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Critiques de Stéphane Levallois (56)
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Le dernier modèle

Il y a, dans tout parcours, des années de "passage" estampillées comme telles : l'année du Bac, celle de l'entrée dans la vie professionnelle ou de la naissance du premier enfant. Et puis il y en a une, où tout (ou presque) s'est joué.

Pour l'auteur, c'est l'année où une galerie, offrant ses murs à de jeunes talents, lui passe commande pour une "trentaine de pièces" de "nus de femmes". Cette année là, il commencera à vivre avec celle qui deviendra sa femme, il fera le deuil de son enfance, et il prendra toute la dimension de ce que artiste veut dire.



Très belle réflexion sur la nudité. En se dépouillant de ses vêtements devant l'autre on lui confie le tréfond de son être avec toutes ses faiblesses. Quand en prenons-nous le risque ? En amour et devant la maladie. Mais face à un artiste, cette mise à nu sera exposée aux regards d'inconnus. Comment en tant que spectateur supportons-nous la représentation du nu ? Plus l'artiste est talentueux, plus le "démasquage" est émotionnant, plus nos réactions sont exacerbées (jusqu'à l'envie de tuer ?).



Le "médiateur" de cette mise à nu : son manteau. Protection et révélateur des fragilités.Les jeunes femmes passent ce manteau pour poser devant sa caméra, et c'est ce manteau qui devient l'écrin de leur nudité, de leurs fragilités. Il cache moins qu'il ne dévoile. Tout comme ce même manteau protégera la fragilité de la vieille dame qui l'aime et qu'il aime. Tout comme ce même manteau jeté au hasard sur un fauteuil de son appartement sera témoin de son amour, et tout à la fin, et si inutile, il sera abandonné sur une tombe comme dernier témoignage de tendresse mais aussi de renoncement .



Dans cette oeuvre, c'est aussi la perception des êtres connus depuis l'enfance qui change. Il n'est pas possible de déchiffrer le succès de telle brillante élève uniquement par des données "techniques" et ceux que nous aimons nous perdent dans le labyrinthe de leur pensées ou des phantasmes dont nous les entourons.



C'est aussi le processus de création, de la commande, à la réalisation et à la confrontation au public : le vernissage et les conséquences de l'exposition jusqu'aux conclusions qu'en tirent l'artiste.



Décidément, M. Stéphane Levallois est un grand auteur.

Elégance du trait qui n'épargne rien, au meilleur sens du terme. Aux trois fenêtres de la page consacrée à la visite figée à la grand mère répondent les quatre pages consacrées à la douleur du deuil, de la plongée dans le noir à l'emergence de l'acceptation.

Force du trait comme la femme-flèche en pleine course.



Et toujours, toujours l'empathie et la compassion vis à vis des sujets de son récit.

Il nous raconte une histoire humaine, très bien mise en scène, avec de nombreuses séquences superbes et de savoir-faire et d'émotion.



Sur une île déserte, loin des êtres humains, s'il ne devait me rester qu'un seul moyen de me souvenir de leur société, c'est "Le dernier modèle" que j'emporterai.



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Croc Croc à l'école des petits squelettes

poétique, à croquer!

à conseiller à tous.
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Leonard 2 Vinci

Une œuvre de maître...
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Les disparues d'Orsay

Catherine Meurisse nous avait déjà fait découvrir les dessous du musée d’Orsay avec la fabuleuse bd « Moderne Olympia ». Le musée a donné à nouveau une carte blanche mais cette fois-ci à un artiste à l’univers très différent, Stéphane Levallois. A sa manière, il entraîne le lecteur à la découverte du musée et des mille et une œuvres. Bien entendu, on va voir quelques grands classiques qui sont au rayon des impressionnistes mais les autres ne sont pas en reste car les muses ne manquent pas au rez-de-chaussée. C’est d’ailleurs ces dames d’Ingres, Degas, Gérôme ou Puvis de Chavanne qui se sont faits la belle. 



Alors pour raconter l’histoire, pourquoi ne pas prendre comme personnage principal un gardien de musée. Une personne indispensable au bon fonctionnement du musée. Celui si ce prénomme Virgile Gautrey et fait son métier depuis 30 ans. Il connait tous les recoins du musée. Une aventure l’attend, nous emmenant sur des chemins de l’impossible comme le suggère la couverture. Alors on ne s’étonne pas de rencontrer Toulouse-Lautrec, Dante, Picasso, Klimt ou encore que des sculptures qui parle comme Héraklès ("Héraklès tue les oiseaux du lac Stymphale") d’Antoine Bourdelle. C’est certain que maintenant je ne le verrais plus du même œil quand je passerais devant.



L’histoire est vraiment bien construite et aussi appréciable que l’on connaisse ou non les œuvres du musée. Mais j’ai eu des difficultés à rentrer complètement dedans à cause de l’univers graphique qui ne m’a pas séduit. Les visages difformes, les couleurs très sombres me mettent un peu mal à l’aise comme dans l’œuvre d’Ego Schiele. Pourtant les recherches graphiques et les références à de nombreux univers même de sf sont présents partout et c’est un plaisir de les identifier ou croire l’avoir fait. L’influence du cinéma est manifeste ce qui est normal puisque le dessinateur a contribué aux storybords de nombreux réalisateurs. 



Une bande-dessinée qui mérite au moins le coup d’œil pour se plonger dans un univers riche, loufoque et enrichissant. Cela vous donnera surement envie d’aller faire un tour dans cette ancienne gare devenue musée.
Lien : https://22h05ruedesdames.wor..
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Les disparues d'Orsay

J'aime Stéphane Levallois depuis son tout premier livre: Noé, étrange odyssée muette et hypnotique dans un désert; Depuis, je reste fascibé pae son trait si particulier. Son dessin est toujours d'une justesse impeccable et d'une lisibilité parfaite. Il se prête cette fois à la figure imposée du musée. Depuis les débuts de la nouvelle mouture de Futuropolis il existe un partenariat avec le Louvre et depuis peu Orsay visant à la création de bandes dessinées utilisant le musée et ses collections. Se sont prêtés à l'exercice des auteurs aussi variés que de Crécy, MA Mathieu, Davodeau, Catherine Meurisse (son excellent Moderne Olympia)... Levallois pose donc ses pinceaux au musée d'Orsay et propose une fantaisie débridée. Les personnages féminins des toiles d'Orsay ont disparues. Il se lance dans une poursuite échevelée pour les retrouvre. Il est épaulé par Goethe et Dante et croise en chemin oeuvres et artistes.

Exercice de style qui implique de multiplier les références, les allusions et les clins d'oeil sans perdre le fil de sa narration. En optant pour la fantasie, Levallois se facilite la tâche et déroule un train onirique dans lequel il peut invoquer qui il veut, d'un compartiment à l'autre. Reste que le propos reste bien léger. NOus sommes loin de l'irrévérence joyeuse de Catherine Meurisse ou des questionnements de Loo Hui Phang & Dupuy (l'inégal mais passionnant Art du Chevalement qui entrecroisait monde des mines avec celui de l'art au Louvre Lens) ou de Nicoals de Crécy (la prospective poético-burlesque de Période Glaciaire).

Stéphane Levallois s'est amusé et compose pour la première fois en couleur. Le résultat est plaisant mais loin d'être inoubliable.
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Racket

Un roman graphique ....sans un mot ! Se lit donc vite. J'ai aimé l'histoire qui aborde la peur d'une petite fille après la violence d'un racket. Des images tout en noir cauchemardesques qui débordent même du cadre pour montrer l'horreur.
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Racket

une BD sans un mot. Pari réussi pour cette BD, qui comme le dit son titre, parle du racket de la petite fille sur la couverture. Lors de ce racket, elle va être gravement blessée. Elle va combattre les démons/personnages qui hantent son subconscient et reflétent aussi les lectures que lui lit son père à son chevet.



Une BD en majorité en noir et blanc qui joue sur les traits du dessin (fin, épais, fusain, ...) et quelques planches en sépia.
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Racket

Le silence s’installe.



Le lecteur sait qu’il s’apprête à entrer dans un album muet. Pour se faire, un corbeau l’accompagne quelques pages, volant au milieu des immeubles parisiens. Il nous conduit vers la jeune fille qui nous tiendra compagnie durant 300 pages.



La voilà !



Elle rentre de l’école. Elle consulte son téléphone en marchant. Ne prête pas attention à ce qui l’entoure. Soudain, un homme se place sur son chemin. Intimidée et blessée dans sa chair, elle cède et lui donne son téléphone. Elle trouvera le réconfort dans les bras de son père qui l’attend à la maison.







Ce qui frappe en premier lieu dans cette lecture, c’est le travail proposé par Stéphane Levallois visant à observer au plus près ce qui fait l’essence d’une émotion, le déclencheur d’une réaction. La première scène fait évoluer un oiseau. On perçoit très vite que son instinct le met en alerte, que de la vitesse de son vol dépend une question de survie. Qui est en danger ? La question reste entière à ce moment de la lecture mais déjà, les sens du lecteur s’éveillent, prêts à attraper le moindre mouvement pour suivre un fil narratif qui s’affranchit des mots et s’insinue dans tous les interstices graphiques possibles.



Quant à cette fillette trop voutée pour son âge, on mesure l’importance du traumatisme qu’elle a subit et de la peur avec laquelle elle doit désormais apprendre à vivre. Bien à l’abri dans sa chambre douillette, bien au chaud sous son duvet, les grands sourires de ses peluches jusque-là réconfortantes deviennent aussi sournois que la réalité à laquelle elle se confronte chaque jour dans la rue. Et face à cette tristesse sans limite, face à cette incompréhension vertigineuse, la fillette est si désemparée que même son père est incapable de trouver les mots qui pansent, qui réchauffent, qui apaisent. D’autant que la blessure n’est pas que psychique.



Tout va se jouer ailleurs maintenant ; dans ces nuits de cauchemars où l’inconscient tente de reprendre le dessus pour estomper le traumatisme ; dans ces instants complices entre un père et sa fille ; dans une chambre d’hôpital où la fillette séjournera plusieurs jours alors qu’elle est dans le coma.



Pourtant, la présence du corbeau aurait dû nous mettre en garde. Le simple fait que cet oiseau de mauvais augure rôde toujours non loin de l’enfant présageait de quelque chose. Fantasme ou réalité ? Manifestation de l’angoisse ou simple coup du hasard ?…



(lire l'article intégral sur le blog)
Lien : https://chezmo.wordpress.com..
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Racket

Elle avance dans la rue le nez dans son nouveau téléphone. Elle est si mince, si fragile quand ses grands yeux découvre la cicatrice sous la capuche.

Elle sait déjà ce qu'il va se passer, mais cette fois elle s'y oppose. Il lui plante le couteau dans la poitrine, juste pour avoir son portable. Choquée, blessée, elle reprend sa marche, elle s'effondre sur le pas de la porte.

Elle, si fragile, si mince, a fermé ses grands yeux, elle est dans le coma.

Alors commence le rêve. Elle y affronte ses cauchemards, aidée par la voix de son père. Il parle, il lit... Il est désespéré.

Un roman graphique époustouflant. Une jeune fille dans le coma, et la souffrance de son père, mis en images avec fluidité et poésie.

Le trait de Stéphane Levallois est minimaliste, comme son découpage, et transmet pourtant une émotion forte. Il oppose le mouvement qui agite les pensées comateuses, à l'immobilisme dans lequel s'enferme le père.

Un travail brillant, à la fois pudique et puissant.

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Leonard 2 Vinci

Un grand Space opéra en bd! Des dessins de maître et pas n’importe lequel ( celui de Pirates des Caraïbes, de Harry Potter et King Kong) réaniment le Grand Léonardo. Son génie visionnaire se prête parfaitement à la science-fiction et l’œuvre est une œuvre intéressante et riche. L’histoire en revanche m’a un peu moins convaincue, mais il faut reconnaître que le genre n’est pas vraiment ma tasse de thé.

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Leonard 2 Vinci

il s’agit d’un beau travail sur une revisite de Léonard de Vinci 2.0. une très belle réappropriation tant au niveau du trait artistique que de l’homme. Je suis toutefois restée hors de l’histoire par moment, j’aurais aimé une plus grand développement de certaines scènes par exemple.



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La résistance du sanglier

Bel hommage de l'auteur à son grand-père qu'il n'a pas connu. Il nous raconte son implication lors de la seconde guerre mondiale sous la forme d'un sanglier : ses actes de bravoure et de courage, des petits gestes de résistance face à l'ennemi allemand. Récit poétique et d'imagination. J'ai été moins sensible au dessin.
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Racket

Graphique unique.

De la même manière qu'une barque sur l'océan, je me suis laissé guidé par la lecture de cette BD. Ce fut une belle ballade cauchemardesque. Une ballade silencieuse qui, en nous captivant dans ses pages muettes, rend notre attention au monde extérieur silencieuse.



A lire absolument.
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Racket

(IK971) Coup de cœur graphique pour cette histoire troquant les mots contre des maux, sur la plongée dans le coma d’une petite fille. Réflexions sur la mort et originalités graphiques nous plongent dans un univers onirique de toute beauté. Superbe. Oui pour le Prix, collège et lycée.



(SC971) Cet album mérite en effet de figurer au Prix, tant par les sujets abordés qui interrogent nos élèves à différents niveaux (la violence, la mort, ...) que par le traitement très original de ces sujets au niveau du graphisme et du choix du "sans texte". Cependant je crains que ce "silence" tout au long de ces quelques 300 pages ne décourage les plus jeunes. Donc des réserves pour le niveau collège.



(LX971) Pas convaincu par cet album qui mélange storyboard psychique et effet de style. L'intrigue tient en deux lignes. Le graphisme est à mon goût trop magistral et virtuose. L'univers très très très sombre du récit que renforcent sur plus de 300 pages le N&B (à l'encre "aquarellée" ! ) et l'absence de dialogues (ou mutisme des personnages) risque fort de faire fuir nos élèves. C'est du lourd ! Une petite fille victime de racket est poignardée et tombe dans le coma... avant ça, elle a perdu sa maman... à part ça, la vie est belle ! Perso, pas favorable à sa sélection dans le Prix, même en lycée.



(EM971) J'ai beaucoup aimé cette BD que j'ai à la fois lue de manière compulsive en faisant défiler les pages, happée par le mouvement du dessin mais aussi en mode contemplation, en savourant le graphisme, de toute beauté. Si le scénario en fait sans doute un peu trop et traîne parfois en longueur, le traitement de la mort et la plongée onirique m'ont beaucoup touchée. Trop dur pour le collège. En lycée pourquoi pas.



(NB971) Un magnifique exercice de style. Trop peut-être. Le coma et la mort restent des sujets délicats que je trouve traités ici de manière effrayante pour notre public. Je ne remets pas en cause la virtuosité de l'album, bien au contraire, mais personnellement, je ne suis pas certaine d'être favorable à sa sélection, même en lycée...



(MAD971) Un très bel album mais l'atmosphère est très pesante... même si les illustrations sont magnifiques, je pense que cet album, très épais, risque de décourager les élèves. Personnellement, je ne le mettrai pas en sélection

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Racket

Une petite fille se retrouve dans le coma suite à l'agression d'un racketteur. Le lecteur se retrouve alors plongé au cœur de ses pensées envahies de monstres protecteurs ou violents, tout en vivant le quotidien "réel " de son père qui gère comme il peut la situation... Le graphisme est vraiment magnifique, même s'il est parfois ardu. Je n'ai pas pu m'empêcher de relire une deuxième fois ce livre immédiatement après sa première lecture car il a un aspect fascinant et envoûtant. Aucune parole, mais un dessin qui nous entraîne dans nos imaginaires les plus enfouis, nous malmène, nous déforme, et ne peut nous laisser indifférent.
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Racket

Souvent présentées à la manière d’un story-board composé de séquences comme fractionnées, les planches s’enchaînent sans répit, portées par une urgence de chaque instant. Il en résulte une très grande fluidité de lecture, sans doute même une trop grande. Ce livre se lit d’une traite, mais pas pour les bonnes raisons, la forme ne parvenant pas à attirer vers le fond. Au final, le sentiment que derrière la dextérité du dessin se dissimule une certaine vacuité prédomine.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Racket

Une jeune ado se fait poignarder en rue. Plongée dans le coma, elle lutte contre ses démons intérieurs. Si l'intrigue est réduite, le traitement de Stéphane Levallois est tout simplement magistral. Entre le carnet de croquis, le storyboard et la bande dessinée, le livre déroule ses planches avec une virtuosité incroyable. Le dessin est d'une lisibilité et d'un dynamisme parfait.

Un très grand livre.
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Racket

"Racket" est un album puissant et particulièrement émouvant. Une rencontre qui ne laisse pas indifférent. La confirmation que Stéphane Levallois reste un auteur à suivre même s'il sait se faire discret !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Croc Croc à l'école des petits squelettes

Un petit délice ! Les trognes de squelettes sont à croquer, l'univers est aussi morbide que mignon, le format est original... Parfait !
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La résistance du sanglier

En 1942, en France, la Résistance...



Tout débute par des souvenirs de vacances d’été passées dans la maison de la grand-mère du narrateur.



Un décor d’antan où survit la mémoire de ce grand-père sur lequel il n'arrive pas à mettre de visage alors qu'il en a lui-même hérité les traits. Bien des années après, alors que sa grand-mère vient de mourir, le jeune homme pense à son grand-père qu’il n’a jamais connu… Stéphane Levallois l’imagine sous les traits d’un sanglier.







Il nous raconte le quotidien de ses grands-parents durant la guerre, en 1942, alors que le pays était occupé par les Allemands. Le grand-père sanglier s’est engagé dans la Résistance. Goguenard, il n’hésite pas à faire des farces à ceux qui s’accoquinent un peu trop avec l’occupant mais sa crainte vient de son voisin, le père Marmouset, un vrai collabo.











Un récit tout à la fois dramatique et poétique porté par un dessin noir et blanc, utilisant la technique du lavis, qui en dit autant que le texte. L’ambiance est prenante, les émotions transpirent de chaque planche, de chaque case, de chaque visage emportant le lecteur dans l’époque historique et dans l’attachement de l’auteur à son personnage.







Un livre bouleversant !
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