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Citations de Sidney Sheldon (124)


Harry Stanford était un amant protéiforme, passionné et compétent. Son égocentrisme énorme l’incitait davantage à satisfaire les femmes qu’à prendre son propre plaisir. Sachant exciter les zones érogènes féminines, il orchestrait ses caresses en une symphonie sensuelle qui amenait ses partenaires à des sommets jamais atteints par elles auparavant.
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Prince, le chien berger allemand, s’étendit à ses pieds, comme toujours aux aguets. Ce chien était le signe de reconnaissance de Harry Stanford : où qu’il allât Prince l’accompagnait. On racontait que cette bête sautait à la gorge de quiconque au moindre commandement de Stanford. Rumeur dont personne ne tenait à vérifier le bien-fondé.
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Toutes s’accordaient à lui reconnaître une énergie presque palpable, voire pathologique. Il était infatigable. Sa philosophie était simple : un jour sans une affaire juteuse était une journée perdue. Il usait ses concurrents, son personnel, quiconque entrait en contact avec lui. Harry Stanford était un phénomène hors du commun. Il considérait être animé de sentiments religieux. Il croyait en Dieu : en un Dieu qui voulait sa fortune, sa réussite et… la mort de ses ennemis.
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Nom de Dieu, elle est bizarre cette religieuse !
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Voila trois jeunes médecins qui travaillent dans le même hôpital et qui, de plus partagent le même appartement : l'un d'eux manque in extremis de faire fermer l’établissement, le second tue un malade pour un million de dollars et le troisième est assassiné !
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L'escroquerie ressemble au jiu-jitsu. Dans ce sport, vous vous servez de la force de l'adversaire pour le battre; dans une escroquerie, de sa cupidité. Vous faites le premier pas et il accomplit le reste.
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Une évasion était un événement qui passionnait toutes les détenues. Elles vivaient chaque tentative par procuration en regrettant de ne pas avoir le courage d'en faire autant.
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Des centaines de milliers de gens, vociférant, masqués, déguisés en dragons, en alligators géants, en dieux païens; une marée humaine couvrant chaussées et trottoirs, emplissant les rues de leurs cris cacophoniques; une orgie de corps et de musique, de chars et de danses.
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En effet, ce dont elle avait rêvé se produisait réellement : à cet instant même on massacrait absurdement et brutalement des victimes innocentes, hommes, femmes et enfants. Elle repensa aux paroles du professeur Staka : « Cette guerre en Bosnie-Herzégovine dépasse l'entendement. » Ce qui lui semblait le plus incroyable, c'était que le reste de la planète parût s'en désintéresser. Elle craignit de se rendormir et de revivre tous les cauchemars qui hantaient son cerveau. Elle se leva, alla à la fenêtre, et contempla la ville. Tout était calme, pas d'armes à feu, pas de gens en train de courir dans les rues en hurlant. Cette paix avait quelque chose d'irréel.
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C'était une passion dictée par la haine et non par l'amour. Je ne pourrai jamais l'arrêter
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— Il va faire un merveilleux Président. » 
Le sénateur Davis acquiesça. Et je le tiendrai sous ma coupe, pensa-t-il. J'userai de lui comme d'une marionnette. C'est moi qui tirerai les ficelles et ce sera le Président des Etats-Unis qui parlera. 
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 Le malheur des uns fait le bonheur des autres.
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Pomona, Californie : une instructrice de judo capture un violeur qui s'apprêtait à l'attaquer

Parfait, décida Dana. Elle arracha le texte imprimé, le fourra en boule dans sa poche et s'empressa d'aller voir Bill Crowell.
« Une de mes anciennes camarades de collège vient de m'appeler, dit-elle d'une voix tout excitée. Elle regardait par la fenêtre lorsqu'elle a vu une femme attaquer un violeur présumé. J'aimerais suivre cette affaire. »
Crowell la regarda quelques instants. « Allez-y. »
Dana se rendit à Pomona en voiture afin de recueillir l'interview de l'instructrice de judo et son article figura cette fois encore en première page
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Depuis l'âge de douze ans, Dana savait comment elle voulait perdre sa virginité. Ce serait par une belle nuit de clair de lune, dans quelque lointaine île tropicale, sur une plage que les vagues viendraient battre mollement. On entendrait en fond sonore une douce musique. Un bel étranger distingué s'approcherait d'elle, plongerait son regard dans ses yeux, dans son âme, la prendrait dans ses bras sans prononcer un mot et la transporterait avec sensualité près d'un palmier. Ils se dévêtiraient et feraient l'amour tandis qu'au loin la musique accompagnerait leurs ébats jusqu'à l'orgasme final.
 
En réalité, elle perdit sa virginité sur le siège arrière d'une vieille Chevrolet, après une danse de l'école, et entre les bras d'un rouquin de dix-huit ans qui répondait au nom de Richard Dobbins et qui travaillait au Forum avec elle. Il lui avait donné sa bague et, le mois suivant, était parti vivre à Milwaukee avec ses parents. Dana n'avait plus jamais entendu parler de lui.
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« Lorsqu'on a un pur-sang en course, il faut toujours l'avoir à l'œil pour s'assurer qu'il garde le rythme. »
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Henry l'aimait d'un amour sincère et faisait tout pour la rendre heureuse. En d'autres circonstances, elle eût été amoureuse, mais quelque chose de profond était mort en elle. Je ne ferai plus jamais confiance à un homme.
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« Vous auriez fait un bon gouverneur. Un avenir radieux s'ouvrait devant vous. Vous auriez eu de l'argent... du pouvoir. Laissez-moi vous dire une chose sur l'argent et le pouvoir, Oliver... Le pouvoir fait de vous le maître du monde... Si vous étiez gouverneur de cet Etat, vous pourriez influer sur la vie de tous ses habitants. Vous pourriez édicter des lois favorables à la population et opposer votre veto à des lois susceptibles de lui nuire. » 
Mais je n 'ai pas besoin de ce pouvoir, voulut se convaincre Oliver. Je vais épouser une femme merveilleuse. Nous saurons nous rendre mutuellement heureux. Très heureux.
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La phrase finale du journal intime de Leslie Stewart fut la suivante :
 
Cher Journal : La noce a été superbe. L'épouse d'Oliver est très jolie. Elle portait une charmante robe blanche de satin et de dentelle avec un dos nu et une veste boléro. Oliver était plus séduisant que jamais. Il avait l'air très heureux. Je suis contente.
Parce que d'ici à ce que j'en aie fini avec lui, il va regretter d'être né
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Je ne voulais pas uniquement parler de votre beauté physique, mademoiselle Stewart. Je suis au courant de la manière dont vous avez réagi à toute cette histoire sordide. Ce doit être très pénible pour vous. Moi-même, en apprenant la nouvelle, je n'ai pas voulu y croire. » Il prit un ton courroucé. « Qu'est-il advenu de notre bonne vieille morale ? Pour ne rien vous cacher, je suis dégoûté de la manière tout à fait méprisable dont Oliver vous a traitée. Et que Jan l'épouse me rend furieux contre elle. Comme c'est ma fille, j'éprouve en un certain sens de la culpabilité. Ils se valent bien l'un et l'autre et méritent d'être ensemble. »
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Mourir si jeune. Avait-elle un amant ? Un mari ? Je rends grâces au ciel d'être vivante, d'être si heureuse et tant aimée. 
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