AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Sidney Sheldon (124)


Elle était toutefois ravie d’être derrière les barreaux car ceux-ci la mettaient à l’abri de celui ou celle qui la harcelait. Elle s’était pelotonnée dans sa cellule comme on s’enveloppe dans une couverture, pour se protéger des forces aveugles dont elle était victime. Sa vie s’était transformée en cauchemar. Elle repensait à tous les événements mystérieux qui lui étaient arrivés : quelqu’un entrant par effraction chez elle pour se livrer à des actes malveillants à son égard… le voyage à Chicago… les mots tracés sur le miroir… et à présent la police qui l’accusait des crimes indicibles dont elle ne savait rien
Commenter  J’apprécie          00
Ce qui les intéressait, c’était de s’exhiber mutuellement comme s’ils accomplissaient une sorte de danse verbale préliminaire à l’accouplement.
Commenter  J’apprécie          00
C’était une dure pression, un travail de vingt-quatre heures sur vingt-quatre. C’était le bâton. La carotte résidait dans la perspective de devenir à son tour partenaire du cabinet. Cela signifiait un salaire plus important, une part des énormes bénéfices engrangés par le cabinet, un grand bureau avec vue panoramique, des lavabos privés, des missions à l’étranger et un nombre incalculable d’autres privilèges du même ordre.
Commenter  J’apprécie          00
Les meurtres non élucidés. Ça me laisse un sentiment de frustration terrible. En effet, quand un crime demeure non élucidé, je n’y vois pas le signe que le criminel est particulièrement malin mais que la police ne l’a pas été assez. Enfin, jusqu’à présent, j’ai eu de la chance. J’ai résolu tous les crimes auxquels j’ai eu affaire.
Commenter  J’apprécie          00
Il ne semble pas y avoir de mobile. Mais vous savez, il y a plusieurs années que je suis dans la police et je n’ai jamais vu de crime sans mobile.
Commenter  J’apprécie          00
Elle se sentait sale, comme si chaque centimètre de son corps avait été violé. Que lui avait-il fait ? S’efforçant de ne pas y penser, elle descendit du lit, se rendit dans la minuscule salle de bains et entra sous la douche. Elle laissa couler l’eau sur son corps en essayant de se laver des ignominies qu’elle avait subies. Et si j’étais enceinte ? L’idée de porter l’enfant de Tibble lui donna la nausée.
Commenter  J’apprécie          00
Elle avait bu un verre de vin… Après, c’était le trou noir.

Il avait mis quelque chose dans son verre qui l’avait rendue provisoirement amnésique. Elle avait lu quelque chose au sujet d’incidents survenus sous l’effet d’une drogue identique à celle-là. On appelait ça « Date rape drug » – on invitait une femme à sortir et on la droguait pour la violer. C’était cette drogue qu’il lui avait donnée. Et moi, comme une idiote, je me suis laissé piéger. Elle ne se rappelait pas être allée à l’aéroport, avoir pris l’avion pour Chicago ou être montée dans cette chambre minable avec Tibble. Pire encore, elle ne se rappelait pas du tout ce qui s’y était passé.
Commenter  J’apprécie          10
C’était incroyable à quel point les gens pouvaient changer en dix ans. Ils avaient grossi ou maigri… étaient triomphants ou opprimés… Mariés ou divorcés… parents ou sans enfants…
Commenter  J’apprécie          00
C’était un psychologue engagé par l’entreprise pour conseiller les petits prodiges de l’informatique submergés par le stress. Sans être médecin à proprement parler, il était intelligent et compréhensif, et se confier à quelqu’un était toujours utile.
Commenter  J’apprécie          00
La seule chose qui l’empêchait alors d’être complètement heureuse était de savoir que les ténèbres allaient de nouveau s’abattre sur elle et qu’elle s’y perdrait.
Commenter  J’apprécie          00
Les affronts les plus insignifiants, délibérés ou non, la mettaient dans une rage folle. Un matin, alors qu’elle se rendait au travail, une voiture lui avait fait une queue de poisson. Elle avait grincé des dents en pensant : Je vais te tuer, espèce de salopard.
Commenter  J’apprécie          00
Elle souffrait d’anomie, un sentiment d’aliénation dans son rapport à autrui. Ses sautes d’humeur la prenaient toujours au dépourvu et elle pouvait passer en un instant de l’euphorie la plus idyllique à l’abattement le plus noir.
Commenter  J’apprécie          00
Alette Peters avait vingt ans. Elle pouvait tour à tour être terne, séduisante ou d’une beauté époustouflante au gré de ses humeurs ou selon qu’elle se sentait bien ou mal dans sa peau.

Mais elle n’était jamais simplement jolie. Son charme venait en partie de ce qu’elle était totalement inconsciente de son apparence. Elle était timide et parlait avec une douceur et une gentillesse qui avaient quelque chose de quasi anachronique.
Commenter  J’apprécie          00
Agée de vingt-deux ans, elle était espiègle, vive, et n’avait pas froid aux yeux. Elle était tout feu tout flamme, mais telle la braise qui couve sous la cendre. Elle avait le visage mutin et séduisant, l’œil brun et malicieux. Née à Londres, elle parlait anglais avec un charmant accent britannique. Elle était athlétique et aimait le sport, surtout les sports d’hiver : le ski, le bobsleigh et le patin.
Commenter  J’apprécie          00
Elle avait oublié à quel point son père pouvait être brutal. Il lui était arrivé, durant une opération, de frapper un interne qui avait commis une erreur de jugement. Elle se souvint des engueulades entre lui et sa mère quand elle était petite. Ces querelles la terrifiaient. Ses parents se bagarraient toujours pour le même motif mais elle avait beau faire, elle ne parvenait pas à se rappeler lequel. Elle avait recours à l’amnésie sélective.
Commenter  J’apprécie          00
Quelqu’un la suivait.

Elle avait entendu parler de harcèlement mais ceux qui s’y livraient appartenaient à un autre monde, un monde violent.

Elle ignorait complètement de qui il s’agissait, qui pouvait lui vouloir du mal.

Elle faisait de son mieux pour ne pas s’affoler mais, depuis quelque temps, son sommeil était troublé de cauchemars insupportables et elle se réveillait tous les matins avec un sentiment de catastrophe imminente.
Commenter  J’apprécie          00
« Les gangs russes ont de drôles de mœurs. D’abord on vous tranche les doigts, on vous laisse saigner un bon moment, puis on vous abat. »
Commenter  J’apprécie          00
« T’es rien qu’une pédale, Tyler. Je ne sais vraiment pas comment mes couilles ont pu engendrer un type de ton espèce. »
Commenter  J’apprécie          00
En fait, tout ce que nous pouvons penser ne compte pas. Un tribunal voudra des preuves, et c’est le test de l’ADN qui les apportera.
Commenter  J’apprécie          00
« Cela ne nous avance à rien. Soyons logiques. En un sens, ici, on juge cette personne et nous, on est les jurés. C’est à nous de déterminer si elle est innocente ou coupable. Dans un jury populaire, la décision doit être unanime. Il faut que nous soyons tous d’accord. »
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Sidney Sheldon (252)Voir plus

Quiz Voir plus

Vie et oeuvre de Robert van Gulik

Les romans policiers de Robert van Gulik se déroulent dans la Chine ancienne et le héros se nomme Ti (Tee ou Dee en anglais). Quel est son titre professionnel ?

détective
préfet
commissaire politique
juge

8 questions
11 lecteurs ont répondu
Thème : Robert Van GulikCréer un quiz sur cet auteur

{* *}