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Citations de Thierry Vimal (11)


Obscène enfants de putains qui venaient jusqu'ici soigner leur image. Oh, bouleversés, peinés, ils l'étaient, mais ils savaient faire avec. Quand leur émotion est vrai, c'est de l'or électoral en barre : surtout ne pas gâcher.
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Après plusieurs mois d'arrêt de travail, la fonction publique hospitalière exigea une expertise psychiatrique de son agent endeuillé et traumatisé - cette même fonction publique qui n'avait pas jugé utile de lui envoyer une lettre de condoléances ou de soutien. Première fois qu'elle donnait de ses nouvelles, il était temps.
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- Vous vous rendez bien compte de l'incohérence de ce que vous me dites ?
- Absolument. Mais je ne fais que vous citer les directives.
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- Et les salauds dont vous parliez sont morts, je vous rappelle.
- Et tant mieux, je m'en réjouis. Mais il y a une vingtaine de complices, une longue enquête à venir, c'est cette vérité-là que veulent les victimes.
- Ne me dites pas quelle vérité je veux.
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- J'ignore ce qui est classique ou non, c'et mon premier attentat. Je le verrai quand ?
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L'écrasante majorité des nuits, les bars ne sont pas attaqués par des commandos terroristes, et presque cent pour cent des voitures louches garés le soir en ville sont occupées par des fumeurs de joints.
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Une douleur articulaire, une écorchure , une fracture, une lombalgie, même une rage de dents font toujours du bien quelque part, d'une manière ou d'un autre. On peut caresser, toucher un peu à côté. Parfois appuyer dessus pour calmer un temps. La brûlure rien n'y fait. Insatiable. Lance sans répit et rien ne peut la faire taire. Une douleur qui gueule, cherchant un aboutissement qu'elle ne trouve jamais.
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Il suffit de regarder le monde deux minutes, d'observer les gens, pour savoir que boire ou se droguer est une évidence de bon sens. Simplifier ses dépendances...
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Si nous haissons l'alcoolique boiteux qui hurle dans la rue , c'est parce qu' il et un morceau de nous que nous refusons de reconnaitre
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Dans certains coins d'Afrique, c'est toute la tribu qui se sent responsable de la folie des siens .Ils sont traités avec attention. Peut être ressentons -nous cette même responsabilité vis à vis de nos marginaux ,alcooliques ,, terroristes, mais sans vouloir l'assumer. On ne peut vraiment hair que soi- même . Si nous haissons l'alcoolique boiteux qui hurle dans la rue , c'est parce qu' il et un morceau de nous que nous refusons de reconnaitre . Il est notre faiblesse, l'enfant que nous sommes encore qui crie parce qu'on l' étouffe .

Les grandes étapes ne sont pas la vie , mais justement les moments ou elle s'arrête- les moments ou on se deplace.
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" Je suis dans le train et j'ai un poulpe à l'intérieur. Un mollusque déshydraté, lové contre mon diaphragme, attend patiemment. Bientôt il s'agite, réclame sa nourriture. je connais ses habitudes. À dix-huit heures il diffuse son poison dans mes réseaux nerveux, sanguin, lymphatique, alors je lui cherche de l'alcool.
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