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Critiques de Silvana De Mari (65)
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Le Dernier Elfe

Ecriture sympathique, histoire touchante. Une lecture jeunesse qui reste agréable pour un adulte
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Le Dernier Elfe

J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman.

L'elfe enfant est vraiment très sympathique.

Les incompréhension entre lui et les deux humains, leur relation... sont vraiment sympathiques.

J'ai bien aimé à la fin des chapitre les essais de nom pour le chien.



C'est de la fantasy assez original avec un monde qui se tient.
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Le Dernier Elfe

Peut-être un peu trop long pour ce type de trame. Peut-être il s’agit d’un roman dirigé vers un public « jeunesse » plutôt « enfants ». Malgré les détails de ce monde imaginaire et fantastique, souvent présent dans la littérature pour adolescents, j’ai apprécié la façon réussie de mettre au lecteur dans la peu des dragons plutôt que dans celle de l’elfe qui pour moi il a eu une narrative trop répétitive qui vient densifier une atmosphère déjà grisâtre, dans un format de gros livre à histoire courte.
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Le Dernier Elfe

Dans un monde obscur battu par les pluies, le jeune Yorsh, dernier des elfes (race exterminée par les humains qui en ont peur), a dû fuir son village dévasté. Un homme et une femme vont le conduire jusqu’aux terres du dernier dragon, en prenant tous les risques car c’est interdit par la loi de se trouver en présence d’un elfe. Là, il doit accomplir une ancienne prophétie en devenant le gardien du dragon. Mais c’est sans savoir qu’une autre prédiction l’attend encore, qui l’entraînera plus loin.



Je rends quand même tout de suite justice à la plume de Silvana de Mari : le texte est fluide, l’écriture est bonne (ici, la traduction), le tout s’enchaîne plutôt bien, tout est clair et on peut plonger facilement dans l’histoire.



Cependant, ce qui fait que je n’ai absolument pas accroché, c’est sa reprise des figures fantastiques. Elle a essayé d’insuffler à ses personnages ultra classiques, de nouvelles personnalités, qui pourraient les démarquer des figures qu’on a l’habitude de voir. Mais, pour moi, elle a été trop loin.



Je me représente les elfes comme des êtres majestueux, d’une suprême intelligence (ce qui en fait des êtres un peu/beaucoup, imbus d’eux-mêmes), possédant une magie hors du commun mais délicate, et étant très proche de la nature (ce qui leur permet d’avoir une très grande sensibilité émotionnelle et une grande force de compassion envers tous les êtres vivants). Cette représentation est tenace et on la retrouve dans tous les grands classiques, littéraires ou cinématographiques. Avec des petits changements de-ci de-là pour varier les plaisirs. Mais Silvana de Mari a ici touché à ces fondements, d’un peu trop près.



Yorsh, le jeune elfe est un être capricieux et qui ne comprend absolument pas le monde qui l’entoure. Dans toutes les représentations d’elfes que je connais, même si ces êtres vivent différemment des humains, ils connaissent la façon de vivre de ces derniers et ne se formalisent donc pas forcément des écarts de comportements qu’il peut y avoir entre les deux peuples. Ici, Yorsh, non seulement ne comprend pas au premier abord ces différences, mais ne les acceptent pas par la suite et fait des sortes de crises pour obtenir que les humains se conforment à sa pensée. Il faut se visualiser qu’au début du récit, Yorsh ne doit pas avoir plus de 4 ans. Cependant, pour moi, l’intelligence des elfes se déclare très rapidement, leur empathie également et jamais je ne verrais un elfe réagir comme le fait Yorsh, si jeune soit-il. D’autant plus que son âge n’excuse rien puisqu’en grandissant et en devenant adolescent, il ne s’améliore pas du tout.



On peut prendre comme exemple plus précis un comportement typique d’elfe. Etant très proche de la nature, étant capable de ressentir les émotions de n’importe quel être vivant, Yorsh ne mange surtout pas de viande. Seulement, il fait des crises quand il voit ses compagnons humains tuer un animal pour se sustenter, au point que ceux-ci se retrouvent dans l’interdiction de manger leur butin (que le petit elfe s’empresse d’ailleurs de réanimer). Les deux humains continuent donc d’avoir faim car ils ne trouvent rien d’autre à manger. L’empathie de l’elfe s’arrête donc aux animaux et ne s’étend pas à des êtres pourtant plus proches de lui, les humains. Il ne peut pas comprendre qu’eux ont besoin d’animaux pour se nourrir. Tant pis s’ils ont faim. Cet aspect d’empathie totalement loufoque m’a complètement dépassée.



Mais le comportement des humains aussi est irréel. Ils pouvaient tout aussi bien passer outre les crises du jeune elfe. Crises qui de toute façon duraient encore longtemps après le « meurtre » de l’animal, donc finalement autant le manger, la crise n’en aurait pas forcément était plus grave. Les deux humains qui rencontrent Yorsh n’ont donc aucune fierté et se laissent totalement amadouer par une pauvre petite créature très énervante…



En ce qui concerne les autres personnages, ça peut aller. D’autant plus qu’ils ne sont pas forcément très développés. Cependant, l’un d’entre eux m’a encore chiffonnée : le dragon. La représentation classique en est un animal majestueux, puissant, traversant les siècles, dont la mémoire se déverse dans ses descendants, ce qui en fait un être d’une extrême intelligence, très imbus de lui-même, arrogant, parfois cruel, s’estimant supérieur à tous. On a l’habitude de ce personnage-là, même avec des variantes, même s’il peut être plus gentil que ce portrait.



On rencontre deux dragons dans ce roman. Le premier est geignard, faible, chochotte. On comprend pourquoi au bout d’un moment, mais j’ai tout de même trouvé cette représentation grotesque. J’ai également trouvé grotesque que Yorsh n’ait aucune compassion pour les humains et que ces derniers soient à sa botte, tandis qu’avec le dragon, le petit elfe se laisse totalement dominer (alors qu’il pourrait s’en aller et le dragon ne lui ferait même pas de mal) et les rôles sont inversés. Incompréhensible.



Le second dragon, dans une moindre mesure est geignard également (surtout quand monsieur doit marcher au lieu de voler). Mais surtout c’est son changement radical de comportement entre son état de bébé et son état d’ado qui m’a choquée. Je ne peux pas en dire plus ici, sinon je spoile tout, mais le retournement de situation est incompréhensible.



Pour en savoir plus sur ce livre et surtout son auteur, rendez-vous sur notre site !
Lien : http://lebazarlitteraire.fr/..
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Le Dernier Elfe

Très originale façon d'aborder l'univers médiéval fantastique. Bien loin des canons du genre anglo-saxon, ce dernier elfe a tout en finesse, l'élégance des grandes sagas.

Le tome 2, le dernier orc est encore plus réussi.
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Le Dernier Elfe

Très déçue par ce livre jeunesse qui nous plonge dans un monde imaginaire où se mêlent dragons, elfes et humains.



Ce livre représente beaucoup de choses pour moi. En effet, c'est le premier livre de fantasy que j'ai acheté et que j'ai commencé à lire étant petite. Cela fait donc au moins 15 ou 20 ans qu'il était dans ma PAL et 20 ans que je ne l'avais plus touché...Au moins, c'est chose faite !



Pourquoi déçue ? Parce que, en le rouvrant bien des années après, je n'ai pas eu cette étincelle, cet éclat qui fait qu'on accroche au livre et qu'on le lit d'une traite !

Là, c'était un calvaire. Je n'avais pas ce souvenir du Dernier Elfe. Je n'avais lu que la première partie. Et pourtant....



Le Dernier Elfe n'est pas récent, il est paru en 2004. L'écrivaine, Silvana de Mari, est psychothérapeute.

On suit donc l'aventure ou les mésaventures d'un petit elfe, Yorsh, dernier rescapé de sa lignée.

Sur sa route, il croisera le chemin de Monser, un chasseur, et d'une femme Sajra.

La prophétie est en marche. Yorsh y arrivera t-il ?



Je serais brève : la première partie est celle que j'ai préféré ! Le vocabulaire parfois trop compliqué, a eu raison de moi. Il y a aussi beaucoup de pages qui ne veulent rien dire...



Je ne sais pas si je lirai la suite.







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Le Dernier Elfe

Yorsh est le dernier des elfes. Son peuple a disparu. Une vieille légende le guide vers son avenir... Dans ce monde effrayé par la répression, il croise le destin d'un homme et d'une femme qui vont l'accueillir malgré sa différence.

Le roman est découpé en deux parties tout aussi surprenantes l'une que l'autre. Alors qu'au vu du titre on s'attend à un énième récit sur le peuple des elfes, l'autrice se sert de cette créature fantastique pour mieux mettre en valeur les défauts des hommes. Désir, jalousie, xénophobie, amour, don de soi... finalement ce roman est beaucoup plus d'une simple épopée fantasy : il est le point de mire d'une réflexion sur l'humanité et ce qu'elle a accompli jusqu'à présent. Ce roman a reçu le Prix Imagines Jeunesse en 2006.
Lien : http://boumabib.fr
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Le Dernier Elfe

Un livre très chouette à lire !



Nous sommes en compagnie de Yorsh, le dernier elfe en fuite parce que son village a été dévasté par les hommes. Dans ce monde dans lequel nous atterrissons, les elfes ne sont pas du tout apprécié des hommes. Pourtant, Yorsh va croisé la route d'une femme qui va tenter de l'aider, un peu à contre coeur au début. Yorsh ne connaît pas les codes des hommes ce qui l'entraîne dans des situations quelques peu délicates parfois.



Une histoire que j'ai trouvé très intéressante et passionnante. J'aurais apprécié quelle soit un peu plus poussée et un peu plus longue.



J'ai passé un très bon moment en lisant ce livre.
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Le Dernier Elfe

[...] C'est l'histoire d'un jeune elfe, le dernier elfe présent sur terre qui est chassé de chez lui par la montée des eaux et qui tente de survivre tant bien que mal dans un monde hostile. C'est l'histoire de sa rencontre avec les humains, ...
Lien : http://lecturesduprof.blogsp..
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Le Dernier Elfe

Je n'ai pas vraiment apprécié ce livre car c'est vraiment un livre très "enfantin". La deuxième partie de l'histoire est déjà plus intéressante ais j'aurais aimé que ce nouvel univers soit moins simple et plus travaillé. Jai entendu dire que "Le Dernier Orc" du même auteur était mieux mais je ne pense pas que je le lirais...
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Le Dernier Elfe

Une bouffée d'air frais que ce roman avec ses leçons de vie! J'ai découvert cet auteur grâce à Theoma et je suis ravie. Déjà le titre à lui tout seul me plaît... et la couverture encore plus. Ce petit Elfe , "un né depuis peu" me touche dès le départ. A cela s'ajoute un dragon extraordinaire ( ben comme tous les dragons hein..). J'y ai trouvé de l'amour, de la vie , de l'humour , de l'amitié et même encore plus!



la suite sur mon blog...
Lien : http://www.les-lectures-d-un..
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Le Dernier Elfe

Ne vous fiez pas au titre de ce livre

Il ne s'agit pas d'une histoire quelconque d'elfes, simple remake du Seigneur des Anneaux où les elfes sont des êtres parfaits, dotés de pouvoirs extraordinaires et sont immortels.



Ce livre bouleverse les clichés. Il est tranchant, déchirant et magnifique. Il reflète une réalité que nous vivons actuellement : celle de l'intolérance, du rejet de l'"Autre". Parce que ce dernier est différent, tout est permis : la guerre, la souffrance et la solitude.



Parmi ces êtres similaires dans ce monde apocalyptique, il reste certaines lumières, symboles d'espoir.



Silvana de Mari signe un chef d'oeuvre d'une beauté et d'une poésie rares et nous fait réfléchir : même dans le noir et dans l'horreur, il y a toujours un espoir.



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Le Dernier Elfe

Voilà une histoire dont on ne peut se dépêtrer, type saga nordique, avec des adjonctions de tout le folklore de légendes moyenâgeuses, ce qui donne au final un monde, fantastique évidement, mais tout à fait original (CE QU'IL FAUT SOULIGNER, tant cela devient rare!), nouveau.

Les personnages sont tous creusés, et l'auteur, via le scénario, nous montre qu'ils ne sont pas noir ou blanc...

Un scénario prenant, comme je l'ai dit, mais peut-être un peu enfantin, comme le style littéraire.

Mais le reste nous fait très vite oublier ce petit défaut!



à lire quand on veut voyager...
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Le Dernier Elfe

Ces derniers temps, j'essaie de retrouver dans la base tout mes livres préférés lorsque j'étais plus petite. je suis donc retombé sur Le Dernier Elfe, lecture que j'avais adoré !



Un mélange d'épique et de fantastique qui m'avait tout de suite plu entoure l'histoire de ce petit elfe, ce né depuis peu, Yorsh. Très proche du coup de cœur.

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Le Dernier Elfe

Le dernier elfe est un mignon petit roman que j’ai pris plaisir à lire. Ce roman est estampillé jeunesse, et d’ailleurs ça se remarque immédiatement à la couverture du livre.

Le style d’écriture également nous l’indique très clairement. Un style simple, sans fioriture et qui va la plupart du temps à l’essentiel.

Néanmoins, simple et roman jeunesse ne signifie pas pour autant roman sans envergure ou écriture non soignée. Ce n’est pas pas du tout le cas.



J’ai beaucoup aimé l’histoire en elle-même. La quête de cet elfe que l’on découvre alors qu’il n’était qu’enfant, jusqu’à ce qu’il devienne un adolescent. Et puis le parallèle établi avec Robi, cette petite orpheline qui tente de survivre dans un monde trop cruel pour elle. Cette histoire, sans être extraordinaire, est assez sympathique. Le genre d’histoire dont on devine très vite les tenants et les aboutissants, mais que je prends plaisir à lire malgré tout.



Les personnages, malgré un manque d’approfondissement, sont attachants. J’ai trouvé que l’auteur retranscrivait leurs émotions d’une façon certes très simple, mais en même temps très efficace.

Et puis, Yorh l’elfe est quand même assez drôle dans son genre, et plusieurs fois j’ai rigolé en le découvrant dans une situation insolite, ou suite à une chose qu’il avait dit.



Au final, Le dernier elfe est un roman qui se lit très facilement, le genre de roman sans prise de tête, teinté d’une touche de naïveté et qui me fait du bien au moral.
Lien : http://desliresdestoiles.ove..
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Le Dernier Elfe

il est tres bon
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Le Dernier Elfe

Lecture jeune, n°117 - Contre : Cette histoire-là est simplissime ; elle aurait pu être intéressante si l’auteur n’écrivait pas avec une mièvrerie constante et fatigante. Ça se veut poétique mais c’est pleurnichard et bête. La première partie est tout de même meilleure car l’elfe porte sur les hommes un regard vierge et naïf et pointe nos contradictions, non sans humour. Si le ton n’était pas aussi larmoyant, ce serait drôle. Mais voilà, le dernier elfe, comme tous les elfes, est victime de la méchanceté des hommes. Alors l’auteur en fait beaucoup trop dans le pathos et le sentimental sans laisser au lecteur le moyen de ressentir par lui-même la souffrance du petit héros. Sandrine Brugot-Maillard
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Le Dernier Orc

Que pouvait écrire Silvana de Mari en plus, alors qu'elle avait terminé toutes les situations psychologiques qu'elle pouvait expérimenter sur son elfe ? Assez curieusement, elle a choisi de rester dans ce monde pour un second volet, qui certes éclaircit certains points du premier, mais reste en-dehors de ça une suite totalement indépendante, en s'intéressant cette fois à un humain tout ce qu'il y a de plus normal. Enfin, non, pas complètement. Il est intelligent, le gamin, et brutal aussi. Et en même temps, Rankstrail voue un amour démesuré à sa famille et n'a rien contre personne. C'est par nécessité, et surtout sa seule haine, celle envers les orques, qu'il va devenir le capitaine d'un régiment chargé de contrer une nouvelle invasion de ces sagouins.

L'idée ensuite va être celle que les orcs sont certes laids et violents, qu'ils ont une culture bien plus cruelle que la notre, mais qu'ils ne sont pas pour autant des êtres démoniaques et juste bons à être éradiqués de la surface du globe. Une nouvelle manière de renouveler l'archétype tolkienien, tout en explorant en parallèle la mentalité d'un militaire, et se demander : fondamentalement, qu'est-ce qui nous différencie d'eux ? Mais ce qui aurait pu être une suite sublimant l'oeuvre d'origine se révèle finalement presque brouillonne de par différents partis pris. À aucun moment on n'aura le point de vue d'un orc : un regard extérieur changeant au fil du temps aurait pu lui aussi être bon, mais celui des humains s'attache avant tout à la guerre, et donc les buter. Ce qui fait qu'au final, la trop noble de coeur et de naissance Aurora est le seul personnage à apporter de la nuance, mais ce à travers beaucoup, beaucoup de dialogues.

Et ça se complique, car voilà l'autre chose à laquelle on a appris à Rankstrail à se méfier toute sa vie : l'Elfe. Seulement si les arcs narratifs autour de Yorsh deviennent un élément dramatique de poids, ils s'avèrent surtout une digression de plus face à ce qui devait être le sujet du livre : la confrontation à grande échelle de deux races différentes, et toutes les interrogations que ça soulève. À bien y réfléchir, on aurait pu mettre n'importe quel autre personnage féminin que Robi, ça n'aurait pas changé grand-chose... mis à part la grande sensibilité qui s'échappe du tout.

Enfin, à cela vient s'ajouter une certaine lenteur compensée par des précipitations à d'autres endroits ; on ne nous raconte par la fin du juge-administrateur ni celle de la guerre, soit, mais l'épilogue et ses deux pages lapidaires nous balancent tout pour nous donner un arrière-goût de queue de poisson.

Pourtant, encore une fois, on sent toute la finesse psychologique des héros qui nous sont présentés. Rankstrail est extraordinairement profond pour un roman jeunesse, tout comme Robi, et Erbrow et Moron ne sont pas loin de ce degré de perfection. Enfin, le roman est jalonné de scènes étonnamment crues dans un livre pour enfants, sans jamais en faire trop. Certaines centaines de pages se lisent d'une traite tellement la tension dramatique est bonne. Si Silvana de Mari n'atteint donc pas parfaitement ses objectifs, elle aura toujours réussi une chose : écrire de la fantasy militaire jeunesse, et réaliste avec ça.
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Le Dernier Orc

Un merveilleux roman...
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Le Dernier Orc

Pour le capitaine Rankstrail, comme pour la plupart des Mercenaires, les choses étaient simples : combattre de la manière la plus brutale et jusqu’à la mort des Orcs, qui attaquaient les Terres Connues. Jusqu’au jour où son chemin croise celui d’un personnage d’une lumineuse bonté, Yorsh. Le redoutable guerrier se met alors à douter.

Suite du Dernier Elfe, certains disent qu’on peut lire ce roman sans connaître le premier. Je pense que pour mieux comprendre les méandres de ce roman et la profondeur de cet univers, il vaut mieux avoir lu le premier.

Ce roman nous font découvrir les aventures du Capitaine Rankstrail. De son enfance à la place qu’il s’est forgé chez les hommes en tant que Mercenaire à la tête d’une armée prête à mourir pour lui. Il ne connaît aucun doute et aucune peur. Il veut détruire les Orcs. Puis, peu à peu, il commence à comprendre que le monde n’est pas si simple.


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