Citations de Philippe Geluck (862)
Le second degré, c'(est faire croire qu'on est méchant alors qu'au fond on est gentil. On utilise la méchanceté comme gag, ou s 'amuse d'une situation que l'on ne cautionne pas.
"Blesser autrui" est une notion très particulière. Ca dépend de la susceptibilité de chacun, du contexte culturel, social, cultuel. On ne doit pas se laisser enfermer dans la susceptibilité d'autrui, qui deviendrait envahissante. Si on y réfléchit, tous les sujets délicats peuvent être mal pris, et si on ne peut plus rire de ce qui pourrait mettre mal à l'aise, alors évidemment, on ne peut plus rire de rien.
C'est important de dire aux artistes comme on les aime. On ne s'abaisse jamais quand on exprime son admiration. Parfois, on court le risque de se prendre un vent. Peu importe.
On ne peut pas obliger un enfant à se passionner pour une discipline artistique, mais on peut semer des graines, on peut cultiver le terreau. Après, la plante pousse ou ne pousse pas.
Quand on se retrouve dans une situation embarrassante, on apprend très vite l'autodérision.
Dans le mot "riche" tu as les mêmes lettres que dans "chéri". Mais aussi que dans "chier".
Mozart et Picasso sont peut-être des génies absolus, n'empêche que les toiles de Mozart sont aussi nulles que les sonates de Picasso.
Maillou (n. m.).
Du grec maillos signifiant maillet.
Un maillou est un marteau monté à l’envers. À la place du fer, il y a le manche, et à la place du manche, il y a le fer. D’aucuns prétendent qu’il suffit de le retourner pour l’utiliser comme un marteau normal.
Je n'aime pas beaucoup qu'on partage mon opinion, j'ai l'impression de n'avoir plus qu'une demi-opinion.
Si je suis ce que je suis, c’est parce que j’ai été ce que j’étais et que j’espère bien devenir ce que je serai.
Je n’aime pas beaucoup qu’on partage mon opinion, j’ai l’impression de n’avoir plus qu’une demi-opinion.
La principale différence entre le boucher et le banquier, c’est qu’il en y en a un des deux qui ne dira jamais: “il y a un peu plus, je vous le mets ?”
Le paradis, c’est rempli de gens qui pendant l’éternité vont se raconter des souvenirs de leur vie.
L’enfer, c’est pareil , sauf qu’en plus chacun a apporté ses diapos.
Le coup du lapin, ça doit être terrible chez la girafe.
J ai croisé des grands cons et même des vrais cons qui étaient loin d'être cons.
Le chat tient une colombe sur son doigt et dit: "Il y a deux sortes d'individus qui s'attaquent à cet oiseau: les faucons et les vrais"
À demain les indiens
Se dit en anglais :
Sioux Tomorrow
Un suicide
C’est toujours un échec
Et pourtant un suicide réussi, c’est tout de même une réussite
Tandis qu’un suicide raté, c’est un double échec
Épeichette (n.f.). Poisson de la mer Morte obligé de manger des cailloux pour ne pas flotter à la surface. L’épeichette s’alourdit tout au long de sa vie et finit par toucher le fond, où elle coule des jours heureux.
pour les aveugles, les bougies, ça sert à se chauffer