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Critiques de Romain Delplancq (78)
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La Ville au plafond de verre

Coup de cœur pour sa première de couverture.

Coup de massue pour ses personnages et engrenages.

Mais là où la massue a éclaté mon cœur de morue, c’est quand les ténèbres se sont abattues sur Korost pour en faire sortir les porteurs de lumière qui pourtant, au départ, n’en portaient pas l’étendard.



Je crois que j’aurais davantage apprécier ma lecture si je ne m’étais pas tant empressée de le boucler, comme pressée d’arrivée à destination… alors que l’important se déroule durant le voyage. C’est le genre de roman, pourtant je le sais, qui demande de prendre son temps. Car si j’ai parfois repéré des références, fait des liens avec tel personnage ou tel événement, j’en aurais certainement vu et compris davantage, si j’y avais prêté plus d’attention.



En occultant certains points négatifs, je me permets d’applaudir l’ingéniosité des rebondissements et l’intrigue, la richesse de l’univers en prime de descriptions et dialogues pertinents.

Les implications et chemins croisés de personnages profonds, touchants, imparfaits, et par-dessus tout : mémorables. De la colonisation à la manipulation de masse, de la servitude conditionnée à la révolution, les allusions à l’Histoire sont remarquablement menées.



Si la fin de ce récit m’a émue, ce n’est pas tant pour le sacrifice, la bravoure ou l’héroïsme de ses personnages, que pour le souvenir de nos vrais martyrs oubliés de l’Histoire qui les ont inspirés.

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La Ville au plafond de verre

Bonjour à tous mes petits fromages adorés, j'espère que vous vous portez bien !

La Ville au plafond de verre est officiellement ma dernière lecture de l'année 2023, et c'est somme toute une belle façon de terminer l'année. Je remercie de tout cœur les éditions de l'Homme sans nom pour l'envoi de ce livre.



J'ai découvert Romain Delplancq avec sa duologie du Sang des Princes, j'avais donc déjà une petite idée du style d'écriture de l'auteur. Plume que j'ai retrouvée dans ce livre-ci, mais si j'avoue avoir parfois eu du mal avec certaines tournures de phrases (oopsie...).



Je ne vais pas vous mentir, il m'a fallu le temps pour rentrer dedans... En fait, le décor met du temps à s'installer et il faut s'armer de patience pour enfin voir l'action arriver. Malgré ça, l'auteur installe une ambiance assez tendue et lourde dès le début du roman, ça nous démange, ça nous dérange, et on sent que ça va partir en cacahuète... mais quand ?



Dans la ville bouillonnante qu'est Korost, on suit trois parcours différents, trois destins qui n'ont au départ rien à voir mais qui sont liés. En fait, les trois points de vue sont trois personnes issues de milieux sociaux fort différents dans Korost. Et dans une ville où les rumeurs de fronde grondent, fatalement, elles vont entrer en collision.



Je crois que ce qui m'a réellement marquée dans ce livre, outre la tension, c'est de voir à quel point on peut être pris dans les évènements de la vie alors même qu'on n'y est de base pas lié du tout. De voir comment on a beau maitriser notre destin, un élément peut tout faire basculer. Comment des destins tout tracés et des rêves se brisent sur le mur de la politique, de la fourberie, de la cupidité... (arrêtez moi, bientôt je vais vous parler de la déchirure des passions humaines).



Et j'avoue, j'aime les histoires de révolution (ouais, à l'époque j'ai saigné l'album de la comédie musicale 1789 Les Amants de la Bastille).



Bref, encore un très beau moment en compagnie de HSN !
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Le Sang des Princes, tome 2 : L'éveil des Répro..

Si le volet précédent avait frôlé le coup de cœur, celui-ci en est un ! Cette suite, qui est une avalanche de révélations inattendues et de rebondissements incroyables, m'a littéralement retourné le cerveau. En fait, Romain Delplancq s'amuse à nous mener sur de fausses pistes, tout en conservant la maîtrise de son scénario.



J'ai donc atteint la dernière page avec des étoiles plein les yeux et l'envie de me plonger très rapidement dans le spin-off de la saga : La Ville au plafond de verre. En bref, une pépite que je vous recommande vivement !
Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
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La Ville au plafond de verre

La ville au plafond de verre - Romain Delplancq



Je viens tout juste de terminer le nouveau roman de Romain Delplancq sorti aux éditions HSN. Mettons les pieds dans le plat: ce fut une lecture mitigée pour ma part avec des hauts et des bas, des personnages qui donnent envie et qui sont portés par une belle plume mais un rythme parfois trop lent qui je pense plaira à certains d’entre vous. Entrons dans le détail désormais.



Ce qui saute aux yeux et qui fait que je n’étais pas la cible privilégiée de ce roman c’est le rythme. Ce livre se mérite… Je m’explique. J’ai mis environ 200 pages à vraiment me mettre dedans et à comprendre les positions des différents personnages et leurs liens. C’est relativement long pour moi mais une nouvelle fois cela gênera peut être moins d’autres lecteurs. S’en est suivie une succession de hauts et de bas en termes de ressenti: des moments où je trouvais que cela manquait un petit peu d’action et d’autres où j’étais complètement immergé et j’avais hâte de connaître la suite. Sans trop en dévoiler, j’ai beaucoup apprécié l’accélération sur la fin du roman et le dénouement que j’aurais aimé peut être un peu plus percutant. Vous savez que je suis un grand adepte de combats en tout genre. Ici, ce sera plutôt orienté intrigues, jeux politiques et d’influence, quête de pouvoir qui trouvera sans nul doute son lectorat.



L’univers est très prometteur. La magie ou devrais je dire les propriétés de l’arnoire donnent à ce monde un côté vraiment très original. L’auteur nous décrit d’ailleurs par la suite d’autres applications et sortes de pouvoirs que j’aurais aimé voir plus développés. Concrètement, c’est comme si j’étais resté sur ma faim en tournant la dernière page de ce roman: « En fait, c’était bien sympa. Il faudrait que l’auteur nous sorte un autre roman dans cet univers. » Un de mes points favoris reste sans conteste l’école des forgiers et l’ensemble des métiers que l’on y apprend. Elle est finalement très représentative de la diversité de l’univers de ce roman. Les messages véhiculés à travers les conflits entre les différentes factions sont intéressants et m’ont permis de rester motivé jusqu’à la fin.



Les protagonistes sont également un des points forts du livre. Vous serez tour à tour aux côtés d’Enik, une institutrice, de Katlik, une jeune fille ayant perdu son frère à la guerre et Istven, un jeune orphelin. Vous n’aurez aucun mal à vous repérer entre chaque chapitre, l’auteur nous recale parfaitement bien. J’avoue avoir eu beaucoup d’empathie pour Enik et Istven (je fondais de grands espoirs en lui) mais c’est Katlik qui me restera en tête. Issue d’une famille bourgeoise, j’ai trouvé qu’elle s’est embellie en permanence dans cette lecture. Elle est devenue une jeune femme forte qui fait face aux différents défis de la vie (et dieu sait qu’elle va beaucoup en rencontrer). J’ai trouvé l’ensemble plutôt bien orchestré par l’auteur qui nous donne petit à petit des connaissances sur ses personnages. Vous y trouverez votre compte je pense.



J’aurais souhaité être un peu plus emballé pour cette lecture car il y avait des éléments très prometteurs. Cependant, le rythme un peu en dents de scie m’a empêché de savourer et d’apprécier pleinement cet univers. Je ne doute pas une seule seconde en revanche que ce qui m’a laissé de marbre plaira à d’autres. Je n’étais vraisemblablement pas la cible privilégiée pour cette lecture.
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Le sang des princes, tome 1 : L'Appel des I..

"Les peintures ne tuent pas, non. Mais les vôtres parlent."

Alors faisons silence puisque les engrenages tournent et le rideau se lève : le drame peut commencer.



Sur cette scène dressée dans un univers parfaitement pensé par Romain Delplancq à la saveur de Renaissance, attendent nos personnages : artistes, marionnettistes, poètes, maîtres automaticiens, nobles et pauvres gens... Nous entendons les arpèges des violons, les basses qui suivent à l'octave et les flûtes qui soufflent des trilles violents.

Une magnifique représentation se joue devant nous ou bien ne serait-ce qu'un grand jeu d'échecs ?

Une partie en cours depuis longtemps, dans laquelle nous n'avons fait que sauter les yeux bandés malgré nous. A cause d'un tableau, d'un soleil emprisonné et d'un ciel inversé, un tableau qui murmure. Des murmures qui remontent des profondeurs, les mêmes qu'il y a 6 ans, et qui s'amplifient : petites brises qui grandissent. Car l'heure est à l'ouragan, à l'orage, à la tempête et au saccage.



Un ouragan où l'on peut apercevoir deux galères et une tour, Tandal, ainsi que deux épées croisant une massette de sculpteur, les armes de la famille Spadelpietra, grande famille ducale, âme de la ville. Un ouragan qui va s'attaquer à chaque roulotte, chaque chapiteau des austrois. Un ouragan qui va déclarer la guerre à tous les clans de Sihil.



Dans une histoire qui parvient à capter notre attention dès les premiers chapitres, nous voici embarqués aux côtés de Mical, peintre à l'oil droit gris argenté, et des Austrois, Lydie

Cyril, Maestro Philio Basil pour ne citer qu'eux, peuple forçant l'admiration et le respect, détenteurs d'une puissance jadis ramené de la mer de Cendres et de secrets ayant la forme de cylindres de cuivre longs de 10 pouces et large de 4, gravés de runes qui courent autour en spirale, percés d'un pas de vis à chaque extrémité.



Auprès d'eux, nous voici à la fois chasseurs et chassés, en fuite et aux aguets, découvrant des portes que nous n'avions jamais vu et que nous ouvrons avec plaisir pour nous retrouver sur le devant de la scène, au beau milieu de ce premier tome mené de mains de maître par son auteur, baguette à la main, battant la mesure avec brio
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Le sang des princes, tome 1 : L'Appel des I..

Quand le jeune Mical se voit obliger de fuir tout ce qu'il connaît car des hommes dangereux sont après lui, il ne sait pas vraiment où ses pas vont le mener. Puis il repense à cet homme qui lui a appris l'art de la peinture et cherche à retrouver sa trace chez les Austrois, des nomades maîtrisant parfaitement l'art des automates et des machines bien huilées.

Il ne sait pas que les hommes lancés à sa poursuite sont là à cause de la mort étrange d'une enfant du royaume, de la famille des Spadelpietra, qui serait morte dit-on à la simple vision d'un tableau...



Va alors se mettre en route une course poursuite sur plusieurs années, mêlant jeux de pouvoir et anciens mystères dans un monde où Mical tente de vivre simplement sa vie au sein des Austrois, ces astucieux ingénieurs aux grands secrets.



Je trouve que ce roman a vraiment un univers bien élaboré. Entre les grands ducs et les nomades nous avons une foule de personnages variés. Ce qui se trame semble bien complexe et ne semble pas se mesurer qu'à un seul homme : Mical, non tout ça va bien plus loin !

Mais j'ai eu un problème pendant ma lecture et je me disais sans cesse : mais quel est le sens de tout ça ? De bonnes bases sont posées, c'est sûr mais il m'a manqué d'action, et d'explications surtout pour vraiment savourer ma lecture. Les explications viennent au compte goutte et très tardivement (et partiellement d'ailleurs), et j'ai trouvé le tout beaucoup trop long à venir. C'est pourquoi j'ai peiné dans ma lecture et ressors frustrée de celle-ci. Le roman est bien écrit, le monde est vaste et complexe mais il m'a manqué CE truc qui fait que je m'accroche et que j'ai envie de poursuivre l'aventure. Dommage.
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Le sang des princes, tome 1 : L'Appel des I..

Je vais essayer de présenter les choses d'une façon claire sans pour autant déflorer l'intrigue.Cette histoire met en scène différents personnages qui vont évidement se rencontrer à un moment.Il y a d'abord Mical, le peintre au talent stupéfiant, qui débute sa vie dans un monastère pour la continuer aux côtés des gens du voyage locaux.Il y a ensuite Lydie, la jeune cheffe d'une famille de ces gens du voyage. Artisans de génie, artistes talentueux, ils enchantent les villes qu'ils traversent.Il y a enfin la famille Spadelpieta, qui dirige depuis son comté une partie significative du royaume local.Tous ces personnages vont se rassembler autour de la recherche, pas vraiment délicate, de Mical par les Spadelpieta pour des raisons qu'on comprendra à la fin de ce tome. On comprendra aussi à la fin de ce tome qu'il ne s'agit pas de tomes découpés narrativement, mais uniquement éditorialement. Et du coup, évidement, la coupure se fait d'une façon abrupte, ce que je trouve regrettable parce que je ne vois pas trop comment enchaîner le second tome sans perdre une partie de ma mémoire du récit.Ce récit qui vaut quand même la lecture.En effet, on a une espèce de lent jeu du chat et lde a souris entre Mical et ses poursuivants, qui sert, je trouve avant tout à dynamiser la découvert des Austrois et de leurs coutumes, ainsi que de la peinture comme la pratique Mical. J'ai trouvé là-dedans un vrai plaisir de l'auteur à parler d'art. Un plaisir que j'ai évidement largement partagé.Ca m'a aidé à passer au-delà de certaines faiblesses de cette oeuvre. Comme par exemple le découpage temporel incertain, avec ce saut de cinq ans qui arrive au premier tiers, et dont je n'ai pas forcément compris l'intérêt autrement que par une incapacité de l'auteur à organiser correctement l'histoire.Ou comme la localisation de l'histoire, dans une espèce d'Italie sans trop d'imagination qui ne dit pas son nom.Mais ce sont des défauts assez faible face à une histoire bien fichue, aux personnages franchement réussis (les bons comme les mauvais). A ce sujet, j'apprécie spécialement le fait que les personnages ne soient pas bons ou mauvais, mais plutôt motivés par des intérêts et des personnalités différentes (Vittor Spadelpieta, par exemple, en brute dangereuse et raciste mais ignorante des machinations, est une réussite).Autrement dit je lirai avec plaisir le second tome.

9782203343245"
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Le sang des princes, tome 1 : L'Appel des I..

Grand amateur des publications de Folio, qui pioche souvent un peu partout pour nous dénicher des pépites, j'avais vraiment été déçu par ce roman, loin de posséder le souffle que laissait espérer le résumé au dos.

Je n'ai jamais lu la suite.
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Le Sang des Princes, tome 2 : L'éveil des Répro..

Mais mon dieu cette fin, je n’étais pas préparée à ça, j’adore les fins auxquels je ne suis pas prêt. Alors dans le premier tome, il y avait un cliffhanger de folie. Mais dans ce tome la fin est imprévisible aussi. J’ai soif d’histoire, j’ai soif de lecture et je commence à avoir denouveau soif d’écriture, c’est grave docteur ? Non, je ne crois pas… Ouf, alors tout vas bien. Ah, tous ces auteurs francophones, c’est incroyable. Ils me font kiffer d’ouf. Et comme à chaque fois je ne sais pas ce qui va m’attendre, j’ai l’impression que les auteurs adorent prendre par surprise les lecteurs, ça doit être un jeu terriblement tordu et plaisant.

Je commence à croire que l’écriture est autant riche que la musique. C’est deux arts terriblement attirant. Et dans ce livre on retrouve aussi d’une certaine manière des arts différents pour une histoire alléchante. J’ai dévoré ces deux livres en très peu de temps. C’est un kiffe intersidérale que de lire et de se laisser transporter par une plume qui sait où elle va. J’ai oublié de préciser que j’adore que Mical est les yeux vairons j’aime tellement ça. C’est hypnotisant ce type d’œil. Un gris et un marron ou noir, se perdre dans ces yeux doit être magique. Je ne peux pas vous spoiler une telle histoire, bien que j’essaie de ne jamais vous spoiler. C’est une histoire qui se vit, et se revit à travers un enchaînement stratégique de mot. Vous imaginez un auteur mettre aléatoirement des mots pour crée une histoire… se serais Dingue et étrange en même temps. Bref, je me perds, ces deux tomes sont incroyable et si vous avez la chance de lire cette histoire lisez là !
Lien : https://cinebookch.com/2017/..
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La Ville au plafond de verre

Les novices en fantasy savoureront sans doute le travail sur l’univers créé, les adeptes d’une fantasy engagée apprécieront les influences de l’auteur. Les autres en ressortiront avec une sensation de satiété, espérant que le mélange de tous ces ingrédients n’en vienne pas à provoquer l’écœurement.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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La Ville au plafond de verre

La ville au plafond de verre est un roman à l’univers incroyable, mais qui souffre de pas mal de longueurs par moment.

L’univers que l’auteur a imaginé et créé est véritablement intéressant, que ce soit Korost ou encore son mode de fonctionnement ou la forge est au cœur du fonctionnement de cette ville sous tension.

Les trois personnages principaux sont bien développés, attachants même, et leur caractère est bien retranscrit durant le récit.

La plume de l’auteur est agréable, bien que parfois un peu trop descriptive, cassant ainsi le rythme à de nombreuses reprises. C’est le seul point négatif que j’ai à souligner.

En dehors de cela, l’histoire est riche, l’univers est très intéressant et ses protagonistes attachants.
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La Ville au plafond de verre

Graou tout le monde !



Un magnifique ouvrage qui m’a été conseillé par une personne qui a le talent de m’attirer vers des livres fantastiques. L’intérieur est-il aussi surprenant que l’extérieur, allons découvrir cela tout de suite.



Résumé de l’éditeur :



Korost bouillonne.

Dans la capitale économique de l'ancien empire des Trois-Terres déjà noircie par la fumée de ses verreries, on sent désormais la poudre des arquebuses. Ses rues regorgent de blessés de guerre et de réfugiés. La cité crépite de tension entre ses très nombreux et très pauvres verriers et les riches et savants forgiers, propriétaires de l'arnoire - le mystérieux métal capable de transformer les rayons du soleil en énergie. L'alliage de leurs sciences a bâti la renommée de Korost ; leur rivalité préfigure son explosion.

Dans ce chaudron vivent Enik l'institutrice, Istven le jeune orphelin, et Katlik, la sœur éplorée.

Trois vies, trois destins emmêlés dans l'échevau de fils tissés par les jeux de pouvoir de la ville.

Trois mèches allumées qui, peut-être, transformeront la poudrière en bombe.



Voilà voilà, que dire... Ça a été difficile et pénible de la première à la dernière page donc vraiment pas très voir trop mitigé dans mon esprit. J’ai survolé la moitié du livre car c’est lent, aucun attachement à un personnage quelconque, l’histoire m’a petit à petit fait couler car il ne se passe rien ou sans intérêt. C’est terrible comme avis mais je me suis complètement perdu dans ce livre, j’avais l’impression de perdre l’intérêt à la lecture au fil des pages. Je peux tout à fait comprendre qu’il plaise ou que certains voient une histoire incroyable dans cette ville si particulière mais pas pour moi malheureusement.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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La Ville au plafond de verre

Une lecture en demi- teinte pour moi , la faute aux nombreuses longueurs , et au temps pour la mise en place de l'histoire . Clairement les personnages sont le point fort du roman , mais malheureusement j'ai vraiment eu du mal en rentrer dedans , peut-être que le moment n'était pas propice . L'objet livre est magnifique par contre
Lien : https://hub.family29@free.fr
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La Ville au plafond de verre

Ce monde, pensé jusque dans les moindre détails, fait finalement écho au nôtre par sa dimension politique. On traite de guerres et de lutte des classes, pour en arriver à cette conclusion : une révolution ne se fait pas en un jour.
Lien : https://syfantasy.fr/critiqu..
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La Ville au plafond de verre

Le monde créé par l'auteur justifie pleinement l'investissement du lecteur, offrant une aventure gigantesque et captivante où sont mêlés politique, jeux de pouvoir, vie quotidienne, milice impitoyable, écologie et enjeux sociaux. Pour tous les fans de fantasy.
Lien : https://www.tdg.ch/les-sorti..
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Le Sang des Princes - Intégrale

Surprenant. On est loin des histoires où on sait dans les premiers chapitres pourquoi le héros est si particulier. Bien au contraire, il faut attendre le deuxième tome (ou la deuxième partie de l'intégrale) pour commencer à comprendre correctement ce qui se passe. Certains personnages en savent long et ils suffiraient qu'ils décident de dévoiler leurs connaissances à quelques protagonistes pour que le lecteur, à défaut des héros, sache ce qu'est l'Appel et ce qui rend Mical si exceptionnel. Mais non, pas de discours "maintenant, je vais dire ce que je sais". On est donc dans la même situation que les personnages : dans le flou.

Certains lecteurs s’ennuieront donc et trouveront le temps long. Mais j'ai trouvé que l'histoire méritait la peine de s'accrocher.



Pour le reste : beaucoup de personnages, tant masculins que féminins, bien construits, une place intéressante donnée aux arts et une intrigue bien menée.
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Le Sang des Princes - Intégrale

Intégrale lue très rapidement, sympathique mais sans réelle surprise et ... je n'ai pas tout compris, du moins je ne saurais toujours pas expliquer l'Appel, qui est tout de même la base.



Je passe outre l'évidence du mépris envers les saltimbanques, classique. Pourtant, ce sont les seuls à maîtriser la technologie même si on se demande s'ils en comprennent vraiment la théorie, et en même temps l'Art en général, le théâtre et la musique en particulier :) Ils ne supportent pas la guerre ni la violence. Sans doute est-ce à cause de toutes leurs capacités-qualités et de leur liberté qu'ils sont tant détestés, mais attendus et admirés.



Certains personnages comme Philio, Coréa ou Jeffrey auraient mérité d'être développés, même Amadi, Vittor ou Dimtry. Il faut souvent jouer aux devinettes, sans toujours trouver de réponse.



Le plus désagréable fut une lecture avec des incohérences, mélanges entre les noms des protagonistes par moment, des questions qui restent en suspens (qui a vraiment fait quoi), des mots mal écrits ou perdus on ne sait où, à croire que le texte n'aurait pas été relu avant publication et cependant, je n'ai pas relevé de faute d'orthographe. Ce ne sont pas des erreurs énormes mais cela rend la lecture fatigante, malaisée et sujet à incompréhension. Vous pouvez lire les exemples notés dans la critique d'Ondelune. Pour les incohérences, je vous laisse les retrouver pendant votre lecture, ça peut être assez drôle.
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Le Sang des Princes, tome 2 : L'éveil des Répro..

La conclusion de cette chronique ne surprendra personne : Le Sang des Princes est une lecture hautement recommandable, et Romain Delplancq, un auteur à suivre de très près.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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