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Critiques de Steve Pugh (48)
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Harley Quinn : Breaking Glass

Autant vous le dire tout de suite : je suis une quiche en comics. Je n’ai jamais lu ni les DC, ni les marvels même si l’envie est ultra présente ! Mais bordel par où commencer ? Il y a tellement d’arcs narratifs différents que je suis complètement paumées dans les méandres des histoires de super-héros. Alors quand Urban Link m’a contactée pour recevoir ce one-shot sur Harley Quinn, j’ai foncé. Et j’ai adoré ma lecture !



Il était une fois, l’invers d’un compte de fée. Dès les premières cases, le ton est donné : nous allons découvrir comment Harleen Quinzel est devenue l’arlequin déjanté que nous connaissons tous. Au fil des pages, on découvre une jeune fille carrément perchée qui évolue entre le monde pailleté et glamour des drags et le lycée où elle combat aux côtés d’Ivy le sexisme ordinaire, le tout sur fond de lutte des classes.



Beaucoup de sujets sont abordés avec humour, panache et violence. En moins de 200 pages, on balaye un prisme assez large de thèmes, avec en clé de voute une réflexion ultra intéressante : tous les moyens sont-ils bons pour arriver à ses fins ? Peut-on se battre pour une cause juste en faisant le mal ? Ce comic joue avec la nuance grise des choses et des gens.



Petit bémol : j’aurais aimé avoir davantage de scènes entre Harley et le Joker. Leur lien est présenté de manière très intéressante, mais j’aurais aimé qu’il soit creusé un peu plus (peut-être dans un prochain comic ? Sur le Joker ? On verra ce qu’Urban Link nous réserve).



Certaines planches m’ont éblouie, les dessins sont vraiment sublimes et très expressifs. On a l’impression d’entendre les explosions, de sentir les fleurs d’Ivy, de voir les costumes des drags briller. Bref, 10/10 pour l’esthétique !



En bref, une excellente introduction à l’univers DC si, comme moi, vous ne savez pas par quel bout le prendre. Je pense qu’il faut quand même avoir quelques notions pour saisir toutes les ref (j’en ai eu quelques une mais j’en ai surement loupé plein).
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Harley Quinn : Breaking Glass

Même si je ne connais pas vraiment l'univers de Batman, je suis assez intéressée pour lire des comics avec Harley Quinn, personnage récurrent parmi les antagonistes. Alors, quand j'ai gagné un concours sur le compte Twitter @Themiscyra_co, qui met en avant les héroïnes dans les comics, je n'ai pas trop hésité sur mon choix.



Dans cette histoire, nous avons droit à un origin story - non canon - d'Harley Quinn, alors qu'elle était encore qu'une adolescente de quinze ans prénommée Harleen. Elle part vivre à Gotham City et est accueillie par Mama, son oncle drag queen qui tient un cabaret. Évoluant dans le milieu du drag, Harleen va faire la connaissance d'Ivy au lycée...



C'était un plaisir de découvrir le passé d'Harley Quinn, personnage emblématique de la série Batman, qui est ici une ado paumée. Ne connaissant pas plus que cela les personnages, cette histoire m'a semblée relativement crédible et cohérente.



J'ai aimé voir une Ivy différente, puisque nous avons une jeune fille noire qui se bat contre le sexisme et le racisme au sein de son lycée. En revanche, j'ai trouvé que le Joker n'était pas crédible par rapport à l'univers d'origine. Quant à Harleen, elle est très attachante dans ce livre !



C'est une histoire très chouette, qui aborde des thématiques de société et met en avant de chouettes personnages féminins ! Je remercie le compte @Themiscyra_co de m'avoir permis de découvrir ce comics !
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Harley Quinn : Breaking Glass

« Breaking Glass » est une nouvelle origin story pour le célèbre personnage d’Harley Quinn. Née dans la série animée « Batman » des années 1990, son succès auprès des fans et du grand public se confirme aujourd’hui encore par ses nombreuses apparitions et des productions diverses de plus en plus centrée sur elle.



De base, elle a été pensée comme une psychiatre psychologiquement corrompue par le Joker. Fidèle acolyte d’un des plus charismatiques villains des comics, elle en serait même depuis amoureuse.



Ici, les origines sont orientées d’une toute autre manière. Elle n’est plus cette cérébrale psychiatre, coincée dans une tenue sage pour finalement exploser vers l’excentricité la plus totale. Non, c’est une adolescente lunaire et un peu paumée qui se trouve confrontée aux injustices subies par son entourage et qui cherche sa place dans des luttes qu’elle fait siennes. La jeune Harleen Quinzel sort déjà du cadre et va cultiver ses amours du déguisement et de la transgression des règles établies.



Je suis un peu mitigé quant à celle nouvelle version malgré quelques qualités. Je dois avouer être attaché à l’ex-psy qui devient cinglée et ça n’en sera pas ici le propos. Elle est tout de même attachante et trouve sa force dans une forme d’indépendance lors de la conclusion provisoire. Ce qui me gène avant tout, c’est le traitement fait au Joker. Mes craintes sur son identité se sont confirmées lorsque tombe les masques. Il trouve son incarnation dans une identité publique qui ne convient pas à l’image que je me fais de lui. Et puis, que le mystère soit levé de manière si banale gâche toute l’aura d’un personnage emblématique.



En revanche, je suis extatique face aux planches de Steve Pugh. Le style, le trait, le choix des teintes et leurs variations en fonction du contexte m’ont entièrement conquis. Rien que ce visuel, je serai demandeur d’une suite. D’ailleurs, les graphismes sont le point fort de cette collection comme j’ai déjà pu le découvrir avec l’opus consacré à Catwoman.
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Harley Quinn : Breaking Glass

on suit Harleen dès son adolescence quand elle arrive à Gotham City. Je l’avais découvert dans « Suicide Squad », c’est ma vilaine préférée et je suis contente de la retrouver dans ce comics. C’est donc mon troisième roman graphique de la ME et encore une fois j’ai trop aimé ! Je suis trop fan de l’univers de Gotham, on retrouve aussi d’autres personnages comme le Joker et même Ivy, déjà obsédée par les plantes. Harley est atypique, je la trouve à part, drôle et grave stylée ! L’histoire est prenante et les illustrations sont super jolies et colorées. On a ce mélange de couleurs qui reflète la personnalité d’Harley, le bleu pastel pour sa douceur et le rouge chaud pour son côté fofolle. Je suis accro à cette collection et j’ai hâte de découvrir les nouveautés.
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Harley Quinn : Breaking Glass

Breaking Glass nous raconte l'enfance et l'adolescence d'Harley Quinn, accueillie par un groupe de Drag Queens (quelle idée sublime!). On voit également sa rencontre avec le Joker, qui m'a personnellement déçu, sinon ce comics aurait été un coup de cœur.

La plume correspond exactement aux personnages, honnêtement ça m'a tout autant amusée que fascinée!

Quant aux illustrations, les couleurs sont vifs, tranchant du chaud au froid en un instant ce qui peut être déroutant mais vraiment appréciable une fois l’œil habitué!
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Harley Quinn : Breaking Glass

Ce n'est plus un secret sur mon compte, j'aime beaucoup découvrir les ouvrages de cette maison d'éditions car ils mettent en lumière de nouvelles adaptations des histoires de personnages DC que j'aime beaucoup. Et pour ne pas changer, j'ai beaucoup aimé cette adaptation !⁠

Ici on découvre une Harleen ado et qui débarque tout juste à Gotham et qui devient amie et colocataire avec un groupe de Drags Queen.

Au fur et à mesure que l'on voit Harleen évoluer dans sa nouvelle vie, on découvre de nouveaux personnages comme Ivy, une camarade de classe militante. On retrouve également et bien évidemment le Joker mais dans un tout autre contexte que celui des comics originaux. J'ai beaucoup aimé les références et clin d'œil à l'histoire originelle d'Harley et les planches magnifiques en duochrome de bleu pastel et de rouge vif !⁠

C'était une lecture vraiment sympathique et divertissante en sommes ! Je recommande toutefois aux lecteurs de bien se détacher de l'histoire d'origine du personnage d'Harley pour pleinement l'apprécier. ⁠
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Harley Quinn : Breaking Glass

Découverte des romans graphiques d’Urban Link avec : Harley Quinn – Breaking Glass.



Il ne faut pas juger un livre à sa couverture… sauf, peut-être, en matière de roman graphique 😊



Car il faut bien avouer que cette couverture de Steve Pugh attire l’œil et donne un avant-goût prometteur du contenu du livre.



En plus, on parle d’Harley Quinn, un de mes personnages préférés de l’univers DC. Alors, autant le dire : ce livre a été aussitôt reçu, aussitôt lu.



Et j’en ressors avec un sentiment globalement positif. Si je n’ai pas toujours été convaincu par le scénario de Marito Tamaki, trop militant à mon goût et où l’histoire des personnages de Gotham est un peu trop éloignée des repères que j’en ai, ce bémol est amplement contrebalancé par la qualité des graphismes de Steve Pugh. Ils sont superbes et je me replonge désormais régulièrement dans ces images pour le simple plaisir d’en apprécier l’esthétisme 😊.

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Harley Quinn : Breaking Glass

J'ai bien aimé voir les débuts de la jeune Harleen. Elle a son côté déjanté, mais il aurai pu être un peu plus poussé je trouve malgré que ce soit le début.

Il y a le Joker aussi, mais je ne l'ai pas apprécié du tout, je suis très déçu de son identité...



Les planches sont vraiment très belles , les couleurs changent en fonction des actions et des émotions.



Les moment avec les Drag Queen est très originale et vraiment très sympa ! J'ai apprécié qu'elle évolue dans ce milieux. Quand a son amie Ivy, elle est très engagée auprès de sa communauté .



J'ai beaucoup apprécié ce roman graphique , je vais m'en procurer d'autres .
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Harley Quinn : Breaking Glass

On découvre ici une Harley Quinn, jeune adolescente, qui rejoint sa grand-mère à Gotham. Mais quand elle arrive, elle découvre que sa grand-mère est décédée et Mama va l'accueillir et lui permettre de rester. Elle va aller au lycée et devenir amie avec Ivy, une jeunne femme qui se bat pour plusieurs causes et qui combat l'injustice. Harleen va devenir Harley Queen et veut combattre les Kane qui ont la main mise sur Gotham et veulent racheter son immeuble et bien d'autres.



J'ai beaucoup aimé ce comics, les dessins sont magnifiques et l'histoire de Harley Quinn est très intéressante. On la découvre plus jeune, moins déjantée et on suit ces débuts, comment et pourquoi elle a décidé de porter le costume de Harley Quinn.
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Harley Quinn : Breaking Glass

Curieuse de découvrir un maximum de titres du Prix Livraddict 2021, j’ai mis la main sur ce titre qui me faisait de l’œil depuis sa sortie. Il faut dire que, dès que je vois Harley Quinn, ma curiosité s’éveille ! Ma dernière découverte concernant ce personnage fictif avait été une pépite avec le génialissime « Harleen ». Dans la version de Mariko Tamaki et Steve Pugh, l’ensemble est tout de même moins sombre et psychologique cependant, l’interprétation fut tout de même très plaisante. Cette fois-ci, on va s’attarder sur l’adolescence d’Harleen Quinzel, lorsqu’elle était étudiante. Le décor est original et coloré : la demoiselle vit entourée de drag queens tenant un cabaret. « Mama » et les autres sont adorables, ouverts, compréhensifs et la rendent heureuse malgré le deuil qui pèsent sur ses jeunes épaules. J’ai adoré cette ambiance festive, espiègle, familiale et douce de ce groupe. Comme la jeune orpheline, je me suis vite attachée à eux et j’espérais que leurs soucis seraient vite réglés !



Quand notre belle et pétillante anti-héroïne n’est pas avec sa famille atypique, elle traîne avec des amis, notamment avec Ivy. Celle-ci a une apparence bien différente de celle à laquelle nous sommes habitués ! Adieu la sulfureuse rouquine aux formes généreuses et à l’intellect impressionnant. Certes, cette Ivy est un puits de savoir et de culture, mais c’est avant tout une superbe métissée engagée. Régulièrement, elle va tenir un discours très orienté LGBT, féministe, écologique, contre le racisme et anticapitaliste. Des sujets actuels qui collent plutôt bien au personnage. Ces changements peuvent surprendre et rebuter les puristes toutefois, ce ne fut pas mon cas. Il y a tellement d’adaptations sur le DC Universe que je ne suis pas réfractaire à des adaptations comme celle-ci !



Qui dit « Harley » dit, évidemment, « Joker » et « Batman ». Rassurez-vous, les deux sont présents ! Notre cher Batou sera principalement là en retrait. Comme toujours, il évoluera dans l’ombre et surveillera les actions de ses deux futurs rivaux. En tout cas, son identité surprendra sans doute quelques lecteurs ! Quant au Joker, j’avoue que je ne m’attendais pas à ce que ce soit lui sous ce masque… Un peu déçue, mais qu’importe, car la dynamique qu’il entretien avec notre petite arlequine est toujours aussi intéressante, déjantée, violente, vache, complexe et originale. Le tout est servi sous un chouette coup de crayon réaliste et travaillé ainsi que des teintes monochromes (on joue beaucoup avec le contraste rouge/bleu). Le rendu est vraiment bon ! Honnêtement, cela donne envie de se pencher sur d’autres ouvrages comme celui de Catwoman ou Raven…
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Harley Quinn : Breaking Glass

Un récit d'adolescence explosif à l'image de l'héroïne déjantée si bien incarnée en chair et en os par Margot Robbie dans Suicide Squad. Quand elle débarque à Gotham, Harleen est pleine de bonne volonté. Accueillie avec chaleur par Mama, reine des drag queen du quartier, elle se fait vite une amie au sein du lycée, Ivy. Elle mène donc une vie paisible et confortable pendant quelques temps mais comme le dit Harleen "ça pouvait pas durer" car la vie est dure et le paradis empli de démons. Un roman graphique magnifiquement illustré aux coloris bleus-grisés ponctué de couleurs vives lorsque l'histoire s'accélère et que la colère de Harleen déferle. Etre un ange ou un démon pour protéger les innocents et ceux qu'on aime ? Quel est le choix le plus efficace ? Vaut-il mieux être une Ivy militante, une Harley vengeresse ou un Joker manipulateur pour arriver à ses fins ? Tous les choix sont possibles quand on construit sa vie.
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Harley Quinn : Breaking Glass

Ce roman graphique signe mon troisième livre lu de cette maison d’édition et j’ai encore une fois beaucoup apprécié ma lecture. On est totalement immergé dans le récit de par la beauté des dessins et des couleurs excentriques. C’est juste splendide. Mes yeux étaient subjugués tout au long de ma lecture.



On suit la jeunesse de Harley Quinn et surtout les origines de sa « déviance ». Je suis encore une fois assez étrangère au personnage de Harley Quinn car je ne suis pas très portée DC Comics mais j’ai eu l’occasion de voir certaines de ses apparitions dans certains films et j’étais curieuse de savoir son histoire et sa rencontre avec le Joker.



Alors je dois vous avouer que je n’ai pas totalement compris où voulait en venir ce roman, je l’ai un peu moins apprécié que les autres. Je n’arrivais pas à cerner Harley Quinn ni le Joker (dont je n’ai pas compris la révélation, je ne sais pas si c’est faux ou pas, je suis tellement perdue dans l’univers que je n’ai pas du tout compris certains points et je me demandais si quelques fois c’était normal qu’une chose se passe comme cela ou autre).



L’histoire plane aussi sur le quotidien de Harley Quinn qui vit chez une drag queen et j’ai vraiment trouvé son univers attachant, on a envie d’en apprendre plus sur ses proches et leur vie. Après je trouve cet ouvrage assez porté sur le féminisme et ce n’est pas tellement ma tasse de thé mais là ça allait, je n’y ai pas trouvé réellement à redire, j’ai laissé l’histoire me porter.



Je ne sais pas s’il y aura un tome deux mais j’aimerais bien car j’ai eu l’impression d’avoir été coupée en plein élan comme avec Catwoman et il me tarde de lire les autres ouvrages de la maison d’édition.
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Harley Quinn : Breaking Glass

J’inaugure la nouvelle collection d’Urban Comics, URBAN LINK, avec le titre Breaking Glass qui nous propose de découvrir une Harley Quinn adolescente déjà bien déjantée et une origin story revisitée.



La collection URBAN LINK prend le pari de revisiter les personnages DC pour proposer des thématiques plus modernes et qui sauront plaire aux grands adolescents et jeunes adultes.



Ici, Mariko Tamaki (Cet été-là) nous propose une Harley Quinn, âgée de 15 ans qui débarque à Gotham pour vivre avec Mama, gérante d’un bar de drag queen. Accompagnée par les fabuleux traits de Steve Pugh, l’auteure réinvente totalement l’histoire de notre arlequine préférée. L’intrigue dévie totalement de l’histoire majoritairement connue de la petite amie du joker pour nous en proposer une beaucoup plus moderne. Mariko Tamaki nous propose une histoire très intéressante très marquée par le féminisme, l’activisme et plus en arrière plan par la cause LGBTQ+. Le point de vue est innovant et passionnant cependant j’avoue avoir été un peu perdue car peut-être un peu trop éloigné de l’histoire que l’on connaît. Harleen Quinzel est une adolescente très indépendante qui a envie de changer les choses (à sa façon certes) et veut par dessus tout le bonheur des personnes qui l’entourent et qu’elle admire.



Breaking glass est donc un récit avec lequel j’ai passé un bon moment. L’intrigue est innovante et prenante mais souffre de quelques lenteurs et est beaucoup trop éloignée de ce que l’on connaît de l’héroïne pour véritablement parler d’une réadaptation réussie. Breaking Glass reste malgré tout un récit de qualité qui se lit parfaitement bien et qui surtout, se dévore par les yeux tant les planches de Steve Pugh sont superbes !
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Harley Quinn : Breaking Glass

On retrouve de nouveaux comme des personnages emblématiques de l’univers d’Harley Quinn. Encore une fois, abordés autrement. Ils m’ont tellement fascinés que j’avais envie d’en lire plus. La fin du roman graphique propose une conclusion mais avec une ouverture. Si seulement je pouvais continuer de découvrir la Harley de Mariko Tamaki et Steve Pugh pour laquelle j’ai eu un coup de cœur.



Un tome unique pour un roman graphique fascinant et passionnant que j’ai adoré. J’ai eu un coup de cœur pour cette Harleen Quinzel adolescente tout en nuance, à travers laquelle on reconnait Harley Quinn mais avec plus de profondeur. Une histoire abordant des thématiques engagées et un univers graphiques magnifique.
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Harley Quinn : Breaking Glass

Ah Harley Quinn, sans doute l'ennemie de Batman, la plus complexe de l'univers DC et on se demande de quel côté la jeune femme se situe, cela dit côtoyé le Joker ne l'a pas aidé non plus.



Dans ce comics nous découvrons la jeunesse et l’ascension de la demoiselle où elle fera la connaissance d'Ivy (déjà passionnée par les plantes). Harley se pose des questions sur sa vie et son désir de faire face à l'injustice. Harley veut agir pour la bonne cause quitte à braver les interdits mais se brulera les ailes mais elle deviendra celle que nous connaissons tous.



J'aime beaucoup le dessin de Steve Pugh il joue avec les couleurs tant le coté bleu pastel quand Harley est gentille mais passe d'une couleur rouge et chaude lorsque Harley devient Harley Quinn.



Ce comics de la collection Urban Link est une petite pépite que offre un vent de fraicheur et d'originalité dans l'univers DC.



Il ne me manque plus qu'à découvrir le comics Harleen de Stjepan Sejic pour découvrir l’ascension d'Harley Quinn d'une autre façon.
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Harley Quinn : Breaking Glass

Franchement, grosse déception.



On a ici l'adolescence d'Harley Quinn donc pourquoi pas mais tout le reste ne colle pas.

Le comics tente de mettre en avant des sujets de sociétés tout en collant comme il peut des personnages connus d'autres comics. Et ça ne marche pas.



Harleen devient Harley en grande partie seule, le Joker...c'est quoi ce joker sérieusement ? Un gosse de riche rebelle du même âge que Harley ? La bonne blague. Et le batman est un peu étrange et passe juste par la de temps a autre comme un coucou inutile.

En bref, ça ne va pas du tout. Il aurait fallu faire une toute autre palette de personnages.



Les dessins sont sympas, seulement le vrai point positif de cette lecture.
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Harley Quinn : Breaking Glass

Une revisite qui tient ses promesses!



Il n'est pas commun d'imaginer Harley Quinn au lycée, c'est pourtant ce que Mariko Tamaki et Steve Pugh nous propose avec brio.

Fraichement débarquée à Gotham, la jeune Harleen cherche les différents éléments qui y composeront sa vie et qui feront qu'elle se sent chez elle. Un toit pour commencer, chez Mama. Qui l'entraine dans le monde des drags queens. Une amie ensuite, Ivy. Qui lui fait découvrir les causes qu'elle défend. Une occupation enfin. Faire payer à ceux qui s'en prennent à son entourage.

Si l'histoire est plutôt classique, elle est bien menée. Mais elle est surtout portée par les couleurs. Chaque époque, chaque émotion, a sa teinte.

Le renouveau du Joker est surprenant mais intéressant.

Seul bémol, avec cette fin, je ne parviens pas à voir ce récit comme un one-shot et j'ai désespérément besoin d'une suite!

A recommander à ceux qui hésitent encore à se lancer dans la lecture de comics!
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Harley Quinn : Breaking Glass

Breaking glass ou comment massacrer un personnage au fort potentiel... La couverture me donnait envie, le résumé aussi... Les dessins sont magnifiques, je les ai beaucoup appréciés. Mais l'histoire me dérange énormément. On a une Harley sans personnalité, qui suit bêtement les autres, qui s'approprie des luttes de la plus mauvaises des manières. J'ai trouvé que le féminisme était affreusement représenté. On a des personnages lourds, extrémistes... Décevant.
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Harley Quinn : Breaking Glass

Si pour une grande partie du grand public le nom d’Harley est toujours associé à celui du Joker, il faudrait peut-être rappeler à ces mêmes individus que notre chère harlequinne a depuis trouvé une émancipation très longtemps attendue. Créée en 1992 pour le dessin animé Batman par Paul Dini et Bruce Timm, ce n’est que face à la demande des fans qu’elle a pu faire son entrée dans l’univers des comics. Sur papier, sa première apparition remonte à 1993 dans The Batman Adventures #12. Vingt-huit ans plus tard, Harley n’a rien à envier au Prince Clown du Crime, bien au contraire. Dans Harley Quinn: Breaking Glass, nous découvrons une adolescente qui débarque à Gotham pour venir vivre avec sa grand-mère. Mais celle-ci étant décédée, elle est recueillie par Mama, une drag-queen au coeur d’or. Et croyez-moi vous allez l’adorer aussi ! Bref. Harleen intègre le lycée, devient la meilleure amie de Ivy, se retrouve confrontée aux conflits du monde, comme par exemple la corruption et le pouvoir, qui vont venir mettre en péril le cabaret de Mama. Face aux nombreuses injustices qui l’entourent, Harleen va laisser peu à peu sa rage s’exprimer… pour le bien ou le mal ?



Dans Breaking Glass beaucoup de thèmes forts et très actuels se croisent pour donner vie à un récit de société. Il y est question de féminisme, de la notion de justice, d’indépendance et de la lutte contre les intolérances de toutes sortes. La narration se fait du point de vue de Harley qui raconte cela comme si c’était un conte de fées. Mariko Tamaki a très bien saisi le caractère de la jeune fille, sa manière de parler est vraiment en raccord avec l’idée qu’on peut avoir d’elle étant adolescente. Si on l’a déjà aperçu dans sa version adulte dans les comics ou sur le grand écran, nous sommes frappés à quel point tout concorde. Harley est très attachante. Sa vision du monde est unique, sa personnalité pétillante et imprévisible nous emporte, et l’innocence sous-jacente dans tout ce qu’elle est encore est extrêmement communicatif. Impossible de la détester, vraiment. Son caractère fait qu’elle ne laisse jamais tomber. Quand elle aime quelqu’un, elle est capable de déplacer des montagnes ou même de se mettre en danger. Ce roman graphique regroupe également des personnages LGBTQ et de différents horizons ethniques. Ivy en fait partie. Sa force et sa détermination à protéger son quartier et ses idéaux la place dans une position de maturité très impressionnante. Bien entendu, que serait une histoire DC Comics sans véritable méchant. Ici, il est incarné par la famille Kane, dont le fils John Kane fait partie des privilégiés. Le Joker est également de la fête, ce qui vient compliquer les choses. Son intérêt pour le chaos le rend aussi dangereux qu’imprévisible, et cela éveille la curiosité d’Harley. On ne peut pas dire qu’il y ait de la romance, vraiment pas. Certes il y a un petit jeu du chat et de la souris, mais c’est plutôt de la curiosité au vu des actions de chacun. Dans ce roman graphique, Tamaki veille surtout à explorer les liens familiaux sanguins ou non, et l’amitié. L’humour est très présent mais jamais envahissant ou exagéré.



Le dessin de Steve Pugh est simplement sublime. Le trait est doux, l’utilisation des couleurs est intelligente car elle arrive à se calquer sur la narration et l’ambiance que la scénariste impose. On est souvent sur de la bichromie, chose plutôt rare à ce niveau. L’ensemble est d’une finesse rare qui force l’admiration et le respect. Le style proche du photoréalisme peut ne pas plaire, mais on est loin d’un Lee Bermejo qui, aussi doué soit-il, a (parfois) la main un peu trop lourde. Le découpage est bon, dynamique et va en crescendo dans son exécution.



En conclusion, Breaking Glass a été un coup de cœur. Rafraîchissant, il permet de découvrir une Harley toute en jeunesse et pleine de vie, dont l’humour nous transporte aisément sans en faire des caisses. C’est naturellement bien écrit, Mariko Tamaki veillant à respecter les plus beaux récits du personnages paru à ce jour. La partie graphique de Steve Pugh est le complément idéal pour cette histoire qui plaira aussi bien aux nouveaux qu’aux anciens.
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Preacher - Nouvelle édition, tome 4 : Histoir..

Non loin du Texas, au milieu du blizzard hivernal de 1886, un ancien officier de l’armée confédéré chevauche désespérément vers Ratwater, un bled perdu où il espère trouver un remède pour lutter contre la fièvre virulente qui frappe sa femme et sa fille. La présence de Gumbo McCready et sa bande dans la région ne fait que rendre le voyage plus périlleux et pousse à nouveau cet ancien chasseur de primes impitoyable sur une route sanglante. En ce temps des filles de joie et des six-coups, débute la mission vengeresse et la légende du Saint des Tueurs …

En 1994, le quotidien du jeune Root n’a rien de réjouissant. Son père le maltraite, sa mère est alcoolique et, pour couronner le tout, il se fait également cogner dessus au lycée. Seule lueur d’espoir pour cet adolescent en perte de repères : son ami Craig et la musique de Nirvana. Mais le jour où Kurt Cobain se suicide, tout bascule …

Dans le Bayou, l’inspecteur Cal Hicks et la belle avocate, mademoiselle Tommi Ryder, sont poursuivis à travers les marais par des mercenaires qui veulent à tout prix récupérer les preuves qu’ils détiennent contre le célèbre terroriste, Saddam Hopper. Leur chemin va cependant croiser celui de deux gars du pays, deux bouseux de la pire espèce : Jody et T.C. !



Le quatrième volume de cette saga phare de la collection Vertigo, initialement publiée par le défunt éditeur Le Téméraire et reprise par Panini, tourne le dos à son personnage central et à son dessinateur attitré. Le temps d’un album, l’irlandais Garth Ennis abandonne la quête complètement déjantée de ce pasteur habité de la descendance d’un démon et d’un ange, et accompagné d’un vampire irlandais anarchiste et d’une jeune tueuse à gage. En regroupant une mini-série (Saint of Killers # 1-4) et deux numéros spéciaux (Preacher Special : The Story of You-Know-Who et Preacher Special : The Good Old Boys), Histoire ancienne délaisse l’histoire de Jesse Custer, Tulip et Cassidy pour se concentrer sur le passé de personnages emblématiques de la série.



La légende du Saint des Tueurs dévoile les origines de ce cowboy qui devint le moissonneur de Dieu. Rendant hommage aux westerns, Garth Ennis (Punisher, Hellblazer, Ghost Rider) emmène son tueur notoire aux portes de l’Enfer, là où ceux qu’il a envoyés sont légion. A une époque où le far-west était peuplé des pires crapules et où Le Diable jouait encore au poker avec l’Ange de la Mort, l’auteur livre une vision violente et cruelle de l’Ouest, ainsi que l’histoire tragique d’un homme qui vendit son âme torturée par les épreuves au Diable. Un western sans concessions qui flirte avec le Malin et le fantastique.



La deuxième partie revient également, sous forme d’un long flashback, sur le passé d’un protagoniste qui n’a pas toujours été un monstre. L’histoire est celle d’un adolescent dont le mal-être donne lieu à un énorme cri de détresse, incarné par le visage complètement ravagé de Tête-de-Fion. En s’attaquant au quotidien de ce loser dont le charisme n’arrive pas à la cheville du Saint des Tueurs, le récit perd un peu de son intensité pour toucher une corde plus sensible et plus humaine. Ce second parcours, tout aussi dramatique, permet de mieux comprendre l’attitude et l’origine de ce personnage secondaire complètement hideux, surnommé Tête-de-Fion.



Le dernier volet de cet album revient sur le passé de Jody et T.C., les hommes de main sans scrupules de Marie L’Angelle, la démoniaque grand-mère de Jesse Custer. Livrée sous forme de parodie des films d’action hollywoodiens, cette aventure inédite en France est indéniablement la plus malsaine des trois, mais également celle qui apporte le moins à la série, surtout que le duo de psychopathes n’y est plus vraiment à l’ordre du jour. Ce passage gore, totalement amoral et parfois dérangeant, mettant en scène un T.C. au sommet de sa zoophilie et un Jody massacrant un gorille de 200 kilos à l’aide d’une batte de base-ball, fait néanmoins ressortir quelques éléments sur lesquels reposent l’attrait de cette saga et la marque de fabrique d’Ennis. Une preuve supplémentaire que cette série qui rapproche plus du Diable que de Dieu n’est pas à mettre entre toutes les mains.



Comme à son habitude, cette épopée mêlant sexe, religion, alcool, violence et démons (pas forcément dans cet ordre là et toujours dans un contexte totalement déjanté) ne respecte rien ni personne. Le casting puise parmi les raclures de la pire espèce, les auteurs sont déterminés à faire gicler le sang et à n’épargner aucune boucherie au lecteur et la narration n’a pas peur de choquer. La volonté blasphématoire de s’attaquer à la divinité et aux défauts de l’Amérique profonde et puritaine débouche sur un humour décapant, tandis que l’univers et les personnages dégagent noirceur et immoralité. La principale ombre au tableau de cette œuvre corrosive, provocatrice et politiquement incorrecte est l’absence (excusée) de Steve Dillon au dessin. Ses trois remplaçants (Steve Pugh, Carlos Ezquerra et Richard Case) sur ce hors-série ne sont malheureusement pas toujours à la hauteur du travail de Steve Dillon, à l’exception peut-être de Steve Pugh, qui livre un graphisme et des personnages bien sombres, qui collent parfaitement à la saga du Saint des Tueurs. Si la présence de Steve Dillon fait défaut sur ce volume, les couvertures alléchantes et les commentaires judicieux de Glenn Fabry sont en revanche toujours au rendez-vous.



Situé en dehors de la continuité de la série, ce spin-off, assez jubilatoire malgré un graphisme moins consistant, permet surtout de s’attarder sur les personnages secondaires de la série, mais n’est pas vraiment indispensable dans la compréhension de la quête divine de ce prêcheur atypique qui recherche Dieu pour lui botter le cul !
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Thème : Le Parfum de Patrick SüskindCréer un quiz sur cet auteur

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