Citations de Nine Gorman (1484)
Tes blessures, je veux dire. Parce que, maintenant, je sais qu'il y en a qui ne guérissent jamais et qui nous marquent à vie. Finalement, la seule façon de trouver la bonne personne, c'est de rencontrer quelqu'un qui nous aimera, nous et nos blessures.
Tu n’as pas toujours besoin des mots pour raconter une histoire.
Nos choix nous appartiennent, Finn. Ce sont bien les seules choses qui soient irrémédiablement nôtres.
Rien de ce que j'ai pu lire dans les livres ne m'a préparée à ça. Ils devraient mettre un avertissement au début de chaque roman: "Attention, les émotions ressenties peuvent varier selon les individus. N.B.: vous finirez par pleurer, de toute façon."
On pense ne jamais pouvoir remonter la pente, on compare son existence à un immense terrain vague que seules des épaves recouvrent et où l’herbe ne pousse plus. [...] Je pensais que seule la mort voudrait de mon terrain à la con comme maison, puis je me suis rendu compte que des tas de choses pouvaient s’y écraser par mégarde. Des rencontres, des problèmes, des imprévus... De merveilleux imprévus.
Puis l’herbe se remet à pousser
Tu sais, je pense que la liberté n'est pas quelque chose qu'on peut acquérir par la fuite... Il faut se battre tous les jours pour elle, et c'est plus un état d'esprit qu'autre chose...
Le rock est une musique pour les gens blessés, cassés et n'importe qui d'autre pouvant la supporter.
Ne laisse pas la noirceur du monde t’engloutir. Fais confiance aux gens, aime les. Certains te décevront, mais d’autres seront de belles surprises
On tombe beaucoup, mais l'important, c'est d'apprendre à se relever, et, surtout, d'en garder l'envie. Parce que nous sommes nos propres barrières. Notre propre ennemi. Cette cage dans laquelle tu te crois parfois enfermé, tu en détiens la clef.
Nous avons tous nos blessures et nous cherchons tous la personne qui pourra les aimer à notre place. Comme Ash, comme Sky. Mais la beauté se cache dans les imperfections, dans les contrastes, dans les âmes brisées. N’ayez pas honte de qui vous êtes. Ne culpabilisez pas. Homme ou femme, n’acceptez pas les interdits que l’on tente de vous imposer, que ce soit sur votre manière d’être, de vous comporter, de ressentir ou d’accéder à vos rêves.
Nous avons tous nos blessures et nous cherchons tous la personne qui pourra les aimer à notre place. Comme Ash, comme Sky. Mais la beauté se cache dans les imperfections, dans les contrastes, dans les âmes brisées. N'ayez pas honte de qui vous êtes. Ne culpabilisez pas. Homme ou femme, n'acceptez pas les interdits que l'on tente de vous imposer, que ce soit sur votre manière d'être, de vous comporter, de ressentir ou d'accéder à vos rêves.
Tu passes trop de temps à devenir et pas assez à être.
Mes tattoos, c'est mon histoire. Si, un jour, j'en viens à les regretter, ce sera que j'aurai renié celui que je suis.
C'est ce message que je veux faire passer dans mes chansons : si tu ne te sens pas à ta place, si tu as l'impression que personne ne peut te comprendre, que tu ne pourras jamais être toi-même, sache qu'il n'y a rien qui cloche chez toi. C'est simplement que tu n'es pas au bon endroit ni avec les bonnes personnes. Alors n'aie pas peur [...] Et aime, putain. Aime qui tu veux.
Les blessures finissent toujours par guérir et, même si la douleur persiste, on s’y habitue.
- Putain, je regrette d’avoir perdu tout ce temps, soufflé-je, la gorge serrée. Mais ça fait rien, j’ai encore un mois.
- Un mois pour faire quoi ?
- Pour te prouver que ça a toujours compté.
Même quand je ris, que je m’amuse, que je suis entouré, il y a comme un gouffre au fond de moi qui m’empêche de me sentir vraiment bien.
Le pire dans tout ça, c’est que, ce gouffre, j’ai l’impression qu’il grandit et qu’il engloutit tout sur son passage. Il est en train de me tuer à petit feu.
- Je suis contente qu’on se soit retrouvés.
Elle a parlé à voix basse, comme si ces mots étaient un secret entre nous. Un secret qui m’étreint le cœur et qui me fait du bien. Et parce que je veux moi aussi lui confier quelque chose, je murmure à mon tour sans la quitter du regard :
- T’as pas idée à quel point j’étais perdu sans toi.
Les larmes me brûlent les yeux, mais elles restent où elles sont. Enfouies, là où personne ne peut les voir.
Tu crois qu’il y a un monde, dans le multivers, où on se serait choisis ?
Je t’ai toujours choisi, Thomas. C’est toi qui ne me choisis jamais.
Mes sanglots me secouent si fort que je me demande si ce n’est pas une tentative désespérée de mon corps pour faire redémarrer mon cœur qui s’éteint, et je me dis que c’est peut-être pour ça qu’on pleure si fort, parfois: pour empêcher notre cœur de s’arrêter une bonne fois pour toutes.