Un bon nombre de perception que nous avons de nous mêmes et des autres sont des perceptions erronées.
La méditation n'est pas une tache ardue. Au contraire, elle repose l'esprit.
La vision profonde nait de la concentration ; elle nous donne une compréhension nouvelle, un regard compatissant.
Si nous voulons travailler pour la paix dans l'avenir, nous devons trouver la paix dans le moment présent.
Tant que les choses sont agréables, et cependant nous ne les apprécions pas si nous ne pratiquons pas la pleine conscience.
Si nous ne sommes pas conscients que nous sommes heureux, nous le sommes pas réellement.
Le secret pour créer un lieu de méditation chez soi est de créer un espace où l'activité s'arrête.
Grace à des exercices simples, vous pouvez créer chez vous un espace dédié à la méditation et au renouveau.
L'esprit, par son action, est l'architecte de notre bonheur et de notre souffrance.
Le monde extérieur affecte notre être profond et notre tranquillité d'esprit.
Regardez votre corps pour voir s'il est détendu ou s'il souffre d'une maladie.
Tant que vous ne saurez pas vous aimer et prendre soin de vous-même, vous ne serez pas d'une grande aide pour les autres.
Nous explorons profondément les choses de tout notre être, parce que nous sommes déterminés à comprendre. Il ne s'agit pas de répéter des mots ou d'imiter les autres, ni de chercher un idéal. La pratique de la méditation sur l'amour n'est pas de l'autosuggestion. Il ne s'agit pas de dire : Je m'aime. J'aime tous les êtres.
Si nous nous aimons être prenons soin de nous, nous pouvons être beaucoup plus utile pour les autres.
Aimer, c'est, avant tout, nous accepter tels que nous sommes.
Vous pouvez acheter toutes sortes de choses, mais, quel qu'en soit le prix, rien n'est aussi précieux que votre présence.
Vous ne pourrez pas faire le deuxième pas tant que vous n'aurez pas fait le premier.
Nous avons tendance à penser qu'en abandonnant les objets de nos désirs, nous allons perdre ce qui nous rend heureux. C'est pourtant tout le contraire. Plus nous les délaissons, plus nous sommes heureux. Lâcher prise ne veut pas dire tout lâcher. Nous ne perdons pas de vue la réalité, mais nous laissons derrière nous nos idées fausses et nos perceptions erronées au sujet de la réalité.
J'inspire, je suis conscient d'un sentiment douloureux. J'expire, je suis conscient d'un sentiment douloureux. C'est un art que nous devons tous apprendre, car, le plus souvent, nous n'aimons pas nous retrouver face à la souffrance.
Nous craignons tellement de nous retrouver submergés que nous cherchons à la fuir. Il y a de la solitude, de la peur, de la colère et du désespoir en nous. Mais, comme nous ne voulons pas les voir, nous avons tendance à nous réfugier dans la consommation, à nous mettre en quête de quelque chose à manger ou à allumer la télévision. Certains font tout cela en même temps.
Et même s'il n'y a rien d'intéressant à regarder à la télévision, nous n'avons pas le courage de l'éteindre, de peur de retrouver face à nous-même et à l'immense mal-être que nous ressentons. Nous trouverons toujours quelque chose à consommer pour éviter d'affronter notre souffrance.