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Critiques de Thomas Gornet (71)
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Le jour du slip, je porte la culotte

C'est mon premier livre de cette collection tête bêche.



Je l’ai lu sans à priori, en ayant assez peu entendu parler, je connaissais juste le sujet.

J'ai trouvé les réactions et réflexions plutôt bien vues, il est intéressant de monter les différences en les "vivant" de l'intérieur.

Il y a de l'humour mais malgré tout beaucoup de vraisemblance.



Par contre, il me semble que les auteurs ont privilégié la situation, au détriment de l'histoire. Peut-être est-ce dans le cahier des charges de la collection ?

Mais de ce fait, j'ai trouvé que c'était un peu bref, et que la chute n'en était pas une dans les deux cas, un peu déçue donc par la fin.
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Le jour du slip, je porte la culotte

Voici un petit livre que je n'aurais certainement jamais lu si les opposants à la "théorie du genre" ne l'avaient mis en avant, fustigé, critiqué. Pour quoi ? Pour rien ! L'ont-ils vraiment lu ceux qui le diabolisent ainsi ?



J'aurais aimé un livre de ce style quand j'avais l'âge des protagonistes, j'étais très garçon manqué et en CM1 j'ai voulu me faire couper les cheveux. Quand j'avais deux ans je voulais faire pipi comme papa ! Quel scandale !!!!



Ces deux petites histoires permettent de comprendre ce que ressent un enfant de l'autre sexe, ses préoccupations, une mise en situation très bien menée, sans rien de choquant, vraiment.



Le lecteur va suivre Corentin et Corinne durant une journée d'école, ils sont en CM1 et ce livre me paraît vraiment bien adapté pour cet âge.



Un petit livre vite lu et vraiment sympathique.
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Le jour du slip, je porte la culotte

Autant le dire tout de suite, je ne comprends absolument pas pourquoi une vague de haine s’est abattue sur ce roman. Il n’y a rien de choquant, rien de scandaleux dans ce roman. C’est une histoire très drôle et totalement dénuée de perversité quelconque ! L’idée est géniale : deux auteurs, Anne Percin et Thomas Gornet, imaginent, chacun de leur côté, que le héros de leur histoire se réveille un matin en ayant changé de sexe. Évidemment, ces deux histoires sont liées puisque Corinne devient Corentin et vice et versa. S’ensuit alors une journée on ne peut plus classique pour un enfant avec la peau et surtout le sexe de l’autre.



Ce roman est une belle manière d’appréhender la différence entre les filles et les garçons. Quand je parle de différences, je ne pense pas qu’au sexe, je pense à la sensibilité, aux jeux, à l’amitié. Mais pourquoi tout ce foin ? Je n’en sais vraiment rien : Ah oui on parle de zizi et de zezette !!! Les auteurs restent neutres. Aucun des deux sexes n’est mis en valeur… Au contraire c’est plutôt une belle leçon de tolérance : essayer de comprendre l’Autre, se rendre compte que ce n’est pas facile d’être catalogué le petit garçon turbulent et un peu cancre de la classe ou encore petite fille modèle, sérieuse en cours ! C’est donc un livre utile pour questionner les enfants. Si j’étais professeur des écoles, je l’étudierai !



Une chose est sûre, quand Ambre sera en âge de comprendre cette histoire, je lui confierai ce livre. Je dois vraiment être une mauvaise mère ! Vous, en attendant, filez vite lire ce livre !
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Le jour du slip, je porte la culotte

Un bon titre dans une collection que je trouve par ailleurs inégale. Anne Percin y est pour beaucoup, même si la nouvelle de Thomas Gornet n'est pas mal non plus.

Le thème de livre recto-verso : l'identité sexuelle et de comportements des garçons et des filles. Chacun des héros "se réveille" un matin dans le corps d'un enfant de sexe opposé au sien. Pour leur entourage, tout est comme d'habitude mais eux doivent s'accoutumer à leur nouvelle vie : à la maison et surtout à l'école.

Les différences de comportements des garçons et des filles sont plutôt bien vues : Corentin devient Corinne et découvre les préoccupations esthétiques chez les filles et l'art de la ruse. Corinne devenue Corentin découvre le comportement plus "brut" des garçons. Tous deux sont témoins de l'absence de communication (ou la difficulté de compréhension) entre garçons et filles et la différence de la relation mère-fils/fille.

On est à la frontière de la caricature, mais la frontière n'est pas tout à fait franchie.

Deux nouvelles bien écrites, avec de l'humour, cohérentes d'une par rapport à l'autre. Une bonne façon sans doute d'aborder le sujet. A partir de 9 ans environ.
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A bas les bisous

Illustré avec beaucoup de symbolique, un petit roman rafraîchissant et sans enjeux si ce n’est celui, crucial, de l’amour de son prochain…
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A bas les bisous

Le jour de ses 9 ans, Kaï prend une grande décision : il ne veut plus de bisous car les bisous, c'est pour les bébés. Il en informe ses parents comme tout son entourage familial. Même s'il se rend compte que sa décision fait de la peine à sa maman, il reste ferme sur ses positions. Mais c'était sans compter sa rencontre avec Pascal, un enfant de son âge qui vient de vivre un décès dans sa famille et qui va permettre à Kaï de voir les choses autrement, Au fil des pages, on voit le petit garçon évoluer dans ses sentiments, dans ses rapports aux autres et, notamment, à ceux qu'il aime.

Un roman d'une grande tendresse sur l'importance de montrer ses sentiments.

Un roman qui montre l'importance des marques d'affection mais aussi que, pour grandir, il faut savoir regarder autour de soi et accepter de changer, de ne pas rester sur ses positions.

:Intéressant

à partir de 8 ans
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Qui suis-je ?

J'avais compris en voyant l'épaisseur du livre que les personnages ou le scénario même ne pourraient pas être très développés, et, en effet, en le refermant, j'étais très déçu·e.

J'en ai lu, pourtant, des romans queers, mais là, ce n'était tout simplement pas ça. Je n'ai ressenti strictement aucune empathie pour le protagoniste ou les personnages secondaires, le style d'écriture m'a paru fade, l'histoire terriblement banale. Pourtant, d'habitude, j'ai beaucoup de facilités à me laisser embarquer dans un livre, même s'il n'est pas exceptionnel. Mais avec celui-ci, ça n'a tout simplement pas fonctionné.

Je ne conseille tout simplement pas ce livre pour la bonne raison que c'est le bon format pour des enfants de sept ou huit ans, mais, qu'au vu de l'âge des personnages, il est à destination de collégien·ne·s, pour qui ce n'est clairement pas une lecture de qualité.
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Le jour du slip, je porte la culotte

C'est parce que l'on devait emmener les élèves voir l'adaptation théâtrale que je me suis intéressée à ce petit roman double. Le covid nous en a empêchés néanmoins le livre a tout à fait sa place au CDI! On y suit, le temps d'une journée, Corinne et Corentin dans le corps l'un·e de l'autre, à travers la découverte des stéréotypes de genre et des différences d'attitude des gens qui y sont liées.



Corinne-garçon n'a pas droit au bisou du matin de sa maman pourtant Corentin-fille semble l'apprécier. En tant que fille, Corinne devait finir ses légumes selon la dame de service, alors que Corentin a droit à du rab de purée. En sport, c'est aux garçons de s'occuper des matelas du gymnase "sous prétexte qu'ils sont plus costauds". Dans le corps de Corentin, Corinne n'ose plus pleurer ("Un garçon qui pleure, c'est plus grave qu'une fille qui pleure, on dirait!"). En classe, la mixité ne semble pas de mise ("Un garçon ne doit jamais être à côté d'une fille").



Pour l'un comme pour l'autre, il y a une évidence: on n'a pas les mêmes jeux ni les mêmes sujets de discussion selon son sexe ("Je ne crois pas qu'une fille ferait ça"). En cela les deux récits se font écho, laissant les deux enfants déstabilisés: comment se comporter en tant que garçon, en tant que fille ("Je ne sais plus quoi faire, plus quoi dire")? Même si Corinne-garçon finit par changer d'attitude, se permettant des choses qu'elle ne ferait pas habituellement (comme "faire le zouave" en classe) et que Corentin-fille tente un rapprochement auprès de son copain Ludo. Une chose est sûre: il a l'air très traumatisant pour un garçon de ne plus avoir de zizi ("C'est sans doute un cauchemar")!..



J'ai trouvé dommage qu'il n'y ait pas "d'après": en quoi l'expérience a-t-elle modifié la perception des genres chez les deux jeunes héros? Leur comportement va-t-il changer après ça? Voilà une réflexion qui serait intéressante à débattre avec les enfants!
Lien : https://www.takalirsa.fr/le-..
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Le jour du slip, je porte la culotte

Les deux nouvelles sont réunies dans un seul livre. D’un côté il y a l’histoire de Corentin, qui un matin, se réveille en Corinne, et quand on retourne le livre, c’est l’histoire de Corinne qui se réveille en Corentin. Les deux héros

se retrouvent projetés dans le genre opposé le temps d’une journée.

Le fait de changer le sexe des deux héros permet d’aborder la question du regard que les enfants portent les uns sur les autres, avec pas mal d'humour.
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Qui suis-je ?

L’année scolaire de 3ème en accéléré de Vincent qui découvre, à l’arrivée d’un nouvel élève, Cédric, son homosexualité.

Bof bof : pas désagréable à lire mais rien de spécial et surtout on attend 70 pages que le héros comprenne enfin ce qui lui arrive, dans le cadre d’une année sans rien à signaler.
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Qui suis-je ?

L'histoire touchante d'un adolescent se découvrant des sentiments pour un garçon.

Réédition d'un roman paru à l'Ecole des loisirs en 2006, Qui suis-je ? nous place dans l'esprit de Vincent (le texte est écrit à la 1ère personne) le temps d'une brève année scolaire. On le découvre solitaire, entre un père souvent absent ("- C'est qui mon père ? Le type qui passe de temps en temps dans l'appartement et te gueule dessus ?"), une mère effacée, un frère aîné le traitant comme un "lépreux", un "super-copain" (Aziz) mais qui "ne veut pas trop que ça se voit" et une meilleure amie, Myriam, complice mais qui attend peut-être plus de lui qu'il ne peut donner...



Ainsi le quotidien de Vincent se déroule entre solitude et morosité ("J'ai l'impression d'être un bip cardiaque rectiligne sur un écran d'hôpital"), entre les cours de sport humiliants et la crainte d'être dans la ligne de mire de Christophe et sa bande comme le pauvre Pascal ("Il en faut toujours un. Et c'est mieux quand c'est pas soi."). Sauf quand Cédric est là ! On sent que la présence de celui-ci l'éveille à la vie, même si les émotions ressenties sont assez peu évoquées. Une pudeur qui masque une certaine crainte, celle d'être rejeté bien sûr, et surtout celle que les sentiments ne soient pas partagés.



Plus les mois passent et plus Vincent se renferme sur lui-même. Lui qui est un excellent élève voit ses notes s'effondrer - il n'a plus le cœur à travailler. Seule Myriam semble sensible à son mal-être : "J'ai l'impression que tu t'éloignes". Mais Vincent est bien en peine de s'expliquer : "Je ne comprends rien à ce qui m'arrive", ou plus précisément, il refuse de l'admettre. Finalement certaines mises au point se feront, des amorces de réconciliation également, cependant c'est bien un sentiment de tristesse qui domine : Vincent n'est qu'au début d'un long parcours d'acceptation... de soi et des autres.
Lien : https://www.takalirsa.fr/qui..
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Sept jours à l'envers

Je suis obligée d’écrire à travers mes larmes et en me sentant un peu détruite par ce livre. Il raconte pourtant quelque chose qui peut arriver, il raconte à l’envers le décès d’un proche. À l’envers parce que l’histoire commence par la fin, et se raconte en remontant les jours un par un. Jusqu’à ce fameux dimanche.



C’est très doux dans l’écriture, c’est raconté par l’ado de treize ans et comment il vit ça, comment il voit ses parents vivre ça. Et pourtant c’est très dur, parce que tout du long, on ressent l’absence. Cette absence de celui qui est partit. « Lui ». On a des extraits de conversations qu’il a eu avec le narrateur. Des moments entre eux. Des souvenirs. Jusqu’au final qui est le début de tout et qui m’a totalement brisé.



Bon, c’est pas comme si on savait pas, puisque l’histoire commence presque avec l’enterrement, avec la fin. Alors en remontant les horloges on sait bien ce qu’il s’est passé, on sait qu’il y a eu un accident. Le savoir ne rend pas les choses moins tristes, et plus on remonte dans le temps et plus la gorge se noue, parce que plus on est proche de ce qui s’est passé, et plus les personnages en sont proches aussi. Triste. Sombre. Plongé dans cette nouvelle qui les a brisé et qui les changera à tout jamais.



Rien que d’en parler, j’ai le cœur qui se sert à nouveau. Ça m’a vraiment touché et fait mal. C’était une histoire dure et belle dans le déroulement du deuil, qui n’est pas encore fini au début (bien sûr ils n’ont eu qu’une semaine). Ça m’a vraiment pris à la gorge en tout cas. J’ai beaucoup aimé, mais dur.
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A bas les bisous

Une jolie histoire de bisous. Ceux qui consolent,ceux qui rassurent, ceux qui disent tout simplement "je t'aime" ou "je suis là"..... Kaï va se rendre compte de l'importance de ces marques d'affection dont il avait décidé de se passer car "à 9 ans on est trop grand". Plein d'émotions et de tendresse, ce petit roman est aussi très drôle .

A partir de 8 ans
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Mercredi c'est sport

Zouz est un petit garcon qui est contraint par sa mère de pratiquer une activité sportive collective, ce qui le soulagerait de quelques kilos et lui permetterait par la même occasion,de se faire des amis. Après quelques essais infructueux, Zouz se désespère. Mais la solution se trouve t’elle dans le fait de changer ou de forcer sa nature ?

Encore un titre dont la morale nous fait penser à des « coins de rien du tout », de Ruillier ! Le sujet est bien traité et plaisant à lire, comme la collection Zig Zag d’ailleurs. Une collection que je recommande hautement , pour les petits lecteurs et les autres, des sujets souvent peu traités, parfois graves mais toujours abordés avec sensibilité, humour et intelligence.
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Sept jours à l'envers

Ce roman nous propose un style atypique puisque chaque chapitre raconte un jour dans la semaine d'un adolescent mais à l'envers. On commence donc par le dimanche, avec une visite au cimetière sur une tombe toute fraîche, et au remonte jusqu'au dimanche précédent. Le lecteur se pose mille questions : qui est mort ? et comment cela est-il arrivé ? sont en tête bien sûr. Au fil du récit les secrets se dévoilent et le mystère se lève, on comprend de mieux en mieux ce qu'il s'est passé et en quoi cela impacte le narrateur.



J'ai bien aimé cette lecture, il est question de l'adolescence, de comment vit ce collégien avec ses parents et ses amis. La lecture est fluide, rapide. Et puis on a envie de savoir qui est mort afin que le puzzle prenne tout son sens, mais ce secret là prend du temps à être dévoilé. Il est bien sûr aussi question de deuil, comment réagir quand une mort inattendue arrive ? Comment vivre sans un proche ?



C'est une lecture que j'ai beaucoup aimée même si parfois j'étais un peu perdue. La narration à l'envers nécessite une réelle gymnastique pour organiser ses pensées, ce que l'on sait, ce qui s'est déjà passé, ce qui va se passer plus tard...



A découvrir !
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Le jour du slip, je porte la culotte

La collection boomerang permet de découvrir deux textes courts en recto verso, le lecteur pouvant prendre le livre par le bout qu'il veut et commencer l'histoire dans un sens comme dans l'autre. Cette lecture à deux faces est particulièrement pertinente avec ce récit qui met en scène une fille qui se réveille un matin, découvrant des vêtements de garçon et surtout un nouvel organe dans son pyjama ! De l'autre côté Corentin se retrouve dans la peau de Corinne, et va devoir faire avec. Avec ce roman on comprend mieux la complexité des relations entre filles et garçons à l'école mais aussi les préjugés liés au genre, allégrement bousculés par cette double métamorphose.
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Qui suis-je ?

Un des meilleures livres que j'ai lu
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Le jour du slip, je porte la culotte

Deux courtes histoires qui s'opposent mais en même temps si complémentaires. Elles mettent parfaitement en avant les stéréotypes qu'on (la société, les adultes mais aussi les enfants eux-même) imposent aux garçons et aux filles dès leur plus jeune âge.

J'ai préféré la version Corinne devient Corentin (parce que je suis une fille ?). J'ai trouvé que l'immersion dans la vie quotidienne du sexe opposé était plus poussée.
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Qui suis-je ?

"Qui suis-je ?" Cette question trotte dans la tête de Vincent, 14 ans, un bon élève de 3ème. Cédric Martineau, le nouveau de la classe, lui a tapé dans l’œil. Vincent est troublé par ce qui lui arrive. Il ne peut pas se regarder dans le miroir. Il est la risée de la classe et ses notes finissent par chuter. Petit à petit son homosexualité devient une évidence. Ce court roman truffé d’humour et sans clichés est écrit avec finesse et profondeur.
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L'amour me fuit

Pourquoi les filles grandissent-elles plus vite que les garçons ? Zouz n'a même pas le temps de se poser cette question. Mais il sait désormais comment son amie Josie, cette première main saisie, ce premier baiser échangé, sont devenus brutalement les souvenirs d'un enfant, assis sur un banc et déjà nostalgique, qui pourrait dire comme Zazie : « J'ai vieilli ».



Thomas Gornet compose pour son jeune héros une traversée tendre et mouvementée, de flux et de reflux entre CE1 et 6ème. Au passage, il saisit d'un pastel léger, par petites touches, les tableaux d'une vie masculine tôt exposée aux désordres de l'amour et du désamour, une vie où tout semble irrémédiable mais où finalement rien n'est grave, dans l'ombre fidèle d'un grand frère.
Lien : http://littejeune.blogspot.c..
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