Terry Goodkind

En marge de "La Fille sur la Lune", un court thriller haletant, sans pause, bien ficelé avec Angela Constantine prise pour proie par un serial killer très vicieux.

Âmes sensibles et craintives s'abstenir !

Cette nouvelle est un parfait complément à "La Fille sur la Lune" et à "Crazy Wanda". Elle trouve parfaitement sa place entre ces deux titres.

Malheureusement ce texte n'est pas encore traduit en français et Bragelonne, éditeur historique de Goodkind en France, ne semble pas très pressé de le faire... Pour rappel ce titre est sorti en 2018. Probablement parce qu'il ne fait "que" 80 pages. Mais il pourrait tout à fait être édité avec "Crazy Wanda" (73 pages), et pourquoi pas dans une publication qui regrouperait les 3 "Angela Constantine" (soit les 3 titres cités ici) ?

Franchement c'est dommage, car il ne manque plus que "Trouble's Child" et "Crazy Wanda" pour achever la traduction complète des oeuvres de Terry GOODKIND, 2 très courtes nouvelles.

Si Terry Goodkind ne nous avait pas déjà quitté :( on aurait pu avoir une palpitante série avec son héroïne hors du commun...

Du pur Goodkind : sans détour, violent, désinhibé et porteur de la vision socio-politique du monde de l'auteur.



Il s'agit d'un bon thriller-fantastique, qui devrait ravir les lecteurs de Terry Goodkind accoutumés au style décomplexé et hyper-réaliste de l'auteur.



L'héroïne, Angela Constantine, comme souvent avec les personnages de l'auteur, est attachante.



Super-sexy, jusqu'au cliché, elle est également une redoutable tueuse de... tueurs.



Le style très direct de Goodkind, jamais alambiqué, fait de ce roman un roman agréable à lire, à l'histoire rapidement addictive.



Note : ce roman peut être considéré comme la suite de "Les Sanctuaires du Mal" dans lequel Jack Raines fait la connaissance de Kate Bishop qui possède le même don (en un peu moins puissant) que Angela Constantine.

Le parcours chaotique et les péripéties meurtrières de Wanda, surnommée la dingue ou la folle ! Une écervelée qui fonce tête baissée dans les ennuis... et surtout ! qui ne fait rien pour arranger les choses... bien au contraire, car Wanda la folle va toujours au bout de ses désirs.

Encore un thriller violent et sans détour de Terry Goodkind, qui en profite pour peaufiner son héroïne fétiche : Angela Constantine.

A lire à la suite de "Trouble's Child".

Titre non encore traduit en français.

A l'image de "Trouble's Child", il s'agit d'une nouvelle très courte (73 pages) qui vient parfaitement en complément de "The Girl in the Moon" ("La Fille sur la Lune" - Bragelonne).

Une touche d'originalité chez les éditions Bragelonne ?



Ce joli livre constitué des principales réalisations du décédé et regretté illustrateur Keith Parkinson est un régal pour les yeux, et une petite pause bienvenue dans un univers toujours fantasy, mais où l'on prend le temps de s'intéresser aux dessins, voire de redécouvrir des couvertures de livres déjà lus sous un autre angle.



Le choix du design est particulièrement réussi, la couverture et quatrième de couverture rappelant sans peine la série de l'épée de vérité, dont M. Parkinson a peint la majorité des couvertures, tandis que cette noirceur permet au fil des pages de bien faire ressortir les différents tableaux.



Très chouette livre, qui reste malgré tout cher !

Qui ne connaît pas Keith Parkinson… Peut-être avez-vous déjà lu Terry Goodking ou encore David Eddings, peut-être aussi êtes-vous un rôliste (il n’y a pas d’anciens rôlistes, rôliste un jour, rôliste toujours) et connaissez-vous TSR et Donjons et Dragons, alors vous connaissez Keith Parkinson. Illustrateur de fantasy, Keith Parkinson s’illustre par un talent dans la peinture. Il illustre des romans, des jeux de rôle et aussi des jeux vidéo. Son travail est magnifique, prolifique. Les personnages sont réalistes, dessinés avec beaucoup d’émotions, les monstres aux formes fantastiques sont empreints d’un sentiment de puissance et les décors révèlent une ambiance parfois sombre ou oppressante, parfois plus légère, mais Keith Parkinson met au centre de son oeuvre l’humain. Le bon comme le mauvais, le fort comme le faible. Ses peintures sont magnifiques, fantastiques, magiques. Un artbook loin de révéler le talent de cet illustrateur.
Lien : https://lectureroman.wordpre..

Traduit et édité par les éditions Milady en 2010, l'artbook de Keith Parkinson retransmet bien l'essence du travail de l'artiste. Au fur et à mesure que l'on tourne les pages, ce beau-livre nous fait faire connaissance plus en profondeur avec le cheminement artistique de Keith Parkinson.



La première chose à louer dans cet artbook est l'introduction signée par Terry Goodkind, un grand nom du genre et aussi un proche ami de l'illustrateur. Quoi de plus prestigieux pour promouvoir un livre! Il y confie l'importance pour lui de collaborer avec Keith Parkinson. Partageant la même vision des choses, et particulièrement de l'art, ils ont formé le tandem idéal pour produire d'accrocheuses couvertures de fantasy. Il faut dire que Keith Parkinson a une vraie sensibilité avec une grande capacité pour traduire le cœur d'un roman à travers un seul tableau, sans pour autant le surcharger.



Les premières pages sont consacrées au processus de création de l'artiste. Il nous explique les différentes étapes qu'il suit en fonction de ce qu'on lui demande pour aboutir à tel ou tel tableau. Un chapitre qui nous fait tout simplement pénétrer dans son atelier. En fait, il commence par sélectionner le support sur lequel il va œuvrer, puis il passe à la sélection du dessin qui viendra trôner au centre de sa composition finale. Il commence toujours par peindre l'arrière-plan pour terminer par l'intégration de ce qui va venir occuper le devant de la scène. Un long travail minutieux qui demande du temps et de l'inspiration.



Un début de livre qui nous dévoile les esquisses qu'il a réalisées pour telle ou telle couverture. Chaque dessin est annoté de sa main pour aiguillonner le maquettiste lors de l'impression finale. Cela témoigne de l'ampleur de la besogne. Car être un illustrateur professionnel, ce n'est pas seulement se contenter de réaliser un dessin. Une commande, c'est bien souvent plusieurs essais pour plaire au commanditaire et lui donner du choix. C'est un travail exigeant et fort intéressant.







Le reste de l'artbook fait un état des lieux de quelques-unes de ses œuvres. Tout n'y est pas car cela ne tiendrait pas dans un seul livre, mais cela donne une idée générale du style de l'artiste.







Keith Parkinson a pris soin de commenter chacune des illustrations choisies afin de partager ses souvenirs, des détails de réalisation. Il y fait quelques confidences sur les lieux ou les personnes qui l'ont inspirés par exemple. On réalise ainsi que c'est un amoureux de la nature. Ce qui ressort bien dans les couvertures de L’Épée de Vérité, par exemple. Les paysages y sont justes époustouflants... plus d'infos sur Fantasy à la carte


Lien : http://fantasyalacarte.blogs..

Dans la lignée de Star Wars, du Seigneur des anneaux... on retrouve ici un univers au sein duquel le mal et le bien jouent chacun un rôle bien attribué, sans confusion possible, même s'il arrive parfois à quelques personnages de balancer entre l'un ou l'autre . L'intrigue est bien ficelée, l'univers fait bien travailler l'imagination, les héros sont séduisants et attachants... On y trouve aussi une bonne dose d'érotisme plus ou moins dissimulée, et même parfois un peu d'humour. Que demander de plus ? Peut-être de moins voir les ficelles de l'écrivain derrière l'écriture, mais, bon :)

Une superbe épopée, qui fait découvrir de nombreux univers et qui prend parfois aux tripes. L'histoire d'amour n'est pas lourde et sert bien le récit. Les péripéties sont originales, élaborées et variées, le rythme est excellent. Une très bonne saga pour démarrer dans le genre fantastique, dès l'adolescence !

j'ai commencé la première tome début janvier et me voila 4 mois plus tard en plein milieu de la tome 10

une histoire qui rebondi à chaque livre, des description du paysage pas lourd à lire qui nous offre la possibilité de voir les images défilé devant nos yeux. après 10 tome je ne suis pas lassé malgré que je suis pas fan de l'histoire de la tome 9.

Super bien écrit avec une imagination débordante. Seul petit bémol au bout de la 10 eme tome je pense qu'il n'est pas vraiment nécessaire de faire de long rappel sur tout ce qui c'est passé depuis la tome 1. Je saute la plupart du temps ces passages.

Pour ceux et celles qui hesite encore vous pouvez y aller sans soucis si vous aimé le fantastique ou l'action et l'amour sont les mots d'ordre.

Une serie fantastique comme j'en ai pas lu depuis Harry potter ou Lesseigneur des anneaux

Bon,



Je viens de terminer le 15ème tome du cycle de l'épée de Vérité: le Coeur de la Guerre et il me semble temps de faire un point sur l'intégralité de son cycle.

Notamment pour les personnes qui voudraient se lancer dedans et qui se poseraient quelques questions avant de s'embarquer dans une aventure de pas moins de 17 tomes à aujourd'hui (je n'inclus pas la loi des neufs que je n'ai pas lu).

Petite précision toutefois qui a son importance, c'est dans la langue anglaise que j'ai lu 15 des 17 tomes.



Sur l'histoire:

Les héros sont supers stéréotypés à l'américaine et construits pour être attachants, ils sont foncièrement gentils. Pas de réelle complexité dans la psychologie des personnages.

S'il a construit un univers consistant en heroic fantasy, la force de Goodkind est d'avoir su reproduire tout au long du cycle le moment ou le héros principal se révèle.

Richard évolue constamment et se découvre à chaque tome de nouvelles capacités.

C'est à mon sens l'élément le plus sympa et le plus rythmant dans tout ce cycle.

Prenez un film de super-héros: le moment que tout le monde attend c'est davantage de voir le protagoniste découvrir ses nouveaux pouvoirs et de se rendre compte à quel point il est super, plutôt que de le regarder botter le cul du méchant.

Avec l'épée de vérité, cela se répète autant de fois que de tome.



Sur le message de fond:

On sent bien les grandes lignes directrices de Goodkind se répéter tout au long du cycle: le libre arbitre, la valeur de la vie etc etc...

C'est assez niais et lourd, mais bon ça donne aussi son âme aux histoires.

Il faut lire la Foi des Réprouvés qui est probablement le livre le plus engagé politiquement de tout le cycle.



Sur l'écriture

Ils sont loin Lovecraft et Tolkien. Là on est dans le style le plus commercial qui soit: pas très recherché mais efficace pour pondre un livre tous les ans. Je précisais l'avoir lu en anglais et je pense que c'est essentiel car je n'ai pas été trop "usé" par le style.

Ensuite les redites sont épuisantes. réexpliquer à chaque tome le pourquoi du comment finit décrit dans les tomes précédents devient lassant.

Et quand à l'intérieur d'un même tome on a trois fois la même explication parceque notre Richard doit informer 3 personnages différents... je vous passe le détail.

Néanmoins, certains passages (notamment quand Richard dégaine son épée et Kahlan libère son pouvoir) font plaisir à relire: on sent l'action arriver!





Conclusion:

L'épée de vérité se lit facilement et constitue un cycle distrayant à souhait, sans réelles prétentions.

Goodkind fait usages de ficelles usées et usées mais il a le mérite de créer un univers heroic fantasy sympa.

Loin d'être révolutionnaire, c'est l'action qui prime et qui en fait un bon divertissement.

Vous voulez voir si cela vous plaît: lisez les 2 premiers tomes (oui il faut vraiment pousser), ou commencez par lire la première inquisitrice.

Si vous avez envie de connaître la suite c'est que vous êtes mordus.



PS:

Je crois qu'un nouveau tome est en préparation (alors que cette fois Richard avait vraiment mis tous les méchants KO).

Alors bien sur je peste parce que Goodkind n'est pas fou et exploite le filon à fond, et que la quantité ne rime pas souvent avec qualité.

Mais je sais que d'ici un à deux ans, quand les héros me manqueront et que j'aurai oublié la lourdeur de l'auteur, et que j'aurai envie de m'imaginer une épée magique à la main, je m'y remettrai...

Cette préquelle peut être lue comme histoire indépendante mais aussi dans la saga de L'épée de vérité. L'écriture de Terry Goodkind reste addictive, très addictive !
Lien : https://ussy82.wordpress.com..

Cette préquelle est divertissante, mais pas vraiment essentielle pour la compréhension de la saga. Certes, il est intéressant de comprendre les circonstances de la création de la frontière, de faire connaissance avec un Zedd plus jeune et sa fille. Mais le récit est très court et ne permet pas vraiment à Terry Goodkind de développer l’histoire. Il aurait été intéressant de lire quelque chose de plus long, de plus étoffé, qui parle réellement des origines complètes des Contrées du Milieu.

Un préquel qui nous permet de retrouver les personnages de la saga originale, notamment le Premier Sorcier Zedd et en apprendre plus sur comment le monde est tombé au main de Rahl.

Un petit livre avec des belles illustrations du dessinateur des couverture de la série. Il nous éclaire sur la création des mondes. Un petit plus à cette saga

Prerequelle qui nous éclairci un peu plus sur l'histoire de Zedd, plus jeune et moins expérimenté. J'ai beaucoup aimé parce que d'une Zedd est mon personnage préféré ( ce livre est l'occasion d'en savoir plus sur lui) et que cela nous explique comment les frontières ont été mise en place (c'est quand même un pilier de l'histoire).

J'ai beaucoup aimé ce préquelle à l'Épée de vérité. Il m'a fait découvrir un Grand-Sorcier (je n'ai pas compris que c'était Zed en plus jeune, il va falloir que je vérifie ce point) d'il y a bien plus longtemps qu'à l'époque de cette série. L'histoire est un peu courte mais est fort bien écrite et l'intrigue est tenue jusqu'au bout.

J'ai vraiment pris plaisir à lire ce préquelle de la saga Goodkind. Bien que la lecture soit rapide, elle n'en reste pas moins intéressante pour comprendre la jeunesse de Zedd et comment apparurent les contrées de terre d'ouest.

Bien que j'ai lu ce préquelle avant d'avoir terminé de lire la saga, je ne pense pas m'être gâche quoi que ce soit de la suite (enfin, je l'espère).

Pour ma part, ce préquelle est un petit bonus bien sympa et très bien écrit :)

Une bonne petite histoire bien sympa sur Zedd et sa famille

Une nouvelle, plus qu'un roman, mais du bon Goodkind. Rapide, mais bien ficelé, avec une belle surprise à la fin.

Important : ici on apprend comment est née la "frontière" qui, dans le nouveau monde, sépare Terre d'Ouest des Contrées du Milieu.

Un très bon moment de lecture et qui complète la série "L'épée de Vérité".

Un petit livre qui n'est pas important pour la compréhension de la saga mais qui apporte plusieurs complément d'information sur les personnages de Zed et de Abby !



J'ai passer un excellent moment de lecture avec l'un de mes personnages favoris de la saga de l'épée de vérité !

J'ai trouver vraiment intéressant de connaître la jeunesse de Zed, notre sorcier un peu loufoque !