Nahoko Uehashi

Elin est une jeune fille âgée de dix ans qui vit avec sa maman dans le village d'Arhan. Ce village a pour mission d'élever des Tôda. Elles mènenent une vie tranquille jusqu'au jour où tous les Tôda se mettent à mourir les uns après les autres. La mère d'Elin est sous le choc ! Elle, qui était censée garder les Tôda, les protéger.

Ce qui devait arriver arriva : elle fût accusée des meurtres et condamnée a mort.



J'ai moyennement aimé ce livre car il y avait des moments vraiment tristes !

Je trouve que l'auteur, Naoko Uehachi, a créé un très beau manga: "Elin la charmeuse de bêtes".

J'ai beaucoup apprécié ce manga dont le personnage principal est Elin, une petite fille très curieuse et passionnée par les tôdas (des dragons serpents). Elin vit avec sa mère dans le royaume divin de Ryoza. Sa mère est soigneuse de tôdas , mais un jour, certains tôdas vont mourir et la mère d'Elin sera accusée ...

Elles devront, toutes les deux, surmonter une multitude d'épreuves.

Je recommande ce récit palpitant pout les fans de mangas et d'aventure.



de L.M. des pêcheurs de livres.





Manga aussi triste qu’émouvant surtout lorsqu’on apprend dès le premier tome que les tôdas et la mère d’Elin meurent.

Par de nombreuses actions, Elin finit échouée sur une terre inconnue où elle fera la rencontre d’un homme étant apiculteur qui décidera de l'aider et de lui montrer son métier.



De A.S. des pêcheurs de livres

Elin la charmeuse des bêtes





J’ était curieuse de découvrir ce manga. Quand j’ai pris le livre en voyant la couverture,cela m'a pas trop inspirée et au début je ne comprenais pas trop mais après j’ai compris qu'Elin est fascinée par les todâ, des dragons-serpents de combat qui protègent le royaume. Seulement sa mère la met en garde et lui interdit de les approcher jusqu’à ce qu’un évènement bouleverse leur vie. Je n’ai pas été très convaincue par ce livre même si c’était très bien fait. Mais j’aimerais bien lire un autre tome pour voir ce qui arrive à Elin .



Léonie des MMM's

C'est mon tout premier manga! Les élèves me l'avaient conseillé.

Un bon moment passé en compagnie d'Elin et de sa maman. L'histoire s'ouvre sur une tragédie, la maman d'Elin est livrée aux tôdas, ce sont des bêtes magiques, féériques et dangereuses dont il faut prendre grand soin, et semble -t-il que la maman d'Elin n'a pas mené sa mission comme le veulent les autorités du village. Elin n'accepte pas le sacrifice de sa maman, alors elle la rejoint juste avant qu'elle ne se fasse dévorer par les bêtes...mais, rien ne va se passer comme prévu! La maman d'Elin va faire quelque chose de dangereux, mettre les traditions et les règles de son propre camp en péril pour sauver sa fille. Où va se retrouver Elin? Que va-t'elle découvrir sur l'histoire de sa famille?

Bon.. je suis surprise dans le mauvais sens. J'avais gardé un très bon souvenir du premier tome en général, j'avais même espéré un petit résumé pour me rafraîchir la mémoire et je reprends ainsi la série avec des interrogations. Avais-je vraiment pris Élin pour un manga tranche-de-vie ? Ca m'a ainsi déçue de lire une moitié de manga centrée sur la découverte du monde de la petite..sans vraiment savoir vers quoi la série voulait nous mener. C'est lorsqu'on amorce le mythe que cela devient plus intéressant.. J'ai le prochain tome en main, on va vite être fixé pour la suite.

Elin est un très bon manga. C'est l'histoire d'une petite fille fan des toda qui sont des sortes de dragons. Il va se passer un histoire tout autour de ces toda . Mais cette petite fille a aussi une vie très compliquée...je vous laisse le plaisir de lire par conséquent je ne vais pas trop vous en dire. Je conseille fortement ce livre car après cette lecture on a très envie de lire les autres tomes !

Justine

Elin vit avec sa mère, qui élève des Tôda, des dragons serpent. Mais un jour, l'un des Tôda meurt est la vie d'Elin bascule...

Et j'ai apprécié cette histoire parce que on a très envie de connaître la suite c'est une très belle histoire.

Je recommande ce bon livre.

Gatchan



C'est l'histoire de Elin elle vit avec sa mère, celle-ci est soignante de

todas (des dragons qui protège leur cité) mais un jour l'or se que sa mère est de garde pour surveiller des todas

C'est l'histoire d'une petite fille, sa mère est guérisseuse de dragons. Sa petite fille rêve de toucher un dragon mais c'est trop dangereux pour elle. Un jour sa mère est accusée de la mort d'un dragon, elle fût emprisonnée puis dévorée par des dragons sauvages. Elin tente de la sauver mais elle n'y parvient pas. Sa mère réussit à sauver sa fille en utilisant une technique qui ne devrait jamais être utilisée, Elin est forcée de s'échapper. Puis la fille échoua au bord du lac et un homme lui appris à faire du miel.

Nous avons bien aimé ce manga car nous trouvons l'histoire recherchée et belle .



Nils et Cristian de 6N du #DéfiBabelioJunior

Ce tome nous tient en haleine jusqu’à la fin, et le lecteur sera déjà pressé de savoir la suite.



Le passé, le présent et le futur s’emmêlent. Il faut choisir les informations à donner, les personnes à qui les donner, et bien sûr cela ne suffira pas forcément.



Elin est prise au piège. L’honneur qu’on va lui faire, elle se doit de le refuser. Mais si vous pensez qu’un refus est acceptable, vous vous trompez.

Elle se verra donc contrainte de jouer le tout pour le tout, d’assembler les informations, de donner des renseignements, de raconter son histoire.



D’abord, nous la retrouvons en pleine discussion avec Ialu, un protecteur de la Yojeh. Elin a une information capitale sur Arhan, l’attaque des Todas qu’ils viennent de subir, mais cela l’oblige à révéler d’autres choses, et risque de la compromettre.

Ensuite, elle va devoir demander une audience privée à la Yojeh, quitte à être regardée de travers par les autres, quitte à risquer de graves problèmes.



C’est l’occasion de revenir sur leur Histoire. Ce tome nous permet également de toujours plus découvrir le personnage de Ialu, son passé, son rôle aujourd’hui, mais aussi les choix qu’il va devoir faire, quitte à lui aussi prendre des risques.



A un moment, la couverture va commencer à prendre tout son sens.

Il y a une véritable tension politique. Des gens se sacrifient pour préserver l’harmonie du royaume. Les deux personnes de la couverture vont avoir une discussion importante.

Comme beaucoup de fois, on demande de prouver sa valeur.



Un tome intense, avec beaucoup d’enjeux, et des imprévus.



Qui a lancé l’attaque des Toda ? Pourquoi ? Que devient le royaume de la Yojeh ? Que devient-elle ? Quel avenir pour Elin ? Qui sont les deux personnes de la couverture ? Qu’est-ce qui va les faire se rencontrer ? De quoi vont-ils discuter ?



La fin nous rappelle que rien n’est jamais acquis, qu’un accident peut vite arriver, que le passé marque.



Un tome compliqué pour ne pas en dire trop, mais je pense m’en être sortie. Donc oui ça devient plus politique, intense, ça me rappelle les faucons de Raverra de ce côté là.



J’ai hésité à le mettre, puis je me suis dit que vous serez libre de le lire quand vous voulez, et que je n’étais pas sûre pour après.
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Elin, la charmeuse de bêtes, prend de plus en plus un ton mûr et adulte. Toute une partie du tome se place sous haute tension, avec des gens en danger, et nous ressentons également plus que jamais les problèmes qu’il pourrait y avoir si la vérité sur Elin et ses capacités étaient dévoilés au grand jour. Ce tome est également très agréable et intéressant, car il fait les liens avec les précédents.

La visite de la Yojeh est déjà toute une épreuve en soi, mais elle semble pourtant vraiment tenir aux Ôju, les apprécier, tenir à leur bien-être. Il est compliqué de la laisser être là, mais ils ne peuvent pas refuser certaines choses à la reine. Ialu reste en retrait, mais il sait agir quand il le faut, et peut surgir à tout instant. Damiya ne va pas hésiter à faire une proposition à Elin, tenter de la faire succomber à son charme, et la mettre dans une position inconfortable. Beaucoup d’éléments transparaissent dans les yeux, l’expression, notamment d’Elin, et quelques pleine pages embellissent les effets. Cette visite était totalement éprouvante, pour les nerfs de plusieurs personnes, et pourtant ce n’était que le début. Ce tome va être l’occasion de revoir les Tôda, le bateau de la Yojeh va se faire attaquer.

Encore une fois Elin ne peut qu’écouter son coeur, vouloir sauver des vies malgré le danger dans lequel elle risque de se mettre. Malgré le regard des gens qui risquent de changer. Elin fait au mieux de ses capacités, encore une fois elle est géniale. Elle sait faire pas mal de choses, et quand ça dépasse ce qu’elle sait fait, elle se retire, mais donne quelques consignes en attendant quelqu’un de plus compétent, expérimenté pour traiter le problème. Elle a dû faire des choix, en privilégiant les vies qu’il était possible de sauver.

Mais entre la visite, ce que certains ont vu, ce qui s’est passé, ce qu’elle a dû faire, la vie d’Elin pourra-t-elle vraiment rester comme avant ? Pourra-t-elle continuer d’enseigner à Kazalumu ?

Ce tome passe encore une fois bien trop vite. L’histoire se bonifie au fil des tomes, et devient plus intense. Elin est toujours autant une personne formidable que le lecteur prendra plaisir à suivre. Décidément, ce n’est pas pour rien que cette série fait partie de mes meilleurs découvertes manga de 2019. Elle sera en 11 tomes, et je ne peux que la recommander. La couverture du prochain tome est encore une fois bien belle, et donne envie que mars arrive vite pour pouvoir lire la suite.
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Elin est la charmeuse de bêtes. C'est une fille de dix ans qui vit aux côtés de sa mère dans un petit village. La mère d'Elin travaille avec des tôdas, ce sont des dragons serpents qui protègent le royaume. Une nuit, ils entendent dans le village un gros bruit et voient un tôda mort, ce qui est très grave. Tout le monde est là, même le chef du royaume, qui fait emprisonner la mère d'Elin...

Je trouve que le livre était un peu triste parce que la mère d'Elin est accusée. Mais sinon le livre était bien.

Denisa

L’histoire dans son dernier acte recèle d’une force intemporelle et dévastatrice.

C’est beau et triste à la fois, magnifique, bouleversant, une série qu’on se dit « Mais qu’est-ce que j’ai bien fait de m’y intéresser ».



Nous sommes impitoyablement montés en force, et Elin doit tenir bon, faire de son mieux, déjà pour faire comprendre une certaine réalité. Ainsi, elle va trouver un moyen, l’idée lui aura été soufflée, pour voir la Yojeh et qu’au moins, elle prenne ensuite ses décisions de manière avisée, en toute connaissance de cause. La discussion, la confrontation est forte. La Yojeh nous offre également de beaux et forts moments.



Nous revenons également sur le passé. Un passé qui implique les Tôda et les Ojû. Une tragédie.

Et toujours ce besoin de pouvoir, cette incompréhension d’une autre espèce, ou la peur de celle-ci. Il faut alors la brider.

Mais une jeune fille de 14 ans, Elin, qui ne savait rien à tout fait voler en éclat, le tout avec son coeur, et en développant une relation unique avec un Oju, Lilian, même si elle a appris à ses dépens qu’elle peut s’obscurcir.



Les moments qu’Elin passent avec Lilian sont d’une rare force, puissante, et beauté. Nous ressentons toute la complicité. Ensemble, c’est unique ce qui peut être accompli.



Elin ne veut pas que les Ojû deviennent des armes de guerre, soient utilisés pour d’horribles raisons.



L’attente du dernier tome de cette magnifique série sera difficile. Et elle est à ne pas rater à plusieurs niveaux : graphiquement, les réflexions, l’histoire qui a pris de la force au fur et à mesure avant de nous éclater dessus, les jeux de pouvoir, la complexité des relations, les relations avec les animaux, la liberté relative,…
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Vraiment, que je suis contente de ne pas avoir lâché cette série malgré ses débuts un peu faiblards. Elle communique un message très beau et puissant sur notre relation aux autres, aux animaux et à ceux qu'on considère à tort comme "inférieurs".



Ce nouveau est source de bien des chamboulements. Dans le dernier Lilan était enfin parvenue à voler comme les ôjus sauvages, mais on apprend ici que ce n'est pas sans risque. Le souci, c'est que l'information vient d'un Ahlyo qui refuse d'en dire plus ce qui est très frustrant. On ne peut donc pas s'attendre à voir quelqu'un obéir et arrêter quelque chose qu'il trouve sous un prétexte aussi vague et fallacieux. L'obéissance aveugle, ça suffit !



Du coup, on assiste plutôt encore une fois au développement de la très belle relation entre Elin et les ôjus qu'elle croise. Un nouveau camarade, un ôju sauvage, va d'ailleurs rejoindre le centre de soins et formation et bouleverser un peu tout le monde. C'est chouette, ça continue à rendre la lecture dynamique. On se pose de nouvelles questions avec lui parce qu'il est sauvage mais également parce qu'il est un mâle. On en apprend ou plutôt devine encore plus sur eux et l'univers continue de s'enrichir.





De plus, l'autrice développe à merveille les relations entre Elin et sa directrice. Celles-ci sont vraiment très proches et c'est beau à voir. Elles comprennent chacune l'importance à donner à ces créatures qu'il ne faut pas enfermer dans un modèle inique. Cela amène peu à peu l'histoire à faire le lien avec son aspect politique, toujours présent en filigrane, qui ressurgit en force à la fin du tome pour de futurs grands bouleversements, je n'en doute pas.



L'autrice a placé les échelons pour une suite enlevée avec de vraies questions autour du passé des pays dont il est question ici et de leurs relations aux ôjus et aux tôdas. C'est une belle métaphore sur notre société aussi et nos relations aux bêtes qui me touche. La bienveillance et la recherche de compréhension d'Elin sont un modèle du genre !
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un récit initiatique émouvant, riche et tendre, que j'invite vivement à lire et à faire lire aux plus jeunes !
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Balsa est une guerrière fière et déterminée. Elle voyage de ville en ville et gagne sa vie comme garde du corps.

De passage à la capitale du royaume de Shin-Yogo, son destin va croiser celui du jeune prince Chagun, deuxième fils du Mikado. Après l'avoir sauvé de la noyade, elle est appelée au palais, en remerciements.

Alors qu'on l'a conviée à passer la nuit au palais, elle reçoit la visite nocturne de la deuxième reine, la mère du prince Chagun. Celle-ci lui apprend que son fils est possédé par un esprit et lui demande de le protéger des assassins du Mikado.

Entre ces derniers et les ennemis surnaturels de l'esprit qu'il héberge en son sein, protéger Chagun ne sera pas chose facile.



Après avoir été séduit par "La charmeuse de bêtes" du même auteur, j'ai eu envie de découvrir "Le gardien de l'esprit sacré" qui semble être l'oeuvre majeure de cet auteur. En effet, ce roman a été vendu au Japon à plus 1,5 millions d'exemplaires et a été adapté en manga, en anime et en feuilleton radiophonique. Pas de doute, ses états de service sont impressionnants.



Avant de rentrer dans le vif du sujet, je tenais à saluer le travail fait sur la couverture du livre. Elle est très belle et se déplie en trois volets.



En ce qui concerne le livre en lui-même, l'histoire s'apparente à une quête initiatique à la japonaise. Les esprits et les mondes parallèles remplacent la magie par rapport à de la Fantasy occidentale. L'histoire et rythmé et l'écriture fluide.

Les intrigues autour et à l’intérieur du pouvoir sont très bien exploitées. On découvre peu à peu l'histoire du royaume et qui détient réellement le pouvoir. La légende autour de la création du royaume est un modèle du genre.



Le personnage de Balsa est très intéressant. Présenté au début du livre comme un roc, on s’aperçoit au fil des pages que son histoire est bien plus complexe. Elle est profondément torturée et blessée par son passé. Plus que l'histoire de Chagun ou du royaume, c'est son parcours à elle et sa prise de conscience qui sont l'élément central du livre.



J'ai par contre trouvé les autres personnages trop peu exploités. J'aurais aimé que l'auteur s'attarde plus sur Torogaï et sur Tanda.



Le gardien de l'esprit sacré est un livre agréable mais assez simple destiné à un public assez jeune (10 à 15 ans). Les autres lecteurs passeront un bon moment mais regretteront la simplicité de l'intrigue.



Note : 7/10


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Erin a bien grandi depuis sa fuite à dos de Tôda. Après avoir passé plusieurs années avec Jôn, un vieil apiculteur au grand cœur, elle décide d'intégrer l'école royale de Kazarum. Malgré le triste sort qu'a eu sa mère, Erin veut devenir vétérinaire. La nature la passionne et plus précisément les ôjû, les animaux sacrés de la Yojé.



La guerre entre la Yojé et l'Arhan semble devenir inévitable. Les intrigues politiques se multiplient. Les apparences sont souvent trompeuses. Erin, seule personne capable de contrôler les ôjû, ne pourra plus rester dans l'ombre. Mais contrôler les ôjû ou les tôda n'est pas sans danger, pourra-t-elle éviter que la catastrophe qui a autrefois détruit un royaume au delà des montagnes se reproduise ?



Le premier tome, intimiste, était centré sur Erin. Dans celui-ci, c'est le destin du royaume de Roya qui va être notre fil conducteur. Alors que les intrigues politiques se multiplient, on s’aperçoit que les apparences sont souvent trompeuses. L'histoire nous happe jusqu'a la dernière page. On souffre et on espère avec Erin.



J'ai retrouvé dans cette histoire un peu de Myazaki. Erin partage beaucoup de similitudes avec Nausicaä. Elle a la même empathie avec la nature, la même générosité, le même sens du sacrifice. Et que dire de la fin qui est dans la plus pure tradition du maître de l'anime japonais ?



Probablement happé par l'histoire, je n'ai pas retrouvé le manque de fluidité que je reprochais au premier volume.



"Le cœur humain trouve toujours un excellent prétexte pour se justifier, pour échapper à l'angoisse, pour retrouver le calme. Mais malgré les prétextes, il reste toujours quelque chose dans le cœur. Et ce qui reste tout au fond dans le noir, invisible, immobile, froid, c'est la vérité."



L'épaisseur des personnages est remarquable. Erin est complexe, étonnante et attachante. J'ai également particulièrement apprécié les personnages d'Esal, de Ial et de Harumiya.



Je ne peux que vous conseiller de vous laisser tenter par ce roman. Dépaysant, poétique et tragique, ce roman est mon coup de cœur de ce mois de septembre.



Note : 9/10
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Je me souviens d'avoir passé un très agréable moment en compagnie d'Érin, au point même de ne pas pouvoir poser le livre. C'est le premier conte japonais que je lis et j'ai été agréablement surprise par son contenu.

Ce livre est publié dans une collection jeunesse mais convient tout à fait pour des lecteurs adultes.

L'univers dans lequel se déroule cette histoire est superbe, aussi bien pour les créatures merveilleuses que pour les décors et les personnages. Ne connaissant pas l'histoire du Japon, je me suis parfois même demandé s'il s'agissait d'un roman historique avant de me rappeler que les tôda et les ôjû étaient des animaux qui ne pouvaient exister ;)

L'histoire est très manichéenne, les notions de pureté et d'impureté sont d'une importance fondamentale et sont à la base de toutes les croyances. Les personnages sont complexes et le style fluide et soigné de l'auteure nous permet d'en comprendre toute la profondeur.

Dans ce premier tome, Érin est confrontée au deuil et va découvrir ses capacités à soigner et comprendre les animaux.

En conclusion : un très bel ouvrage qui sort de mon ordinaire mais qui a tout de même réussi à charmer mon cœur (de bête ???).
Lien : http://lefso.blogspot.com/20..

Ce premier tome nous plonge dans un Japon médiéval, quelque peu différent de part la présence de bêtes mystérieuses et fantastiques. Erin, une petite fille de 10 ans, va avoir beaucoup de problèmes : en effet, sa mère, soigneuse de Tôda, est accusée de la mort de plusieurs Tôda. Suite à cela, Erin va se retrouver loin de chez elle, chez un apiculteur qui la recueillera. Et cela, malgré le fait qu’elle a les yeux verts : ce sont les traits d’une population accusée de sorcellerie. Nous allons donc suivre, pendant les 2 tomes que compte la série, la vie d’Erin, de ses 10 ans à ses 18 ans.



Le premier tome n’a pas vraiment « d’action », mais étrangement, on n’en ressent pas le manque. Effectivement, on suit la vie tranquille d’Erin, qui ne rencontrera les Ojû qu’à la moitié du livre (à ce niveau du livre, la base de l’histoire est posée). Ces animaux légendaires changeront sa vie. D’après leur description, ce sont de majestueux ... Voir la suite sur mon blog ;D !
Lien : http://akashew.wordpress.com..

Pendant toute la série, Elin est tourmentée par une même question : celle du fossé entre les humain·es et les bêtes, et entre elle et les Ojû en particulier. J'ai trouvé la conclusion de ce dernier tome bien menée parce qu'elle apporte une réponse (au moins en partie) à ce questionnement. Du premier au dernier tome, on voit Elin mûrir et faire en sorte de toujours suivre les valeurs qui lui tiennent à cœur, y compris dans les situations tendues auxquelles elle se retrouve confrontée sur la fin. J'ai beaucoup aimé cette belle série et ses personnages, et les deux derniers tomes m'ont complètement convaincue.

J'ai lu les tomes 6 et 7 d'une traite, cette série me plaît toujours de plus en plus ! L'action devient plus sombre dans ce tome, avec quelques scènes dures, et je suis contente de voir Elin y réagir de façon cohérente avec son personnage. La rencontre avec des personnages qu'on suivait dans une autre intrigue m'a bien plu aussi. On sent que le dénouement approche et que la tension monte, notamment parce que d'autres événements dramatiques à venir sont sous-entendus.