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Citations de Sir Arthur Conan Doyle (1630)


That hurts my pride, Watson", he said at last. "It is a pretty feeling, no doubt, but it hurts my pride. It become a personnal matter with me now.
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I began d to laugh at this, but the laugh was struck from my lips at the sight of his face. (...) "My God, my God, my sins have overtaken me.
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«Connaissances en littérature : néant. Connaissances en philosophie : néant. Connaissances en politique : faibles. Connaissances en botanique : inégales. Connaissances en chimie : grandes. Maîtrise la canne, la boxe et l'escrime. Joue parfaitement du violon...»

Dr Watson

Une étude en rouge
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Je m’abstins toutefois d’émettre une quelconque remarque, et restai assis à dorloter ma jambe blessée. Une balle de fusil Jezaïl l’avait traversée quelques temps auparavant, ce qui ne m’empêchais pas de marcher, mais me causait des douleurs pénibles chaque fois que le temps changeait
Extrait "Le signe des quatre"
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Dans cette salle, et tout au fond, un seul étudiant, penché sur une table, complètement absorbé par son travail. Au bruit de nos pas, il leva vivement la tête, bondit vers nous en poussant un cri de triomphe et en agitant sous le nez de mon compagnon l’éprouvette qu’il tenait à la main. « Le voilà, le voilà, s’écria-t-il, il est trouvé le réactif qui arrive à précipiter l’hémoglobine, le seul, l’unique ! »
Vraiment il aurait découvert une mine d’or qu’il n’aurait pas pu manifester une joie plus exubérante.
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En quelques mots il expliqua à l'inspecteur les faits concernant la lettre et le code. MacDonald s'assit, cala son menton sur ses mains, et ses yeux ne furent plus que deux fentes jaunes.
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Il ne pouvait se passer d’elle un seul jour.
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Le public, et c’est assez naturel, a pour principe que celui qui veut guérir doit d’abord être sain lui-même, et il se méfie du pouvoir curatif d’un homme sur lequel n’agissent pas ses propres remèdes.
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La vérité, quelle qu’elle soit, est préférable au doute.
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Holmes aimait à s’isoler ainsi pendant les heures de contention mentale au cours desquelles il pesait le pour et le contre des choses. Il édifiait alors des théories contradictoires, les discutait et fixait son esprit sur les points essentiels.
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- Eh bien, Watson, qu'est-ce que vous en dites ?

Holmes, assis, me tournait le dos et je ne lui avait en aucune façon indiqué ce qui, pour l'instant, m'occupait.

- Comment avez-vous sut ce que je faisais ? Il faut vraiment que vous ayez des yeux derrière la tête !

- J'ai, du moins, une cafetière en argent bien astiquée devant moi.
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Lorsque le docteur Mortimer eut achevé sa lecture, il remonta ses lunettes sur son front et regarda Sherlock Holmes. Ce dernier bâilla, jeta le bout de sa cigarette dans le feu et demanda laconiquement :

"Eh bien?

-Vous ne trouvez pas ce récit intéressant?

-Si; pour un amateur de contes de fées."
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"-[...] La mâchoire du chien, telle qu'on peut se la représenter d'après les espaces entre ces marques, est à mon avis trop large pour un terrier mais pas assez large pour un dogue. Ce serait donc... Oui, c'est bien un épagneul à poils bouclés."

Tout en parlant, il s'était levé pour arpenter la pièce et s'était arrêté derrière la fenêtre. Sa voix avait exprimé une conviction si forte que je le regardai avec surprise.

"Mon cher ami, comment pouvez-vous parler avec tant d'assurance ?

- Pour la bonne raison que je vois le chien devant notre porte et que son propriétaire vient de sonner."
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De tous les fantômes, ceux de nos vieilles amours sont les pires.
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Il trouva, comme tant d'autres, qu'il est plus facile de contracter cette habitude que de s'en défaire, et pendant de longues années il continua d'être esclave de la drogue, en même temps qu'il était, pour ses amis et pour les siens, l'objet d'un mélange de pitié et d'horreur. Même à présent, il me semble le voir encore, épave et ruine d'un noble caractère, tout recroquevillé dans son fauteuil, avec sa face jaune et pâteuse, ses paupières tombantes et ses pupilles réduites comme des pointes d'épingle.
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– Estimez-vous que la poésie est une bonne chose ?
– Bien sûr !
– Et pourtant Poe était un ivrogne, Coleridge s’adonnait aux stupéfiants, Byron était un viveur, et Verlaine un dégénéré. Il faut toujours séparer l’homme de son art. Le génie doit payer une rançon parce que le génie réside dans l’instabilité d’un tempérament.
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– Il m’arrive de penser que c’est uniquement le monstrueux orgueil de l’humanité qui l’incite à croire que tout ce théâtre a été dressé pour sa propre exhibition.
– Là-dessus nous ne pouvons pas être dogmatiques ; mais en laissant de côté ce que vous avez appelé un orgueil monstrueux, nous avons sûrement le droit de dire que la vie humaine constitue la chose la plus élevée dans l’ordre naturel.
– La plus haute de celles dont nous avons connaissance.
– Cela va sans dire, monsieur !
– Pensez aux millions et probablement aux milliards d’années pendant lesquelles la terre s’est balancée dans l’espace… ou, sinon tout à fait vide, du moins vide de la moindre trace de l’espèce humaine. Pensez à notre planète, lavée par la pluie, roussie par le soleil, balayé par le vent pendant des siècles innombrables. C’est seulement hier, dans le temps géologique, que l’homme est venu à l’existence. Pourquoi donc tenir pour certain que toute cette préparation formidable a été ordonné pour son seul bénéfice ?
– Alors pour qui, ou pour quoi ?
Summerlee avait haussé les épaules pour répondre :
– Comment le dire ? Pour une raison qui nous échappe, l’homme peut avoir été un simple accident, un sous-produit élaboré dans le processus. C’est comme si l’écume sur la surface de la mer s’imaginait que l’océan était créé pour la produire et la maintenir ; ou comme si une souris dans une cathédrale croyait que la cathédrale avait été édifiée pour lui servir de résidence.
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Quand on suit deux raisonnements distincts, Watson, on finit toujours par trouver un point d’intersection où se situe approximativement la vérité.
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Parmi les millions de Londoniens les trois personnes que nous cherchions étaient aussi invisibles que si elles n’avaient jamais existé.
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Prêtre un jour, prêtre toujours.
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