Sébastien Dourver

Nous sommes ici dans un récit provocant qui se lit rapidement, j'ai aimé l'originalité de ce livre ainsi que le portrait satirique de la société que dresse l'auteur amené avec un humour corrosif. Il dénonce et c'est explosif !



Là où le bât blesse, c'est côté personnages. Alexandre, notre personnage principal, m'a donné des envies de meurtre, un homme frustré qui après avoir tué par accident un homme, se décide à tout quitter afin de détruire la société. Certaines scènes contiennent de la violence gratuite, mais comme tous les protagonistes m'ont laissé de marbre, ça ne m'a pas touché. Peut-être que s'ils avaient été plus travaillé, j'aurais réussi à m'attacher à certains d'entre eux, même si entre nous, j'ai eu l'impression qu'ils étaient tous complètement givrés.



Malheureusement, n'ayant pas réussi à me sentir concerné par leurs histoires, je pense que ce sera un livre qui sera vite oublié.



Malgré tout, je vous conseille de vous faire votre propre avis, car l'originalité du livre vous convaincra peut-être plus que moi et il a été un coup de cœur pour d'autres.



En résumé, je pense que vous l'aurez compris, pour ma part, c'est une déception.






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Ambiance : attention, ça secoue !



On débute par un petit meurtre en loucedé, tranquilou, sur les bords de Seine.



Alexandre Rose, le narrateur, dézingue à tout va : anonymes, famille, boulot... Tout y passe.



En filigrane, une satire évidente et corrosive de la société.



Le propos est tellement juste, la vision parfaitement claire, le ton cinglant comme il faut.



Il n'y a pas un chapitre exempt d'une petite décharge électrique.



On arrête parfois la lecture pour reprendre son souffle, à défaut d'avoir envie d'aller bosser...



Tellement politiquement incorrect que c'en est jubilatoire !



En revanche, plus moyen de franchir un open space sans avoir à l'esprit le tragi-comique de la comédie humaine qui s'y joue.



Piquant à souhait.



Un livre qui décoiffe !
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Un livre qui m’a fait penser, étrangement, au Parfum de Suskind. Une espèce de folie collective qui atteint tous les individus non par les effluves d’une fragrance mais par l’addiction à internet. Cool Killer est le récit le plus effrayant de la manipulation des masses par les algorithmes des sociétés dominant internet, non pour vendre des produits, mais générer de la violence. Les premières pages sont d’un cynisme incroyable sur le fonctionnement de notre société et pourtant, elles évoquent, malheureusement, une triste réalité dans laquelle on se perçoit parfois.



Cool Killer est un réseau social très particulier et addictif, chacun y fantasme la mort de son prochain, et de la façon la plus horrible, autant se faire plaisir. C’est Alexandre Rose, ingénieur, qui le créé après avoir tué un inconnu. Sans préméditation, sans le faire exprès et sans être inquiété par la police, le crime parfait. Totalement stupéfié par ce fait divers, Alexandre Rose abandonne femme, enfants et travail pour s’atteler à son objectif ultime : élargir son champ de malfaisance à la planète entière.



Sébastien Douver signe un roman atypique, très addictif, qui nous interpelle sur notre niveau de manipulation par les réseaux. A l’heure de la multiplication des « influenceurs », nous sommes certainement incapable de mesurer notre total libre arbitre sur le choix d’un produit, une décision ou, plus grave, sur un vote national. Chacun, de son côté, se renvoie la balle sur l’aspect manipulation et Sébastien Dourver en pointe le danger à son paroxysme. A lire absolument.

Alexandre Rose est ingénieur à Qtulu, une grande boîte spécialisée dans l'information et de la récupération de données sur le net.

Il mène une vie simple, entouré de sa femme et ses deux enfants mais Alexandre est un homme blasé. Il évolue dans une société qui le dégoute et un entourage qu’il méprise.

Un matin, en allant au bureau, il croise sur le trottoir un homme sur une trottinette à vive allure. Un petit coup d'épaule discret et voilà les portes d’un champ des possibles ouvertes.

En s’appuyant sur son réseau, les outils modernes et ses compétences d’ingénieur, Alexandre va « renverser le jeu et détruire la société par ce qu’elle a de pire : la violence »



Comme beaucoup l’ont dit, Cool Killer est réellement inclassable. Il est à la fois thriller, satire et roman noir.

L’intrigue s’installe au fil des pages dans une plume à l’image du narrateur (qui n’est autre qu’Alexandre Rose), cynique, audacieuse et brute (voire brutale).

Le ton est corrosif, froid et sans langue de bois pour dénoncer les nombreux travers et dérives de notre société. La réflexion est poussée à l’extrême ; dans un monde obnubilé par les réseaux sociaux, abreuvé par les médias et outillé de nouvelles technologies, faire du mal et assouvir ses envies les plus abjectes est facilement réalisable.



Un roman déjanté, original, horrible et délicieux, très incorrect, insolent, en bref, il est EXCELLENT !


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⚠️WARNING – Pour un public averti⚠️



Man Dieuuuuuu Minou ….

Mais comment je vais pouvoir te raconter ça ?!?!

Un truc de OUF !!!!!

Je viens de le finir et ….



✨ >> ALERTE PÉPiiiiiiiiTE > Passe ton chemin. Mais VRAIMENT.



*** * ***



« A la maison, ma pute de bonne femme m’attendait. Son petit sourire & sa fausse empathie cachaient mal son vrai désir de grosse voyeuse. »

>> 1ère phrase. Oé. Je sais. Ca donne le ton.



Bon allez, l’histoire

Paris.

Alexandre Rose est ingénieur. Il bosse pour Qtulu (pas Cthulhu) une grosse société d’infos et de récup des données sur le net.

Il a tout pour être heureux : femme, enfants, boulot MAIS sa vie est morne et insipide.

Ce matin-là, C’est la goutte d’eau : un gars en Trot’. Il déteste. Alexandre lui donne un ptit coup d’épaule. Trajectoire déviée, un camion en approche et …. BIM ou plutôt SPLASCH-Trotinetteman.

Aucun remord.

Une jubilation.

Alexandre Rose vient de commettre son premier meurtre.

Tout bascule.

Il décide de tout envoyer chier.

Boulot, Famille. TOUT.

Fini d’accepter le système, ses codes et son hypocrisie.

C’est l’overdose.



>> TARGET : détruire la société et baiser Princesse » En semant le chaos. (rien que ça)

>> Son ARME : COOL KILLER

« Participe au grand concours d’écriture du meilleur cool scénario et débarrasse-toi ENFIN de tes proches. »

Ah Sympa.



*** * ***



Tu es prêt, Minou ?

Ben nan, je le vois bien, tsé.

TU-N’ES-PAS-PRET.

Et tu vas te prendre une claque dans la tronche.



Ce livre est une ptite (voire grosse) bombe.💣

COMPLETEMENT DEJANTE.



Accroche-toi à ton slip, Minou. Parce que je n’ai rien vu venir.

Un style cash.

Cru.

Cynique.

Acide.

Un mix de 99FR – Black Mirror et LE VIDE de P. Sénécal.

👀 👀 👀



Utiliser les Nouvelles technologies, la noirceur de la société et ses déviances, pour détruire.

C’est noir. Très noir.

Ca va très loin.

Machiavélique, sadique et violent.

Quand tout explose … Man dieu …. HORRIBLE APOTHEOSE.

Je ne veux pas t’en dire plus.>> LIS-LE !!



En tout cas j’espère que la santé mentale de l’auteur va bien.

Comment peut-on écrire un truc aussi …. ACIDE ?!?!?

(il se rattrape dans ses remerciements. Ouf.)



Dévoré en quelques heures. (ok, il ne fait que 230 pages… un BéBé)

J’espère que ce livre restera une fiction.



>> ALERTE PÉPiiiiiiiTE >> TMTC



* A TANTOT ~ BISOUS LES MINOUS *

Ce livre est monstrueusement cynique, d'un cynisme assumé et revendiqué par le personnage principal que l'on suit dans son entreprise de déstabilisation et de destruction de la société bien pensante.



Ça va loin, ça frappe fort... nouvelles technologies, chaînes-info type BFM, tout est utilisé.

Une fois que le Cool Killer est lancé, rien ne l'arrête; j'avoue que je ne m'attendais pas à ce que l'histoire prenne cette forme, j'ai été déçu d'abord par ce qu'était le Cool Killer, mais ensuite rien ne l'arrête et ça prend plutôt côté histoire.



On est parfois mal à l'aise, mais c'est parfois jubilatoire aussi... c'est une lecture simple et direct, parfois coup de poing. Néanmoins, le livre reste un petit divertissement, ce n'est pas à proprement parlé de la littérature, mais c'est agréable de lire un livre qui ose aller au bout de ses fantasmes.

Aujourd’hui, je vous parle d’un abandon. Pourtant, j’aurais vraiment aimé apprécier cette lecture…



Ce livre, c’est un OVNI. Une critique de notre société capitaliste, de l’être humain en ce qu’il a de plus sombre. Une vérité sur les médias, l’info en continu, les réseaux sociaux. Une plume provocatrice, un humour noir et corrosif, des phrases qui s’opposent littéralement au politiquement correct.



Ce que l’auteur a voulu dénoncer, je le comprends. Il met le doigt sur l’hypocrisie ambiante et à laquelle nous courbons tous le dos à un moment ou à un autre. Quel est le problème alors ? Le personnage principal…



Le porte-parole qui dénonce toute cette mascarade, c’est Alexandre Rose. Il fait partie du système. Ingénieur brillant, il a avalé toutes les couleuvres qu'on lui présentait. Jusqu'à l'overdose. Jusqu'au jour où il décide de renverser le jeu et de détruire la société par ce qu'elle a de pire : la violence.



Ce petit passage vous donnera une idée du coco : « À la maison, ma pute de bonne femme m’attendait. Son petit sourire et sa fausse empathie cachaient mal son vrai désir de grosse voyeuse. »



Bref, imbuvable ce mec.



Bien que les idées soient bonnes, les sujets importants, les réflexions utiles, ce personnage - minable misogyne frustré - m’a empêché d’aller plus loin. Mes nerfs n’auraient pas supporté. Une réaction épidermique qui pourrait traduire un certain talent chez l’auteur dans le travail de ses personnages.



Soit. Ne vous arrêtez pas à mon avis car ce bouquin dénote et a le mérite de dire des choses intéressantes. Et puis peut-être que vous adorerez détester ce Alex Rose, même si moi je ne l’ai que détesté (beaucoup) !

Mais qu'est-ce que c'est que cet OVNI ?



Alexandre Rose est un pur connard. Mais qu'est-ce qu'il m'a fait rire !

Cynique, sarcastique, caustique, sadique.... Et beaucoup plus encore ! Il ne respecte rien et n'aime personne. Son rêve : réussir, à lui seul, à détruire la société. Et il se donne de sacrés moyens pour ça.



Ce livre est drôle et violent, ludique et dégoûtant.



Sébastien Dourver nous dépeint notre société dans ses pires dérives. Il met en avant la main-mise des réseaux sociaux sur notre vie privée, l'omniprésence de l'information qui influence souvent plus qu'elle n'informe, et les excès possibles. En espérant très fort que ça n'aille jamais aussi loin que ce qu'il raconte.

Sa caricature de ce que nous sommes est pourtant très proche de la réalité. Misogynie, racisme, sexisme, violence... Tout y est.

Il jette le chaud et le froid, entre critique sociétale et scènes de violence pure.



L'histoire m'a fait rire et sourire, m'a énervée et rebutée sur certaines scènes et dialogues. Les femmes n'ont pas le beau rôle et c'est quelque chose qui a tendance à me hérisser. Sans doute parce que c'est l'exact reflet de notre réalité.

Mais surtout elle m'a amusée, parce qu'il faut bien dire que le personnage est drôle, sans limite. Il a un humour froid et extrêmement noir, qui ne conviendra sans doute pas aux plus sages d'entre vous, mais que j'ai beaucoup aimé suivre.



Bref, si vous voulez découvrir un style totalement nouveau, que vous n'avez pas peur des scènes violentes et/ou pornographiques, que vous aimez l'humour noir trash, foncez !

un roman dingue !

Alexandre Rose, ingénieur, travaillant pour Qtulu, géant de l'information et de la récupération des données sur le net.

Il est à noter qu´Alexandre méprise tout et tout le monde, surtout sa femme et ses enfants.



Un jour, il sort du travail et subi une incivilité qui va lui faire prendre un tournant dans sa vie.



Son but: détruire la société même si il y a des dommages collatéraux et baiser princesse.



Pour ce faire, il va découvrir deux acolytes aussi barjot que lui !



Ce roman est machiavélique avec un humour débordant, de cynisme certes.



A lire !!

Merci aux éditions Points pour cette découverte !



Sous ses airs de "Monsieur tout le monde", Alexandre Rose cache une personnalité très particulière. Il a pourtant tout pour être heureux, un job très correct, une femme, des enfants... En réalité, le lecteur découvre assez rapidement que tout cela n'est qu'apparence et que le protagoniste principal de ce roman préfèrerait envoyer balader tout ça (ce qu'il va faire bien évidemment).



Dès le début du récit, un évènement déclencheur va survenir dans la vie d'Alexandre et à partir de ce moment tout va partir en vrille. Cet évènement ? Un coup d'épaule (volontaire il faut quand même le préciser) sur un homme en trottinette, ce qui a pour effet d'entraîner un accident de la route et le décès de cet homme. Avec cette petite action, Alexandre vient de tuer un homme et il ne sera même pas inquiété pour ça. Pour autant, c'est loin d'être suffisant et cet évènement va être le point de départ d'un plan diabolique.



Je n'en dirai pas plus pour ne pas gâcher la surprise, et de la surprise, il y en a tant ce roman est complètement barré et décalé. Et encore, je trouve que les mots sont faibles. Dès les premières lignes, le lecteur comprend déjà que ça va être trash et sans filtre. Pour être tout à fait honnête, j'ai eu assez vite un peu peur car je sentais que ça allait aller sûrement un peu trop loin dans la vulgarité. Si il y a bien quelques passages où l'on est vraiment dans de la violence un peu gratuite qui n'apporte finalement pas grand chose au récit, force est de constater que j'ai été agréablement surpris dans l'ensemble par ce roman.



Il y a déjà l'originalité. Après lecture, je ne sais toutefois pas si j'ai envie de rencontrer la personne qui été capable de pondre une telle histoire. Une imagination hors du commun mais qui fait quand même un peu peur hein ! Blague à part, il y a un vrai talent car il faut bien le dire ça sort complètement de l'ordinaire.



Au-delà de l'originalité, il y a aussi un vrai fond puisque ce roman fait réfléchir sur des sujets d'actualités comme les réseaux sociaux. Surtout, il montre ce que pourrait devenir ce genre d'outils très puissants dès lors que des personnes mal intentionnées vont y mettre leur grain de sel. Certains milieux en prennent aussi pour leur grade, je pense notamment au milieu de la presse. Bref, derrière l'emballage trash, il y a quand même des éléments de réflexion intéressants.



Et puis, ce livre a aussi eu le mérite de me faire rire à de nombreux moments. Parfois, j'ai aussi trouvé que l'auteur en faisait trop mais finalement, il y a un certain équilibre. L'ensemble est facile à lire avec une écriture très moderne et dynamique. le style dynamique du récit permet d'oublier rapidement les passages un peu lourdingues.



Au final, cela ne m'étonnerait pas de trouver des avis très tranchés sur ce roman. Soit ça passe, soit ça casse, tout le monde n'appréciera pas cette lecture, notamment pour son côté très trash allant sans doute parfois un peu trop loin. Pour ma part, je retiens cette originalité, cette réflexion sur certains pans de notre société, ce côté décalé parfois très drôle (parfois un peu lourd aussi). Un bon moment de divertissement avec ce roman que l'on peut qualifier d'OLNI (objet littéraire non-identifié) tant il sort de l'ordinaire.
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Je suis perdue. J’ai à la fois aimé et pas aimé. Parce que c’est un livre qui dérange et met carrément mal à l’aise. Je crois que je suis pas encore habituée, c’est pour ça. 🐣



Parce que sinon, j’ai trouvé ça SUPER bien écrit, j’ai adoré la plume, l’humour cynique et même le personnage d’Alexandre. En apparence, c’est un connard comme un autre : misogyne, narcissique, antipathique, pédant. Cet homme a tous les défauts du Monde, mais il est doué. Et il va utiliser son intelligence à (très) mauvais escient.



Alors oui, les nouvelles technologies, les déviances qui vont de paires, j’adhère. Mais putain, c’est même plus des déviances là ! 😵

Un peu trop hard pour moi, un peu trop fataliste. Je suis peut-être un peu trop romantique pour les romans noirs...? 🖤

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En tout cas, c’est foutrement bien écrit. Sebastien Dourver j’espère que même si tu es un putain d’écrivain, tu n’es pas visionnaire. Et qu’en effet, tes filles ne liront jamais ce livre. 😬
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C'est pourtant le genre de livre qui me fait rigoler, un moment de détente aux toilettes, des petits articles courts, des travers qui nous font sourire… Mais là, non, c'est loupé.



Un pot pourri (vraiment !) de blagues pas drôles de vieux réacs qui mettent tout dans le même panier… Et hop, tous des cons : l'écriture inclusive, les végans, le foot, le web, les macronistes, les populistes, les clients de l'homéopathie, de la sophro ou de la téléréalité.



C'est suffisant et condescendant. Ben oui, nous, on est bien au dessus de ça, on a tout compris et on ne nous la fait pas !



Bouarf !
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Alexandre Rose est un ingénieur brillant, et jusqu'ici il s'est prêté à tout ce que la société attendait de lui, tant sur le plan personnel que professionnel : il fait partie du système.



Jusqu'au jour où, accidentellement, il commet son premier meurtre... et n'en éprouve aucun remord. C'est le signal déclencheur qui va le pousser à tout changer dans sa vie, pour détruire la société par ce qu'elle a de pire : la violence.



Dans un monde rongé par des vices qu'internet rend accessible à tous, sa créature, le Cool Killer, qui mise sur le pouvoir pervers des réseaux sociaux et de l'info en continu, a toutes les "qualités" pour y parvenir.



C'est un roman cinglant qui met avec justesse en exergue les dangers d'une société où, grâce à internet, tout le monde peut exprimer les pires horreurs sur son prochain, en se sentant protégé par le fait d'être derrière un écran.
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C’est pour ce genre de rencontre que j’adore écumer les salons de littérature noire… Un mec super qui vous donne envie de découvrir son univers. Et quel univers, nous sautons à pieds joints du côté obscur de « l’humanité »… La perversion, le voyeurisme, la vengeance et j’en passe…

Ce roman est Hors Catégorie, inclassable, à ne pas mettre entre des mains non-averties. Sébastien Dourver nous renvoie en plein visage le reflet de notre société médiatique, virtuelle où l’intelligence de l’Homme est peu à peu remplacée par l’artificielle mais toujours « contrôlée » par des humains et pas les meilleurs.

Avec Cool Killer, Sébastien nous signe un « Black Mirror » à la française qui n’a rien à envier à ce bijou de série britannique.

Un auteur à découvrir et à suivre.


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Un texte complètement déjanté, décalé, cynique, qui traite des dérives des réseaux sociaux et de l’info en continue !

Juste ce qu’il faut de vulgarité, de "glauquitude" (je ne sais pas si ce mot existe mais c’est celui qui convient 😁), pour me faire sourire voir rire.

Cette satyre complètement loufoque est à lire ABSOLUMENT !!
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Un roman assez original, basé sur l'observation de la société au quotidien, certaines choses sont bien vues et avec humour. Beaucoup de scènes gratuitement violentes.

Une bonne partie du roman, qui se lit vite, présente peu d'intérêt à mon goût.

S'il ne tenait qu'à moi, on enfermerait dans un hôpital spécialisé cet anti-héros qui se venge sur la société de ne pas avoir su trouver d'intérêt réel à sa vie.

Une lecture que je vais vite oublier.

Oh le joli OLNI que voilà!!!

Les avis divergent sur ce genre de romans et je le comprends bien : on aime ou on déteste.



Il faut dire que Cool Killer est difficilement classable : un roman noir hyper cynique avec de l'humour et beaucoup de violence.



Un premier livre qui détonne, avec un personnage principal, Alexandre Rose, qui, du jour au lendemain, se décide à détruire notre société.



Critique des réseaux sociaux, télé-réalité, l'info en continu, notre politique, le personnage principal "casse le 4e mur" pour parler directement au lecteur. Pas d'immersion, le lecteur fait partie du roman directement.



Beaucoup de violence un peu gratuite avec beaucoup d'humour noir, même si j'ai beaucoup aimé ce livre, il y a des moments où j'ai dû sévèrement m'accrocher pour ne pas décrocher.



De longs monologues qui partent un peu dans tous les sens et surtout qui tranchent avec la légèreté juste exposée...



Les personnages de Alexandre Rose et de Junior sont les plus passionnants et les plus inquiétants car le côté obscur les a clairement engloutis.



Ce livre est étonnant et sera marquant pour moi dans ma vie de lectrice, de par sa construction totalement décalée et déjantée, ainsi que par son personnage totalement dénué de remords et de sentiments, un vrai sociopathe comme j'en ai rarement rencontré que ce soit dans mes lectures ou dans les films que j'ai pu voir.



C'est un livre très particulier à découvrir, au bon moment, laissez lui sa chance car il recèle de nombreux moments jubilatoires.


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Je me réveille. Encore un nouvelle journée de merde. Douche. Ptit dej. Je sors pour me rendre la ou l’aliénation est à son paroxysme pardon la ou je suis une esclave pardon à mon travail.

Putain on est dimanche. Je bosse pas.

Je suis déjà dehors. Je vais m’acheter un livre. Librairie. Fermé. Toujours dimanche. Tant pis je vais aller à la Fnac c’est bien capitaliste donc c’est ouvert le dimanche. Effectivement. Ouvert. Rempli de bobos qui viennent se rassurer sur leur quotient intellectuel. Sûrement négatif. Avec offense.

Quelqu’un vient. Il me demande si j’ai besoin d’aide. Non merci Kevvin avec deux v, Je vais m’en sortir toute seule.

Je me dirige vers le rayon polar. La un Amas de couvertures plus hideuses les unes que les autres. Dire qu’il y a des gens payés pour faire ça. J’ai envie de gerber. La y en a un moins degueulasse que les autres. Cool Killer. Un titre de merde. Quatrième de couverture. Ça passe. Je le prends. Non j’ai toujours pas besoin de ton aide kevvin avec deux v. Casse toi. Caisse. Argent. Retour chez moi.

Je m’installe et je lis. Putain c’est bon. Vraiment bon. Ça m’arrache le cœur d’avouer que c’est un putain de bon livre. Pourtant c’est vrai. C’est vrai et c’est flippant. Pas qu’il soit reussi. Quoi que. Flippant de réalisme. Flippant. Angoissant.

Flippant et angoissant. Cynique, drôle et percutant. Forcément maintenant je vais vous dire de le lire. Pourquoi? Parce que j’ai rien d’autre à faire. Ok. Mais surtout parce que c’est intelligent, un peu à contre-courant de tout ce qui se fait en ce moment. Un brin jubilatoire. Un brin. Parce que j’ai quand même beaucoup ri. C’est mon humour que voulez vous.

J’espère que ce « contenu » vous aura plu. En fait, je m’en fous.

Cordialement.

Non pas cordialement.

Lisez le.



Ps: je me demande si la regle 34 existe pour bookstagram.

Violent, gratuit, complaisant, faussement rebelle, sans âme et sans style, ce roman racoleur se jette à corps perdus dans les travers qu’il veut dénoncer.

C’est l’histoire d’un homme qui bouscule un bobo à trottinette électrique provoquant un accident bien gore. L’histoire d’un homme qui bien placé dans la société la hait et veut la détruire. Un homme misanthrope et nihiliste prêt à (faire) tuer des millions de personnes pour prouver que tous les hommes sont cons et irrécupérables. Une lecture nauséeuse pour moi qui pourtant avait aimé American Psycho auquel on le compare.
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Ames sensibles s'abstenir!

C'est déjanté et pourtant ça transpire une part de vérité.

Jusqu'ou la dérive des réseaux sociaux, d'internet, des nouvelles technologies peut elle nous mener? Sujet tellement d'actualité

L'auteur fuit le politiquement correct, le ton est incisif.

Vraiment une lecture à part, j'ai passé un bon moment même si j'en fut parfois décontenancée, j'ai bien ri aussi!