avec eux ! alors, vous adulte n'hésitez pas à vous assoir avec un Mortelle Adèle vous y passerez un très bon moment. Comme j'en ai pas mal à la revente je crois que je vais me faire plaisir. On a tous gardé notre âme d'enfant :)

Adèle est une petite fille à l'humour disons particulier, noir, pinçant… Une petite fille malicieuse qui vous fait voir le monde à travers ses yeux, et je peux vous dire que ça vaut le coup ! On rigole, on grince des dents…



Les planches sont agréables et colorées. Il existe aujourd'hui 16 tomes Mortelle Adèle, de quoi passer encore de nombreux moments tordants.



Je vous invite tout particulièrement à découvrir le tome collector "Mortelle Adèle au pays des contes défaits" que vous trouverez également sur mon compte et que j’ai tout particulièrement aimé pour son côté féministe tout en humour !Les princesses en détresse et les princes sauveurs, très peu pour Adèle !

Bienvenue à Belle-en joie, avec ses belles rues, ses spécialités locales et ses fantômes ! Car si la ville semble être l’endroit idéal où poser ses valises, elle abrite au 109 rue des soupirs une bâtisse menaçante et hantée. Une découverte que va faire Elliot en y emménagement avec ses deux parents qu’il ne voit qu’en coup de vent.



Après le choc de cette rencontre inattendue avec le monde de l’au-delà, le jeune garçon va vite s’apercevoir qu’être ami avec des fantômes n’a pas que des inconvénients ! Bien qu’un peu envahissants, ceux-ci se révèlent ainsi adorables et toujours prompts à veiller sur lui et à s’assurer de son bien-être. À défaut d’une famille de chair et de sang, le voilà maintenant doté d’une famille spectrale à laquelle il s’attache et qu’il est bien décidé à protéger d’un terrible danger…



En plus d’une ambiance gothique qui passe autant par l’intrigue que le ton bleuté des illustrations, cette BD offre de jolis moments de tendresse et de complicité entre des personnages hauts en couleur pour lesquels on se prend immédiatement et irrémédiablement d’amitié. La galerie de personnages est ainsi variée, amusante et plutôt atypique.



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Quel plaisir donc de suivre cette bande de fantômes qui a su créer une cellule familiale, peut-être un peu particulière, mais complètement fonctionnelle ! Un point qui ne pourra que faire du bien à Elliot complètement délaissé par des parents obnubilés par leur carrière professionnelle au point de ne pas savoir l’âge exact de leur enfant unique…



Quant à la menace qui pèse sur le 109 rue des soupirs, je préfère vous laisser le plaisir de la découverte, mais je peux néanmoins vous dire que féroce, dangereuse et machiavélique, elle a de quoi effrayer même le plus courageux des fantômes ! L’amitié, l’imagination, la débrouillardise et la solidarité peuvent heureusement soulever des montagnes…



Destiné aux enfants, ce livre joue sur l’humour pour atténuer le côté angoissant que peuvent avoir les fantômes pour de jeunes lecteurs d’autant que dans cette histoire, nos fantômes sont bien plus victimes que bourreaux. Une inversion des rôles qui ne manque pas de piquant et qui devrait permettre aux enfants de passer un moment de lecture divertissant et amusant.



En conclusion, empreint d’humour et de réparties qui font mouche, de personnages terriblement attachants, de suspense et d’action, 109 rue des soupirs fut une lecture particulièrement agréable qui m’a donné le sourire aux lèvres. On a coutume de dire qu’on ne choisit pas sa famille, Elliot vous prouve ici le contraire !
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Une B.D. constituée de très courtes histoires, une page chacune, quatre cases maximum.

J'étais curieuse de découvrir cette série, car je lis souvent que c'est une de celles qui fonctionnent le mieux en bibliothèque. Mes petits-enfants en lisent, mais sans que ce soit parmi leurs favoris.

Moi, je n’ai clairement pas l'âge cible !!

Ça m'a fait sourire parfois, mais assez rarement. je trouve cette fillette et son humour noir assez désagréable pour ma part.

Ces petites histoires seraient peut-être plus appréciables lues séparément ? (Mais je n'ai pas vu que ça paraisse dans des magazines ?)

Cependant, je comprends que ça attire les enfants : tant de méchancetés en si peu de pages !!!
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Les parents demande un petite trêve. Exceptionnellement parce que c'est la fête d'anniversaire de Gwen.



Mais bien sur c'est trop demandé a Justin... Il veux saboté la fete de sa soeur.... Bin ouii La guerre entre frere et soeur continue dans se 3ème tomes...



Mais toujours dans la joie et la bonne humeur

Au départ, j'avais emprunté cette bd pour mon fils de 10 ans qui n'a pas du tout aimé le second degré. Par contre, son frère de 14 ans et moi avons adoré. C'est déjanté, loufoque et plein d'humour. Le dessin est simple et efficace mais le charme d'Adele est dans ses répliques. Tellement juste et bien trouvé. A dévorer sans retenue !

Que de rebondissements dans cette histoire qui se dévore bien trop vite. On veut savoir ce qui va se passer alors on tourne encore et encore les pages pour connaître le dénouement. La construction du récit est vraiment très bien travaillée dans les moindres détails. Rien n’est laissé au hasard ni pour l’esprit du lieu ni pour la rencontre des personnages. L’humour et l’absurde s’affirment dès le début avec un échange entre un fantôme et une voix off. Immédiatement, on sait qu’on va avoir le droit à une histoire drôle avec un sujet qui est plutôt choisi pour faire peur. A cela se rajoute un style graphique assez marqué qui n’est pas sans évoquer « L’étrange Noël de Monsieur Jack » avec une pointe moins macabre. Un hommage aux classiques cinématographiques du genre se fait aussi avec le choix de la bichromie. Un peu comme avant mais avec une touche de couleurs qui donne sens à la modernité. Un vrai régal de lecture pour tous les âges qui ne pourront que sourire face à ces péripéties absurdes et loufoques. Quand on arrive à la fin, ravie de cette conclusion explosive on se demande qu’une seule chose. A quand les prochaines aventures d’Elliot ?
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Suite des aventures de notre petite peste préférée. Je pense que je suis fane. ça change beaucoup de tout ce qui se fait dans le domaine de l'humour.

Le premier détail que l'on remarque, c'est inévitablement le format de cet ouvrage. Alors qu'il s'agit clairement d'une bande dessinée, on se reproche davantage d'un roman destiné aux plus jeunes d'une petite centaine de pages. Alors que j'apprécie beaucoup le format cartonné des B.D.'s, je suis favorable à ce format plus petit, facilitant ainsi la lecture et qui donne l'impression à l'enfant de lire "un livre comme les grands".



Une fois passée cette admiration du format, je me suis posé la question de savoir si cet ouvrage était réellement dans sa version finale ou s'il s'agit d'une version provisoire de par l'absence totale de couleurs. Pas une ligne, pas une seule bulle, pas même un seul trait autre que blanc ou noir (ainsi que toutes leurs nuances).



Cela m'a énormément gêné de ne pas comprendre, dans un premier temps ce choix des auteurs. S'agit-il d'une marque d'Antoine Dole et/ou de Yomgui Dumont ? S'agit-il d'un choix lié au lieu où se déroule l'action (maison hantée) ? Les auteurs préfèrent-ils privilégier le message au contenu ? Ajoutez à cela des dessins très atypiques et plutôt "grossiers" et "simplistes", j'avais quelques doutes au fait d'apprécier cette bédé.



5ème page. C'est à la cinquième page que toutes mes inquiétudes se sont envolées, au moment où la voix off se fait remonter les bretelles par l'un des fantômes du 109, rue des soupirs. Je me suis alors immédiatement retrouvé par une histoire très originale que j'ai pris énormément de plaisir à admirer et à lire. Je me suis rapidement rendu compte que les illustrations permettaient un enrichissement du texte et inversement.



On découvre rapidement le jeune Elliott qui, accompagné de parents absents constamment pour leur travail respectif, doit "faire face" à une meute de fantômes tous aussi loufoques que les autres. L'immersion est alors totale et l'on prend un malin plaisir à essayer d'anticiper les futurs "gags". Quel plaisir de découvrir ces quelques fantômes à la personnalité si différente mais qui ont tous un point commun, ne pas laisser Elliott sous la garde d'une nounou incompétente.



Et comme c'est systématiquement le cas avec une B.D., le temps passe très (trop) rapidement. Nous sommes tous conscients du travail titanesque réalisé pour sortir un tel ouvrage, et pourtant on ne peut qu'être impatient à l'idée de lire la suite le plus rapidement possible en se disant :  "Allez Messieurs, au travail !!!"
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J'avais relativement bien apprécié le tome 14 qui développait une gamine insolente et déterminée, avec un sérieux goût pour le morbide et le glauque. Dans la mesure du raisonnable, quand même.



Dans le tome 1, cette Mortelle Adèle est un embryon de début d'idée de celle du tome 14... Gags en 2 cases, rarement plus. Des trucs assez bateau et éculés la plupart du temps, qui s'apparentent davantage à ce que l'on nomme "des mots d'enfants" qu'à des gags originaux à part entière.



Quelques rares gags intéressants autour de l'ami imaginaire d'Adèle, un gamin guillotiné en 1789.

Encore une fois ça décoiffe, pas étonnant qu'elle soit la star des cours de récré en ce moment: le format, la pagination, les traits, l'humour, tout est fait pour capter nos plus jeunes lecteurs.

Les grands adorent aussi, en espérant qu'elle n'inspire pas trop les moins de 10 ans qui vivent sous mon toit...

Que ce soit bien clair, on parte le même prénom, mais elle, elle est...géniallissime !

Elle n'a pas de filtre ni d'interdit, à cet âge là, oui, c'est drôle, surtout quand ce ne sont pas nos propres enfants.

Elle se prépare un bel avenir, la Mortelle !

Au Manoir Croquignole, c'est le cours de sport qui va débuter. A la manoeuvre, le Professeur Volt, celui qui envoie de l'électricité quand il s'énerve.



Mais Garou et Diablo décident de mettre les neurones du professeur Volt à l'épreuve. Tout le monde sait que les sportif n'ont pas de cerveau... Et les monstres vont en faire voir des vertes et des pas mûres à Volt.



Nous avons trouvé le tome assez peu convaincant par rapport aux deux premiers. Une succession de tours joués au professeur de sport, assez pipi-caca, assez peu inspirés, à notre avis. Décousu, aussi. Sans trop d'inspiration. La succession de farces que Diablo et Garou inventent est lassante et n'apporte rien au propos. On a très vite compris où le récit emmène le lecteur.



Un troisième tome qui n'apporte rien aux précédents.

Jennyfer (ne demandez pas pourquoi!) s’est autoproclamée « meilleure amie » d’Adèle. Comme Ajax (le chat), elle ne comprend pas que ce n’est pas réciproque et que les attentions d’Adèle sont mortelles… et pas au sens « cool » !



Encore une fois, on se régale avec cette petite BD. Les dessins colorés sont toujours top, l’humour acidulé, voir noir, omniprésent, bref, si vous ne connaissez toujours pas Adèle, foncez !
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