nous sommes tout particulièrement attirés par les situations où l’incertitude se présente sous sa forme maximale. Notre attention est alors décuplée et nous ressentons un plaisir intense
l’information d’aujourd’hui poursuit comme objectif principal de susciter l’émotion au sein du public, davantage que de lui transmettre un savoir sur le monde.
L’information, finalement, est peu de chose : c’est la façon de la présenter qui fait la différence. Certains termes ont une charge affective quasi nulle, d’autres font tressaillir à la première évocation.
Le télécran moderne est l'inverse de celui de Georges Orwell : il ne donne pas aux citoyens l'inquiétude d'être surveillés, mais détermine à notre insu nos envies, préservant notre illusion de liberté.
Un choix large n'est pas forcément synonyme de satisfaction. La multiplicité des offres promotionnelles à la télévision constituerait plutôt un facteur de frustration.
Des expériences ont montré que lorsque l’information devient trop rapide, le cerveau humain tend à la considérer de plus en plus comme vraie, sans se poser la question de sa validité.
La démarche la plus suggestive ne correspond pas au moment où la femme est la plus fertile, ni à celui où elle serait plus disposée à avoir une relation sexuelle. (...) Un homme désirant maximiser ses chances à intérêt à repérer le moment où une femme produit un déhanchement moins ostentatoire.