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Critiques de Robert Soulières (123)
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Un cadavre de luxe

se livre parle d'un inspecteure qui se fais ''kidnaper mes ses organiser'' il fais sa pour partire en voyage a vec sa colleg de travaille et puis il parte en croisiere et la il y a un meurte sur le bateau et la il fon l'enquète et il decouvre que... liser le livre critique:je trouve que se livre est tres bon a lire si vous aimer les ecrivains qui fon des blague tout en ecrivan le livre je le cotte 7 sur 10 =)
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Un cadavre de luxe

Cadavre de luxe





Ces l’histoire d’un inspecteur qui va en croisière avec sa coéquipière et il va y avoir un meurtre et l’inspecteur va travailler avec sa coéquipière pour résoudre le meurtre , de Monsieur Jones mais en faite va découvrir en cherchant des indices résoudre un mots caché et en fait cela va être la chienne de Jones qui va l’avoir tué.

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Un cadavre de luxe

c'est un bon livre. Ilse passe des tres bon moments ou il y a de lémotion, de laction et de la romance. Je laime parceque jadore les livres dénigme. C'est un livre tres rigolo, car l'auteur parle entre les chapitres se qui est tres amusant. C'est petits comentaires son rapporter a l'histoire.



ce livre parle d'un policier et d'une policiere qui font une croisiere. Un soir ils font



>modifier

une courte marche et ils entandent un bruit sourd. Il savent de quoi il sagissait, car il son policier.Il sagissait d'une flèche d'arbalette , qui a attain un homme d'une quarentaine d'année. Cet homme a été toucher a un endroit ou il ne pouvais pas survivre. Les deux policier on pu ouvrir un enquête et la résoudre dans un délet assé résonnable. Le meurtrier était ... le chien du propriétaire !!! incroyable !!!! L'homme avais dressé son chien a déclencher l'arbalette avec le brui de son cigare . L'homme cétait suicider a cause de son problème financier. Les deux policier ont pu enfin terminer leur voyage tranquille.
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Un cadavre de luxe

C'est un livre policier qui parle d'un détective qui engage un homme pour qu'il se fasse passer par un kidnapeur et enlève le détective et une femme du nom de Élisabeth.Puis,le lendemain,(c'était la nuit)le kidnapeur les emmène à l'aéroport pour un voyage,mais la sueprise c'est que ce n'est pas le kidnapeur qui part,mais bien Élisabeth et le détective.Puis plus tard dans le livre il se passe des choses étrange...

Je trouve le roman très bon.
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Un cadavre de luxe

Nous avons lu< un cadavre de luxe> et voici notre critique.

Nous avons pas aimé les blagues et elle étaient très inutiles dans l'histoire.

De plus, le récit n'avançait pas parce que l'humour était trop présent.



Nous le conseillons aux personnes qui aiment les livres humoristiques.



Maya,Tom,Alex et Dylan
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Un cadavre de luxe

J'aime beaucoup la série "Un cadavre..." de Robert Soulières pour l'humour que chaque tome contient (jeux de mots, blagues, commentaires du narrateur aux lecteurs, etc.) Les élèves qui sont de moins bons lecteurs apprécient toujours ces romans faciles à lire, amusants et en même temps intrigants.

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Un cadavre de luxe

J’aime vraiment ce livre il y a beaucoup de détail et beaucoup d’information j’apprécie beaucoup ce livre et je veux que vous donner ce livre une chance alors ça ces ma critique je alaire que tu va donner ce livre une chance.Aurevoir ps: donne une chance à cassé tête chinois aussi
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Un cadavre de luxe

le secret d'Anca: c'est un livre très compliquer a comprendre, car il a beaucoup de choses qui se produise en meme temps. Mais par exemple pour ceux qui aime l'action et la tragédis c'est un super livre avec plein de petit drame qui se déroulera entre un groupe dami(e)s.
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Un cadavre de luxe

jaimais bien ce qui se passait au début.

ensuite il y a eu le coup monter... bon cétait moins amusant... :S

et plus loin (beaucoup plus loin) il y a eu la fin qui elle...navait vraiment pas rapport avec lhistoire!!

et en plus au début il y a trop de bla bla... :S
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Un cadavre de luxe

resume:c'est un policier qui est sur une croisiere avac son assistante et doit resourdre un meurtre





critique:interessant , intrigant et s'est inprevisible je l'ai trouve tres bon
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Un cadavre de luxe

ce livre est pa a jour et ya plein de mot compliquer que je comprend pas. C'est un roman policier mais beaucoup de bout inutile pour les lecteurs.
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Un cadavre de luxe

Ce roman jeunesse humoristique est un petit bijou qui plaira aux amateurs de romans policiers, peu importe leur âge.
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Un cadavre de luxe

Dans ce second volet des enquêtes rocambolesques de l'inspecteur et de la belle Élisabeth, les deux personnages sont à bord d'une croisière à destination de Cuba quand un décès mystérieux survient. Au grand désespoir de l'inspecteur qui comptait profiter de ces vacances pour conquérir le coeur d'Élisabeth, il faudra travailler et enquêter et mettre sur pause ses projets.

Alors que l'inspecteur penche pour l'hypothèse d'un meurtre, Élisabeth est convaincue qu'il s'agit d'un suicide sans parvenir à dire pourquoi. Qui a raison ? En tout cas, ce qui est certain, c'est que l'inspecteur ne chôme pas ! Il s'en pose, des questions existentielles :

- Quand on tue le temps, est-ce que c'est de la légitime défense ?

- Quand on danse le meringue comme au chapitre 3 ½, est-ce qu'on a l'air tarte ?

- Si un assassin descend un escalier, est-ce qu'on doit l'arrêter ?

- Les chercheurs d'or ont-ils toujours mauvaise mine ?

- Quand on enquête avec diligence, est-ce qu'on peut monter sur nos grand chevaux ?

- Quelle est la vraie couleur du caméléon ?

- Peut-on vivre en paix à Grenade ?

- Peut-on se permettre d'être laid à Nice ?

- Peut-on vivre maigre en Grèce ?

- Pourquoi les vaches se lèvent-elles à l'heure des poules ?

- Les daltoniens peuvent-ils voir la vie en rose ?

- Les pompiers, une fois vieux, finissent-ils leurs jours dans un foyer ?

J'ai bien aimé cette suite de Le cadavre de classe. Si comme dans le premier volet, l'humour devient un peu lourd à la longue, j'ai trouvé que l'intrigue policière se tenait davantage que dans Le cadavre de classe. Même que traitée de façon plus sérieuse et détaillée, elle aurait pu faire une bonne intrigue pour Agatha Christie !

Mais bien entendu, l'intrigue n'est pas tout tout traitée de cette façon ! Comme dans le premier tome, Le cadavre de luxe regorge d'entorses au schéma narratifs, de notes en bas de pages, de jeux de mots et d'autodérision. C'est un couteau à double-tranchant : si au début, on s'en plie en deux de rire, il ne faut pas tarder à arrêter notre lecture parce qu'on se fatiguerait vite. Par la suite, il vaut mieux lire le roman a petites doses, vous en apprécierez davantage l'humour de l'auteur ! Comme on dit, la modération a bien meilleur goût !
Lien : http://lecturesdisabelle.blo..
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Un cadavre de luxe

J'ai adoré lire ce livre en 1999.

En secondaire 1 au Collège Durocher Saint-Lambert j'ai pu rencontrer Robert Soulières et cette rencontre fut très marquante. J'ai toujours mon livre dédicacé. J'ai poursuivi ma passion de l'écriture dans une carrière de journaliste. Merci Robert Soulières!
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Un cadavre stupéfiant

J'ai moins aimé de tome-ci de la série de l'inspecteur et de la belle Élisabeth que les deux autres. Les deux autres tomes, malgré leurs nombreux écarts, contenaient une véritable énigme policière. Ici, le côté policier est encore plus mis de côté pour faire place aux digressions et aux fantaisies de l'auteur. De plus, la disparition d'Élisabeth, de son fils et de son chien se transforme en une espèce de son roman de science-fiction qui semble hors de propos, ce qui ne m'a pas plu du tout.

J'ai quand même ri à de nombreuses reprises de l'humour de l'auteur. Il est intraitable, et infatigable, aucun doute là-dessus !
Lien : http://lecturesdisabelle.blo..
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Un cadavre stupéfiant

J'adore l'humour et la qualité de la langue de l'auteur; sa plume force le lecteur à réfléchir... Les romans de monsieur Soulières sont de petits bijoux qu'il faut prendre le temps de lire en entier (sans oublier les petites phrases en tête de chaque page, les notes en bas de page, la biographie de l'auteur et la 4e de couverture), pour ensuite les relire lentement (il y a toujours quelques détails qui nous ont échappés).

Une mention spéciale pour l'audacieuse mise page, avec le parfum d'Élizabeth à gratter et à sentir (p. 43) et l'échantillon de tissu de l'habit du marié (p. 45).
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Un cadavre stupéfiant

Littérature jeunesse, un polar humoristique et « science-fictionique » pour donner le goût de lire (et de rire…)



Un roman où Robert Soulières ne fait pas que raconter une histoire, il interpelle le lecteur, ajoute des digressions et des commentaires. Il s’investit beaucoup, on a même droit à une photo de nu de l’auteur !



Parsemé de jeux de mots, tirant parfois vers l’absurde, avec des surprises d’édition comme d’inclure un morceau de tissu collé sur une page, un ouvrage amusant, sans côté moralisateur.



Même si je ne suis pas le public cible, j’ai apprécié découvrir cette littérature jeunesse du vingt-et-unième siècle et de réaliser combien elle est loin des « Petites filles modèles » !

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Un cadavre stupéfiant

J'aime beaucoup la série "Un cadavre..." de Robert Soulières pour l'humour que chaque tome contient (jeux de mots, blagues, commentaires du narrateur aux lecteurs, etc.) Les élèves qui sont de moins bons lecteurs apprécient toujours ces romans faciles à lire, amusants et en même temps intrigants.
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Un cadavre stupéfiant

Le roman manque d'intrigues, certes les interactions rendent le roman intéréssant, mais l'histoire est d'une banalitée
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Un cadavre stupéfiant

C'est le 3e chapitre de mes critiques des cadavres de Robert Soulières. Le chapitre 1, c’est mon blogue après la lectire du cadavre de luxe, Le chapitre 2, c’est celui qui a suivi la lecture du cadavre de classe. Il y avait, et il y a toujours en moi une pulsion de croisade pour une éducation qui mérite ce nom. J’ai mis mes deux premières critiques sur Babelio. Et voilà que ce que je dénonçais s’aggrave ENCORE. Alors je reprends et j’en rajoute.

Après que mon petit-fils se soit fait imposer les deux premiers tomes de la série des cadavres de Robert Soulières, le voilà qui arrive avec le troisième : Un cadavre stupéfiant (au sens de cocaïne !) Cette lecture est liée à un module de français de son école secondaire lavalloise, Georges-Vanier, dans lequel il doit endosser un rôle de booktubeur (mot anglais non francisé) qui recommande ce livre. On ne lui offre pas l’option de le critiquer. C’est très grave dans un contexte d’éducation censé développer la pensée personnelle.



Et que dit-il à nos ados, ce roman dont l’humour douteux ne peut le plus souvent être compris que par les adultes de la génération de l’auteur québécois né en 1950 (un Montréalais de ma génération)?

– Des proverbes misogynes, racistes: Femme sans homme, barque sans gouvernail. / Personne n’a regretté d’être marié jeune ni de semer de bonne heure. / La vengeance est douce au coeur de l’Indien.

– Des jeux de mots pas drôles, gratuits, des allusions religieuses négatives, grivoises, anti-pédagogiques: … ta mère a toujours raison surtout lorsqu’on a tort. Et c’est ainsi qu’Allah est grand… (p. 105) / …. l’église Notre-Dame-de-la-Déconfiture (p. 124), tout près du boulevard de la Tentation (p. 157) / Le chien fait semblant d’écouter comme un jeune de 2e secondaire à son cours de morale (p. 115) / On se croirait dimanche tellement le calme est plat. Pire, on se croirait dans un film de l’ONF (Office national du film) (p. 120) / Et à la fin, passer à ses parents un sac de guimauves est, pour un enfant, une accablante tâche ménagère, du despotisme parental, etc. (p. 218)

– Des images stéréotypées et dégradantes: Mes parents sont des bourgeois indécrottables. (p. 16) / … le père d’Élizabeth […] est grand comme une borne-fontaine. […] mes excuses aux bornes-fontaines... (p. 18) / … refuser une invitation d’un gars bien gentil, mais qui n’a pas inventé les boutons à quatre trous, même si son visage en est rempli... (p. 39) / … son épouse qui ressemble à un frigo en spécial dans une vente de garage. (p. 58) / autres exemples (il y en a quasiment à chaque page) : la mariée qualifiée de beauté africaine dans une robe diaphane blanche (p. 92) / l’inspecteur qui dans le tome 1 salivait de désir devant son assistante noire, aux lèvres rouges dans un robe blanche, croit dans le tome 3, voir un ange, une beauté [prénommée Olga] montée sur des talons aiguilles […] avec de longues jambes dans des bas résille sous une micro-jupe, une pierre dans le nombril, une formidable crinière blonde, etc. (p. 158 et 159), et que lui dit-il ? – Venez, je vous paie un verre. Olga pousse la porte et l’inspecteur la suit comme un petit chien. (p. 160) Et cela continue sur ce ton, comme dans un vieux James Bond, en plus ridicule, puis Olga devient le Messie, le Sauveur (p. 164).

– De la désinformation (si je corrige mal, qu’on me le dise): … ce satané portefeuille en cuir d’alligator que j’ai tué en Égypte australe lors de mon dernier safari… (p. 31 – il n’y a pas d’alligator en Égypte ni même d’Égypte australe, le pays étant dans l’hémisphère Nord de la Terre; mais il y des crocodiles, un animal sacré et protégé, alors quel message envoie-t-on avec un inspecteur de police qui en a tué un pour le plaisir?)

– Un français malmené, anglicisé, un exemple: C’est full foule…(p. 58).

– De l’infantilisation en même temps que de la sexualisation: aux pages 43 et 45, les ados sont invités à se comporter en enfants d’âge préscolaire en grattant un carré pour sentir le parfum de la mariée, en découpant ses vêtements de papier pour en vêtir une jolie poupée de carton, en touchant un morceau du tissu sensuel du veston du marié.

– De la banalisation des armes, de la folie meurtrière, de la cocaïne: – Toi, j’aurai ta peau, mon salaud ! Tu mérites la mort / L’inspecteur revoit en accéléré les films Massacre à la scie, Massacre à la tronçonneuse et La mariée était en noir. […] le bandit brandit un colt .45 modifié. Etc., où le fou furieux tire sur un faux prêtre revendeur de cocaïne pure à 90 % que les policiers s’empressent tous de goûter et de regoûter (p. 66 à 71), où le vieux curé regarde à la télé le film Un cadavre au dessert (p, 90).

– Des policiers aussi incompétents que stupides et dépréciés: p.e. l’inspecteur interroge un otage sans penser à lui enlever son bâillon (p. 88), les deux policiers appelés à prêter main-forte ont l’air mais pas la chanson, ils sont traités de loustics (Larousse : individus en qui on n’a pas grande confiance) (p.107), et ce ne sont pas des lumières. (p. 146) / L’alcool aidant, l’inspecteur pourra aisément doubler ce chiffre dans son rapport. Et sur cette malhonnête réflexion, il se commande un triple cognac… (p. 161) / …. ce gros lard (l’inspecteur) peut-il mettre des mots sur quoi que ce soit? (p. 176) / – S’il a un bac, votre inspecteur de mes deux [fesses], c’est sûrement un bac de récupération. (p. 181) Il est de l’espèce des clowns (p. 195), un imbécile bon pour la déchiqueteuse (p. 202) / – Faire disparaitre cet inspecteur à la gomme sera une grande joie pour moi. Ça fera ma journée… (p. 208) / Dans les dernières pages, on découvre que l’assassin du faux prêtre et ravisseur d’Élisabeth est un policier qui est depuis assez longtemps dans la Police pour savoir comment on peut se moquer des lois. (p. 196)



Finalement, le clonage des Olga et du chien Rex par photocopies – le dénouement de ce roman – est très très loin de la qualité littéraire et philosophique du Frankenstein de Mary Shelley, hélas ! Très très loin des livres qu’il me ferait plaisir de voir dans les mains de mes petits-enfants, et probablement des vôtres ou de vos enfants, si ma démonstration en trois chapitres vous a atteint.



Comment expliquer que la Société des arts et de la culture (SODAC) de Longueuil a appuyé financièrement l’écriture de ce livre destiné aux ados? Le jury l’a-t-il lu? Dans les remerciements, l’auteur mentionne Félix Maltais «qui aurait préféré que son nom ne soit pas associé à ce roman». Est-il vraiment le seul?

Comment expliquer que des écoles continuent, année après année, à faire lire cette série de romans?
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