Robert Venditti

Ce tome regroupe des épisodes servant à étoffer l'événement de l'année 2016 publié par Valiant : 4001 A.D. écrit par Matt Kindt et illustré par Clayton Crain. Il comprend les épisodes 4001 AD X-O Manowar, 4001 AD Bloodshot, 4001 AD Shadowman, et 4001 AD War Mother, tous initialement parus en 2016, et chacun réalisés par une équipe créative différente. Il n'est pas besoin d'avoir lu la minisérie 4001 A.D. pour comprendre ces épisodes, ni de disposer d'une connaissance préalable des personnages. La magnifique couverture a été réalisée par David Mack.



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- 4001 AD X-O Manowar - Scénario de Robert Venditti, dessins et encrage de Clayton Henry, mise en couleurs de Brian Reber & Andrew Dalhouse



Dans 100 ans, une intelligence artificielle aura déterminé qu'il est temps de sauver une partie de l'humanité, en bâtissant et peuplant un continent artificiel, mis en orbite au-dessus de la Terre et appelé New Japan. Ce lancement a des conséquences sur le reste de la Terre et les gouvernements décident de se préparer à attaquer New Japan, en tentant de faire de la rétro-ingénierie à partir de l'armure de X-O Manowar.



Aric Dacia, le porteur contemporain de l'armure, n'apparaît pas dans cette histoire. En 22 pages, le scénariste propose d'apporter une réponse à la présence d'une variante de l'armure de X-O Manowar, découverte par Rai dans sa série mensuelle. Venditti s'intègre donc complètement dans la chronologie développée par Matt Kindt. Le lecteur peut donc lire cet épisode comme un complément bienvenu pour expliciter la présence d'une version de l'amure en 4001 AD. Cet épisode peut également se lire de manière autonome. Les quatre premières pages expliquent la situation découlant du lancement de New Japan. Les suivantes racontent une histoire de science-fiction, une sorte de fable sur la collaboration entre nations contre un ennemi commun. De ce point de vue il s'agit d'un récit d'anticipation à haute teneur en action spectaculaire, avec une résolution (déjà connue de certains lecteurs) qui ouvre sur une dimension mythologique bien amenée.



Clayton Henry dessine de manière descriptive, avec des traits de contour assez fins, une légère simplification des formes, et une volonté d'aboutir à des cases rapidement lisibles en évitant de es surcharger. Ce dernier point va à l'encontre de la densité de la description. Il est compensé par une mise en couleurs elle aussi naturaliste avec une utilisation raisonnée des effets spéciaux et des dégradés pour habiller ces surfaces un peu simples par moments. Au final les dessins rendent bien compte de l'énormité des situations, de la puissance de feu de l'armure de combat. Il n'y a que la manifestation de l'intelligence artificielle de New Jaman sur Terre qui relève vraiment d'une forme naïve.



Ce premier épisode contentera la curiosité des lecteurs de la série Rai, et constitue une sorte de fable d'anticipation bien construite. 4 étoiles.



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- 4001 AD Bloodshot - Scénario de Jeff Lemire, dessins et encrage de Doug Braithwaite, mise en couleurs de Brian Reber



En 4001 A.D. sur Terre, une intelligence artificielle se réveille. Elle n'a pas l'ampleur de Father, celle de New Japan. Elle retrouve progressivement la mémoire de ce qu'elle a été précédemment et de l'hôte qui l'abritait. Une mission de pillage a réactivé les nanites de Bloodshot qui ont été séparées depuis plusieurs années de tout corps biologique.



Comme pour l'épisode précédent, c'est le scénariste attitré de la série qui s'occupe d'écrire cet épisode très particulier. Le lecteur de la série Bloodshot reborn a déjà pu constater que Lemire sait tirer des futurs alternatifs pour faire ressortir une particularité ou un trait de caractère de son personnage. Ici, il s'acquitte de sa tâche de donner toutes les informations nécessaires pour être compris de tous les lecteurs, également en un faible nombre de pages. Puis il raconte une aventure de Bloodshot dans un état inhabituel en utilisant au mieux l'environnement de 4001 AD. Comme Robert Venditti, il sait raconter une histoire complète en 22 pages, par contre elle est plus centrée sur le personnage principal que ne l'est celle du premier épisode. Il réussit donc à concocter une version inédite de Bloodshot, à donner un éclairage supplémentaire sur le lien qui existe entre ses nanites et lui , tout ça sur fond d'aventures spectaculaires à souhait.



Doug Braithwaite réalise des dessins qui donnent parfois l'impression d'être à mi-chemin entre crayonnés et encrage définitif, du fait de traits de contour parfois encore grisâtre et un peu affadis par la mise en couleurs. Cette dernière se base sur une approche naturaliste, mais avec une palette un peu restreinte. Brian Reber compose une teinte très particulière pour le corps très particulier de Bloodshot (Lemire a imaginé une drôle de méthode pour la fabrication de ce corps), ce qui lui donne une grande présence sur la page. Comme à son habitude, cet artiste joue avec la disposition des cases sur la page pour rendre compte des mouvements ou de l'ambiance générale d'une séquence avec des bordures irrégulières, des cases en trapèze qui se chevauche. Cela permet de bien contraster les moments plus calmes avec les séquences d'action.



Ce deuxième épisode constitue un récit de science-fiction original, avec des pages bien construites, même si quelques cases éparses manquent un peu de saveur. Le lecteur de la série Bloodshot reborn apprécie cette nouvelle variation apportant un point de vue supplémentaire. Le lecteur de passage découvre un personnage complexe, dans une histoire qui charrie beaucoup de sous-entendus. 4 étoiles.



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- 4001 A.D.Shadowman - Scénario de Jody Houser, dessins et encrage de Robert Gill, mise en couleurs de Michael Spicer



En 4001 AD, la ville de Gethsemane est devenue un point d'accroche avec la cité Sanctuary qui est située dans une autre dimension appelée Deadside. Cette année, comme toutes les précédentes, les habitants de Gethsemane doivent sacrifier 3 orphelins pour la cérémonie du Sacrifice. Ils doivent passer de l'autre côté du mur qui sépare les 2 dimensions. Les précédents ne sont jamais revenus, ou alors fous. Mais cette année le maire de Gethsemane a fait en sorte que les 3 orphelins aient été entraînés au combat. Ils ont pour mission de semer le désordre de l'autre côté, pour que les soldats de Gethsemane puissent intervenir.



Jody Houser se montre tout aussi ambitieuse que ses collègues en se lançant dans une histoire complète sur la base de la mythologie de la série Shadowman. Le lecteur remarque d'entrée de jeu que sa narration est plus dense à la fois dans les phylactères et dans les cartouches de texte. Les pages de Robert Gill contiennent également plus de cases, avec des plans un peu plus éloignés pour rendre compte de tous les événements qui se produisent. Il dessine lui aussi dans un registre descriptif avec des expressions de visages moins nuancées, et une difficulté à maintenir des informations dans les arrière-plans, souvent mangés par de la fumée ou de la poussière qui masque tout.



Le lecteur plonge dans un environnement moins familier que celui des 2 épisodes précédents, avec des personnages moins marquants d'un point de vue visuel. Il découvre une mythologie rappelée au pas de charge. Par contre il découvre également des cases plus complexes dans ce qu'elles décrivent, et un récit dense, avec des scènes plus abruptes parce que la scénariste veut faire parcourir beaucoup de terrain à son récit, en toujours seulement 22 pages. Il en résulte une narration plus heurtée dans laquelle il est difficile de se projeter et de se sentir impliqué. 3 étoiles.



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- 4001 A.D. War Mother - Scénario de Fred van Lente, dessins et encrage de Tomás Giorello, mise en couleurs de Brian Reber



Sur Terre dans un village, Sylvan, le responsable, voit une partie de New Japan tomber et s'écraser non loin. Comme il est de coutume la tenante du titre War Mother (en l'occurrence une jeune femme appelée Ana) doit se rendre seule sur place pour estimer ce qui peut être récupéré. Elle est armée d'un fusil doté d'une intelligence artificielle limitée, qu'elle a surnommée Ana. Arrivé sur les lieux du crash, après avoir exterminé quelques pillards plus primaires, elle découvre la présence d'un jeune garçon. Problème : les règles de la communauté de Sylvan interdisent l'intégration de tout nouvel arrivant.



Fred van Lente hérite de la tâche peu enviable de développer un nouveau personnage à partir de spécifications, dans le cadre de 4001 AD. Il respecte bien les caractéristiques dudit environnement et déroule une histoire linéaire, avec des éléments informatifs sur les règles du village, sur le système d'éducation sur New Japan, et sur le caractère bien trempé de War Mother. Tomás Giorello réalise des dessins à la croisée de ceux de Frank Frazetta et de Gene Colan. Comme Doug Braithwaite, ses traits de contour donnent parfois l'impression de ne pas avoir été encrés et la mise en couleurs à tendance à les affadir par endroit. Le résultat final ne manque pas de panache, mais la lisibilité s'en trouve parfois amoindrie. C'est criant quand on observe les 7 pages en noir & blanc présentes dans les pages bonus en fin de volume, bien plus parlantes.



Le récit de Fred van Lente débouche sur une conclusion attendue évoquant la nécessité pour toute communauté de s'ouvrir aux autres sous peine de se scléroser. Les dessins de Tomás Giorello ont évoqué les jungles parcourues par Conan dont il a d'ailleurs dessiné plusieurs histoires écrites par Timothy Truman. Mais le lecteur éprouve des difficultés à maintenir son intérêt éveillé pour un personnage qu'il ne reverra peut-être jamais, avec une histoire un peu convenue. 3 étoiles.



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- Après lecture des 4 épisodes, ce tome n'apporte pas de complément indispensable pour l'histoire de 4001 A.D., et le lecteur ne rate rien en en faisant l'impasse. Il peut s'avérer intéressant pour les lecteurs de la série Rai, en expliquant d'où vient l'amure Vine, et pour les lecteurs de la série Bloodshot reborn, avec une itération originale de ce héros.

urement l'une des meilleurs sagas des Green Lantern que DC nous offre encore ! Du très bon comics qui mérite le nom d'excellent divertissement !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

L'histoire est efficace. Les dessins tout autant.

J'aime bien l'idée de départ : un guerrier wisigoth en pleine guerre contre les romains se retrouve enlevé par des aliens. Il finira par retourner sur Terre mais... à notre époque.

Il n'y a certes rien de bien original ni transcendant mais ça reste un bon divertissement.



C'est une nouvelle version du comics Valiant apparu en1992 (série jamais éditée en France).

EXTRAIT "Je reste dubitatif sur cette série. Je la trouve très longue à se mettre en place, avec pourtant seulement quatre épisodes. Mes sentiments sont ambivalents. Car je ne vois pas comment le scénariste aurait pu supprimer une étape de son récit. Peut-être est-ce le manque de perspectives. Robert Venditti propose des concepts dont on ne voit pas grand chose pour l’instant. Quel sera l’intérêt de faire du personnage principal un Wisigoth? Quel intérêt pour cette avancée temporelle jusque dans notre présent? On ne sait pas du tout, et c’est sans doute un peu ce qui gêne, on ne sait pas vers quel genre d’histoire va nous envoyer le scénariste. "
Lien : http://chroniquesdelinvisibl..

C’est bien la thèse au coeur du récit qui fascine et fait de ce one-shot un livre qu’on ne peut plus lâcher.
Lien : http://www.bodoi.info/critiq..

Un album visuellement surprenant, sur lequel Mike Huddleston s’est basé pour la suite de sa carrière.
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..

EXTRAIT "Je commence par le plus important : cet album est une lecture vraiment très plaisante pour qui apprécie les ambiances de conspirations. C’est vraiment un excellent thriller, prenant du début à la fin, totalement crédible. J’ai vraiment beaucoup aimé cette lecture. J’aime l’équipe de pieds nickelés qui se réunit autour du docteur Regan, j’aime cette bande de petits fonctionnaires qui entrent en rebellion. "
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..

J'ai adoré la série des Perçy Jackson en roman, et j'étais assez curieuse de voir ce que pouvait donner en BD, genre que j'apprécie également.



Verdict : flop.



Je n'aime pas le style du dessinateur (vous allez dire que c'est mon problème, mais je trouve les dessins un peu "flous", je préfère franchement les contours ou en tous cas les contrastes), les couleurs sont ternes, Percy fait beaucoup plus que son âge, bref, au niveau du dessin, c'est pas ça.



Par contre c'est vrai que l'intrigue du livre est respectée, peut-être pas dans les moindres détails mais globalement ça colle plutôt bien de ce côté-là. Les personnages sont à peu de choses semblables à ceux que j'imaginais en lisant le roman, les dialogues n'ont pas bougé.



Ça c'était pour les points positifs.



Mais on a perdu tout l'humour de Percy, la formulation des phrases qui me faisait rire à gorge déployée est absente des bulles tristes, et pire que tout, Grover m'a fait profondément pitié en lisant le livre. Il semble tuojours déprimé, toujours nul, bref, il est ridicule et on ne peut pas s'attacher à lui alors que son personnage est très détaillé dans le livre où on se prend rapidement d'affection pour lui. Déception de ce côté-là.



Et malheureusement, le peu de petits détails qui ont sauté lors du passage roman-bande dessinée sont des détails qui ont leur importance et il m'est arrivé plus d'une fois de devoir piocher dans mes souvenirs du livre pour arriver à suivre la BD et à retrouver les sensations que j'avais ressenties en le lisant.

L'ambiance vire parfois (souvent !) au tragique, ce qui n'est pas du tout le cas dans le livre, et qui est un nouveau motif de déception pour moi.



Pour quelqu'un qui n'a pas lu le livre, ce sera peut-être une bonne occasion de découvrir les personnages, mais autrement j'ai bien peur que cette bande dessinée ne soit qu'un gâchis de papier.

Cette BD a été ma première vraie déception de ce mois de janvier. Moi qui suis fan de l'univers de Rick Riordan, et, plus particulièrement, des Percy Jackson, je me suis cruellement ennuyée en la lisant. Les pages sont vides. En voulant condenser le premier roman en une seule BD, les auteurs ont fait l'impasse sur pratiquement toutes les épreuves traversées par Percy et ses amis. J'ai eu l'impression qu'on leur mâchait le travail et que leur quête se transformait en balade touristique à travers les États-Unis. Les Grées et Méduse ont notamment tout bonnement disparu. Les dessins restent jolis et l'histoire agréable à lire pour les néophytes. Je ne la conseillerais cependant pas à de vrais fans.

Critique commune pour :

- XO Manowar, Tome 5 : En Guerre contre Unity

- Unity, Tome 1 : Mort au Roi



Si je fais une critique commune pour ces deux tomes, c'est tout simplement parce qu'il s'agit d'un crossover entre les deux série et que les deux tomes se lisent en parallèle.



Dans le tome 4 de XO Manowar, Aric a ramener libérer son peuple de l'esclavage des Vignes et les ramènent la ou il pense qu'est leur place.

En Roumanie, anciennement Dacie à l'époque des Wisigoth.



S'il ne font de mal à personne en s'installant et en faisant simplement cultiver la terre pour vivre paisiblement en communauté, le fait qu'un vaisseau extraterrestre atterrisse sur Terre et s'approprie un territoire n'est pas vu d'un bon oeil par tout le monde.



Cette installation va créer une guerre entre le peuple d'Aric et les pays proches, avec la Russie en tête de proue.



Pour éviter que cela dégénère en guerre atomique, un groupe de surhomme va devoir intervenir, Unity !



A noter que si le tome 1 de Unity peut être lu indépendamment, ce n'est pas le cas du tome 5 de XO Manowar qui est bien trop lié a ce "mini event".

Si dans le monde du comics, les deux plus gros univers de super héros sont connus sous le nom de Big Two (Marvel et DC), d'autres plus petits éditeurs ont crée leur propre univers partagé. C'est le cas de Valiant.



Valiant est donc le troisième plus gros univers partagé super héroïque après Marvel et DC, et lui aussi a des choses intéressantes à nous offrir.



C'est le cas notamment avec XO Manowar.



XO Manowar, c'est l'histoire de Aric de Dacie, un Wisigoth vivant en l'an 400 et qui combat l'empire romain pour sauver son peuple de l'oppression qu'il subit.

Un jour, alors qu'il lance un raid nocturne contre ce qu'il croit être un camp romain, il se retrouve face à une race extraterrestre, les Vignes, dont la technologie n'a rien avoir avec celle de l'époque.

Aric et sa troupe sont capturés et ramené à bord du vaisseau spatial des Vignes.

Après plusieurs années de captivité, Aric et ses hommes se révoltent et tentent de s'échapper. C'est alors qu'Aric trouve l'artefact Shanhara, une armure surpuissante, à la limite entre l'armure d'Ironman et du symbiote de Venom.

L'armure se lie à Aric qui grâce à cette dernière va pouvoir fuir le vaisseau et retrouver la Terre.

Petit hic, il revient non pas en l'an 400 mais dans les années 2000, dans un monde qu'il ne connait pas et où tout ce qu'il possédait n'existe plus.



Un héros intéressant qui va devoir apprendre à vivre dans une époque qui n'est pas la sienne et à ne faire qu'un avec une armure qui est à des millénaire de ce qu'il connait.

Si dans le monde du comics, les deux plus gros univers de super héros sont connus sous le nom de Big Two (Marvel et DC), d'autres plus petits éditeurs ont crée leur propre univers partagé. C'est le cas de Valiant.



Valiant est donc le troisième plus gros univers partagé super héroïque après Marvel et DC, et lui aussi a des choses intéressantes à nous offrir.



C'est le cas notamment avec XO Manowar.



XO Manowar, c'est l'histoire de Aric de Dacie, un Wisigoth vivant en l'an 400 et qui combat l'empire romain pour sauver son peuple de l'oppression qu'il subit.

Un jour, alors qu'il lance un raid nocturne contre ce qu'il croit être un camp romain, il se retrouve face à une race extraterrestre, les Vignes, dont la technologie n'a rien avoir avec celle de l'époque.

Aric et sa troupe sont capturés et ramené à bord du vaisseau spatial des Vignes.

Après plusieurs années de captivité, Aric et ses hommes se révoltent et tentent de s'échapper. C'est alors qu'Aric trouve l'artefact Shanhara, une armure surpuissante, à la limite entre l'armure d'Ironman et du symbiote de Venom.

L'armure se lie à Aric qui grâce à cette dernière va pouvoir fuir le vaisseau et retrouver la Terre.

Petit hic, il revient non pas en l'an 400 mais dans les années 2000, dans un monde qu'il ne connait pas et où tout ce qu'il possédait n'existe plus.



Un héros intéressant qui va devoir apprendre à vivre dans une époque qui n'est pas la sienne et à ne faire qu'un avec une armure qui est à des millénaire de ce qu'il connait.

Si dans le monde du comics, les deux plus gros univers de super héros sont connus sous le nom de Big Two (Marvel et DC), d'autres plus petits éditeurs ont crée leur propre univers partagé. C'est le cas de Valiant.



Valiant est donc le troisième plus gros univers partagé super héroïque après Marvel et DC, et lui aussi a des choses intéressantes à nous offrir.



C'est le cas notamment avec XO Manowar.



XO Manowar, c'est l'histoire de Aric de Dacie, un Wisigoth vivant en l'an 400 et qui combat l'empire romain pour sauver son peuple de l'oppression qu'il subit.

Un jour, alors qu'il lance un raid nocturne contre ce qu'il croit être un camp romain, il se retrouve face à une race extraterrestre, les Vignes, dont la technologie n'a rien avoir avec celle de l'époque.

Aric et sa troupe sont capturés et ramené à bord du vaisseau spatial des Vignes.

Après plusieurs années de captivité, Aric et ses hommes se révoltent et tentent de s'échapper. C'est alors qu'Aric trouve l'artefact Shanhara, une armure surpuissante, à la limite entre l'armure d'Ironman et du symbiote de Venom.

L'armure se lie à Aric qui grâce à cette dernière va pouvoir fuir le vaisseau et retrouver la Terre.

Petit hic, il revient non pas en l'an 400 mais dans les années 2000, dans un monde qu'il ne connait pas et où tout ce qu'il possédait n'existe plus.



Un héros intéressant qui va devoir apprendre à vivre dans une époque qui n'est pas la sienne et à ne faire qu'un avec une armure qui est à des millénaire de ce qu'il connait.

Pour toutes celles et ceux qui n'ont jamais trop suivi les querelles des dieux de l'Olympe, voici Percy Jackson en BD... Il est fou, se disent les lecteurs. Quel rapport entre Percy Jackson et la mythologie grecque?



Percy Jackson est né de l'union d'une humaine et d'un dieu. Ah ah ah… le franc va-t-il tomber? Ajoutons, pas de n'importe quel dieu. Poséidon himself et en personne. Ah ah ah… toujours pas d'idée?



Percy... Persée... clic, clac, badaboum, et voilà, le tour est joué.



Au moment où l'année se termine, presque sans incident, Percy est averti qu'il ne pourra aller en camp de vacances. Puis il est attaqué par des démons cannibales, ressemblant au minotaure. Il est défendu par son pote Tyson, un vrai colosse. Ils s'enfuient grâce à Annabeth (voir tome 1) dans un taxi conduit par les 3 Grées (soeurs grises, ou graies). Ils sont déposés par magie au camp de vacances tenu par Chiron, un centaure. Percy découvre alors que son pote Tyson est un cyclope... Et ainsi de suite.



Si vous ne suivez pas, allez voir dans Wiki... Pas de doute, vous allez réviser votre cours sur la mythologie grecque. Et pour faire bonne mesure, on tombe de Charybde en Scylla, avec ce bon vieux cyclope qui veut tuer "personne"… et Kronos, source de tous les maux…



Le tout est emballé avec pas mal d'humour et des dessins fort réalistes. C'est vif, rapide, plaisant et frais. Bref, on ne boude pas son plaisir.

Percy Jackson est un demi-dieu qui est accusé d'avoir dérobé l'éclair d'Harès .

Un des secrétaires d'état du président des Etats-Unis imagine un complot afin de pousser le peuple américain à accepter de limiter ses libertés fondamentales. Pour cela, il va disperser un agent bactériologique sur le teeritoire. Pris dans la tourmente, l'un des deux docteurs créateurs du vaccin sera éliminé et sa collaboratrice accusée du meurtre. Elle sera aidée par des agents fédéraux convaincus de son innocence...

Ce scénario quelque peu abracadabrantesque, est ceci dit magnifié par une technique graphique élaborée. Mêlant collage, découpage, photo et dessin, Robert Venditti nous offre un thriller politique soigné. Le rythme est soutenu comme on pouvait s'y attendre et le scénario nous emmène vers une réflexion poussée sur le prix de nos libertés. La fin est tout de même un peu décevante. Trop rapide.

Un one shot efficace. A lire.

Quand je suis accro à une saga ou à un auteur, avec moi cela se voit. Percy Jackson et son auteur Rick Riordan font partie de cette catégorie. À Noël, j’ai demandé à Chéri de me payer Percy Jackson et les dieux Grecs en illustré pourtant, j’ai la version classique, mais non je le voulais. Et là en janvier, j’avais un peu de sous sur mon compte Gilbert Joseph et je n’ai pas résisté à l’envi de prendre les BD. Comme cela, j’aurais tout enfin, il me manque encore une BD.



Je n’ai pas résisté longtemps à la première BD enfin comics d’après Livraddict.



Qu’en dire, pour moi, je la place entre le livre et le film. Meilleure que le film, mais jamais aussi bon que le roman. Ce qui est normal, vu que se soit le film ou la BD faut raccourcir !



J’ai adoré replonger dans ce premier tome, retrouver l’univers de Percy, sa mère, Annabeth, Grover et compagnie. Cela, c’est le gros point positif de cette BD de pouvoir replonger dans l’univers en accéléré. J’ai vraiment adoré cela.



Le point négatif, c’est que je ne suis pas trop fan des dessins, même si Clarisse est trop bien faite (j’ai cru que c’était un mec !)



Je n’ai pas grand-chose à dire sur cette BD vu que l’histoire est connue, en tout cas pour moi, il n’y a pas de découvert spécial. Je lirais les deux autres BD (a priori, il n’y a pas les deux dernières), car comme je l’ai dit, j’aime bien replonger dans l’univers de Percy.
Lien : http://toutelalecturedesev.b..

J'aime beaucoup ce livre car j'aime la mythologie grecque et j'ai lu ce livre en version roman et c'est exactement les images que j'avais imaginée .

A thrilling adventure, filled with circumlocutions, established of mythical and fantastical magic, will know satisfy your envies !



Rick Riordan is an American writer. He comes from Texas. He received three Nobel prize including that of Edgar-Allan-Poe in 1999. He writes books into the fantasy genre. He signs most of the time saga with about four books.



One objective in head for Percy Jackson : achieve his quest by raising the challenges of the Gods of the Olympe. He is going to have to realize the impossible to avoid the oracle's bad prediction. He can change the course of history and play the ultimate card, him Poseidon's son.



This book will plunge you in the Greek's world, the fantasy and the adventure but you will not drown yourselves that of pleasure ! You will follow the fabulous Percy, the beautiful Annabeth, the protector Grover and others in this world which will make you dream. This track race sports in feelings will transport you until the Mixed-Blood's camp. These are half-gods, born from the affair between a God and a mortal. They are trained in this basis to protect the Earth of a God's revolt.



This comics is a success ! Thanks to the pictures and to the style's speech, this book is open-readers. It is easy to understand and we take care of the spectacular of the frame of the history.



I really liked a lot this book. We feel at once taken in the story's atmosphere with the characters which we can even become identified. They have a real character. The story keep me turning the pages. It really occupies a special place in my bookcase. Do not hesitate to read the five original books and to watch the two movies. In the same kind of the story, you are gonna enjoy the Narnia's saga too.



Good reading !



Marion.

The book is about Percy going on a quest but there are many obstacles on his way. He finds himself a few friends but also enemies, which is great, because you're not a so-called hero if you don't have people that wishes to kill you.

I can't say that I liked or disliked the book because it left me quite indifferent. I liked the fight scenes but the rest of it was kind of "not so cool".

The drawings were great, even though it's not my kind of draws. The details were also great, and the shadow work was awesome.

Andrea.



First, I was worried because, often, when a comic is adapted from a book, it’s worse than the original version. But I was impressed because the story is here, I mean, completely! There are just a few events missing. And the drawings are good too.

So, let’s talk about the story. For those who didn’t know, Percy Jackson is the hero in a saga of ten books. Percy Jackson is a demi-god. He is the son of Poseidon and a mortal. He chooses the half-blood side to be with people like him.

In this book, Percy has to rescue his friend Annabeth from a Titan named Atlas. He will be helped by Grover, who is a satyr, and some of Artemis’s huntress.

The author uses the Greek mythology to write his stories but all the myths and legends take place in the USA today.

Finally, I want to warn you that if you saw the movie, forget it! Read the books! They are better and very interesting.

Alexis.