Tomo Kitaoka

En fait, les zombies sont graves sympas !!! :o. Ils pensent qu'à bouffer pour survivre. Les êtres humains eux... sont pires. On suit les aventures d'une jeune fille qui a récupéré Yuki après la zombification de son ex propriétaire. Sa mère éprouve de la compassion pour un homme qui la bat. Elle le trouve sensible et gentil, qu'il ai un passé, et tout. Mais ce type est une ordure, et bientôt elle ne sera plus la seule femme à prendre des coups. C'est un bon manga, cependant je n'ai pas pour autant eu le coup de coeur. Ce livre pour moi relate les violences conjugales avant tout. Donc je le dédicace à ma soeur et en plus c'est le 100ème ouvrage que je lis cette année!!:-)
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Malgré des thèmes extrêmement dramatiques (l'apocalypse zombie) le récit est assez léger, il en fait pas des caisses. Ca se lit très bien, hyper vite! Et il y a de beaux dessins. L'histoire du chat Yuki est fort mignonne. On échappe pas à certains classiques du genre. Cela dit, c'est bien raconté! En plus, la série ne compte que trois tomes au total. :-) Pas cher, donc! Je recommande bien!

Pas grand chose à dire sur ce tome 3, très banal pour une AP zombie !! Classique, pas creusée. Mais au moins c'est fun et léger... On peut noter que la page 51 est touchante. Les expressions du visage de (Yuki) le chat sont bien faites! Un peu près du niveau de ma dernière lecture.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

J'avoues que c'est par intrigue que je me suis intéressée à ce manga. J'aime beaucoup les récits autour des zombies. Du coup, le mélange chat/zombie a titillé ma curiosité. l'idée est plutôt bonne ou du moins, elle a le mérite d'être originale. A mon goût, il manque un vrai fil rouge. Alors oui, la structure narrative est logique mais, il ne s'agit que de quelques passages extraits d'un voyage périlleux mené par Jin et le chat. Du coup, je trouves qu'il manque un petit quelque chose pour créer un vrai lien entre les chapitres. En fait, il n'y a rien de nouveau dans le style de l'auteur. C'est plutôt bon mais il n'y a rien de fou et innovant. Les zombies ne sont pas réellement menaçants alors peut être qu'avec une colorisation, l'effet serait plus impressionnant. En tout cas, c'était rempli d'émotions et cela permet également d'ouvrir sur quelque chose de nouveau pour la suite. Après, c'est une lecture plutôt monotone bien que divertissante.
Lien : http://chroniquesmerveilleus..

Ce tome était tout aussi bon et intéressant que le premier tome, absolument aucune déception.

D’ailleurs, de la même manière, la fin fait de plus en plus à nouveau sentir les menaces, les risques, et apporte un nouveau retournement de situation.



Kaoru trouve Yuki, et l’emmène avec elle sur l’île principale. C’est intéressant pour nous lecteurs de voir comment s’organise la vie, les relations entre les personnages, l’espoir, les doutes, les peurs, et également ce qu’apporte la présence de Yuki.

Ce chat est un toujours un personnage à part entière, et même le principal, autour duquel tout tourne, et nous découvrons les différentes histoires.

Il est attachant, il permet de calmer les situations tendues, mais il s’avère aussi utile.



A certains moments, nos cœurs se serrent, car nous avons également peur, celle des zombies, de potentielles maladies qui s’infecteraient, du ravitaillement qui n’arriverait pas à temps, etc.



Kaoru s’avère vite être une jeune femme très attachante, volontaire, elle apprend à se battre, mais sa relation avec sa mère est compliquée, lointaine, à cause de ce qu’elle a fait.

Pourtant, elle garde au fond d’elle cette envie de la protéger.

Il est également agréable et mignon de voir comment Yuki arrive à lui redonner le sourire, à être là pour elle, pour une dose de câlins, de mignonnerie, et elle n’est d’ailleurs pas la seule qui profite de l’effet bénéfique de ce chat blanc.



Kaoru va également faire la connaissance d’un jeune homme qu’elle aime bien. Elle est partagée entre son attirance pour lui, l’envie de le connaître, et la mauvaise expérience de sa mère, le fait de se dire qu’un jour de toute manière elle va quitter l’île, et qu’elle n’a guère besoin d’un homme à ses côtés.



Les planches avec Yuki dégagent vraiment quelque chose, une certaine chaleur, et le lecteur aimera voir ses mimiques, voir l’île à travers ses yeux, etc.



Le manga gère très bien le dosage entre le côté tranche de vie, mignon de Yuki, mais également ce qu’il apporte, et tout ce qu’ils doivent affronter, que ce soit des choix, des mauvais comportements, des dangers de toutes sortes.

Vivement la suite.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..

Et voilà, c’est le troisième et dernier tome de « Walking cat » qui ne nous aura pas laissé indifférent, qui n’est pas à mettre entre toutes les mains, cela peut être cruel, nous sommes en pleine survie. Heureusement il y a le pouvoir de Yuki, un chat très attachant.

L’île est en danger à cause de la faiblesse de quelqu’un, de sa non acceptation de la sordide réalité, mais qui a entraîné une mise en danger de tout le monde.



Yuki va à nouveau se retrouver avec un autre personnage, Fûta, un jeune homme qui accepte de se battre, d’agir, pour survivre. C’est terriblement beau de voir que c’est Yuki, un simple chat, qui lui donne le courage d’avancer, de ne pas se laisser aller, maintenant qu’il est seul.

Nous voyons son passé à lui, et quelques autres passés. Nous verrons même un peu ce qu’il se passe, entendrons encore parler du virus, mais ici nous sommes loin d’être dans un conte de fées.



Yuki nous régale toujours autant de sa présence, de ses positions, et à chaque fois il sait se montrer utile. Et il finit même par toucher les gens, et fait fondre le cœur du lecteur. C’est finalement lui le héros, enfin le personnage principal qu’on suit.

Les humains ne sont pas fiables, ils mentent, et rien ne va plus dans ce qu’est devenu le monde. Chaque personne est un danger potentiel, pouvant cacher son infection, ou alors faire un coup bas. Tout y est exacerbé.

Une aventure marquante, que vous n’oublierez pas de sitôt. Yuki représente l’espoir, il est difficile de déjà le quitter, mais cette petite série vaut vraiment le coup.



Bilan : Très positif. J’ai eu un coup de coeur imprévu pour cette série. A la fin du tome 1, j’étais là « Wow », mais c’est quelque chose quand même.

Immédiatement je suis tombée sous le charme de Yuki ❤

Nous sommes plongés dans ce monde. Il nous manque plein d’informations, mais on sait quand même quelques petites choses. Même à la fin, on pourrait continuer et en même temps, ça se tient, et on a quand même glaner quelques autres informations.

C’est vraiment un ovni, une lecture originale, surprenante, à laquelle on ne s’attend pas, du tranche de vie et de la survie en même temps.

Je ne regrette pas d’avoir pu faire cette expérience.



Et vous ? L’avez-vous tenté ? Comment avez-vous vécu cette expérience ? Avez-vous totalement craquer avec Yuki, et ses positions également ?
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..

Walking Cat est un Seinen en trois tomes écrit et dessiné par Tomo KITAOKA, lancé en 2018 dans le magazine de prépublication Manga Action de l’éditeur Futabasha (Dans l’intimité de Marie, Je veux manger ton pancréas, Kings Game, Le Mari de mon frère). L’histoire est celle de Jin Yahiro, un homme seul dans un monde post-apocalyptique où les zombies sévices. Mais par un concours de circonstances, le voilà rejoint par un compagnon de route peu habituel, Yuki, un chat blanc. C’est donc ensemble qu’ils se lancent dans un périple à la recherche de Satoko, l’épouse de Jin, dont il a perdu la trace… ce félin pourrait-il devenir la boussole de Jin ?



Disons le d’entrée, pour que tout le monde comprenne bien comment je perçois le thème des zombies. Cela ne m’intéresse absolument pas. Je ne suis pas fan de The Walking Dead, ni en comics, ni en série télé. Je suis totalement hermétique aux zombies, cela m’ennuie. Et navré si vous êtes un zombie et que vous lisez ceci. C’est donc un peu sceptique et à l’aveugle que je me suis lancée dans Walking Cat, nul besoin de préciser à quoi fait référence le titre, vous l’avez déjà compris. Toutefois, ayant une assez grande confiance dans ce que peuvent proposer les éditions KANA j’ai voulu essayer. Puis on est jamais à l’abris d’une surprise, non ?



Walking Cat est un récit tranche de vie dans un monde où l’espèce humaine a été presque complètement éradiquer. Être transformé en mangeur de cervelles, c’est la dernière tendance dans le monde Jin. La rencontre entre Yuki et lui se fait dès la première page. Les chapitres sont relativement courts et directs dans ce qu’ils présentent. On a généralement Jin qui sauve soit quelqu’un, lui-même ou Yuki d’une attaque de zombie. C’est assez linéaire et on se demande un peu où veut en venir le mangaka. Pourtant, après un chapitre revenant sur la provenance du félin, certaines choses deviennent plus claires. Le chat se présente un peu comme un guide spirituel ou “le fil du destin” de Jin, dont le souhait est de retrouver sa femme. De périple en périple, le lien entre l’homme et le chat se précise et devient plus agréable. Avoir une boule de poiles aussi mignonne qui nous ronronne dans les oreilles est une meilleure méthode de relaxation qu’une séance de yoga. Alors quand on place cela dans le contexte du manga avec un homme désespéré et seul face à la mort, on est encore plus convaincu de son efficacité. Si le début est assez brouillon dans ce qu’il cherche à raconter, petit à petit les pièces s’emboîtent et offrent un récit touchant. C’est notamment dans les deux derniers chapitres que le récit prend son envol et offre un moment poignant. L’idée est simple, mais Tomo KITAOKA l’exécute avec intelligence et sensibilité. Le scénario ne donne pas d’explication sur la cause de la présence des zombies, et le héros lui-même ne semble pas en savoir plus que nous. Toutefois, cela n’est pas dérangeant à la lecture, puisque l’on passe aisément outre pour nous concentrer sur l’amitié entre Yuki et Jin. Cette relation est le coeur du récit, et c’est ce qui va nous rendre le héros attachant. Lui, aura souvent des petites attentions pour le chat, alors que ce dernier sera fidèle à sa nature : indifférent, ou presque. Il y a quelques situations comiques, notamment une en particulier qui suit la rencontre amoureuse de Yuki et d’une femelle chat. Le rythme est lent, et peu de choses s’y passent globalement à part le fait de tuer des zombies. Encore une fois, c’est réellement dans les deux derniers chapitres que KITAOKA donne plus de profondeur à son histoire. Yuki est clairement le protagoniste principal de l’intrigue, comme un clin d’oeil au fait que les chats ont tendance à nous voir comme leur compagnon et non comme leur maître. Même quand Jin se retrouve au premier plan de l’action, on aperçoit Yuki en fond en train de faire tout autre chose, étant simplement un chat quoi. Yuki se place aussi comme béquille émotionnelle et psychologique de Jin, puisque sans lui l’homme aurait déjà sombré dans la folie. Le récit nous le fait bien comprendre, en tout cas. Ne parlons même pas de la fin qui nous frappe en pleine face, aussi bien dans sa narration que dans la construction des scènes.



Pour le dessin, on peut oublier le côté gore des récits zombieques puisque rien de tout ça ici. Il y a un côté sale, oui, mais jamais rien de choquant. Quelques passages sanglants ici et là, mais le mangaka a plutôt opté pour un rendu plus clair et propre. C’est fluide dans sa construction, malgré un rythme parfois un peu lent dans sa narration. Le design n’est ni trop recherché ni trop simple. Yuki est sublimé par un trait léger mais maîtrisé, et les humains sont plus dans du réalisme avec une pointe de maladresse mais qui colle bien au genre. Attention ce n’est pas un reproche, mais au début de la lecture le style peut rebuter un chouïa. L’édition en lui-même est dans la lignée des ouvrages de la collection Big Kana de l’éditeur, avec une traduction cohérente de Pascale Simon (Fool’s Paradise, Black Butler, Sawako, etc).



En conclusion, malgré un début assez brouillon et peu enjoué, la lecture de ce tome 1 s’est avérée plaisante et surprenante notamment grâce aux deux derniers chapitres. Walking Cat met en avant le lien thérapeutique qui peut exister entre un humain et un animal d’une manière très simple. Yuki devient rapidement un animal et protagoniste très attachant tandis que Jin se révèle être un homme déterminé. Vu le cliffhanger de fin, je peux vous dire que je trépigne de savoir comment la suite va se construire car Tomo KITAOKA redistribue toutes les cartes pour nous laisser dans le noir total. À découvrir !
Lien : https://lireenbulles.wordpre..

J'ai toujours eu un petit faible pour les histoires post-apocalyptiques. Alors, c'est d'une traite que j'ai lu ce seinen très original et décalé, à l'image de ses excellentes premières de couvertures!



Walking cat se déroule dans un monde envahi par des zombies, à une période non datée et dans un lieu non précisé. Un homme, Jin Yahiro, sauve un petit chat blanc nommé Yuki et le ramène à ses maîtres. Mais Yuki se cache dans le sac à dos de Jin et c'est finalement à deux que l'équipée se lance à la recherche de Satoko, l'épouse de Jin. Malheureusement, rien ne va se passer comme prévu.



Une très belle découverte que cette série courte en trois tomes divisés en quarante chapitres. On se prend d'emblée d'affection pour le personnage principal: Yuki.Chat très attachant au caractère bien trempé, il sera amené à connaître plusieurs maître.sse.s.



Si la trame n'est pas toujours linéaire, on ne perd toutefois jamais le fil de l'intrigue. Le mangaka entrecoupe certains chapitres par des flashbacks, des anecdotes, des faits aussi bien drôles que franchement glauques. Le ton tragi-comique fait la force de cette saga qui se finit, à chaque tome (même dans le dernier), sur des cliffhangers très poignants.



Ce survival traite de thèmes sociétaux rendant le récit captivant et conduisant à cogiter durant la lecture : liens entre les animaux et les humains en temps de crise, lutte pour la survie, sauvetage, sacrifice, solidarité, amour, violences conjugales.



Certaines planches dénoncent la cruauté des rapports humains ainsi que les décisions difficiles à prendre dans un contexte de rationnement (alimentaire, de médicaments). C'est assez réaliste, le développement des bas instincts provoquant un sentiment de malaise.



Moins fouillé que dans un City Hunter ou que dans un Berserk, le dessin reste cependant très sympa. Il se focalise sur les émotions des personnages et évacue assez vite les scènes violentes. Amis hématophobes, vous pouvez donc le lire sans souci!



Suspense garanti jusqu'à la page finale même si un tome 4 n'aurait pas été de trop.

Le monde est en plein chaos, les humains sont pour une grande partie devenue des zombis, ne reste plus qu’une poignée d’entre eux qui tentent tant bien que mal de survivre. Ils sont chaque jours confrontés à ces créatures et doivent à tout prix faire attention à ne pas se faire mordre, ce qui les mettrait dans le même état qu’eux. Dans le premier tome nous suivons un homme nommé Jin qui erre dans les rues à la recherche de survivants pouvant le mener jusqu’à l’île où se réfugient ces derniers et y retrouver sa femme. Lors de ses vadrouilles il fera la rencontre du petit chat Yuki qui deviendra son compagnon de route et le notre dans les trois tomes. Ayant atterri in extremis sur l’île, Jin a juste eu le temps de déposer Yuki, qui trouvera une nouvelle maîtresse au nom de Kaoru. Alors que l’île était le repère qui assurait une vie tranquille aux survivants, des réfugiés contaminés ont fait irruption et le chaos est aussi vite survenu. Il ne reste plus qu’une solution : s’enfuir. Malheureusement le petit Yuki se perdra en route et sera finalement retrouvé par son dernier maître Fûta. Le petit chat aura vécu bien des aventures et des rencontres fortes en émotions dans cet atmosphère de terreur que subit la population.



Une petite saga en trois tomes que j’ai trouvée très sympa ! Lors du premier tome j’étais un peu perplexe car il y avait très peu de dialogue, j’ai finalement été rassurée à partir du deuxième où il y a plus de personnages et où les dialogues se font donc plus nombreux. Nous suivons le parcours des trois maîtres de Yuki (qui se sont beaucoup attachés à lui) qui tentent de survivre mais d’autant plus celui de Yuki qui est présent à chaque tome et toujours bel et bien vivant.

Je remercie les Éditions Kana pour l’envoi de cette lecture. J’étais impatiente de découvrir le dernier tome de cette saga, car j’étais vraiment curieuse de voir comment tout cela se terminerait. Malheureusement pour moi, la conclusion m’a laissé un goût amer…:/



À cause d’une mère qui n’a pas osé dire que sa fille était contaminée, l’île commence à perdre pied. Cela se propage et l’île n’est plus un endroit sûr pour personnage. De plus, lors de cette fuite, pour survivre, le chat Yuki et Kaoru vont se retrouver séparé.



Heureusement pour Yuki, ce dernier va être sauvé par Fûta, un jeune garçon. Ce dernier va tout faire pour quitter l’île en vie avec le chat.



Bon, l’histoire reste égale à elle-même. Ce troisième tome était sympathique et j’y ai passé quand même un bon moment. On a le droit à beaucoup d’émotion et cela ne m’a pas laissé indifférente.



Par contre, j’étais un peu déçu de la conclusion de cette histoire. La fin est une fin ouverte et pour ma part, je n’en suis pas fan. Je préfère quand les choses sont claires et nettes, quand elles sont précises, qu’on nous donne des explications.



En bref, c’est un dernier tome sympathique, mais qui ne plaira pas à tout le monde. Si les fins ouvertes ne vous dérangent pas, beaucoup d’entre vous aimeront, mais dans le cas inverse, vous risquerez comme moi, d’être légèrement déçu !
Lien : https://lapommequirougit.com..

Dans un monde envahit par des zombies Jin tente de survivre. L'homme qui n'a pas revu sa femme depuis l'invasion des morts vivants, veut la retrouver à tout prix.

Il croisera la route de Yuki, un chat blanc à qui il sauve la vie.

A partir de là, les deux crée des liens et partagent de bons moments au milieu de ce monde post-apocalyptique.

Jusqu'où pourront-ils aller dans ces conditions? Jin trouvera t-il sa femme?



Si les histoires de zombies sont devenues monnaie courantes, le héros n'avait jamais été un chat (à ma connaissance). Car ici, c'est bien le chat le héros, et non l'humain.

Un manga qui navigue entre survie, émotion et humour.

Un premier tome sympa pour ce manga prévu en 3 volumes.
Lien : https://www.7bd.fr/2020/06/w..

"Une apocalypse en trois tomes "... Une petite précision en 1ère de couv' qui pourrait ravir les amateurs de séries post-apo sans prises de têtes mais qui veulent tout de même un peu de matière. Ce premier volume de Walking Cat est plutôt satisfaisant dans le genre. Après, soyons honnête, pour qui a déjà vu ou lu un peu de zombie dans sa vie, vous serez pas surpris. Le background de Walking Cat est archi-éculé : survivant, zombie à deux à l'heure, désespoir, mort, drame, zombie à deux à l'heure, mort, survie, etc... Le schéma se répète mais l'important au final ce n'est pas le contexte mais plutôt la ballade. Comme souvent dans ce récit de genre sauf que cette ballade est suivie du point de vue d'un chat.



Alors le chat ne parle pas. C'est un véritable chat dont l'auteur Tomo Kitaoka a su donner une véritable personnalité. Yuri, c'est son prénom, est un matou attachant et détaché de la menace zombie qui l'entoure. Entre humour et émotions, sa rencontre avec un survivant est juste passionnante à suivre. Walking Cat comme le titre le souligne , c'est donc une ballade, les pérégrinations de ce matou, accompagné par son maître , qui l'emmène à rencontrer bon nombres de personnes et à travers divers endroits. On ne s'ennuie pas et cette ballade ne laisse pas de marbre. Tomo Kitaoka (premier titre publié en France) possède un dessin réaliste , peut-être un peu maladroit sur certaines poses et proportions, notamment au niveau du visage de son héros. Les zombies sont bien travaillés mais nous n'en restons pas moins dans un design très classique. L'épingle du jeu vient du fameux chat dont les poses, la nonchalance, le réalisme accordé à ses mouvements est plutôt bien pensé. C'est d'autant plus drôle que c'est en décalage évident avec cette bonne atmosphère post-apo. Ce chat rendrait presque le titre paisible si ce n'est un final assez inattendue. D'ailleurs, on peut noter le bon rythme de l'écriture qui se permet même de jouer avec quelques petits flash-backs et sur un récit pas forcément linéaire.



Par contre, je me dois de signaler un certain soucis au niveau éditorial. A vérifier avec d'autres exemplaires mais il semble que Walking Cat souffre d'un problème de pagination. Il y a comme un saut de pages et une répétition de chapitres. Au départ, je pensais que c'était voulu, que c'était une séquence répétée ( celle du docteur qui prend la voiture) mais a priori vu le souci de pagination, j'en doute. Il se peut même qu'un chapitre soit manquant. Personnellement, cela ne m'a pas gâché la lecture (que j'ai trouvé cohérente) mais voilà cela peut-être un peu gênant en terme de visibilité. Dans l'attente donc d'une réimpression totale et sans bavure...



Malgré un petit souci éditorial qui sera sans doute rectifié à l'avenir, ce premier volume de la trilogie Walking Cat nous offre une ballade décalé, apaisante et drôle dans un monde peuplé de zombies et cela grâce à un chat attachant et nonchalant. Le scénario se permet d'être finement écrit et de proposer quelques rebondissements marquants. Le début d'une apoCATlypse sympathique comme tout. C'est Chat qui est bien ! Bon, j'arrête avec les jeux de mots pourris...

J’adore les chats et comme toute propriétaire, je suis complètement gaga des miens. Du coup, un manga post-apocalyptique, moi qui adore ses univers, plus un chat, que demander de plus ?



Ici on retrouve le personnage de Jin. C’est un homme d’une vingtaine d’années, qui fait ce qu’il peut pour survivre dans le chaos qu’est devenu son monde depuis l’apparition des zombies. Ce dernier est à la recherche de sa femme.



Sur sa route, cet homme va faire la rencontre d’un chat nommé Yuki. Il va le sauver d’une mort certaine, face à des zombies. Il ne sait pas réellement pourquoi il fait ça, mais il décide d’emmener cet animal avec lui. Ce chat sera sa compagnie dans ce monde devenu fou.



J’aurais vraiment pu beaucoup aimer cette histoire si seulement… Si seulement je n’avais pas eu deux chapitres en double et trois chapitres manquants. Une personne qui a lu ce manga a eu le même souci et je trouve ça bien triste, car du coup, je n’ai pas pu découvrir la totalité de l’histoire que nous proposait ce premier tome.



En soi, l’univers de l’histoire est plutôt classique, mais sympathique. Ce chat est un peu le compagnon idéal pour lutter contre la solitude à laquelle fait face cet homme dans ce monde post-apocalyptique.



En bref, un premier tome, dont l’histoire est intrigante. Pour autant, je n’ai pas pu l’apprécier à sa juste valeur, à cause de cette erreur d’impression, que j’ai cité un peu plus haut.
Lien : https://lapommequirougit.com..

j'ai littéralement adoré voir le point de vue d'un chat dans un monde post-apocalyptique rempli de zombie !

histoire à un côté oppressant et un peu effrayant tout en restant un peu mignon & touchant.

est-ce que ce manga et ça me fait voir si une larme oui on peut le dire je pense le continuer avec les autres tomes.

Tout comme le premier tome, cette suite était juste parfaite ! Walking Cat arrive à innover le genre des zombies sans compliquer l'histoire et c'est en ça que cette série est un must read. Yuki est donc arriver sur l'île, non sans fatigue et blessure morale puisqu'il a perdu son camarade de route, Jin. Ses sentiments envers l'humain et sa fidélité se traduise par sa volonté de rester sur la plage, surveiller l'eau et par la suite se rapprocher de Satoko, la veuve de ce dernier. Mais le chat se fait une nouvelle amie en la personne de Kaoru, une jeune fille faisant partie de la communauté de survivants habitant sur l'île. Elle le prend immédiatement sous son aile et se confit au chat, concernant son enfance, l'abandon de sa mère, ses doutes vis-à-vis des hommes et de l'amour. Ils se réconfortent l'un l'autre, une relation différente de celle qui existait entre Jin et le félin, pourtant il y a des similitudes. Yuki défend son "maître", il le soutient moralement et le pousse à prendre des choix, pendant que lui continue sa route en restant aux côtés des hommes. Toujours aussi qualitatif, l'ambiance est bien au rendez-vous avec une violence très présente et ne se limitant pas qu'aux cadavres morts-vivants. Les humains sont tout aussi dangereux et vicieux, il faut se méfier de tout le monde sans exception. On en apprend d'ailleurs un peu plus sur le virus, son évolution, sa dangerosité et la conclusion promet d'être puissante et poignante.

L'île où se trouve Yuki vient d'être infectée et les habitants commencent à se transformer en zombies, les uns après les autres.

Les survivants, comme Kaoru, la nouvelle maîtresse du chat, tentent de se défendre et de fuir sur des canots de sauvetage.

Dans la débâcle Yuki est pris au milieu d'un feu et Kaoru perd sa trace.

Que va t'il advenir de Yuki, le chat blanc ?



Un dernier tome fait de nouvelles rencontres pour notre héros félin.

Yuki traverse une fois de plus des moments compliqués. Un tome avec de l'émotion et qui marque pour nous la fin des aventures de Yuki.

Un tome qui nous ouvre des pistes pour répondre aux questions du manga, sur l'origine des zombies.



Au revoir Yuki!
Lien : https://www.7bd.fr/2020/12/w..

Yuki le chat blanc vient d'arriver sur une île. Là il est recueilli par une jeune fille faisant partie d'un camp de réfugiés.

L'île est encore préservée des zombies et Yuki se fera adopter par tous.

Mais il revient souvent vers la plage, espérant peut être voir Jin, son maître précédent, débarquer...



Un chat toujours aussi attachant dans ce deuxième tome. Une tranche de vie au camp des réfugiés avec une petite dose d'humour.

Plus qu'un tome pour finir l'histoire. Espérons que Yuki s'en sorte...
Lien : https://www.7bd.fr/2020/10/m..

Le titre félin de Tomo Kitaoka n'est pas mauvais pour autant et constitue un petit récit de zombies et de minets sympathique, mais qui aurait pu être bien plus malin sur la durée.
Lien : https://www.manga-news.com/i..

Magnifique conclusion pour une série courte qui aura su se faire une place dans les seinens sortis en cette année 2020 si particulière. Je suis presque triste de voir les aventures de Yuki s'arrêtait aussi vite, surtout avec un final pareil qui donne la possibilité à une suite de voir le jour.

Yuki, ce bon gros matou qu'on n'a plus besoin de présenter, en est à son troisième comparse maintenant qu'il se retrouve séparer de Kaoru. Il semble s'être énormément attaché à l'adolescente courageuse, mais son nouveau "maître" est tout aussi attachant.

Fûta est un des fameux réfugié arrivait sur l'île paradisiaque et qui malheureusement à ramener le virus dessus, entraînant la chute de l'oasis de tranquillité et d'espoir. Le garçon va devoir faire face à d'énormes responsabilités et difficultés, sans parler du meilleur et du pire qui peut exister dans l'être humain.

L'espoir et la mort existent main dans la main dans cet univers sanglant et effrayant. Alors que Yuki apporte une touche d'humour et de mignonnerie, cela n'empêche pas la laideur des hommes d'apparaitre. Egoïsme, trahison, avarice, tout cela est décuplé par la nécessité de survie de chacun, ce qui s'oppose totalement au caractère de Fûta et du chat blanc.

J'ai vraiment adoré Walking Cat du début à la fin, aussi bien pour l'histoire que pour le dessin. L'idée qu'on félin nomade puisse être le fil rouge de l'intrigue était un choix intéressant. On se rend compte qu'il est le point commun de tous les personnages qu'on croise et celui qui a permit aux futurs sauveurs de l'humanité (peut-être) d'évoluer, croire en eux et se battre pour un avenir.

Si la formule du manga pouvait paraître facile à première vue, ce premier tome de Walking Cat demeure finalement une petite réussite dans son genre, ce grâce à son équilibre correct entre le manga de chat et celui de zombies.
Lien : https://www.manga-news.com/i..