Mr Tan

Mortelle Adèle continue de maltraiter son entourage et on découvre d'autres membres de sa famille. L'impertinence, les enfantillages et l'humour caustique sont au rendez-vous, tout comme la tolérance et les expériences farfelues !

Ce n'est pas le tome que je préfère, mais j'ai tout de même passé un bon moment.

Un joli conte sous forme de manga...



Un petit garçon, Aki, assis sur un banc, pleure. Il est tout seul, il est perdu et veut rentrer chez lui, mais il ne se souvient plus du chemin. Un autre petit garçon, Jizo, l'aborde, et lui propose son aide pour retrouver son chemin.

Très vite, Jizo semble suspect à Aki, et, comme sa maman lui a souvent dit de se méfier des étrangers, il n'aura de cesse de tenter de fausser compagnie à cet étrange compagnon... Jusqu'au moment où il fera une rencontre pour le moins traumatisante...



La réalité n'est pas ce qu'elle semble être, et Aki est en grand danger ! Jizo va-t-il réussir à tenir sa promesse ?



J'ai adoré ce conte, même si je conçois qu'il peut sembler un peu niais à certains. Je n'avais jamais entendu parler des Jizo avant, et je suis contente d'avoir fait connaissance avec ce mythe.

Une BD fort vantée. Je pense que si j'avais eu ça entre les mains à 10 ans, je n'aurais pas aimé au fond. Parce que j'étais bien trop gentil. J'aurais trouvé ça triste.

Le second degré ou l'humour noir ne m'est venu que beaucoup plus tard. Et, maintenant, adulte, je trouve ça parfois trop mièvre et un peu facile. Je dois me replacer comme un autre enfant, déjà un peu cynique, pour penser que oui cette BD est assez bonne, et peut alors être drôle et même faire réfléchir.

Ce n'est pas Mortelle Adèle qui me rendra fan des bandes dessinées.

Tome 2 des aventures de la petite Adèle. Petite fille qui en fait voir de toutes les couleurs à ses parents, sa maîtresse, son pauvre chat Ajax, son meilleur ami qui a le malheur d’être amoureux d’elle et même sa grand-mère.



Des idées folles dont le saut à l’élastique qu’elle fait effectuer à Geoffroy avec un petit élastique et quand celui-ci se retrouve à l’hôpital elle lui annonce « J’ai regardé sur internet, le saut à l’élastique nécessite plus de matériel que je ne le pensais, en fait. »

Ou lorsque ce dernier lui dit « J’ai décidé de t’ouvrir mon cœur ! » et qu’elle le prend au mot en le mettant sur sa table, personnelle, d’opération.



Manifestement, ça plait beaucoup à mon enfant.

L’auteur a gardé ses idées tordues que peuvent avoir les enfants.

Pour l’instant, rien à signaler chez moi…pourvu que ça dure.

Sublime manga



Difficile de parler de Jizo sans trop en révéler et pourtant ce manga vaut tellement, tellement la peine d'être lu ! Je ne m'attendais pas à être cueillie avec une telle force ! Il m'a bien fallu un mouchoir ou deux pendant ma lecture mais que c'était bon !



Aki, un jeune garçon, est seul sur un banc. Il pleure. Il est perdu. Incapable de retrouver le chemin pour rentrer chez lui. Et tout le monde semble indifférent aux larmes et la détresse du petit garçon.

Tous, sauf Jizo, un autre jeune garçon bien décidé à lui venir en aide.

Mais qui est Jizo ? Pourquoi veut-il l'emmener au temple ? Peut-il lui faire confiance quand il lui parle d'une sorcière chassant les enfants la nuit ?



Conte fantastico-mystique, Jizo c'est avant tout une histoire d'amour.

Même si on devine assez vite de quoi il retourne (d'autant plus quand on aime la culture japonaise) on espère fort, fort, fort se tromper.

Puis vient la claque. Celle qui te dévaste le cœur. J'ai pleuré, tellement pleuré... C'est fou comme un manga a pu me retourner à ce point.



Le sujet est terrible et pourtant l'histoire est belle.

C'est plein de poésie et de finesse.

Histoire et dessins, c'est un concentré d'émotions.

On ne peut ressortir de Jizo que bouleversé.

Je vais longtemps porter l'histoire d'Aki avec moi... Ce petit garçon m'a tout simplement touché en plein cœur.



Un véritable bijou à découvrir d'urgence.
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Poussez-vous les moches, Adèle débarque et ça va faire mal !





La Galaxie est dirigée par les enfants depuis que les parents en ont été bannis. Mortelle Adèle, cheffe rebelle aux commandes de son vaisseau spatial, fait face à une nouvelle menace : l'impératrice Jade, armée d'un laser paillettiseur, veut soumettre toutes les planètes afin que les enfants lui obéissent. Mortelle Adèle doit sauver la Galaxie et tous les bizarres qui l'habitent.





J'avais adoré la parodie de Mr Tan sur les princesses dans "Mortelle Adèle au pays des contes défaits", un livre à mourir de rire mais qui traitait d'un thème primordial "Le féminisme", le tout accessible pour les plus jeunes. Vraiment c'est LE livre à offrir à vos filles et accessoirement à vous-même !



Dans ce nouvel opus "Mortelle Adèle et la galaxie des bizarres" on embarque dans une parodie de Star Wars désopilante et on traite d'un thème toujours aussi primordial "Le harcèlement scolaire". Et c'est encore si bien fait ! On apprend aux enfants le respect des différences de chacun, à s'unir, à parler aux adultes...



Tout passe crème avec un personnage comme Mortelle Adèle, j'ai vraiment hâte de découvrir le prochain opus !



Bravo Mr Tan ! Excellent travail !

Lu, relu, re-relu, et certainement sera relu plusieurs fois d'ici la fin de l'année. On ne s'en lasse pas ici ! Petits et grands peuvent y trouver leur bonheur. C'est rempli d'humour, et le fait que ce soit développé sur un volume complet permet vraiment de s'intéresser à la fois à Adèle, à son univers et aux autres personnages. Il y a énormément de références à Star Wars, j'ai notamment adoré le moment où les vaisseaux se demandent qui a bien pu semer des lettres géantes dans l'espace. Notre moment en famille préféré est l'épisode de la capture d'Adèle dans la galaxie des parents, la peur des devoirs à vie, des haricots verts et du coucher tôt nous font bien rire ! Les petits gadgets : cartes, bracelet et carnet ont été très appréciés dans la version collector !

Mot d'excuse:

Adèle: Mamie, tu pourras donner cette lettre à Dieu quand tu seras au ciel ?

C'est un mot d'excuse, pour que tu puisse revenir...



Quel mot magique?

Adèle:Maman je veux un coca.

La maman d'adèle:Tu n'as pas dit le mot magique,ma chérie!

Adèle:Abracadabra?

Du rythme, de l'humour, de belles illustrations: tout est là pour passer un très bon moment ! 



Un tableau horrifique très drôle qui, sous de chouettes illustrations, tient la route en terme de scénario. En plus le message de fin qui nous rappelle que la famille que l'on a est celle qu'on choisit m'a bien plu. 



Ce titre est le deuxième de la série -je ne l'ai vu qu'après l'avoir emprunté à la bibliothèque- mais il peut parfaitement se lire indépendamment du premier (par contre je vais m'empresser de trouver le premier tome ^^ )

Adèle, je ne la connaissais que de nom, mais il aurait été dommage de ne pas la connaître un peu mieux.



Adèle est une petite fille "mortelle", à l'humour noir décapant. Les jeux de bébé de ses camarades, très peu pour elle ! Elle, ce qu'elle aime c'est faire des expériences, disséquer, torturer, embêter ses ringards de parents. Adèle n'est jamais contente. Elle ne veut pas aller à l'école, ni faire comme tout le monde.



J'ai beaucoup aimé les parents qui essayent de faire de leur mieux mais sont complètement déstabilisés par leur fille !



On rigole beaucoup à la lecture de ces deux premiers tomes de Mortelle Adèle. Mais c'est un humour cynique que tout le monde n'appréciera peut-être pas !
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Aujourd’hui je viens vous parler d’Antoine Dole, un auteur bourré de talent avec qui j’ai eu la chance de discuter hier matin au Salon du livre de Montréal. J’ai d’abord découvert la richesse et la profondeur de sa plume avec son roman pour adolescents Je reviens de mourir. C’est en abordant À copier 100 fois - un livre nécessaire, voire indispensable, qui nous entraîne dans le monde courageux d’un adolescent homosexuel victime des pires atrocités - que je me suis vue confirmer ce que le premier m’avait déjà révélé : Antoine Dole est un jeune auteur parmi les grands!



Son répertoire est diversifié. D’ailleurs, c’est de « Mortelle Adèle » dont je viens vous parler aujourd’hui. Une petite peste rouquine qui est débarquée assez récemment en terre québécoise et qui séduit non seulement les jeunes mais aussi les grands, je vous le confirme! Ses parents ont eu l’ingénieuse idée, au grand dam d’Adèle, de l’envoyer à la colonie de vacances des « Ragondins Joyeux » alias les « Ragondins Morveux », les « Gras de boudin Affreux », les « Crétins » de « Gros radins Pouilleux » et j’en passe. Pouahhhh quelle horreur!!! Mais ça, elle s’en défoulera bien assez dans son « mortel journal »… C’est le début de son cauchemar et surtout de celui qu’elle fera subir aux autres vacanciers. Début de la parenthèse : remarquez que je la comprends, quand j’étais petite je passais mes soirées à pleurer autour du feu de camp! Pfffffff quelle idée d’envoyer ses enfants en camp d’été! Fin de la parenthèse…



Bref, après avoir tout tenté pour dissuader ses parents, voilà qu’elle se retrouve en pleine forêt, mais ça ne s’arrêtera pas là. Elle a bien l’intention de tous leur faire vivre des mortelles vacances, à ces « andouilles » de moniteurs y compris! D’ailleurs, je ne vous l’avais pas dit, mais dans sa valise il y aura des objets pour le moins suspects, grenade, hache, torche électrique, Adèle n’a pas envie de rigoler, ça non!



À peine arrivée qu’elle fait déjà une « overdose de nature ». Tassez-vous, Mortelle Adèle est d’attaque! Elle flanque la trouille à tout le monde en plus de les faire pleurer, ébouillante des grenouilles, abat des arbres, n’y va pas de main morte avec les animaux qu’elle croise sur son passage et s’invente même une varicelle, sans oublier sa « fracture de la couette ». Mais là, comme l’auteur le souligne, c’est peut-être un peu « tiré par les cheveux ». Il y a dans cette BD de ces jeux de mots qui m’ont arraché des fous rires! Mais l’un de mes favoris est certainement ce clin d’œil à la surconsommation douteuse de produits Made in Taïwan. En plus des messages sous-jacents à la dépendance aux écrans, à ces manipulations que nous exerçons comme parents : « Les adultes nous ont rendus dépendants au sucre pour mieux nous soumettre. ». J’adore!



Détestable, cynique, sarcastique, rabat-joie, sans demi-mesure et excessive, Adèle cache aussi une tonne de sentiments. Elle finira bien par s’ennuyer malgré son emploi du temps chargé... a empoisonner la vie de tous!



Antoine Dole signe ses ouvrages de Mortelle Adèle sous la griffe de Mr Tan.



Merci Mr Tan, quelle « mortelle lecture »!


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Résumé : Adèle est une petite fille originale : elle n’aime personne, vit avec un ami imaginaire, maltraite son chat qu’elle prenait pour un bébé lion, fait tourner en bourrique ses parents et mène la vie dure à son amoureux.



Mon avis : Adèle est une anti-héroïne fort peu sympathique qu’on n’aimerait pas avoir chez soi. Elle tente des expériences douteuses sur son chat, se dispute avec tout le monde, même avec son ami imaginaire, déteste être comme tout le monde et a des goûts originaux. En bref, une vraie peste que les élèves vont sûrement adorer pour ses bêtises et ses réparties.
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On avait cru comprendre, adorable puce/peste, que tu n'aimais pas ça... Ou plutôt, que tu faisais comme si... Trop pudique, sans doute ? Une vraie dure, Adèle. Mais un "petit coeur tout mou" sous sa carapace !



Deux nouveaux personnages dans sa vie : Ludovic et... Cupidon ! Hélas, cela ne la rend pas plus douce envers ses (pauvres !) parents, Ajax et Geoffroy... Mais elle est toujours aussi diaboliquement drôle, ingénieuse, sadique... Et dire qu'elle n'est PAS ENCORE ado !!!



Une centaine de pages pour se régaler et deux leçons de romantisme particulièrement savoureuses en prime.



Une valeur sûre à offrir dès 9-10 ans (aux filles ? leur(s) frère(s) et leur papa leur piqueront sûrement !)...

Ce qui est funky moumoute, c'est la chapka "made in Canada" de Mortelle Adèle, avec sa feuille d'érable pour faire couleur locale, alors qu'elle fait de la luge avec Charlie, sa lointaine cousine d'outre-Atlantique.



Tout le tome tourne autour des vacances à la neige de la famille de Mortelle Adèle dans la famille au Canada. Gags sur la neige, sur le froid, sur le big foot, sur les grizzly, sur les castors... Gags sur Ajax laissé en France. Sur Geoffrey, le cheum de Mortelle Adèle, etc. Charlie a un lapin, c'est son Ajax à elle. Et elle est bienveillance et amitié. De quoi bien perturber Mortelle Adèle, mais sans la faire changer d'avis, que nenni.



Le Canada est bien rendu. Un peu caricatural, mais pas mal quand même. Dessin OK. Les gags sont parfois sympa, mais j'ai eu du mal à accrocher au caractère répétitif de la méchanceté de Mortelle Adèle. Cela m'a paru poussif et lassant sur la longueur.

Mister Tan prend le contre pied avec une fillette pas du tout adorable. Elle a une grosse tignasse pas très malléable et rousse. Adèle n'aime pas l'école, est provocatrice et irrespectueuse envers tout le monde. Par conséquent, il faut un personnage qui est son opposé. Voilà pourquoi on trouve Jennyfer, gentille et naïve qui la considère comme sa meilleure amie. Un idéal souffre douleur. On oublie surtout pas le chat tout mignon, Ajax, avec ces si grands yeux qui le rendent si attachant. Elle cherche inlassablement des moyens de le tuer comme le micro-ondes, l'enterrer dans la terre ou le griller dans le feu. Rassurez-vous, une figure de l'autorité parentale arrive toujours au bon moment pour éviter qu'il meure.



Il n'y a aucun aspect charmant ou serviable. En tant qu'adulte, j'ai une aversion assez grande vers un personnage principal malveillant. Car on est déjà assez entouré de ce genre d'individus dans la vie pour en plus les retrouver dans une bd. Mais voilà, je ne suis pas le coeur de cible et heureusement. C'est bien que les enfants n'ont pas encore eux à affronter trop fortement la haine et l'injustice. Ils ont encore un peu le temps d'être dégouter de l'humanité. De plus, le choix de police de texte de type Arial ou Times New Roman dans les bulles et très aligné, est dérangeant. Cela nuit à la fluidité de lecture. Cette nuance souligne fortement la séparation du travail avec d'un côté le scénariste et de l'autre le dessinateur. Maintenant je pourrais dire que j'ai lu cet incontournable. La question se pose tout de même : faut-il offrir "Mortelle Adèle" aux plus jeunes? La réponse est oui évidemment aussi bien par conformisme sociale que pour rire simplement de la méchanceté des autres.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..

Quelques planches au sujet de la prime enfance d'Adèle se sont glissées dans cet opus !



Outre le quotidien de la petite fille espiègle, on découvre avec joie les premières réactions d'Adèle face à ses parents, aux autres enfants, aux animaux, etc... A-t-elle toujours été aussi "Mortelle" ? Réponse dans ce tome, toujours aussi caustique !

C'est un roman facile à lire, parfait pour les novices de la lecture* qui apprécient déjà Adèle. L'histoire est simple, elle regroupe plusieurs personnages de "Mortelle Adèle" autour des expériences improbables de la petite fille espiègle.



Malheureusement, je n'ai pas retrouvé autant d'humour caustique que dans la série dessinée...



*Attention : ce n'est pas non plus un livre "première lecture" !

ludovic le grand amour d'adèle vient complètement bouleversé son quotidien mais de l'autre côté il y a geoffroy qui ferait n'importe quoi pour la championne olympique des bêtises ! fan inconditionnel de cette petite rouquine on ne se lasse pas de lire et relire cette bd, c'est toujours un vrai plaisir.

Première découverte de la série Mortelle Adèle grâce à une élève qui m'a prêté ce volume (un comble ! D'autant plus que j'en ai au moins 3 dans le CDI).

J'étais assez frileuse pour attaquer une série ayant pour héroïne une tête à claques. Je pensais que ce serait juste une suite de gags débiles. En fait, j'ai été très agréablement surprise. Déjà, j'ai beaucoup ri, dès le début, dans ce Star Wars revisité dans un univers seulement peuplé d'enfants (ou presque). Ce tome lorgne aussi du côté du Petit Prince avec la visite de différentes planètes. J'ai beaucoup apprécié le fait que ce ne soit pas juste de la grosse déconne. Il y a un vrai propos sur le droit à la différence, le droit d'être bizarre. C'est à la fois très accessible pour des jeunes lecteurs, drôle et intelligent. Un équilibre difficile à trouver !

Ce roman graphique est intéressant. Les aventures d'Elliot sont originales et drôles. C'est un petit garçon courageux qui vit seul la plupart du temps et qui n'a pas peur de vivre avec des fantômes ; enfin, plus depuis qu'il s'y est habitué. Un jeune lecteur peut facilement s'identifier à lui et s'y attacher. Les fantômes ne sont en rien effrayants et plutôt bienveillants envers Elliot.



Finalement, le personnage le plus flippant est la baby-sitter. Mal commode et mal intentionnée, elle vient perturbée la vie paisible de la maison. Dès sont apparition, on la prend en grippe. Elliot et ses quatre amis vont devoir user de malice et d'intelligence pour lutter contre elle.



Le scénario est bien ficelé et l'intrigue se termine dans ce tome, même si la fin annonce de nouvelles aventures. Les illustrations en niveau de gris sont sympas. Elles mettent totalement dans l'ambiance gothique. Les expressions des visages ressortent bien, ce qui ajoute du dramatique ou au contraire du comique à la situation.



Un livre à découvrir ! À partir de 9 ans.