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Critiques de Stéphane Levallois (57)
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Croc Croc à l'école des petits squelettes

Un petit délice ! Les trognes de squelettes sont à croquer, l'univers est aussi morbide que mignon, le format est original... Parfait !
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Croc Croc à l'école des petits squelettes

poétique, à croquer!

à conseiller à tous.
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Croc Croc à l'école des petits squelettes

Le format de ce livre est hors norme! Carré et tout petit! Des histoires de squelettes pour petits!
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La résistance du sanglier

Conte graphique à l'encre de chine et acrylique noir et gris, sur 3 temps : aujourd'hui, les années 70 et 1942. Les absents se "matérialisent" dans le miroir d'une armoire, dans l'obscurité d'une cabane pour un petit garçon en vacances chez sa grand-mère. Et le héros est représenté sous les traits d'un sanglier. Conte parce que s'y mêlent rêves et vérités, les épines gouttent du sang, des araignées apparaissent dans les flaques et les pieds des tables sont des chiens. Conte parce que l'histoire est belle et généreuse, avec des hommes cruels et des hommes fidèles à leur humanité.

Superbe !
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La résistance du sanglier

Hommage rendu par Stéphane Levallois à son grand-père qu'il n'a pas connu, mais auquel il ressemble, lui a-t-on toujours dit. De ce grend-père, il ne sait que peu de chose, mais il en a une image fantasmée, d'un homme simple, mais fort. Il l'imagine dons doté d'une tête de sanglier. Il nous parle de ce grand-père sanglier pendant la guerre. Il nous montre un homme joyeux, qui vole les vélos de ceux qui se rendent à la kommandantur, et qui n'hésite pas un donner un petit coup de main à la résistance. Sans être un véritable résistant, il cache des armes, apporte son aide aux membre du STO... rien de spectaculairement héroïque, mais des petites victoires quotidiennes, actes de résistances dérisoires par eux-mêmes mais qui font la différence, et pour lesquels il risquait gros.

Portrait fantasmé, d'un homme ordinaire et extraordinaire à la fois, dressé tout en pudeur par Levallois qui continue d'explorer le sillon entamé avec "le dernier modèle", son titre précédent. Plus que jamais un auteur intéressant.
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La résistance du sanglier

Une forte ambiance imprègne ces variations de noir, de blanc et de gris délavés. Les terreurs de l’enfance rejoignent les monstres réels. Des ponts d’émotion se déploient par la grâce de l’imagination et des indices disséminés vers la figure mythique du grand-père. L’enfant se construit. Émouvant, cet album plonge aux racine de l’être, des liens entre les générations, avec humanité, respect et réalisme intérieur. J’ai été très touchée. La bande dessinée trouve là toute sa noblesse.
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La résistance du sanglier

C'est la couverture de cette BD qui m'a taper dans l'oeil. Je trouve cette image d'un sanglier un peu flou se reflétant en un petit garçon aux contour très belle, mais aussi mystérieuse.

Je n'ai pas été déçue par le contenu qui finalement est très bien résumé par la couverture. On y découvre la vie de résistant du grand père de l'auteur, à la campagne, proche de la ligne de démarcation où il pouvait rendre de "petits" services qui n'étaient pas sans risque.

Les images sont comme la couverture. Chaque page est un plaisir pour les yeux. Des feux d'artifice en noir et blanc.
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La résistance du sanglier

Bel hommage de l'auteur à son grand-père qu'il n'a pas connu. Il nous raconte son implication lors de la seconde guerre mondiale sous la forme d'un sanglier : ses actes de bravoure et de courage, des petits gestes de résistance face à l'ennemi allemand. Récit poétique et d'imagination. J'ai été moins sensible au dessin.
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La résistance du sanglier

En 1942, en France, la Résistance...



Tout débute par des souvenirs de vacances d’été passées dans la maison de la grand-mère du narrateur.



Un décor d’antan où survit la mémoire de ce grand-père sur lequel il n'arrive pas à mettre de visage alors qu'il en a lui-même hérité les traits. Bien des années après, alors que sa grand-mère vient de mourir, le jeune homme pense à son grand-père qu’il n’a jamais connu… Stéphane Levallois l’imagine sous les traits d’un sanglier.







Il nous raconte le quotidien de ses grands-parents durant la guerre, en 1942, alors que le pays était occupé par les Allemands. Le grand-père sanglier s’est engagé dans la Résistance. Goguenard, il n’hésite pas à faire des farces à ceux qui s’accoquinent un peu trop avec l’occupant mais sa crainte vient de son voisin, le père Marmouset, un vrai collabo.











Un récit tout à la fois dramatique et poétique porté par un dessin noir et blanc, utilisant la technique du lavis, qui en dit autant que le texte. L’ambiance est prenante, les émotions transpirent de chaque planche, de chaque case, de chaque visage emportant le lecteur dans l’époque historique et dans l’attachement de l’auteur à son personnage.







Un livre bouleversant !
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La résistance du sanglier

Très belle bande dessinée à l'encre noire avec des effets de gris, à la fois pleine de finesse et de force (en particulier la représentation du ciel).



Un homme revient sur le passé de son grand-père qu'il n'a pas connu mais dont il "voit" une partie de la vie comme une vision. Cette période, c'est pendant la 2ème guerre mondiale, dans la campagne française occupée. Le grand-père est représenté avec une tête de sanglier, ce qui renforce l'impression de vision.



Sans être dans un réseau de résistance, Bernard, le grand-père aide des gens dans le besoin, écoute Radio Londres et donne des coups de main aux résistants locaux.



Il n'est ni un héros ni un lâche. C'est le récit d'une vie presque ordinaire dans une période noire. Très bien rendu par un dessin émouvant et fort.




Lien : http://ennalit.canalblog.com..
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La résistance du sanglier

Après « Le Dernier Modèle », chez le même éditeur, Stéphane Levallois livre ici un portrait intimiste de son grand-père maternel. La résistance du sanglier est un récit autobiographique qui baigne le lecteur dans la réalité de l’occupation allemande en 1942 et lui livre une leçon d’histoire très prenante.



Tout débute par des souvenirs de vacances d’été passées dans la maison de sa grand-mère. Un décor d’antan où survit la mémoire de ce grand-père sur lequel il n’arrive pas à mettre de visage alors qu’il en a lui-même hérité les traits. Un jeune homme qui sent le poids qui pèse sur le passé de ses grands-parents et qui, au milieu de ce décor d’époque, va laisser libre cours à son imagination. A la recherche du passé et du visage de cet aïeul, le récit bascule alors vers l’horreur de la seconde guerre mondiale. On y découvre le grand-père de Stéphane, fort, courageux et respirant la bonne humeur malgré le climat de terreur et de suspicion qui plane au-dessus du village et qui rythme les actes de ses habitants au quotidien. Lentement, l’horreur va rattraper la joie de vivre et marquer à jamais le visage de cette grand-mère qu’il ne se souvient pas avoir vu sourire. Le tout est amené de manière magistrale, alliant douceur et brutalité. Le portrait dressé par l’auteur déborde d’émotions, allant au plus profond de cet être adulé de tous et que le lecteur découvrira avec effroi, recroquevillé sur lui-même dans un petit coin d’ombre. S’il est difficile de mettre des mots sur l’horreur de la guerre, cette seule image y parvient à merveille.



Car ce sont bel et bien les images qui font la grande force de ce récit qui scrute l’imagination de la jeunesse de l’auteur et la mémoire de sa famille. Maîtrisant à merveille la technique du lavis, Stéphane Levallois enchaîne les images, rendant souvent tout texte superflu. L’ambiance est prenante, voire parfois insoutenable, les émotions transpirent de chaque planche, de chaque case, de chaque visage. La réalité de la guerre nous percute de plein fouet, comme elle percuta la destinée du grand-père de l’auteur. Graphiquement, de la couverture montrant ce grand-père sans visage et son petits fils qui se reflètent l’un l’autre, en passant par le parallèle avec cette araignée dont la survie ne tient pas à grand-chose, cette œuvre est tout bonnement magistrale.



De l’art aussi grand que la leçon d’histoire qu’il permet de partager.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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La résistance du sanglier

Un roman graphique de toute beauté. En général, je n’apprécie pas particulièrement le noir et blanc, mais ici, chaque planche est une oeuvre d’art.

Quant à l’histoire, elle dépeint avec justesse et nostalgie des tranches d’histoires de l’auteur et de son grand père : les années 70, 90 ainsi que la deuxième guerre mondiale.

Une histoire de famille juste, belle et touchante.

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La résistance du sanglier

Stéphane assiste tristement à l'enterrement de sa grand-mère maternelle. Surpris d'apprendre que son grand-père est dans le caveau familial, il ne peut s'empêcher d'y repenser. Malgré le fait qu'il ne l'ait jamais connu, il a, pour lui, des sentiments très étranges, presque mystiques tellement sa mère parlait de lui en bien et l'admirait profondément. De plus, son prénom, Bernard, est accolé au sien et il paraît qu'il lui ressemble beaucoup, un héritage dont il est fier. Le jeune homme se rappelle alors les vacances d'été passées chez leur grand-mère, à Selles-sur-Cher, avec sa sœur, lorsqu'ils étaient plus petits. C'est dans cette maison de campagne, d'un tout autre temps, où les pendules se remontaient mécaniquement, où les vieux meubles s'entassaient les uns sur les autres et où la grande table ornée d'une nappe à fleurs avait des pieds sculptés en forme de sanglier, que le petit garçon partait à la découverte des coins secrets comme le vieux cabanon où l'on gardait le bois et où à l'occasion, l'on allait se soulager. C'est en se regardant dans le miroir qu'il aperçoit son grand-père, assis sur le lit, sous l'apparence d'un sanglier. Il se remémore selon ce qu'il a pu entendre le passé de celui-ci... Nous sommes en 1942, la guerre est là mais aussi ses héros du quotidien...



Stéphane Levallois narre l'histoire vraie de son grand-père maternel, ce héros de la Résistance au grand cœur. Bon vivant, paysan, toujours de bonne humeur, il n'aura de cesse de protéger les siens et ceux qui l'entourent. Evidemment, cela ne fut pas chose aisée d'agir en tant que passeur lorsque son propre voisin, lui, travaillait pour les Allemands et s'étonnait de ne pas le voir arroser ses salades... N'ayant pas connu son grand-père, l'auteur se l'est approprié à sa façon, c'est à dire en lui prêtant les traits d'un sanglier. A la fois bourru, fort, tranquille, cet animal correspond sans nul doute à l'image qu'il a de celui-ci. Ce récit, émouvant, profond, terriblement humain, fait la part belle aux silences, parfois lourds de sens ou évocateurs. Le dessin au lavis noir et blanc est de toute beauté et met superbement en valeur toute cette pudeur contenue, cette émotion et cette fierté. Un très bel hommage...



La résistance du sanglier... fort et beau à la fois...
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Le dernier modèle

Roman graphique autobiographique sur la relation entre modèle et artiste. Relation d’autant plus floue et ambiguë que les modèles se révèlent être d’anciennes amies ou connaissances pour lesquelles empathie et sentiment se découvrent au tracé du fusain, dans ce corps qui se dévoile lorsque le peignoir tombe. A ce récit aux vapeurs délétères se rajoutent un objet totem virant à l’obsession : un masque à gaz.

Si le récit ne m’a pas complètement emballé, rien à dire sur le coup de crayon qui mérite que je me replonge dans une autre œuvre de l’auteur.

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Le dernier modèle

« Imagine Florence, imagine qu’Egon Schiele ne soit pas mort à 28 ans emporté par la grippe espagnole qui ravageait Vienne en 1918....eh bien si Schiele avait pu faire tout cela, il s’appellerait peut-être Horst Janssen » p100.



Imagine Florence, imagine que Schiele se soit réincarné en Stéphane Levallois !



Imagine Florence, imagine que ton nom ne soit pas celui de l’amie devenue, pour l’occasion modèle nue, mais une référence au syndrome du même nom, que d’autres qualifierait de « Stendhal »...



Traits discontinus, hachurés, lignes acérées, silhouette provocatrice et agressive, doigts noueux, dans le prolongement d’un profil longiligne, tout reflète une vision pessimiste des choses. L’absence de couleurs vives dans un contexte charbonneux accentue un sentiment d’oppression.



Le texte s’efface derrière un graphisme expressionniste qui enveloppe littéralement le lecteur.



« L’oreille absolue » est la faculté de reconnaître à l'écoute d'un son, une ou plusieurs notes sans avoir eu besoin d'entendre au préalable une note identifiée servant de référence. Bach ou Mozart étaient dotés de cette faculté. Se pourrait-il que Stéphane Levallois soit doté d’un coup de crayon « absolu » qui confèrerait à son auteur cette forme de génie solaire ?



Sublime et précieuse bd à ranger entre Blast de Manu Larcenet et les œuvres des Frères Brizzi



« Souviens-toi de la fragilité des choses humaines » Fénelon
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Le dernier modèle

Parfois, en relecture, on se rend compte que le livre n'est pas du tout conforme au souvenir qu'on en avait. Dans le cas de ce dernier modèle, je pense que mon souvenir a été altéré par une image assez angoissante qui a instllé en moi le faux souvenir d'un récit aux confins du fantastique, à l'ambiance sombre et presque démente comme dans certains Polanski.

En fait, ce livre n'est rien de cela.

Il semble être inspiré d'une anecdote réelle arrivée à l'auteur. Je n'en révèlerai pas trop pour laisser le suspense intact. Il est aussi difficile de savoir où s'arrête l'autobiographie et où commence l'auto-fiction.

Stéphane Levallois y raconte qu'il fut contacté par une galerie pour réaliser une exposition de dessins. Il choisit de réaliser des nus avec, comme trait d'union entre tous les modèles, un manteau. Trop fauché pour engager des mannequins professionnels, il se tourne vers des amies et connaissances. Parmi elles, Florence, qui le fascine depuis l'école et qu'il imagine habitée par une magie particulière qui lui confère une grâce et une allure parfaites.

Le livre mélange scènes de la vie quotidienne et séances de pose avec Florence et d'autres. Un malaise indistinct s'installe. Relation délicate avec ses modèles, difficulté de capturer la posture idéale et une angoisse qui semble se matérialiser à partir de l'appartement au dessus du sien.

Livre de dessinateur, le dernier modèle est une réussite visuelle. Levallois cite explicitement Horst Janssen comme influence. Il m'étonne toujours par son sens du mouvement et sa lisibilité (exercice porté à la perfection dans Racket, son dernier livre, long storyboard d'une maîtrise hallucinante), mais reste légéer sur le scénario. Il manque une vraie ligne directrice, une densité à son scénario. Mais les pages sont tellement belles que cela compense largement.
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Le dernier modèle

Il y a, dans tout parcours, des années de "passage" estampillées comme telles : l'année du Bac, celle de l'entrée dans la vie professionnelle ou de la naissance du premier enfant. Et puis il y en a une, où tout (ou presque) s'est joué.

Pour l'auteur, c'est l'année où une galerie, offrant ses murs à de jeunes talents, lui passe commande pour une "trentaine de pièces" de "nus de femmes". Cette année là, il commencera à vivre avec celle qui deviendra sa femme, il fera le deuil de son enfance, et il prendra toute la dimension de ce que artiste veut dire.



Très belle réflexion sur la nudité. En se dépouillant de ses vêtements devant l'autre on lui confie le tréfond de son être avec toutes ses faiblesses. Quand en prenons-nous le risque ? En amour et devant la maladie. Mais face à un artiste, cette mise à nu sera exposée aux regards d'inconnus. Comment en tant que spectateur supportons-nous la représentation du nu ? Plus l'artiste est talentueux, plus le "démasquage" est émotionnant, plus nos réactions sont exacerbées (jusqu'à l'envie de tuer ?).



Le "médiateur" de cette mise à nu : son manteau. Protection et révélateur des fragilités.Les jeunes femmes passent ce manteau pour poser devant sa caméra, et c'est ce manteau qui devient l'écrin de leur nudité, de leurs fragilités. Il cache moins qu'il ne dévoile. Tout comme ce même manteau protégera la fragilité de la vieille dame qui l'aime et qu'il aime. Tout comme ce même manteau jeté au hasard sur un fauteuil de son appartement sera témoin de son amour, et tout à la fin, et si inutile, il sera abandonné sur une tombe comme dernier témoignage de tendresse mais aussi de renoncement .



Dans cette oeuvre, c'est aussi la perception des êtres connus depuis l'enfance qui change. Il n'est pas possible de déchiffrer le succès de telle brillante élève uniquement par des données "techniques" et ceux que nous aimons nous perdent dans le labyrinthe de leur pensées ou des phantasmes dont nous les entourons.



C'est aussi le processus de création, de la commande, à la réalisation et à la confrontation au public : le vernissage et les conséquences de l'exposition jusqu'aux conclusions qu'en tirent l'artiste.



Décidément, M. Stéphane Levallois est un grand auteur.

Elégance du trait qui n'épargne rien, au meilleur sens du terme. Aux trois fenêtres de la page consacrée à la visite figée à la grand mère répondent les quatre pages consacrées à la douleur du deuil, de la plongée dans le noir à l'emergence de l'acceptation.

Force du trait comme la femme-flèche en pleine course.



Et toujours, toujours l'empathie et la compassion vis à vis des sujets de son récit.

Il nous raconte une histoire humaine, très bien mise en scène, avec de nombreuses séquences superbes et de savoir-faire et d'émotion.



Sur une île déserte, loin des êtres humains, s'il ne devait me rester qu'un seul moyen de me souvenir de leur société, c'est "Le dernier modèle" que j'emporterai.



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Leonard 2 Vinci

il s’agit d’un beau travail sur une revisite de Léonard de Vinci 2.0. une très belle réappropriation tant au niveau du trait artistique que de l’homme. Je suis toutefois restée hors de l’histoire par moment, j’aurais aimé une plus grand développement de certaines scènes par exemple.



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Leonard 2 Vinci

Un grand Space opéra en bd! Des dessins de maître et pas n’importe lequel ( celui de Pirates des Caraïbes, de Harry Potter et King Kong) réaniment le Grand Léonardo. Son génie visionnaire se prête parfaitement à la science-fiction et l’œuvre est une œuvre intéressante et riche. L’histoire en revanche m’a un peu moins convaincue, mais il faut reconnaître que le genre n’est pas vraiment ma tasse de thé.

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Leonard 2 Vinci

Plutôt que de tenter de décortiquer ce projet pour en saisir les nuances, peut-être vaut-il mieux se laisser porter par une narration fragmentée qui explore un univers situé quelque part entre l’histoire de l’art et le space opera.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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