Citations de T.N. Murari (68)
la nature elle-même concourait à les rendre ennemis.
la nature elle-même concourait à les rendre ennemis.
Le pouvoir change de main, l'amour non.
Le pouvoir change de main, l'amour non.
si seulement nous pouvions séparer le plaisir de ses conséquences
Il s'agenouilla près de moi en silence et me regarda de ses yeux noirs qui devenaient si doux quand ils me contemplaient.
L'expérience est comparable à l'instinct, elle te guidera mieux que mille mots d'instruction.
L'aube, cette lumière si douce, si fraîche et apaisante, était trop brève.
Quand tout espoir est perdu, la hardiesse des hommes n'en devient que plus grande.
Quand tout espoir est perdu, la hardiesse des hommes n'en devient que plus grande.
Mon amour pour lui était si fort que j'en ressentais presque une douleur physique.
Mon amour pour lui était si fort que j'en ressentais presque une douleur physique.
Sans la souffrance, on ne connaît pas grand-chose de la vie.
Jusqu'à présent, l'espoir et les rêves m'avaient soutenue dans les moments difficiles. Maintenant, j'avais peur. Dans quelques instants, tout pouvait disparaître et je resterais seule, le cœur brisé. Peut-être qu'en me voyant, il cesserait de m'aimer.
Jusqu'à présent, l'espoir et les rêves m'avaient soutenue dans les moments difficiles. Maintenant, j'avais peur. Dans quelques instants, tout pouvait disparaître et je resterais seule, le cœur brisé. Peut-être qu'en me voyant, il cesserait de m'aimer.
Même dans le noir, je pouvais la reconnaître. Son odeur, sa douceur, la forme de son corps sont inscrites dans mes sens, bien que ma mémoire s'affaiblisse. Et encore, ce que j'aimais n'était pas visible. Les soupirs que l'on ne peut saisir, les rires que seul Dieu peut entendre, un regard qui n'avait de signification que pour moi. Toutes ces choses me remplissaient d'un immense plaisir.
Mon Dieu, pourquoi avons-nous eu si peu de temps ensemble ? L'éternité n'aurait pas suffi.
"Oublie-le", comme si ces mots pouvaient tuer mes sentiments.
"Oublie-le", comme si ces mots pouvaient tuer mes sentiments.
Les poètes écrivent et chantent des histoires d'amour où hommes et femmes dépérissent et meurent de cette étrange maladie, mais pour moi, l'amour n'était qu'illusion et le palais, un désert d'affection.
Le Taj Mahal, une larme posée sur le visage de l'éternité...