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Citations de Stephen Fry (59)


“I think I am angrier about that now than I ever was at the time. Pomposity and indignation grow in old age, like nostril hairs and earlobes.”
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“Simon Gray, I decided when I first witnessed this frog into prince transformation, did not have a drinking problem. He had a drinking solution.”
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“My real dissatisfaction is with my dissatisfaction. How dare I be so discontent? How dare I? Or being discontent why cannot I shut up about it?”
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“I found it all about as arousing as a Tupperware party.”
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“You should give up.'
'Why?'
'For one thing, you'll live longer.'
'Oh, you don't live longer. It just seems longer.”
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“It does not suit the world to hear that people who are leading a high life, an enviable life, a privileged life are as miserable most days as anybody else, despite the fact that it must be obvious they would be - given that we are all agreed that money and fame do not bring happiness. Instead the world would prefer to enjoy the idea, against what it knows to be true, that wealth and fame do in fact insulate and protect against misery and it would rather we shut up if we are planning to indicate otherwise.”
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“It is possible to be a fan of reality TV, talent shows and bubblegum pop and still have a brain. You will also see that a great many people know perfectly well how silly and camp and trivial their fandom is. They do not check in their minds when they enter a fan site. Judgement is not necessarily fled to brutish beasts, and men have not quite lost their reason. Which is all a way of questioning whether pop-culture hero worship is really so psychically damaging, so erosive of cognitive faculties, so corrupting of the soul of mankind as we are so often told.”
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“there is no reason why anyone should understand how it works… and of course no reason why anyone should care … unless you are curious, in which case I love you, for curiosity about the world and all its corners is a beautiful thing.”
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“Enthusiasts are used to being mocked, maligned and misunderstood. We don't really mind.”
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"I think I have always linked smoking and sex. Maybe this is where I have been going wrong all my life."
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"Look at the kind of people who most object to the childishness and cheapness of celebrity culture. Does one really want to side with such apoplectic and bombastic bores? I should know, I often catch myself being one, and it isn't pretty. I will defend the absolute value of Mozart over Miley Cyrus, of course I will, but we should be wary of false dichotomies. You do not have to choose between one or the other. You can have both. The human cultural jungle should be as varied and plural as the Amazonian rainforest. We are all richer for biodiversity. We may decide that a puma is worth more to us than a caterpillar, but surely we can agree that the habitat is all the better for being able to sustain each. Monocultures are uninhabitably dull and end as deserts."
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Nous voici parvenus au point critique, petite Daisy, chère confidente. Je suis tellement énervé…Il est onze heures du soir et dans trois heures je vais….Je ne sais pas trop ce que je vais faire mais la terre va trembler, ça tu peux me croire !
Je t’ai raconté, hier que les hétéros purs et durs de la maison se faisaient un mouron dingue pour un canasson, un cheval de chasse entraîné et monté par son propriétaire, comme on dit sur les champs de courses, Michael soi-même. Le nom de la bête, Lilac, plus coquet qu’un bataillon de scouts danois en culotte courte, trahit son sexe. Lilac est une grande jument brute, la Dalila et la prunelle des yeux de son Samson de maître. Hier, comme je l’ai méticuleusement consigné dans tes pages, elle a commencé à montrer des signes bizarrement bizarres. Véto le Vet s’est prononcé pour un empoisonnement à la jacobée. Cette herbe de la Saint -Jacques, une vraie saleté, possède un alcaloïde qui provoque une dégénérescence du foie fatale, sante Tante Idote connue. D’ordinaire, les chevaux ne mangent pas cette jacobine de plante qui est plus amère qu’un poète oublié. (p247)
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Mais … assez de blablabla. Je me laisse toujours emporter. Si vous voulez des théories au rabais sur les sexes, vous en trouverez plein les rayons dans les librairies spécialisées. "Les hommes se rebiffent, Les femmes se rebiffent contre les hommes qui se rebiffent"….des réponses aux questions et des contre-réponses. On se croirait revenu aux beaux jours de la guerre froide, lorsque chaque publication de l’autre bloc était lue, chaque attitude analysée, chaque mouvement détecté au radar et chaque glissement culturel commenté. Seigneur ! Il y a suffisamment de chroniqueurs, de commentateurs et de pseudo-universitaires pour assurer à perpétuité le réarmement et la relève dans cette guerre des sexes. De toute façon, qui s’intéresse à ce que peut avoir à dire un quarteron de journalistes incultes?
Non, si je vous rote toutes ces niaiseries nauséabondes en plein figure, ce n’est pas pour leur importance pour leur nouveauté. Ce n’est pas non plus parce que je veux m’engager dans un débat stérile sur la question. Mais je voudrais que vous compreniez quel était mon état d’esprit et mon humeur le jour où Jane m’a découvert et entraîné chez elle à Kensington. Sa mère, Rebecca, comme j’allais vous le faire remarquer avant d’enfourcher un de mes dadas favoris et de partir au galop pendant quelques paragraphes est probablement la seule femme de ma connaissance à aimer le cul, vraiment avec une faim et une soif comparables à celle des hommes. C’est aussi la seule femme de ma connaissance à aimer le whisky. Les deux sont sans doute liés. (p 32)
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"- J'ai assisté à l'avant-première lundi, j'ai trouvé cette pièce positivement géniale !
- Pas étonnant. c'est ce qui explique d'ailleurs pourquoi tu n'es qu'une tacheronne du clavier qui passe son temps à écrire des inepties pour des magazines snobinards en attendant le jour où un riche pédé semi-aristocratique viendra te choisir comme jument reproductrice tandis que moi, ton père, malgré tous mes défauts, je suis et resterai un écrivain."
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— Je ne vais pas vous faire la leçon, Healey, et je ne veux pas vous priver de votre récréation du matin, mais vous devez vous apercevoir que plusieurs enseignants sont en train de perdre patience. Peut-être pensez-vous qu'ils vous comprennent mal ?
— Je pense que le problème, c'est qu'ils me comprennent, monsieur.
— Oui. C'est exactement le genre de remarque dont vous pouvez être sûr qu'elle braque certains de vos maîtres, n'est-ce pas ? Le raffinement n'est pas une qualité très admirée. Pas seulement au collège. Personne, nulle part, n'apprécie le raffinement. En tout cas, pas en Angleterre.
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Tom traçait toujours son chemin avec ses propres idées. Il était arrivé à avoir les cheveux les plus longs de l'Internat et la plus grande consommation publique de nicotine de toute l'École, tout cela sans jamais attirer l'attention sur lui. Tout se passait comme s'il se laissait pousser les cheveux et fumait ses cigarettes parce qu'il aimait ça, et non parce qu'il aimait être vu. Voilà qui était dangereusement subversif.
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Il était moins acceptable d'aimer, de languir d'un compagnon éternel, que de faire des galipettes, de sucer et d'haleter derrière le fronton où l'on tapait la balle. L'amour était le coupable secret d'Adrian, le sexe sa fierté publique.
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Il ne savait pas s'il était préférable d'être une patate pourrie ou une patate saine, de se retrouver entassée au chaud, en sûreté dans un sac avec les bonnes-bonnes, ou bien laissée de coté et replantée dans la terre. Une chose était sure, mieux valait ces deux destins-là que d'être Dieu.
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Soudain, son esprit ne lui était plus d'aucune utilité. Soudain, le monde était creux, collant et méchant. Son avenir était derrière lui et il n'avait rien d'autre à attendre que le passé.
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Gloder was a balanced man, he believed that somewhere between the two, between will and fate, existed the space in which a man might construct his future from the materials granted by destiny.
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