Je crois qu’il lui faudra un moment pour se remettre de la mort de Troy. Elle n’en parle pas, mais elle est bouleversée. Heureusement qu’elle est jeune. Elle a toute la vie pour rencontrer quelqu’un d’autre.
Elle aurait dû éprouver du soulagement. De la gratitude. Mais son instinct édictait sa propre loi : il lui criait que Franck était un soldat entraîné à tuer. Ce fut un réflexe, irrationnel mais impérieux – la volonté, malgré tout, de protéger son enfant.
Sans surprise. Les ficelles sont grossières. La solution de l'intrigue policière est prévisible de même que le dénouement sentimental. Gentil, gentil !