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Critiques de Silvana De Mari (65)
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Der letzte Zauber (3)

Traduit de l'italien en Allemand en 2010. On l'attend toujours en Français alors que les deux premiers romans de la trilogie, le dernier elfe et le dernier orc, sont des ovni géniaux et méridionaux de la fantasy comme on aimerait en lire plus souvent.

Le projet d'édition française est certainement abandonné par l'éditeur originel qui n'a pas compris ce qu'il avait dans les mains. Ce serait bien si une autre maison d'édition prenait le relais et nous permettait enfin de lire ce dernier opus.
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Gli ultimi incantesimi

Tome 3 de la série le Dernier Elfe



« Gli ultimi incantesimi » est une histoire de Reines, une histoire de Guerrières. Leur destin n’est pas gravé sur un mur, mais caché dans une comptine qui par les pas d'un enfant à un autre a traversé les siècles. Parmi toutes les reines, la plus désespérée est celle des Orcs, disposée à sacrifier non seulement la vie mais l'éternité. La plus seule est la Reine du Monde des Hommes. La plus désarmée est la Reine du peuple déporté des Nains, condamnée à mourir dans les mines. La plus improbable est Masciak la Grasse, la fille du bourreau. Toutes devront apprendre à combattre et à gagner, parce que l'avenir du monde passe par la liberté, la force des mères, leur droit inaliénable de choisir le père de leurs fils, de montrer leur visage, de sentir le vent dans les cheveux, de leur droit inaliénable de ne pas être battues, vendues, achetées, exploitées, répudiées, lapidées ou brûlées. « Gli ultimi incantesimi » est une histoire de héros involontaires et improvisés, des faibles, des mauvais et des quelconques. C'est un choeur de petites voix. Le héros le plus petit est un enfant terrorisé par les monstres qui vivent dans l'ombre sous son lit…
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L'Ultima profezia del mondo degli uomini

Tome 4 de la série " le Dernier Elfe "



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Le chat aux yeux d'or

Je suis allée vers ce livre après avoir été conquise par « Le dernier elfe » de la même autrice italienne (que je lis actuellement à mes enfants le soir avant de dormir) et je n’ai pas été déçue!

Je m’attendais à un univers fantastique mais il n’y a que peu de magie (et seulement en fin de livre… je vous tease je sais…😜), en revanche l’histoire est à la fois originale et déroutante.

Leïla rentre en sixième dans un collège qu’elle ne connaît pas. Elle est pauvre, un peu ronde. Elle vit seule avec sa mère qui multiplie les boulots et se retrouve souvent seule. Leïla est débrouillarde et s’est créé un monde bien à elle à l’opposé de la bienséance imposée à l’école. Les premiers jours vont être très difficiles mais Leïla va vivre des aventures qui vont la faire grandir, faire des rencontres qui la feront réfléchir. Ce livre est une pépite! Il y est question de la différence, physique, mentale et culturelle abordés avec un franc-parler qui fait la force de Silvana De Mari.

Je vous la conseille ainsi qu’à vos enfants (à partir de12 ans)


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Le chat aux yeux d'or

Belle couverture et beau livre. Très beau livre même.



Leila petite fille pauvre vit seule avec sa mère dans les Marais, quartier misérable où logent des migrants. Elle se prépare à rentrer au collège où elle va faire la connaissance d’enfants d’un milieu aisé, de leurs parents aux personnalités marquées et d’une professeure aigrie qui se montre extrêmement incompréhensive et méchante avec elle. Mais il y a a l’amitié avec Myriam une petite éthiopienne et Fiamma la première de la classe, le beau Stefano, une petite chienne vraiment « fabuleuse » et un chat mystérieux aux yeux d’or.

S'il s'agissait d'un roman français ce genre d’histoire ne m’aurait pas emballée mais c’est un roman italien et les italiens ont vraiment un don pour décrire l’enfance et les familles.

C'est un roman à la fois poétique et très concret, ce qui me plait.

Le happy end est presque trop beau mais ce roman étrange d’une grande puissance mérite d’être lu d’autant que l’auteur parle au lecteur et le mène par la main, ce qui n’est pas si courant.

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Le chat aux yeux d'or

J'étais en train de ranger des livres au boulot ; je trie, je pose le livre sur l'étagère. Je le ressors de l'étagère. Je m'étouffe. Mouargl, un Silvana de Mari que j'ai failli laisser passer ! Mais si, l'auteure du Dernier Elfe (léger et drôle) et du Dernier Orc (profond et passionnant) ! Surprise, ici, point de fantasy, mais une petite collégienne un peu ronde, qui débarque d'un milieu pauvre et peine à se faire une place parmi ses camarades. Mais c'est là que c'est génial ; dans un univers complètement différent de ses précédents, la magie de Silvana de Mari continue d'opérer. J'ai retrouvé avec plaisir une langue et un propos simples, presque triviaux, mais d'une justesse impressionnante. Si j'osais, je tenterai bien un parallèle avec John Green pour vous convaincre de le lire ; ça serait une légère triche, parce que les deux auteurs ont des styles bien différents, mais ils ont en commun le talent de toucher leurs lecteurs et de les rendre plus intelligents.



En plus, au fil de mes lectures, je me pose régulièrement la question de savoir pourquoi je pardonne ce qui me semble être une invraisemblance ou une coincidence trop marquée dans un roman, et pas dans un autre. Et bien j'ai la réponse pour ce titre : j'ai tellement aimé les personnages, inconditionnellement, que comme des personnes chères à mon coeur, j'ai envie qu'il leur arrive de belles choses. Alors quand tout à coup le quotidien de Leila s'illumine singulièrement, je ferme les yeux sur le fait que ce n'est pas complètement réaliste, et je souris. Un livre plein de bonheur, réconfortant.



Un coup de coeur qui peut se lire à partir de 11 ans, mais à découvrir à tout âge !
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Le chat aux yeux d'or

Affublée d'un prénom de princesse inter-galactique, de kilos superflus et de vêtements d'occasion, Leila a beaucoup de mal à trouver sa place au collège où elle vient de faire sa rentrée. Dans son ancienne école, tous les enfants étaient d'origine étrangère, et aussi pauvres qu'elle, élevée par une mère qui se tue à la tâche pour l'élever seule. Mais un jour, son regard croise celui d'un chat noir famélique encore plus misérable qu'elle. Leila décide de le secourir. Sa vie en sera complètement transformée. Les moqueries cessent, elle trouve des amis parmi les autres élèves, et recueille une drôle de petite chienne perdue par un vétérinaire qui s'y était beaucoup attaché. Elle continue de rendre visite à Myriam, son ancienne camarade de classe, d'origine éthiopienne, pour partager l'instruction qu'elle reçoit et dont la jeune fille est privée. Le chat noir veille sur Leila, présence bienveillante mais qu'elle seule semble percevoir. S'il vient en aide aux persécutés, comme elle ou des enfants juifs pendant la deuxième guerre mondiale , c'est qu'il fut victime d'une époque où de nombreuses jeunes femmes innocentes accusées de sorcellerie périrent suppliciées. Il répare les destins brisés comme celui de Myriam, organise des rencontres providentielles comme celle du vétérinaire et de Leila puis, lorsqu'il a joué son rôle, disparaît.



On doit reconnaître à Silvana de Mari un talent affirmé pour introduire avec humour et subtilité des sujets graves, parfois même tragiques, comme la mutilation sexuelle que subit la toute jeune Myriam. Elle se plaît à construire des personnages dont les bons côtés finissent par se révéler sous des abords antipathiques, à découvrir le meilleur de chacun, même dans la violence que les déshérités ont pour seul repère. Cette démarche altruiste et positive n'est sans doute pas étrangère à l'attention qu'elle accorde aux animaux. Leila affronte avec courage la misère, qu'elle sait reconnaître et s'efforce de soulager : celle de son amie éthiopienne, celle d'un chat affamé, celle d'un chiot perdu. En retour, l'amour et la reconnaissance des animaux adoucissent sa vie et celle de ses amis. Fabuleuse, la petite chienne qui porte bien son nom, est la seule à ne pas se laisser duper par l'agressivité avec laquelle Myriam tente de cacher sa détresse. Et ce n'est pas la distinction de sa race qui fait sa valeur aux yeux de Leila, car elle pense que personne ne viendra réclamer ce drôle de bâtard au corps trapu et aux oreilles démesurées (en fait, un pur basset hound). Alors, même si on sent venir le loin la fin prévisible de ce roman et l'arrivée d'un nouveau « papa » dans la vie de la petite fille, on s'attache avant tout à la générosité candide qui donne toute sa force à sa jeune héroïne. Elle rappellera sans doute aux lecteurs de Silvana de Mari le protagoniste essentiel d' autre de ses livres, l'excellent Dernier Elfe.
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Le chat aux yeux d'or

Pour Leila, c’est le premier jour de collège. Elle est celle qui vit dans les marais, n’a pas de père mais une mère éleveuse de lombrics, un nom de princesse intergalactique et une silhouette trop grasse. Elle découvre la méchanceté anguleuse de sa prof d’italien et la mise à l’écart réflexe par ses camarades. C’est alors que son regard croise celui d’un chat noir aux yeux d’or, une bouffée d’espoir qui accompagnera son chemin, la guidera vers des recoins d’amitié et de générosité. Peu à peu, elle trouve sa place, aux côtés de Fiamma, Stefano, Umberto et Ursula. Elle découvre leur milieu, leur vie qui n’est pas toujours enviable. Elle se crée sa propre histoire, épaulée par le chat, ses amis, ses voisins, sa mère et Fabuleuse, une petite chienne venue s’échouer devant sa porte.



Silvana De Mari aborde dans Le Chat aux yeux d’or une telle multitude de thèmes que l’on pourrait craindre un fouillis sans queue ni tête : adolescence, pauvreté, famille, école, pédagogie, immigration, exclusion, excision et infibulation, lutte des classes… La liste est longue. Mais c’est avec une plume empreinte d’un humour tendre qu’elle bâtit une histoire dont Leila est le centre et l’équilibre. Un conte doux-amer qui dépeint un monde difficile mais où le bonheur a toujours sa place. Un réalisme qui parfois fait mal au cœur, adouci par une pointe de fantastique et d’improbabilité. Un roman d’espoir.
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Le chat aux yeux d'or

Leila fait son entrée au collège. Arrivée en retard, un peu trop ronde, venant de l'école accueillant les enfants les plus pauvres de la ville, elle devient vite la risée de la classe et la honte de ses professeurs. Mais un étrange chat noir, maigre et tout pelé, l'attire sur le toit du collège.



Après un prologue bien sombre, j'avoue avoir eu du mal à reprendre ma lecture. Mais bien m'en a pris car effectivement l'arrivée du chat suivi d'un drôle de chien réchauffe vite l'atmosphère. C'est alors une galerie de personnages hauts en couleurs et bien plus complexes qu'il n'y parait au premier abord qui défilent, un professeur tout en angles pointus, un vétérinaire délaissé amoureux d'un saucisson à pattes, une petite fille au physique ingrat qui cache un coeur gros comme ça, une maman trop maigre condamnée à plaire... Silvana de Mari prend grand plaisir à tous les brosser avec verve et beaucoup d'humour. C'est avec la même chaleur qu'elle décrit le bonheur de l'écrivain et du lecteur. Pour elle le livre ne sert pas seulement à développer l'imagination mais aussi à mettre des mots sur nos vies, à les transformer en récit pour leur donner un sens, les faire sortir du chaos.



Ce livre est un vrai petit bijou qui se mérite. Pour tous dès la 5e
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Le chat aux yeux d'or

Le Chat aux yeux d'or de Silvana De Mari : roman ovni : humour, fantastique, réaliste...



Cette histoire a tous les ingrédients pour faire un roman 'plon-plon' : une petite fille : Leila, pauvre vit seule avec sa mère qui travaille tout le temps pour ne gagner que le minimum vital , des collégiens riches qui se moquent, des profs moqueurs, une petite fille brillante qui prend Leila sous son aile, et cetera et cetera...



Mais un chat veille sur cette histoire. Seuls, nous lecteurs et Leila connaissons son existence. Est ce lui qui va permettre à ce roman de nous faire passer un excellent moment? Peut être...



L'auteure nous parle de sujets graves, nous fait réfléchir sur nos rapports aux autres, tout cela l'air de rien et avec un humour des plus fins. Même si la fin est prévisible, ce roman est un véritable coup de coeur ! A lire à partir de 11ans et jusque...



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Le chat aux yeux d'or

"Bonjour les gens ! Aujourd'hui, je viens vous parler d'un livre sur lequel j'ai flashé dès que je l'ai vu. Pensez donc, il avait une étiquette « Coup de coeur » des bibliothécaires ! J'ai donc voulu l'essayer.



-Mytho.



-Hein ?



-Mytho. Tu ne l'as pas choisi pour ça. ‘Fin, si, mais pas que.



-Et bien, pour tout dire, la couverture m'intriguait, c'est rare une photo en noir et blanc…



-Myyythoooooo !



-Bon, d'accord, j'avoue ! J'ai craqué sur le titre, « le chat aux yeux d'or », parce que je suis une gagaloutche des chats, ça te va comme ça ? Oui, j'aime les vidéos de chatchats, et quand je serai vieille, ‘fin, encore moins jeune que maintenant, je serai une mémé à chats ! Je peux continuer, maintenant?



-Oui, maintenant que la vérité est faite sur toute la lumière, tu peux y aller.



-Bon ! Ca ne parle même pas tellement de chats, mais ce n'est pas grave. Il y a un chien, en revanche.



Or donc, Leila rentre en sixième et ça commence mal dès le début : elle est en retard. Ca ne s'arrange pas par la suite, elle est très vite mise à l'écart : trop grosse et trop pauvre, pas assez instruite. Elle trouve cependant l'espoir en rencontrant un chat, un chien… ainsi que les élèves de sa classe, finalement.



-Et donc ?



-Et donc c'est pas mal. le style est efficace, gentiment naïf sans être mièvre, Leila est un personnage attachant dont j'admire le courage : il en faut pour ne pas se laisser abattre par les horreurs de la prof d'italien. Leila décide de se battre, d'affronter, de lutter pour ne plus être une cancre. Elle s'ouvre à la détresse d'autrui et relativise très vite ses problèmes. le ton n'est pas misérabiliste, le texte au contraire valorise le courage pour s'en sortir tout en prenant soin des plus faibles que soi.



Il y a aussi une autre chose intéressante du côté des adultes : il ne suffit pas d'avoir de bonnes intentions pour enseigner. La pitié ou le mépris qu'ils manifestent handicapent sérieusement Leïla dans son apprentissage. Les bons sentiments ne suffisent pas, c'était intéressant de le démontrer.



Quant à la narratrice, elle monte un dialogue entre le lecteur et elle avec son jeu de notes explicatives, quelle excellente idée!



-C'est donc parfait ?



-Non, ça ne l'est pas. Leila a une amie, Myriam, et j'ai trouvé que la partie qui lui est consacrée n'est pas aussi réussie, le texte m'a paru brouillon en dépit du travail évident sur la forme. La découverte des problèmes de Myriam m'a semblé peu réaliste. Et je ne sais pas s'il est réellement possible de résoudre ledit problème aussi « facilement » et rapidement dans la réalité. Je comprends bien qu'il faut dénoncer ce genre d'horreurs*, soulever l'indignation et les réparer ou les empêcher, mais je ne suis pas convaincue par la façon dont toute cette partie se déroule.



En revanche, il était intéressant de voir comment les problèmes des parents pèsent sur leurs enfants et à quel point cela pèse sur ces derniers, au point de les abîmer. J'ai bien aimé cette partie observation. J'ai également apprécié les critiques de lecture. Mais…



-Mais ?



-Mais une dernière chose me chiffonne un peu. Elle se présente comme « Leila, comme la princesse de Star Wars ». Or, le rôle de Carrie Fischer s'appelle « princesse Leïa », ça m'a désagréablement irritée tout le long du texte.



-Euuuh… t'es pas un peu dingue, quand même ?



-Si ! Mais même ! Bref. Quoi qu'il en soit, le roman reste un bon moment de lecture, plaisant et intelligent. J'apprécie un peu moins la fin, je pense que je suis trop vieille et trop aigrie pour y croire vraiment, cependant, le style est plaisant, original et poétique. Saluons donc une oeuvre positive qui devrait ouvrir l'esprit des enfants tout en leur procurant joie de vivre et optimisme."



*Je précise que la violence demeure parfaitement soutenable car présentée de façon indirecte et pudique.

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Le chat aux yeux d'or

Leila, jeune fille issue d'un milieu pauvre, fait son entrée en sixième. Tout de suite, elle devient la risée de ses camarades, et de certains professeurs, à cause de ses vêtements dégoûtants, son prénom de personnage de film, et le métier de sa mère, éleveuse de lombrics. Pourtant, Leila ne se laisse pas abattre et, lorsque son regard va accrocher la silhouette malade et blessées d'un étrange chat noir aux yeux dorés, tout va changer dans la vie de Leila...

Un roman qui m'a laissé un sentiment assez partagé : j'ai trouvé l'écriture parfois très enfantine quand les propos peuvent être très ados, voire adultes ; le prologue, superbe d'angoisse, est complètement cassé lorsqu'on entre dans la véritable histoire, celle de Leila, et que l'auteur s'adresse aussitôt à nous en nous expliquant comment raconter une histoire. J'ai trouvé ça un peu dommage... Cependant, on finit vite par entrer dans les aventures de Leila, les bons sentiments nous gagnent très vite et, malgré les embûches et les problèmes de taille qui font la vie de ses amis, on accepte les facilités prises par l'auteur. Ma critique peut sembler très négative, mais je me suis tout de même laissée entraîner dans l'histoire et c'est un roman qui se lit bien...mais il m'a manqué quelque chose pour véritablement l'apprécier.
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Le chat aux yeux d'or

J'ai beaucoup aimé cet ovni qui flirte avec le fantastique et l'humour... et parfois l'adresse directe au lecteur, alors qu'on ne s'y attend pas.

Je me suis énormément attachée à Leïla. Et son histoire est est tellement jolie que, même si tout n'est pas crédible, on est heureux de la lire... tout simplement. Une petite perle !
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Le chat aux yeux d'or

Très beau livre, très poétique.

Leila, 11 ans, entre au collège. Héroïne très attachante, elle est la seule de sa classe à venir d'une école de pauvres, d'immigrés, près des marais. Elle tente d'aller de l'avant, envers et contre tout, malgré les moqueries de ses camarades et de ses professeurs. Elle y arrivera, des amis viendront.

Ce texte est très émouvant, sensible, et propose une vraie réflexion sur les apparences, la beauté, la pauvreté et la richesse...

Beaucoup de thèmes difficiles sont abordés, (notamment au détour d'un exposé pour la classe) : l'Inquisition, les mutilations sexuelles, le rôle des mères dans l'éducation des fillettes.



Ce livre a sa place dans un CDI de collège, j'aimerais tellement que les élèves soient sensibles à cette histoire, à cette écriture. Mais je le conseillerais aussi à des adultes qui savent qu'ils peuvent s'émouvoir pour une petite fille angoissée, son petit chien, le chat noir qui la protège, son univers lumineux malgré la misère.
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Le chat aux yeux d'or

Chez Silvana de Mari, les personnages sont complexes et se révèlent au fil de l'intrigue ; l'auteure se plaît à révéler les bons côtés de chacun. La jeune Leila affronte la misère et aide les autres : son amie Myriam, un étrange petit chien, un chat affamé. Beaucoup d'humour et de tendresse dans ce roman, avec un soupçon de magie.
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Le chat aux yeux d'or

Le début du roman donne une image très énervante de l'auteur, un côté prétentieuse, donneuse de leçon et cabotin du genre "l'écriture regardez je maîtrise", de quoi dégoûter des tas de lecteurs et c'est dommage car son roman est fait pour aider les enfants à accepter ce qu'ils sont, ce que sont leurs parents, le manque d'argent ou de reconnaissance sociale.

Une vraie aide pour aborder l'adolescence dans de meilleures conditions.

Si l'auteur acceptait de se faire oublier un peu au profit de son histoire, ce serait vraiment mieux.

Mois oui c'est indéniablement un bon roman jeunesse sinon, dommage qu'à mon avis le début risque d'en dégoûter beaucoup...

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Le Dernier Elfe

Le dernier elfe est une très belle histoire qui se divise en deux parties : "le dernier Elfe" suivi par "le dernier Dragon". Les personnages sont très attachants. On se laisse facilement attendrir par cet elfe maladroit dans ses tentatives de comprendre le monde des hommes.



Un roman sur la tolérance et sur le mal que peut faire les préjugés basés sur l'ignorance et la peur.
Lien : http://antredelivres.over-bl..
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Le Dernier Elfe

Lu en vacances...c'est un livre assez enfantin de Fantasy. Malgré tout, beaucoup de choses à garder en mémoire, c'est pour cela que je ne le conseillerais pas avant 12 ans. Les décors, les langages et les bons sentiments font voyager, et on en ressort heureux.
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Le Dernier Elfe

Lecture jeune, n°117 - Pour : Dès la première page, Silviana de Mari invite son lecteur à découvrir un monde imaginaire où règnent la pluie et l’obscurité. Yorsh, un jeune elfe, erre sans but dans ce paysage hostile où pourtant il rencontrera une femme, puis un homme, et certainement sa destinée. Malgré une structure narrative classique, l’auteur réussit un récit original, porté par la personnalité de l’elfe. Elle abat tous les clichés et fait naître un être d’un nouveau genre. Certes il est doté de pouvoirs, mais aussi d’une naïveté attendrissante. Son intelligence impressionne également. Le seul bémol est la rupture trop nette entre la première et la deuxième partie. Lorsqu’on aborde la seconde, le rythme s’est un peu brisé et le charme, un peu dissipé. Toutefois, Le Dernier Elfe demeure une magnifique épopée poétique récompensée par le Prix Andersen Italia 2004. Il plaira aux fans du genre et permettra une belle entrée en matière pour les autres. Sonia Seddiki
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Le Dernier Elfe

Encore une lecture qui remonte à l'époque de mon club de lecture soit... dix ans.



Le dernier elfe n'est pas vraiment un livre que je qualifierais d'épique. On est plus proche d'une Odyssée que d'une épopée... mais ce n'est pas encore cela.



Le dernier elfes c'est le voyage d'un orphelin, dans un monde ou les siens sont hais par des hommes pour leur différence.

Ce n'est au début qu'un tout jeune enfant qui ne doit sa survie qu'à deux compagnons qui ne sont eux mieme pas bien sûr de savoir pourquoi il aide.



C'est ensuite un jeune elfe qui doit porter le lourd fardeau d'une prophétie et le savoir d'être le dernier de son peuple.



Il rencontrera dans son voyage plusieurs figure, dont le dernier des dragons.



C'est un livre très beau, très triste aussi, qui il me semble n'est pas réservé à la seule jeunesse.



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