14 juin 1925. C'est la date de naissance de Julia Wallach, qui a été déportée à Auschwitz-Birkenau après avoir été dénoncée par sa voisine. Elle publie avec Pauline Guéna "Dieu était en vacances", aux éditions Grasset. Elle vécu pendant deux années au rythme des camps et des marches de la mort. Elle parvient à s'évader avant d'être reprise pour finalement, être libérée en 1945."Je ne sais q'une chose, si je n'avais pas eu d'humour, je ne serais pas là. Je ne me suis pas laisser faire », témoigne Julia Wallach. Retrouvez l'intégralité de l'interview ci-dessous : https://www.france.tv/france-5/la-grande-librairie/
"Puisqu'on part de rien pour arriver nulle part, autant y aller vite. "
Un soleil d’hiver, blanc, ras, aveuglant, pâlit les murs anciens et les pelouse gorgées d’eau. Palacio se gare dans une petite cour herbue à l’arrière du bâtiment. Le vent agite les têtes de quelques chardons entre les dalles de pierre.
La loi impose la présence d’un officier de police judiciaire durant la totalité de l’autopsie alors qu’il n’y sert à peu près à rien et que l’examen dure parfois cinq heures.
Quand on parle peu et qu’on prend la parole, c’est comme si on était le sage, L’oncle qui a un peu tout vécu mais qui dit jamais rien dans les repas de famille. Quand il l’ouvre Tout le monde se tait
Le siège de la PJ est une ruche installée sur quatre étages au-dessus du commissariat qui occupe le rez-de-chaussée. Au deuxième, c’est la direction, portes fermées, les services administratifs, le poste de répartition des saisines – où l’on n’entre pas sans sonner -, des secrétaires et une grande salle de réunion aujourd’hui aménagé en PC de crise.
La maison est une colonie de travail : plusieurs chambres pour la bande à l’ouvrage, un grand salon plein de matériel informatique, Une baie vitrée qui ouvre sur une magnifique terrasse en bois surplombant la vallée avec à gauche, une piscine. Ce n’est pas les Stones à Villefranche-sur-Mer, c’est plutôt ambiance Steve Jobs et Silicon Valley.
La technologie est le troisième membre du groupe [Daft Punk], une chanteuse invisible, avant-gardiste, énigmatique.
[...] en cette fin des années 1980 [...] Shazam et Internet n'existent pas, quand on repère un son il faut aller le chanter au vendeur d'un magasin de disques, ou attendre qu'il repasse à la radio et appeler l'antenne.
Un pas en arrière, Guy Man à la beauté gracile d’un ange de mauvaise humeur
La salle est pleine à craquer. Il sent 450 corps se presser contre lui dans la minuscule pièce plongée dans le noir. La moitié d’entre eux sont là pour signer les nouveaux Sex Pistols
Là, il a trouvé le passage sur Darlin' : "The two Darlin' tracks are a daft punky trash [...]" Il laisse tomber le journal sur ses maigres genoux, sonné. "A daft punky trash" !
Qu'est ce que le narrateur s'invente ?