Princesse Camcam

J'ai lu ce livre avec ma fille de 7 ans qui a le même âge que la petite Marie de Paris.

On a trouvé les dessins bien détaillés et très jolis.

Marie nous présente sa ville, ses amis et sa famille mais au final assez peu la ville de Paris. J'aurais aimé trouver plus de pages sur Paris même, des lieux plus insolites et d'autres plus emblématiques.

Cet album reste très agréable et ma fille l'adore. Et il me semble que c'est le plus important puisqu'il s'adresse à sa tranche d'âge.



Nous avons reçu ce livre dans le cadre de la dernière édition de Masse Critique.

Merci à Babelio et aux éditions ABC MELODY.

MON COUP DE CŒUR , cette histoire est magnifique, un petit garçon nous raconte son histoire de famille avec ses mots il parle de transition et d'amour .

Je me suis complétement identifiée aux images du livre avec les petits commentaires adorables de l'enfant. Drôle, émouvant, ce livre donne à réfléchir aux petits et aux grands sur sa place au sein d'une famille.

Un très beau travail de collaboration entre l'illustratrice et l'auteur Frédéric Kessler!

J'étais très intriguée par cette bande dessinée et par son sujet.

Les attentats de Paris sont encore très récents dans nos mémoires et nos cœurs et j'aime que des auteurs écrivent sur le sujet tout en ayant toujours avec une appréhension.

J'ai été déstabilisé par cette bande dessinée que j'ai trouvé trop courte pour sonder les profondeurs des sentiments des enfants et de leurs parents (papa et oncle).

Finalement j'ai trouvé qu'on restait un peu en surface.

Il y a pourtant de la délicatesse, de la force et de la poésie dans cette narration qui m'a tout de même émue.

Le dessin, bien qu'agreable n'a pas su m'embarquer.

Je suis un peu mi-figue mi-raisin après cette lecture, j'ai pourtant laissé décanter pour avoir les esprits plus clair.

Cette jolie histoire de deuil méritera une relecture pour affiner mes ressentis.

Merci à Babelio et aux éditions Delcourt de l'avoir permis de découvrir ce titre.

Cet ouvrage m'a réconciliée avec Maupassant. Voilà.



Pour le bac français, l'une des œuvres imposées était Bel Ami.

Et j'ai détesté. Parce que les femmes y sont présentées comme des marches-pieds de l'ascenseur social. Mais là n'est pas le sujet. La réalité est que j'ai détesté Maupassant pour ces propos que je lui ai attribués.



Alors merci à Camille Garoche pour son travail d'illustration de ces Trois contes. Je me suis glissée dans cet ouvrage comme on se glisse dans un lit froid qui se réchauffe peu à peu et dans lequel on s'endort avec délectation à la fin.



La forme nouvelle courte / fantastique, le style très proche de celui de Poe, a débuté son travail de fonte de glace.

Et les illustrations, quel bonheur pour les yeux !

On y retrouve tout le style charmant et suranné de la langue de ces Trois Contes. En plus de l'admiration que j'ai pour cette technique de découpage et montage 3D, ils retranscrivent très bien l'angoisse et la terreur des personnages.



Bref, c'est une belle surprise que cet album.

Je suis juste frustrée que ce soit si court !

Après le décès de leur mère, ils emménagent loin de Paris. Là où les arbres sont verts et la nature accueillante. Enfin... presque. Car les moqueries au collège persistent pour la grande sœur et le silence entoure toujours le petit frère. Lorsqu'ils vont tomber sur des louveteaux, les deux enfants vont décider de les prendre en charge. Mais est-ce raisonnable ? Peut-être bien.



Cette bande dessinée est une véritable petite pépite. Loin des clichés, l'histoire fourmille de détails, raconte bien plus par les images que ce que les bulles disent et l'émotion est saisissante à chaque planche. On est pris par le suspense, happés les sentiments, subjugués par les dessins.

Une vraie merveille à ne surtout pas manquer.
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C'est toujours un plaisir de lire un livre à volet. C'est la surprise à chaque pages. On se promene dans le jardin et on découvre les animaux. Il fait toujours plusieurs lecture pour bien tout découvrir. Les dessins sont assez réalistes. On a bien aimer avec mon fils.

Anouk et Sacha viennent s'installer avec leur père en province, en lisière de forêt. La famille se remet difficilement de la disparition de la mère, morte brutalement quelques temps plus tôt. Les deux enfants découvrent des louveteaux en danger après que leur mère a été tuée par leur oncle, un acharné de la "lutte" anti-loups. Ils décident de s'en occuper, pour leur donner une chance de survivre, mais l'entreprise n'est pas simple dans une contrée où les loups sont essentiellement perçus comme une menace pour les troupeaux.

Une très belle histoire autour du difficile deuil d'un parent, et la reconstruction par un projet un peu fou ... Les dessins sont magnifiques, les personnages bien loin de tout manichéisme ; personne n'est vraiment très gentil ou très méchant, mais chacun porte ses blessures et tente comme il peut de s'en affranchir. Les ennemis d'autrefois peuvent se liguer pour une cause qui en vaut la peine ...

Je recommande vivement aux jeunes lecteurs, à partir de la 4ème sans doute, et je remercie #NetGalleyFrance pour le service de presse numérique, ainsi que les éditions Delcourt.

C’est une lecture plutôt émouvante ! j’ai trouvé que l’esthétisme et l’histoire allaient très bien ensemble. J’ai trouvé le coup de crayon plutôt doux et si certains pourront peut-être le trouver un peu “enfantin” je trouve qu’il est très en adéquation avec l’histoire et son ambiance. Cette cohérence est importante pour moi !



Passons maintenant au fond. J’ai trouvé cette histoire très touchante, car cela aborde le deuil, ici autour de la figure de la mère. Que ce soient les louveteaux ou les enfants, ils ont tous perdu leur mère. J’ai aimé le traitement de ce sujet, d’une façon très douce, et en miroir, d’une façon très intelligente. C’est très émouvant, car en sauvant ces louveteaux, ce sont eux qu’ils vont sauver. C’est doux et beau !



Ensuite, j’ai trouvé que l’histoire était touchante pour l’amitié qui se développe, et ce duo de cette grande sœur et de son petit frère qui ne parle plus est émouvant. La solidarité, le courage et l’entraide entre divers âges sont quelque chose de frais et agréable à découvrir. J’ai trouvé que l’histoire familiale d’Anouk et Sacha était bien menée aussi, avec du rebondissement tout en laissant place à de l’émotion.



Une lecture émouvante, qui trouvera facilement son public et que je recommande !

"Ma petite louve" part d'un postulat intéressant, il se laisse facilement lire, il y a des idées, mais aussi des maladresses, un manque d'émotion et de liant avec les personnages, et un graphisme moyen.

Cet one-shot est édité par Delcourt et de Camille Garoche qui a aussi fait "Trois contes de fantômes" et "Fox's Garden".

L'album s'ouvre sur un loup en pleine forêt, et là c'est beau. Mais les visages humains m'ont bien moins plus. Anouk et Sasha débarquent avec leur père dans un petit village, ils viennent de la ville et sont en deuil suite à une tragédie. C'est sans doute depuis lors que Sasha ne parle plus. Il est appréciable de voir malgré les chamailleries, une belle unité entre le frère et la sœur. Ils débarquent tous chez l'oncle, le frère de leur mère.

Le père est pratiquement que l'ombre de lui-même, on le voit très peu au final, sauf vers la fin.

Les deux enfants vont trouver 4 louveteaux et se prendre d'affection pour eux. Ils vivent également une situation en parallèle étant privé de leur mère. Ils vont également finir par faire le lien avec d'autres jeunes gens. Leurs débuts dans leur nouvelle école est une catastrophe.

Il y a des comportements très stupides, immondes, et aucune prise de recul n'est faite dessus. On y assiste, mais sans qu'on dénonce que ce n'est absolument pas quelque chose à faire, et / ou de tolérable. A se demander quelle éducation reçoivent certains pour oser sortir des choses pareilles.

Il se laisse lire, les louveteaux sont les plus adorables, mais le traitement et le graphisme des personnages ont peiné à me convaincre.

Une dessinatrice extrêmement douée, un voyage autour du monde et un thème propice à la créativité : tous les ingrédients étaient réunis pour un très bel album… À contempler sans fin pour y trouver de nouveaux détails, nombreux dans ces grandes pages doubles, et se laisser émerveiller par la beauté et délicatesse du dessin.

Quel album jeunesse super chouette ! J'ai adoré découvrir cet ouvrage, qui fait pleins de clin d'oeil aux classiques de la littérature pour enfants. Il regorge de flaps à soulever pour notre plus grand plaisir, on découvre des petits détails cachés dans chaque recoin des doubles pages. Une aventure où le jeune lecteur est acteur de l'histoire. Les illustrations sont pleines de couleurs, de détails, elles sont superbes à découvrir ! Une histoire à découvrir sans aucune hésitation, qui vaut largement le détour dès 4 ans !
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🪵 Un très bel album jeunesse où l'on part à la découverte de cabanes du monde entier.



🌳 Il se compose d'une double page présentant succintement l'arbre où se trouve la cabane. Puis une nouvelle double page illustrée avec ladite cabane! Pleins de références s'y glissent et c'est un bonheur pour les yeux. Petite préférence pour le premier 🥰



🪶 Le plus qui m'a fait rire : à la fin on peut vraiment voter pour sa construction préférée via un mail !


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Voilà un conte hivernal très onirique, qui parle de handicap mais surtout de possibles. J'ai été séduite par le travail somptueux de l'illustration, qui m'a bluffée. Camille Garoche a agencé des papiers découpés et les photographiés, de manière à créer des effets de profondeur et des jeux sur les lumières. La végétation enneigée s'en voit sublimée. Magnifique.

Peu de narration dans cet album. Ici, l’essentiel c’est d’en prendre plein la vue ! Chaque double page présentant une cabane demande presque au lecteur de s’y arrêter, pour prendre plaisir à parcourir la page et en découvrir les nombreux détails imaginés par Camille Garoche. L’album permet aussi de découvrir des arbres majestueux qui existent sur notre planète. Je m’attendais à un fil narratif plus présent, ici on se situe finalement un peu entre un livre-jeu et un livre documentaire (d’une grande beauté !). L’album stimule la créativité du jeune lecteur : en fin d’album, il est invité à créer et dessiner sa propre cabane !

Dans un petit format à l'italienne, l'histoire de Mademoiselle Coton fait tout de suite écho à un célèbre récit, celui d'Alice aux pays des merveilles. On y retrouve notamment le goûter avec les animaux, la fuite d'Alice dans un terrier...mais les ressemblances s'arrêtent là à part le message de fond qui reste le même : savoir garder son âme d'enfant...un bel album sans texte.

Un nouvel album signé Marie Pavlenko (texte) et Camille Garoche (illustrations) qui fait évidemment référence au grand classique de la littérature jeunesse De la petite taupe qui voulait savoir qui lui avait fait sur la tête de Werner Holzwarth et Wolf Erlbruch.
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Critique express sur ce livre lu dans le cadre du Pumpkin Autumn Challenge 2020 et qui a été grosse déception...



J'ai beaucoup aimé le travail d'illustration de Camille et le format Beau-Livre avec ses pages en dentelle de papier. J'ai apprécié le dossier en fin d'ouvrage qui explique la manière dont l'illustratrice réalise ses dessins et découpes de papier pour les prendre ensuite en photo. Ce procédé est très intéressant. Côté histoire, étant fan de longue date de Maupassant (avec le Horla, notamment), je m'attendais à frissonner comme il se doit avec des contes de fantômes. Mais si la première histoire intitulée Apparition, m'a fait un peu trembler, les deux autres m'ont laissée de marbre. Peut-être est-ce un problème d'époque ? De nos jours, d'autres écrivains manient le fantastique et l'horreur de façon plus poussée et je pense que j'avais des attentes trop hautes vis à vis des histoires.



Bref, un Beau-Livre intéressant pour sa forme plus que son contenu.

Très joli album captant rapidement le regard, le conte onirique est sans texte et se base uniquement sur votre imagination et votre vision. Faits d'illustrations découpées, c'est tout simplement doux comme la neige.

Touchant, poétique, drôle parfois, émouvant souvent, L'album de famille est un livre à découvrir.

Construit avec des anciens clichés en noir & blanc, en passant par des photomatons, des photos de classe, des photos plus "traditionnelles", tous ces clichés rassemblés sont commentés par le petit garçon qui nous raconte l'histoire de sa famille.

Cette astucieuse construction permet d'aborder la vie dans tous les évenements qui jalonnent son cours : l'amour, la naissance, la mort, les temps forts : les anniversaires, les réunions de famille, les fêtes traditionnelles, les vacances, mais aussi les bons moments partagés moins "officiels" mais gravés sur pellicules.



C'est doux, c'est beau, c'est tendre, c'est ce qui fait une vie, c'est ce qui est essentiel : la tranmission du passé de ce qui fut, c'est ce qui fait l'essence de chacun, notre histoire personnelle, ce qui nous permet de nous construire.



Ça donne envie d'imprimer des photos plus souvent et de refaire des albums photos.

"Le lapin de neige" de Camille Garoche aux éditions Casterman est un conte magnifique!

Des illustrations sublimes, douces et chaleureuses. Sans texte, l'imagination de l'enfant est libre de lire les images comme il le souhaite. Une ambiance magique dans une forêt enneigée, decor fantastique pour ce livre à couper le souffle! Une jolie approche du handicap et de l'entraide.

C'est la première fois que j'offre un album sans texte à ma nièce, j'ai hâte de voir comment elle y réagit!
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