AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Sherrilyn Kenyon (166)


- Mais qu’ont donc les gens à vouloir se lever avec le soleil ?
Commenter  J’apprécie          00
- Tu l’aimes ?
- Comment pourrais-je aimer quiconque ?
Commenter  J’apprécie          00
Julien leva les yeux au ciel.
- Les hommes de ton époque m'inquiètent, Grace. Ils semblent tous être de vrais idiots.
Commenter  J’apprécie          00
- George, arrêtez-vous en chemin et achetez nous quelques fers rouges pour que nous puissions nous arrachez les yeux.
Commenter  J’apprécie          00
Et les pensionnaires des Enfers veulent des sodas glacés. L'histoire de l’humanité a été écrite par des gens qui voulaient décrocher la lune.
Commenter  J’apprécie          00
Personne n'a d'argent au point de jeter par la fenêtre quarante-huit mille dollars par an pour un gamin qui ne ferait que des bricoles.
Commenter  J’apprécie          00
C'était vraiment difficile de faire preuve d'autorité et de sévérité avec un gamin qui pratiquait ce genre d'humour. De plus, c'était plaisant d'être avec quelqu'un qui ne jouait pas les fiers-à-bras, n'avait pas la grosse tête. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas été traité comme un humain par quelqu'un qui connaissait sa vraie nature.
Commenter  J’apprécie          00
Règle numéro un, petit : tu tires d'abord et tu poses des questions après. Règle numéro deux : tu cognes deux fois pour faire bonne mesure. Mieux vaut avoir des remords que des regrets.
Commenter  J’apprécie          00
Il existe en ce monde des gens qui sont capables de donner sans rien attendre en échange.
Commenter  J’apprécie          00
...le gamin était un sacré petit dur capable de supporter une violente raclée et de prendre une balle sans demander grâce. Peu d'adultes auraient encaissé pareille correction sans pleurer ni se plaindre. Pour cela, il respectait ce gamin.
Commenter  J’apprécie          00
Le destin est comme un train qui suivrait une voie connue de son seul conducteur. À un passage à niveau, nous pouvons choisir d'arrêter notre voiture et de laisser passer le train, ou bien de la précipiter contre la locomotive et d'essayer de la faire dérailler.
Commenter  J’apprécie          00
Le libre arbitre.
D'aucuns le considèrent comme le plus précieux cadeau de l'humanité. Il représente notre capacité à contrôler les événements qui nous affectent. Nous sommes les maîtres de notre sort, et nul ne peut l'infléchir sans notre accord.
D'autres disent que ce n'est que de la foutaise, que notre destin est écrit et que, quoi que nous fassions, si farouchement que nous le combattions, nous ne pouvons rien y changer : il nous arrive inéluctablement ce qui doit nous arriver. Nous ne sommes que des pions entre les mains d'un pouvoir supérieur que nos pauvres cerveaux d'humains ne comprennent ni ne cernent.
Commenter  J’apprécie          00
— Le bébé est né hier, pendant que tu étais au milieu d’un enfer déchaîné. Sinon, j’aurais été là aussi. Abby et le bébé sont sous la garde de Zarek, donc en sécurité. Ce matin, Abby et moi, on a décidé que je te serais plus utile qu’à elle. Alors me voilà, et je compte bien te ramener pour que tu fasses la connaissance de ta filleule.
Ren le félicita.
— Je parie qu’elle est magnifique.La fierté qui se peignit sur les traits de Sundown fit sourire Kateri.
— Aussi magnifique que sa mère. Parfaite, précieuse et bien partie pour me rendre dingue jusqu’à la fin de mes jours.
Il adressa un clin d’œil à Ren et ajouta :
— Dieu merci, j’ai une carabine et aucun scrupule à tirer un chargeur complet dans le dos de tout prétendant qui manquerait de respect à ma fille.
Commenter  J’apprécie          00
— Je vais vous donner la version courte. « Chuca » veut dire « pillage », « ravage ». La puta avec lui – et, oui, j’emploie le féminin à dessein – s’appelle Veneno. « Venin », « poison ».
Il la regarda, les yeux plissés.
— Alors ? Ça commence à s’éclaircir dans votre esprit ?
Oh que oui. Et elle était épouvantée. Leurs parents ne les avaient pas baptisés « Doudou » ou « Lapinou ». Manifestement, Chacu et Veneno étaient des durs à cuire.
Commenter  J’apprécie          00
Il faut que tu te rappelles, c’est qu’il n’y a que deux hommes parfaits : celui qui est encore à naître et celui qui est mort. Nous commettons des fautes. Cela fait partie de notre évolution. L’important n’est pas d’être parfait, mais de trouver la sérénité de l’âme, afin de ne pas succomber à l’envie de se fier à la mauvaise personne ou de chercher à réaliser le mauvais rêve. Nous nous faisons tous prendre au piège de vilaines ruses à un moment ou à un autre. Même moi.
Commenter  J’apprécie          00
— Parce que je suis plate comme une planche à pain, que j’ai les oreilles en feuilles de chou et que je suis couverte de taches de son.
— Plate ?
— Je n’ai pas de poitrine.
Elle l’observa du coin de l’œil : il la regardait comme si elle avait été nue.
— Tu as de très beaux seins.
— Merci, souffla-t-elle un peu embarrassée, mais flattée par ce compliment. Et toi ?
— Je n’ai pas de poitrine.
Son ton pince-sans-rire déclencha l’hilarité de Grace. 
Commenter  J’apprécie          00
Jess Brady fronça les sourcils en se tournant vers son écuyer, Andy, qui venait de débouler dans la cuisine ridiculement grande, haletant, ses cheveux noirs hérissés sur la tête comme s’il avait nerveusement passé les doigts dedans, ce qu’il ne manquait jamais de faire lorsqu’il était stressé.
Infiniment moins excité que lui, d’autant qu’il n’était debout que depuis peu, Jess souffla sur son café trop chaud.
— Du calme, petit. Je n’ai pas encore eu ma dose de caféine.Jess n’était pas du matin, même si ses matins étaient, pour la plupart des gens, le soir.
Andy continua de sautiller comme un poulain devant un serpent à sonnette.
Commenter  J’apprécie          00
On dit que le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions. Dans le cas de William Jessup Brady, ce chemin a été tracé par le fusil Henry qu’il porte à l’épaule et le Smith & Wesson accroché à son ceinturon.
Commenter  J’apprécie          00
Ne laissez pas hier dévorer aujourd’hui.
Commenter  J’apprécie          00
Lentement, langoureusement, elle entreprit de l’embrasser. Sur les lèvres, d’abord. Puis ce fut le tour de son cou et de ses oreilles, dont elle lécha les lobes en émettant de petits halètements qui l’embrasèrent. Ses seins nus plaqués contre son torse glissaient au fur et à mesure qu’elle progressait, et il frissonna des pieds à la tête, subjugué.
Bon, d’accord, ce qu’elle faisait là était très agréable. Plus que cela, même. C’était extraordinairement bon. Chaque fois que Lydia aurait envie de l’attacher et de le torturer de cette façon, il serait le plus consentant et le plus docile des esclaves.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Sherrilyn Kenyon (506)Voir plus

Quiz Voir plus

Avez-vous l'élégance du hérisson?

Quel est le prénom de M. Ozu?

Ozuma
Kakuro
Akitoki
Emiko

10 questions
237 lecteurs ont répondu
Thème : L'élégance du hérisson de Muriel BarberyCréer un quiz sur cet auteur

{* *}