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Citations de Stan Nicholls (96)


Un fermier et sa tendre femme
Tombés entre les mains des orcs
Du couteau ont connu la lame
L'homme son or nous a donné
Pendant que sa mie rôtissait.
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Prenez vos armes les Renards,
Et déployez votre Etendard !

Lève haut ta chope de bière
A ton triomphe guerrier orc
Et vide-là d'une main fière !
Les lances des vaillants Renards
Des humains perceront le lard !

Toujours plus riches et plus gras
Du monde nous serons les rois !
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Stryke ne distinguait plus le sol sous les cadavres. Les hurlements des blessés et le fracas de l'acier l'assourdissait. En dépit du froid, la sueur lui picotait les yeux. Les muscles en feu, tout son corps lui faisait mal et son pourpoint de cuir était constellé de sang, de boue et de morceaux de cervelle.
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- Nous avons un passé ! Un passé fait de férocité et de batailles, de victoires sur nos ennemis ! Un passé qu'on a laissé tomber dans l'oubli ! Et le moment est venu de réveiller cette nature endormie ! De lâcher les chiens de guerre !
(...)
- Nous ne vivrons pas plus longtemps en misérables dans ces ténèbres ! Nous allons prendre les armes et nous tailler un passage jusqu'à la lumière !
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- Mais par où commencer les recherches ? Demanda Coilla.
- Par le royaume des kobolds, répondit Jup.
- Tu veux aller jusqu'à Roc-Noir ? S'étrangla Haskeer. Ca fait un peu loin pour quelqu'un d'aussi court sur pattes.
- Tu vois une meilleure idée ?
Haskeer ne répondit pas.
- Ils peuvent être allés n'importe où, rappela Coilla.
- C'est vrai. Mais nous ne savons pas où est n'importe où, alors que nous connaissons le chemin de Roc-Noir.
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Nous hurlerons et rugirons
Comme de vrais combattants orcs
A plein poumons nous braillerons
Et reviendrons de nos batailles
Ivres de gloire et de ripailles.
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- Tu te ranges de son côté, une fois de plus. Tu devrais soutenir les tiens plutôt qu'un étranger. [Haskeer]
- Nous "sommes" des étrangers ici, espèce d'idiot ! Tout le monde nous maudit, nous déteste et nous chie dessus. Penses-y la prochaine fois que tu seras tenté de juger quelqu'un. À sa façon, Jode a souffert autant que nous. [Coilla]
- Tu parles d'un humain. Généralement, quand il s's'agit de chier sur les autres, ils sont du bon côté du trou de balle. [Haskeer]
Jup éclata de rire.
- Désolé. (Il tenta de se ressaisir.) Mais... "du bon côté du trou de balle" ? Cette fois, Haskeer tu t'es surpassé.
Il recommença à s'esclaffer, et plusieurs orcs se joignirent à lui.
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Adieu délectables putains
Et belles damoiselles orcs.
Invitées d'honneur au festin
Nos épées boiront tout le sang
Qui ruissellera dans les champs.
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Dans la première des contrées
Livrées à la fureur des orcs
Une haute tour se dressait
Nous l'incendiâmes promptement
Volant le calice et l'argent.
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- Nous avons perdu Slettal et Wrelbyd. Il y a trois blessés graves, mais qui s'en remettront, et une douzaine de blessés légers.
- Soit cinq guerriers hors course, ce qui nous laisse vingt-cinq combattants valides en comptant les officiers, calcula Stryke.
- Quelles sont les pertes acceptables pour une mission comme celle-là ? S'enquit Coilla.
- Vingt-neuf.
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Nous brûlerons et pillerons
Comme savent faire les orcs
Féroces nous arracherons
La tête du tronc rabougri
De nos limaces d'ennemis !
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—Tu n’en vaux pas la peine. Et puis, je n’ai pas besoin d’aide pour éliminer une créature dans ton genre.
— Raciste.
— Je préfère « libérateur », si ça ne te fait rien. Nous avons envahi cette contrée pour vous empêcher d’utiliser des armes de destruction magique contre nous.
— Foutaises ! Les orcs n’ont pas de pouvoirs magiques. Où étaient censées se trouver ces fameuses armes ?
— Pour l’instant, nous ne les avons pas encore découvertes, mais…
— Un pur mensonge, coupa Stryke. Un prétexte pour envahir Acurial. Et qui diable pensiez-vous libérer ?
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Un diamant brut gisant parmi une avalanche de gravats. Un scarabée qui avance sans se presser sur une table couverte de raisins noirs. Un pétale de lys emporté par le vent au milieu d'un vol de colombes. Le fait qu'ils soient difficiles à voir ne diminue en rien leur réalité.
Il en va de même dans l'océan infini de l'existence, où se pressent des mondes parallèles en nombre incommensurable. Parmi eux se trouvent des anomalies, des structures qui, bien que superficiellement identiques, diffèrent de la norme. Leur rareté confine à l'improbabilité - et pourtant, elles sont bien réelles.
(...)
La cité elle-même était aussi remarquable que l'étrange monde conçu pour lui servir d'écrin. Si un étranger avait été autorisé à la contempler - non que cela arrive jamais -, il aurait été stupéfié par son extravagante diversité. Une myriade de styles architecturaux s'y côtoyaient : tours de cristal et enceintes trapues, arches jaillissantes et bâtiments pareils à des rochers. De majestueux amphithéâtres voisinaient avec des maisons haut perchées dans les arbres; des huttes rondes se massaient à l'ombre de citadelles aux multiples tourelles. La cité était faite de pierre, de verre, de bois, de quartz, de coquillages, de boue séchée, de fer, de brique, de marbre, d'ébène, de toile d'acier et de matériaux impossibles à identifier.
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- Cette situation dégénère à la vitesse grand V, siffla le gobelin. Des créatures non autorisées, dans une zone interdite, et en possession de deux jeux d'instrumentalités. Songez au chaos qu'elles pourraient engendrer. C'est une crise majeure que nous avons désormais sur les bras.
- Ç'a toujours été une crise majeur, répliqua Pelli. C'est juste devenu une crise majeure très compliquée.
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Comme à son habitude, il progressait en finesse : il élimina le premier gobelin qu’il trouva à mains nues, puis lui brisa la colonne vertébrale en se servant de son genou comme d’un billot. Il éviscéra le suivant.
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— Comment le savez-vous ?
— Je ne parle pas beaucoup, mais je garde les oreilles et les yeux ouverts.
— Ça s’appelle de l’espionnage.
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- Voyons voir ... Capitaine, dit-il en lui lançant une tunique. Alfray.
Et voila celle de Jup.
Il la tint en l'air pour que tout le monde puisse la voir.
- Regardez ça ! Aucun orc de plus de douze printemps n’entrerait dedans. Ça ne me couvrirait même pas le cul !
Jup lui arracha le vêtement.
- Couvre plutôt ta tête. Ce serait une amélioration esthétique.
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La nuit, tous les orcs sont dans le noir.
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— Il paraît que voir un changeur qui a revêtu votre apparence – comme Stryke à l’instant – annonce votre mort.
— Et il paraît que les orcs ne supportent pas la lumière du jour.
— Connerie.
— C’est exactement ce que je voulais dire.
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La vengeance a un goût délicieux, mais la bouffe et le bon vin aussi. Il faut songer à remplir notre bourse.
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