Citations de Stephen Chbosky (200)
"- Il y a tellement de souffrances et je ne sais pas comment faire pour ne pas y prêter attention.
- Qu’est ce qui te blesses Charlie ?
- Non, pas moi ! C’est eux. C’est tout le monde. Ça s’arrête jamais. "
Et en ce moment, nous jurons, nous sommes infinie
Ce livre est juste incroyable, Charlie arrive vite à nous mettre dans son univers d'écriture vint âge, je parle bien sur de sa machine à écrire, ce livre m'a ouvert les yeux sur le mal être et comme quoi certaines personnes arrivent au bons moments pour nous aider à traverser tout ça en nous aimant. Histoire émouvante et très bien écrite.
Du coup, je me dis que c’est pour des tas de raisons différentes qu’on est comme on est. Et qu’on les connaîtra jamais toutes, ces raisons. Mais même si on ne peut pas choisir d’où on vient, à partir de là, on peut quand même choisir où on veut aller. On peut faire des choses. Et essayer de se sentir bien quand on les fait
We accept the love we think we desserve
Mais même si on ne peut pas choisir d'où on vient, à partir de là, on peut quand même choisir où on veut aller.
J’avais pas envie de lire ; du coup, je suis redescendu et j’ai regardé une pub d’une demi-heure qui parlait d’une machine de musculation. Sur l’écran, il y avait un numéro en 08 qu’arrêtait pas de clignoter, alors je l’ai appelé. La femme à l’autre bout du fil s’appelait Michelle. J’ai dit à Michelle que j’étais un jeune et que j’avais pas du tout besoin d’une machine de musculation, mais que j’espérais qu’elle passait une bonne nuit. Michelle m’a raccroché au nez. Mais j’en avais rien à faire du tout.
It's like when [...] you see a couple holding hands, and you feel so happy for them. And other times you see the same couple, and they make you so mad. And all you want is to always feel happy for them because you know that if you do, then it means that you're happy, too.
Mon docteur m’a dit qu’on ne peut pas choisir d’ou on vient mais qu’on peut choisir ou on va.
- Charlie, on accepte l'amour qu'on croit mériter.
"Je serais prêt à mourir pour toi. Mais je refuse de vivre pour toi."
« Pourquoi les personnes gentilles choisissent de sortir avec des personnes qui ne valent pas le coup ? Nous acceptons l’amour qu’on pense mériter. »
Etre puni pour un truc qu'on n'a pas fait. Ou bien être une victime innocente. C'est un truc que je ne veux jamais avoir à vivre.
Des fois, je regarde dehors, et je me dis que des tas d’autres gens ont déjà vu cette neige. C’est pareil quand je me dis que des tas d’autres gens ont déjà lu des livres. Et écouté des chansons. Je me demande comment ils se sentent, cette nuit.
Et à cet instant-là, je te jure, on était éternels.
Il revoit les visages des journalistes qui l'accusaient d'avoir tué son frère. Ses camarades de classe qui le fuyaient. Les armées ennemies qui le canardaient. Sa mère affirmant sur son lit de mort que David allait revenir. Son père qui ne disait rien sur son lit de mort, car le cancer avait ravagé son cerveau encore plus que le déni. Il revoit le médecin lui annonçant que sa femme est morte. Les juges déclarant qu'il ne peut plus prendre soin de lui. Et le bureaucrate qui faisait claquer son chewing-gum et lui avait confisqué son permis. Le gouvernement qui était incapable de régler le problème des réfugiés au Moyen-Orient. Et Dieu qui acceptait tout ça, pour une raison connue de Lui seul.
iL est placé en isolement depuis deux mille ans. iL a observé. iL a attendu. iL a testé la clôture jusqu'à ce qu'Il trouve cette nuit. ce garçon. l'espace d'un instant, iL a réuni toutes les parties de lui-même, du moyen-orient [...] jusqu'à cette petite ville de pennsylvanie loin-de-tout-ce-que-personne-ne-remarquera-jamais. l'endroit idéal pour cacher sa porte de derrière. iL n'avait pas fait ça depuis des décennies. iL a regardé les cieux avec son oeil. au-delà de la lune bleue, posée là telle une pelote de fil pour un lion. iL a regardé son Père caché à l'intérieur de cent milliards d'étoiles. les cents milliards de personnes qui ont vécu et sont mortes. ces gens qu'il doit laisser à son Père. qu'il doit laisser aux étoiles. ces gens qu'on lui vole quand ils meurent car dieu est un assassin, papa.
Mais je n’ai plus peur, car le paradis et l’enfer ne sont pas des destinations. Ce sont des décisions . 860
Où suis-je ?
Tu n’es plus dans la rue.
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Il faut d'abord que tu saches que je suis à la fois triste et heureux, et que j'ai toujours pas compris comment ça se fait.