Un polar jeunesse qui traite du poids que la culpabilité peut avoir sur un enfant. L'histoire en elle même est plutôt agréable et drôle même si parfois peu crédible. Il n'en reste pas moins qu'a un niveau jeunesse le vocabulaire est simple et l'intrigue prenante. Niveau CE2.
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CRITIQUE DE L'EXPRESS :
Retour des States, Patrick Mosconi a rassemblé notes, croquis, photos pris pour écrire son roman. Résultat: en CinémaScope et couleurs, un excellent making of, doublé d'un formidable carnet de voyage dans le coeur des Apaches et dans leur mémoire. Montagnes sacrées, chevaux, serpents à sonnette, et surtout la grande colère du chef Geronimo, juste avant sa fin, le 17 février 1909, à 6 h 5 du matin, surgissent de l'album dans la lumière blanche de l'aube. Inoubliables instantanés.
Michel Grisolia
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Très court roman, qui étincelle entre la misère humaine et sa splendeur : une femme détruite, un homme qui tente de la sauver, voilà qu'il devient beau, mais le voilà aussi détruit. Tout est encore plus violent, triste, et fort. Seule la lie de ces caves est un petit bijou noir qui n'a pourtant rien à voir avec le polar. Patrick Mosconi n'écrit pas à l'intérieur des genres, ses romans sont libres et ça fait du bien.
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C’est un très joli livre, qui n’emprunte les chemins du polar qu’afin de mieux traquer les personnages dans les recoins psychologiques dans lesquels ils se terrent. Comme toute la véritable littérature, ce roman sait manier les genres, y entrer et en sortir, et ne se laisse pas réduire à la seule qualification de « polar ». L’auteur créé son propre univers à l’intérieur de l’intrigue. Disons plutôt que c’est un roman d’une noirceur certaine, qui ménage en même temps une belle place à des instants lumineux.
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Une histoire légère, qui n'est pas forcément toujours crédible mais qui étonnamment est agréable.
On pourrait croire que c'est une histoire d'enquête mais finalement elle nous parle de la culpabilité, de l'incidence de celle ci sur la conscience d'un adolescent.
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Le scénario de départ est drôle et original: Michael, un richissime dandy , joueur de poker invétéré, aime séduire de jolies femmes... pour les envoyer dans le lit de son chauffeur Rachid. On se dit que l'on est parti pour quelques heures de détente, voire de franche rigolade, sans plus.
Mais l'affaire se corse: Rachid se lie avec Elena, jeune comédienne hongroise, et n' a plus du tout envie de réaliser les fantasmes de son patron. Michael est joueur, et pas seulement au poker. Elena est comédienne, et pas seulement au théâtre. Démarre alors un véritable jeu de rôles entre ces deux personnages, sous l'œil un peu perdu de Rachid. Michael est un gentleman cynique, désabusé, sûr de son pouvoir sur les autres. Elena veut contrer cet individu qui ne lui est toutefois pas indifférent. Cela aurait pu faire un roman très intéressant traitant des rapports de force entre individus, de la mort, du pouvoir de l'argent. Mais il m'a semblé que Michael en faisait trop, que l'auteur l'a trop caricaturé, d'où un certain recul par rapport aux personnages.
Ceci dit, je ne regrette certainement pas d'avoir lu ce roman pas comme les autres.
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Ce livre raconte l'histoire d'un adolescent nommé Damien. Il se fâche avec son père, qui tombe dans le coma. Sa mère va alors lui dévoiler la vérité sur sa naissance, mais comment Damien va-t-il le prendre? C'est un roman triste avec une fin émouvante. Ce livre m'a plus parce qu'il est émouvant, mouvementé et à des passages tellement captivant qu'il était impossible de la lâcher. Ce qui m'a moins plus c'est le fait qu'il sois tragique. Ce livre permet de s'évader dans un monde triste qui est parfois réel. Ce roman policier est facile à comprendre. Je le recommande pour ceux qui aime les histoires tristes.
Hortense
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j'ai pas aimé se livre car des le début le maitre avait une maladie
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L'écriture est hachée et suit le rythme des attaques. La culture apache est mise en avant tout au long de ce texte qui se refuse à adopter un genre précis : entre histoire, légende, hommage, biographie...
Le peuple apache suit sa route et annonce la nôtre.
Écoutons ces légendes qui aident à trouver des repères pour demain.
Une histoire de migrants et de déportés qui nous interroge absolument.
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Mickael Turner est un riche homme d'affaires qui passe ses soirées au casino à flamber son argent et à humilier ses adversaires malheureux . Les femmes lui tombent dans les bras mais ils les méprisent . Rachid est son chauffeur attitré et un semblant d'amitié les unit .
Elena est comédienne . C'est une jeune fille d'origine hongroise qui vit avec Rachid .Celui-ci lui avoue que Mickael ne touche pas aux filles mais qu'il les lui offre .Comme Elena aime jouer , elle décide de le prendre à son propre jeu .Malgré les réticences de Rachid , elle met au point un plan pour piéger ce casanova .
Ce jeu deviendra bientôt cruel , humiliant pour certains , hésitant entre l'amour et la haine .
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Les 4 premières pages sont suffisamment affligeantes, tant sur la forme que sur le fond, pour ne pas avoir envie de poursuivre.
Un archétype de la pseudo-littérature jeunesse bas-de-gamme qui envahit les rayons des librairies. Aucun intérêt.
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CRITIQUE DE L'EXPRESS :
A 36 ans, Arthur décide de visiter les déserts américains. Il y trouvera Kate et l'amour fou. Un roman noir et sauvage de Patrick Mosconi
Très jeune, l'amour l'avait déçu, le monde, dégoûté. Il partit. Tombé d'une falaise, il survécut. Peintre reconnu, père d'une petite fille, pas malheureux avec sa compagne, Arthur, à 36 ans, a des désirs de désert. Direction l'Arizona, l'Utah, le Nouveau-Mexique, le Colorado, l'Oklahoma. Le silence des pierres, l'indifférence des étoiles. «Un paysage en Technicolor fait de désolation et d'éternité.» Au volant d'une Pontiac de location, il entame sa traversée de la nuit américaine, sur fond de Bach, de musique western et de Rolling Stones. Phoenix, Tucson, Albuquerque. L'eldorado? Peut-être bien Kate, gamine de bar un peu pute, un peu anthropologue, qui pleure facilement: manque de magnésium.
A 16 ans, cette fille de Boston et d'un gradé de l'Otan a perdu sa virginité, découvert Musil et Dostoïevski, monté un groupe de rock grunge. Entre Kate et Arthur, est-ce l'amour fou ou seulement son fantasme? Il se méfie des sentiments, particulièrement de la sincérité, qu'il ne faut pas confondre avec l'authenticité. Elle se dit malade. De sexe, notamment. Lolita des années 80? Love Story on the road?
Entre volonté de vivre et danger de mort, le couple se trahit, se perd, se poursuit, se rejoint, dans un nirvana d'amphétamines et de marie-jeanne filmé par John Ford. Un John Ford déjanté, d'aujourd'hui: du site légendaire de Monument Valley s'élèvent en effet des voix contemporaines, les Rita Mitsouko, Boby Lapointe, un best of de Leonard Cohen. De cet itinéraire d'un vieil enfant gâté, en forme de road-movie érotique, émane un vrai charme, noir et sauvage, entre la Série noire et les chansons d'Eddy Mitchell. Sans nostalgie, sans complaisance.
Michel Grisolia
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La fuite, le désert, et la rencontre avec ce qu'on craint autant qu'on le désire. D'une poésie tout autant aérienne que sombre. Ce roman se lit la nuit, d'une traite, pour s'endormir en chantant les Rolling stones au petit matin.
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