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Au programme de C à vous la suite :
Invité·es : David Martin, fils de Jacques Martin et comédien, Danièle Évenou, ex-compagne de Jacques Martin et actrice, Virginie Lemoine, amie de Jacques Martin et humoriste, et, Frédéric Zeitoun, ami de Jacques Martin et chanteur
« C à vous, la suite » spéciale Jacques Martin
Jacques Martin, Jean Yanne : le duo qui a dépoussiéré la télé !
Jacques Martin, sous vos applaudissements
Jacques Martin, petit rapporteur, légende de la télé
Jacques Martin, éleveur de talents !
Jacques Martin, du cabaret à l'Empire
Jacques Martin, passion cuisine de père en fils
Les mondes de Jacques Martin
L'Oeil de Pierre - Jean Yanne, portrait d'un provocateur
La Story médias - « Cheezam », l'application qui reconnaît les fromages !
L'ABC - Les actualités de Bertrand Chameroy
le muguet du 1er mai
Laurence Rossignol sur RFI
Nathalie Loiseau sur Sud Radio
François Hollande sur France info
L'école des fans sur LCP
le doigt de Patrick Cohen
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" Nous savons qu’ils mentent. Ils savent qu’ils mentent. Ils savent que nous savons qu'ils mentent. Nous savons qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent. Et pourtant ils persistent à mentir. "
Alexandre Soljenitsyne
(page 36).
" En Pologne, ce qu’il y a de plus imprévisible, c’est l’Histoire. "
Pierre Lévy, ambassadeur de France en Pologne (2016-2020).
(page 415).
Beaucoup trop de femmes se persuadent que le mot "réseau" est un gros mot.
A leurs oreilles, cela sonne "réseau occulte", "réseau mafieux", "réseau souterrain".
Pourtant, la vie est faite de réseaux, d'échanges.
Je l'ai suivi dans tout Paris [mon mentor]. Un tourbillon.
Et avec lui j'ai appris, tambour battant. Appris ce qu'on attendait de moi, comment travailler, comment m'exprimer, comment trouver ma place. Tout ce qu'on n'apprend pas dans les livres, tout ce qu'on ne vous dit pas, le savoir-faire, le mode d'emploi.
Les codes.
Pour s'y conformer ou pour les bousculer, encore faut-il les connaître. (...)
Décoder : cherchez-vous un décodeur.
Tous les milieux professionnels ont leurs codes, leurs rites,
leurs attentes et leurs coutumes. Or la plupart sont implicites. (...)
En matière de codes, de rites et d'étiquettes, la France est imbattable.
On en vient à se demander si elle n'a pas la nostalgie de ce qu'elle a le plus combattu : l'Ancien Régime, la Cour, les castes, la pompe.
Les ors de la République. Dans quel autre pays entretient-on cette expression et ce qu'elle recouvre ?
" La première victime d’une guerre, c’est la vérité. "
Rudyard Kipling
(page 127).
Je ne m'appelle pas Sheryl Sandberg.
Je ne gagne pas une fortune comme numéro deux de Facebook, je ne quitte pas mon bureau à 17 heures pour passer plus de temps avec mes enfants.
Je ne suis pas Marissa Mayer.
Je ne suis pas devenue PDG de Yahoo! en annonçant que j'étais enceinte, je n'ai pas pris quinze jours de congé maternité en trouvant facile d'avoir des enfants.
Je ne crois pas, comme Hanna Rosin, que le temps des hommes est terminé et que vient inexorablement le temps des femmes.
Je ne me retrouve pas dans ces super-héroïnes de papier glacé (...) qui transforment en tour de force l'idée simple d'avoir à la fois une vie professionnelle et une vie privée. Et je doute que beaucoup se reconnaissent dans ces femmes extrêmement riches, extrêmement apprêtées, extrêmement diplômées et ... extrêmement américaines.
Pourtant, j'éprouve un vrai malaise à les voir attaquées, critiquées, livrées en pâture aux sarcasmes de tous ceux - parfois toutes celles - qui continuent à ne pas les trouver à leur place
- Madame, (...) pourrait-on fixer des règles pour l'élection?
- Tu veux qu'on prépare un code électoral?
- Pourquoi pas? Fixer une règle, ça permet de se mettre d'accord.
- Tu nous saoules avec tes règles!
- C'est une bonne idée. On va rédiger le code ensemble. Qui veut commencer?
- Je propose une 1ère règle: tous les élèves ont le droit de vote.
- Evidemment!
- Quoi? Et Rose, qui est autiste? Elle comprend rien!
- Mais si, elle est dans son monde, c'est tout!
- Et depuis 2005 tous les handicapés ont le droit de vote. Adopté. Ensuite?
Lorsque les femmes demandent davantage d'égalité et une société mieux pensée, il ne s'agit pas d'un combat et il n'y aura pas de perdants. À part les imbéciles, et c'est plutôt une bonne nouvelle.
j'observe avec surprise le tsunami que déclenche l'arrivée d'un enfant dans la vie des couples que je côtoie. Ultra-désiré, ultra-investi, arrivé parfois après beaucoup de difficultés, l'enfant paraît et... envahit tout : l'appartement, de sa multitude de jouets d'éveil, des tapis aux couleurs criardes aux hochets abominablement polyphoniques, les conversations, les pages Facebook... Il est roi malgré lui dès la première minute de sa vie. Sa photo surgit sur le smartphone de dizaines d'amis ou de simples connaissances de ses parents moins d'une heure après sa naissance, ce qui donne l'impression troublante d'observer toujours le même nourrisson, rouge, frippé, emmailloté et coiffé d'un bonnet de ski, les yeux résolument clos. Et rien, absolument rien, n'est plus pareil : pas un apéritif sans bébé phone, pas week-end sans déménagement de trois mètres cubes de matériel de puériculture, pas une évolution (premières dents, premiers pas, premiers mots) qui ne soit guettée, étalonnée, rapportée, commentée, avec un mélange de découverte naïve, de fierté et d'anxiété : mon enfant est-il bien conforme et original, normal et exceptionnel ? Que montre-t-il de ce que je suis, puisque nous sommes lui et moi forcément fusionnels, qu'il est mon oeuvre, qu'à travers lui je me réalise ?
C'est parce que j'ai pu faire le tour du monde que j'ai appris à voir les femmes autrement, à comprendre ce qui nous unit, ce qui fait que nous nous ressemblons malgré nos différences, à chérir leur amitié, leur confiance.
Elles m'ont donné envie de les écouter, de les comprendre, de parler d'elles, d'agir pour elles aussi. Sans elles, je n'aurais pas imaginé ce livre
et c'est beaucoup pour elles, en pensant à elles, que je me suis aventurée à l'écrire.