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Critiques de Paula Porroni (16)
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Bonne élève

Une génération neé dans les années 80 qui semble vraiment désespérée, vu les deux livres que je viens de lire à une dizaine de jours d'intervalle, "La dédicace " et celui-ci, deux premiers romans. Le premier d'une française de Paris, le second d'une Argentine de Londres. Dans ces grandes villes qui semblent l'antre de la solitude, où amitié, famille, ou autre chaleur humaine semblent inexistantes, les deux filles des deux romans n'ont en outre, pas ou plus de père, et des relations troublent avec leur mère. L'une cherche une dédicace pour son premier roman, l'autre ayant terminé l'université depuis un bout de temps, un boulot, pour ne pas être obligée de retourner en Argentine. Toutes les deux n'aiment personne y compris leurs mères et surtout eux-mêmes. Inutile de préciser qu'elles sont antipathiques, des personnalités limites.

Ici aussi la noirceur prime avec en bonus, automutilation et du sexe malsain, dont l'auteur aurait pu nous en épargner les détails. Heureusement c'est court, sinon lire à longueur de pages ce spleen agrémenté de détails sordides, c'est éprouvant. C'est le faite que l'écrivaine soit argentine qui m'avait tentée, eh bien j’aurais appris ma leçon, ni tout ce qui brille est de l'or, ni tout ce qui est argentin.



Merci à NetGalleyFrance et aux éditions Noir Sur Blanc pour l'envoie de ce livre.

#Bonne Élève#NetGalleyFrance
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Bonne élève

Dans la vie, il y a des gens qui réussissent sans avoir fait de grandes études, et il y en a d'autres qui sont bardés de diplômes et qui n'arrivent pas à décoller. La narratrice de "Bonne élève" appartient à cette deuxième catégorie. Originaire de Buenos Aires, elle a eu l'opportunité d'étudier l'histoire de l'art dans une prestigieuse université en Angleterre et d'y décrocher un diplôme valorisant et valorisé. de retour dans une Argentine frappée par la crise économique, elle végète quelques années aux crochets de sa mère, son beau diplôme n'y valant pas tripette. En désespoir de cause, elle décide alors de repartir en Angleterre pour tenter d'y trouver un travail à la hauteur de ses qualifications. Mais évidemment, elle n'est pas la seule sur le marché à chercher le job idéal, n'a aucune expérience professionnelle, et est plus âgée que la plupart de ses concurrents. Elle doit finalement se rabattre sur une bourse de doctorat dans une université de troisième zone. En attendant la décision qui lui octroiera ou non ce poste, elle vivote dans des chambres de location plus sinistres les unes que les autres, contrôlée à distance par sa mère, qui épluche les relevés de sa carte de crédit. Sous pression, parce qu'elle ne veut surtout pas rentrer en Argentine la queue entre les jambes, elle adopte un comportement social inconséquent et autodestructeur, et ses agissements sexuels malsains m'ont souvent dégoûtée.

"Bonne élève" dresse le portrait à vif d'une anti-héroïne (d'une génération?) qui, en bon petit soldat, a fait ce qu'on (la famille, les amis, la société) attendait d'elle (bien étudier pour obtenir un bon diplôme et ensuite un bon travail), mais qui découvre, à son grand dam, que ces promesses, qui étaient autrefois des garanties, sont aujourd'hui rendues aléatoires par les crises et l'évolution sociale. Incapable de s'adapter, de rebondir ou d'affronter les attentes toujours plus pressantes de la famille, des amis, de la société, elle se retrouve là isolée, désarmée, égarée, s'entraînant à la course à pied comme s'il s'agissait de rattraper son avenir fuyant comme une fusée. Parce que ses brillantes études lui ont appris à étudier, à maîtriser la théorie, mais pas à devenir adulte ni à vivre sans mode d'emploi. Un roman court, cru et cruel, pessimiste, dans lequel je me suis en (petite) partie retrouvée, sur le sentiment d'échec, le passage à l'âge adulte, l'argent, l'indépendance, et le manque d'estime de soi. C'est du moins ce que j'ai cru comprendre de ce livre, dont le message flou me laisse, au final, perplexe et avec un vague sentiment de malaise.

En partenariat avec les éditions Noir sur Blanc via NetGalley.
Lien : https://voyagesaufildespages..
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Bonne élève

Une étudiante originaire de Buenos Aires part à Londres pour y faire des études et, avec un peu de chance, y trouver un emploi stable. Elle pensait fuir la misère mais c'est une autre misère à laquelle elle va être confrontée dans cette Angleterre de l'après Brexit où les étrangers ne sont pas forcément les bienvenus. Un pitch prometteur donc, d'autant que les éditions Notabilia nous ont confectionné, comme à leur habitude, une magnifique couverture, très graphique, très épurée, très réussie. J'ai le regret de vous annoncer que ce livre n'est pas à la hauteur de sa parure. On y tourne en rond, comme cette pauvre étudiante, entre des scènes de « l'auberge espagnole » en plus trash ou de « Ken Park » en plus soft, à la limite de l'incongru (« ah oui, tiens, si on baisait »). C'est selon. Dommage, parce que le thème du prolétariat international est un thème intéressant, à l'heure de la globalisation et des horizons nationalistes et bouchés. L'héroïne argentine se mutile pour oublier ses frustrations, ses déceptions, les pressions qu'elle subit, à distance, de la part de sa mère qui a mis en elle toutes ses vaines espérances et qui l'espionne par débit de carte de crédit interposé (basique). Mais là encore, l'auteur ne va pas au bout de ces plaies, de leur signification. Rien de spécial donc dans ce petit roman qui a le mérite de se lire vite. Et moi qui me réjouissais de découvrir une écrivaine argentine. Zéro pointé, comme sur la couv'.


Lien : https://www.instagram.com/li..
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Bonne élève

Bonne élève Paula Porroni Noir sur blanc Notabila, janvier 2019, #Bonneélève #NetGalleyFrance

"On ne peut lâcher ce premier roman optimiste et désespéré" nous dit l'éditeur et pourtant ce n'est pas l'envie qui m'a manquée! Seule la brièveté du roman m'a incitée à aller jusqu'au bout de cette descente aux enfers. Une jeune femme argentine, diplômée d'une bonne université anglaise , décide de revenir en Angleterre après quelques années passées en Argentine. La crise économique en Argentine ne lui permet pas de trouver un travail correct donc elle décide de tenter un doctorat , pour cela elle ponctionne les réserves familiales , et repart en Europe. Mais les choses ne se présentent pas comme elle le souhaite et c'est la spirale infernale... Voilà au départ une trame malheureusement classique mais cette "bonne élève" est aussi d'un égocentrisme démesuré et victime d'une addiction , elle se sait perdante, elle se voit perdante et s'autodétruit , automutilation, sévices corporels, alcoolisme , sexe tout est bon pour se punir et se déconsidérer... Un roman troublant, perturbant. Je n'ai apprécié ni le sujet ni l'écriture. J'ai trouvé que ces phrases verbe, sujet, complément autour d'un JE omniprésent d'un ennui incommensurable Quelle déception! Je vais finir par penser que la littérature latino-américaine ne me convient pas et cela ne sera pas faute d'avoir essayé ..

Merci aux éditions Notabila pour cette découverte.
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Bonne élève

« Bonne élève » de Paula PORRONI est davantage le portrait d’une société qui se perd avant même de s’être vraiment cherchée que celui d’une diplômée en Histoire de l’Art qui, déclassée dans le monde creux qui est le sien, cherche à reprendre le chemin des études, bien moins pour atteindre que pour échapper.



La rigueur et la justesse de la description de cette vie bancale n’a d’égale que la pesante noirceur du sujet.



Elle est née en Argentine. Un père décédé a laissé un héritage considérable qui permet à la fille de retourner en Angleterre où elle a décroché, en son temps, un diplôme d’historienne de l’Art qui ne lui offre pas de débouché dans son pays natal. Elle repartira donc à la conquête d’elle-même dans cette Europe dispensatrice de diplômes. Elle en profitera pour mettre de la distance entre elle et sa mère. Et si elle ne trouve pas rapidement ce qu’elle cherche (mais est-elle seulement claire avec elle-même à ce propos ?), elle prolongera sa vie à l’étranger. Ce n’est pas tant la quantité d’argent disponible qui pose problème, c’est plutôt la surveillance qu’exerce sur elle sa mère en épluchant ses dépenses et l’utilisation de sa carte de crédit. Sa génitrice a beau la bombarder de ‘Coucou, chérie’ ou de ‘Ma chérie, je suis contente d’avoir de tes nouvelles !’… elle semble pour autant avoir complètement oublié le prénom même de sa fille qu’elle ne nomme jamais. Et c’est là un premier nœud intéressant à observer. Pour avoir un nom, il faut être. Et pour être quelqu’un, il faut pouvoir le prouver par un rang social à tenir. Elle, la fille, n’a rien de cela. Elle n’a qu’une fonction dans ce récit, narratrice de sa décadence, de sa perte d’elle-même dans l’illusion qu’un travail ne peut que lui être promis, qu’une place ne peut que lui être offerte, qu’une existence digne, reconnue et prestigieuse ne peut manquer de souligner la bonne élève qu’elle a toujours été !

Mais le Monde ne tourne pas ainsi.



Paula PORRONI, par ailleurs nouvelliste, signe ici son premier roman. Traduit de l’espagnol (Argentine) par Marianne Million, il nous décortique la solitude des étudiants étrangers et leurs difficultés à sortir du mépris et du rejet des autochtones. L’autrice souligne la décrépitude d’une vie qui passe de chambre en chambre, sous le contrôle douteux de loueuses exploitantes ou de colocataires dépourvus de chaleur humaine à partager. L’écriture de Paula PORRONI ne chercha à aucun moment à plaire. Elle ne s’autorise aucune impasse. Ni les frustrations retenues des membres d’un jury, ni l’étalage de l’avoir et des caprices d’une amie Anna, ni les automutilations qu’une bonne élève, jeune paumée, peut s’infliger, ni les expériences sexuelles dénudées de sens, de reconnaissance mutuelle, a fortiori d’amour.



Le résultat est glaçant. On ne peut que rejeter une héroïne pareille. L’antihéros n’a pas le moindre côté sympathique à nous offrir. La quête de progrès est une descente aux enfers pour laquelle le lecteur ne peut qu’avoir envie de dire qu’elle, la bonne élève, l’a bien cherché. En tous cas, qu’elle n’a rien fait pour l’éviter !



Et vient le temps du questionnement. Ce roman ne nous raconte rien sur un personnage principal qui n’a même pas de nom… Mais ce roman nous en dit tant sur nous-mêmes, sur nos faussements de valeurs, nos oublis de ce que sont de vraies relations humaines, sur ce que nous pouvons réellement devenir… Bref, sur la vie – la nôtre ? – qui pourrait être celle d’hommes et de femmes debout !



« Bonne élève » est le type-même de roman qu’on n’aime pas … mais qui reste bien utile. Une sonnette d’alarme avant qu’il ne soit trop tard. Un son net appelant au sursaut avant les larmes !



Merci à NetGalley, France et aux Editions Noir sur blanc qui m’ont permis de découvrir ce roman noir bien utile.

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Bonne élève

Elle est une étudiante douée, diplômée mais, crise oblige incapable de trouver un emploi chez elle, en Argentine. Elle reprend la direction de la Grande-Bretagne avec pour objectif de travailler, non sans bénéficier des larges subsides de sa mère.

De mal en pis, elle s’enfonce dans la précarité. Elle travaille, en attendant mieux, mais sans jamais rien voir venir.

Il faut dire, que notre héroïne ne fait pas grand-chose pour se faire apprécier, pour se mettre en valeur. Une looseuse, en quelque sorte ; une looseuse volontaire, qui, je dois l’avouer, m’a assez vite agacée.

Nous voilà devant un roman court (et c’est heureux) dont je n’ai pas aimé le personnage principal, ni l’histoire, en tout cas le terme de l’histoire, à mon sens sans queue, ni tête.

J’imagine aiment que ce roman trouvera son public ; il ne répondait pas à mon attente du moment.


Lien : https://leblogdemimipinson.b..
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Bonne élève

Ne trouvant pas de travail à Buenos Aires, la narratrice, une jeune fille argentine, revient en Angleterre où elle a obtenu un diplôme en histoire de l'art. Sa mère subvient seulement à ses besoins pour un temps, son père décédé ayant laissé un petit héritage. Elle espère sortir la tête de l'eau et raccrocher avec les petits boulots qu'elle exerce. Mais les offres d'emploi sont rares et quand il y en a une, elle doit s'arranger pour faire disparaître quelques années de son CV. Mais, elle parvient à décrocher une bourse pour une thèse. Certes, l'université n'est pas prestigieuse mais c'est déjà ça.



La narratrice vit dans la peur d'échouer et celle engendrée par sa mère qui surveille à la loupe ses dépenses. Constamment sous pression, elle va d' hébergements temporaires en sous-locations minables. Enfermée dans une spirale avec une épée de Damoclès au-dessus de sa tête, elle inflige à son corps des mutilations et des privations.



Ce court roman est assez anxiogène et je suis très partagée car j'ai trouvé l'ensemble très inégal. Il y a des passages assez crus ou sans intérêt et j'ai souvent eu l'impression de tourner un peu en rond sans comprendre où l'auteure voulait en venir. Avec une écriture sans artifices, cette lecture n'a pas su me convaincre. Dommage...
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Bonne élève

La réussite scolaire fait-elle tout ? Pas vraiment !

L'héroïne (ou anti héroïne plutôt !) de ce premier roman est une jeune étudiante originaire de Buenos Aires, venue en Angleterre pour des études d'histoire de l’art.

La réussite scolaire est là, mais le travail ensuite, non.



Un retour à Buenos Aires aux couleurs de l'échec, et puis un sursaut et repartir: sa mère peut lui financer une nouvelle année en Angleterre, aux allures de couperet.

Un an pour réussir à trouver du travail et à y construire sa vie...





C'est cette nouvelle année en Angleterre qui nous est dévoilée, d'échecs en désillusions, de "baissage de bras" en petits boulots, de logements de plus en plus minables en rencontres pas toujours positives, on suit le glissement de la jeune femme, au fur et à mesure que le pécule familial fond.



Elle sombre de plus en plus, s'auto-mutile, vit une sexualité tout sauf romantique, ne pense qu'à elle, profite à fond de l'argent de cette mère qu'elle ne semble guère apprécier... c'est l'anti-héroïne parfaite, pas très attachante, perturbée et perturbante. On aurait envie de la secouer plus que de lui tendre la main !



Au final, je ne sais pas trop quoi en penser... impression d'être passée à côté du message de ce roman? Je guetterai d'autres avis!
Lien : http://lecture-spectacle.blo..
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Bonne élève

La narratrice n'a plus qu'un an pour se trouver un emploi en Angleterre et ainsi tirer parti du diplôme d’histoire de l'art qu'elle a brillamment obtenu dans ce pays il y a quelques années. Sans quoi, retour à la case départ dans son pays d'origine, l’Argentine.

Les pressions sur cette jeune fille brillante sont nombreuses: celle de l'argent de l'héritage paternel qui lui est bien évidemment compté, celle de sa mère restée au pays, celle de son père que, par-delà la mort elle continue entendre et surtout celle qu'elle se met elle-même, infligeant à son corps à la plus petite tentative de relâchement , de supposée faiblesse, de multiples et variées mutilations.

Cette tension irrigue tout le texte, faussant jusqu'à la vison des événements qu'a la narratrice concernant son propre comportement. Elle n'en reste pas moins lucide sur l’opposition existant entre les étudiants autochtones issus de milieux favorisés qui auront l'embarras du choix d'un travail favorisé par la réputation de l'université et par les relations familiales.

Un roman parfois suffoquant et d'une puissance extra-ordinaire.
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Bonne élève

La narratrice, originaire de Buenos Aires, a toujours été une bonne élève. Elle a fait des études d'Histoire de l'Art dans une excellente université en Angleterre. Lorsqu'elle retourne en Argentine, impossible de trouver un travail à la hauteur de ses espérances. Elle repart en Angleterre, mais ne décroche pas le genre de métier qu'elle vise. Elle finit par obtenir une bourse de doctorat, mais cette fois-ci elle est dans une université de second choix. Peu à peu, elle décroche et dépense tout l'argent que sa mère lui envoie pour poursuivre ses études un an de plus.

Déchéance, désillusions, isolement, mal être de la jeune femme rendent cette lecture pénible. On tourne et on retourne les mêmes problèmes dans tous les sens sans aucune lueur d'espoir. Vraiment désespérant !
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Bonne élève

Bonne élève explore avec une lucidité aiguisée ce moment de flou où l’on est encore trop jeune pour se prévaloir d’une vie installée, mais déjà trop vieux pour avoir encore le droit aux trébuchements des néodiplômés.
Lien : https://www.lemonde.fr/cultu..
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Bonne élève

La première personne de ce roman est une voix terrible : une brutalité féroce, sans aucun recul sur le monde, qui nous enferme dans un circuit fermé.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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Bonne élève

Si ce titre me tentait au premier abord, j'ai eu du mal à réellement apprécier ma lecture. On nous promet un roman optimiste mais avec une héroïne ambivalente. J'ai retrouvé sans mal le deuxième point, et cela ne m'a pas tellement dérangée, puisque le comportement de cette étudiante, maussade et désabusée, semble dénoter parfaitement l'ambiance de crise dans laquelle elle tente de s'en sortir. En revanche, j'ai eu beaucoup de mal à trouver où était l'optimiste. Au contraire, j'ai trouvé ce roman assez négatif et pessimiste, cet qui ne m'a pas aidée à l'apprécier. J'ai même trouvé certaines scènes franchement dérangeantes, des scènes d'auto-mutilation qui viennent noircir encore plus une intrigue et un personnage déjà difficilement appréciables.



Peut-être cette lecture n'était-elle pas pour moi, et peut-être suis-je passée à côté de l'intention de l'autrice ? Je n'en retiens en tous cas pas le meilleur.
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Bonne élève

j'ai adoré ce livre, je l'ai trouvé passionnant. Très facile à lire, tout en finesse et très bien écrit, je l'ai pratiquement lu d'une traite. Paula Porroni nous offre un magnifique portrait d'une jeune femme perdue dans l'immensité de sa propre vie. Elle se cherche mais peine à trouver sa voie, sa raison d'exister, se raccroche à ce qu'elle peut, tente désespérément de ne pas chuter. Un beau roman qui nous parle de la complexité de la vie humaine, de la difficulté pour les jeunes d'aujourd'hui.à trouver leur place dans la société.
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Bonne élève

Le roman de Paula Porroni se décline en une narration à la première personne qui nous installe dans un présent anxiogène.


Lien : https://www.ledevoir.com/lir..
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Bonne élève

Dans Bonne élève, son premier roman, Paula Porroni narre les espoirs et déconvenues d’une universitaire argentine en Angleterre.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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