Tomohito Oda

Je ne trouve pas les mots ! En effet, je suis un peu interloqué par le nombre de manga qui se concentre sur un aspect particulier de la personnalité pour en faire toute une série. On a eu droit au cancer colorectal, au sourd muet, au dépressif, aux elfes qui n'aime pas les frites et j'en passe.



Voici donc Komi qui est si timide qu'elle s'enferme dans un mutisme profond ce qui ne va pas de pair avec une vie sociétale notamment quand on rejoint un lycée huppé. Bon ce qui va la sauver, c'est sa grande beauté. Dommage car j'aurais voulu que cela concerne toutes les personnes, même au physique ingrat, afin de pouvoir aisément s'identifier. le faut d'être belle procure généralement un sentiment de maîtrise de soi plus important.



Elle va être aidée par un jeune prince charmant qui va l'aider à surmonter son handicap afin qu'elle puisse se faire des amis. Il serait le seul à avoir percer le mystère de cette jeune fille à la beauté stupéfiante (rappelons-le).



Bref, souffrir d'anxiété sociale n'est pas facile car il faut tomber sur les bonnes personnes qui peuvent rassurer. On se dit qu'elle a de la chance d'être épaulé par le brave Tadano, son voisin de classe. Maintenant, je me dis que j'ai souvent rencontré des gens qui n'étaient pas très sociale mais sans doute pour d'autres raisons moins avouables.



J'ai bien aimé cette lecture qui est parfois ponctué d'un peu d'humour. Même le graphisme est alléchant. Maintenant, je ne suis pas parti pour lire la trentaine de tomes de cette série qui cartonne au Japon actuellement. C'est un gros investissement de lecture et je préfère passer à autre chose. Sans rancune. J'ai finalement trouvé les mots.

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📚2ème manga lu dans le cadre du Prix du CASI 2024📚



❤️Dans ce tome, nous faisons la connaissance de la sublime Komi qui ne passe pas inaperçue tellement elle est belle mais, et oui il y a un mais, elle reste inaccessible. Elle a tout pour plaire mais elle a un souci : elle souffre d'anxiété sociale et cela se traduit par le fait qu'aucune parole sort de sa sublime bouche. Son camarade de classe Tadano va essayer de se rapprocher d'elle, et avec l'aide d'une craie et d'un tableau, ils vont commencer à communiquer. Et Komi a pleins de choses à raconter, à confier mais elle se statufie dès qu'elle veut s'exprimer. Alors Tadano se fixe l'objectif de lui trouver des amis.

Alors là c'est le début de situations loufoques, et les quiproquos s'enchainent !!!

Komi malgré toute sa bonne volonté, reste bloquée. Ses silences sont parfois mal interprétés. Toute la classe, le lycée sont suspendus à ses lèvres sublimes. Arriveras-t 'elle à parler ???❤️



🌟Vous verrez que dans ce lycée, les élèves sont extravagants, parfois même exaltés, sans filtre ou "coincés". J'ai aimé le fait qu'on puisse avoir le ressenti des différents protagonistes sur certaines scènes qui sont dupliquées. Cela permet de mieux comprendre leurs émotions au même instant.🌟



👉Encore une belle découverte que ce manga, j'ai souri, je me suis offusquée (certaines phrases sont parfois un peu osées mais nous sommes dans un lycée où les hormones surchauffent🤣) Je lirais peut-être la suite ou je regarderais la série adaptée sur Netflix.👈

Komi cherche ses mots mais nous, nous allons les trouver pour elle. En un seul, Komi est géniale ! Tout simplement, n'allons pas plus loin, n'en disons pas plus... mais écrivons quand même un peu sur ce nouveau shonen de chez Pika qui nous promet un été des plus savoureux !



Komi est une lycéenne qui souffre d'une timidité si maladive qu'elle est incapable de communiquer. Une terrible anxiété sociale qui ne l'empêche pas de faire l'objet d'une véritable vague d'admirations de la part de ses nouveaux camarades en raison de sa grâce et de sa beauté, ne se doutant nullement de l'anxiété mutique de Komi. Seul Tadano, un lycéen banal et un peu trouillard comprendra la raison du mutisme de Komi et fera tout pour l'aider à réaliser son objectif : avoir 100 amis !



Aborder la timidité, le stress sociale sans doute plus fréquent que l'on ne croit au lycée, à travers le prisme de l'humour et d'un comique de caractère tout simplement génial, voici le pari que réussit amplement ce premier volume de Komi cherche ses mots.



Ce manga est la deuxième série d'un certain Oda Tomohito qui avait déjà signé un court titre en trois tomes d'un shonen comédie/action du nom d'Oméga - alien mégalo sous contrôle (Kaze-2014). Une petite série de ce genre n'est pas vraiment restée dans les annales mais avec Komi cherche ses mots, le mangaka a trouvé son succès puisque Komi ne compte pas moins de 25 volumes publiés au Japon.



Grâce à son humour omniprésent qui surfe sur chaque page, il est difficile de ne pas apprécier le charme de Komi, un manga qui allie tranche de vie et humour frénétique mené par une galerie prometteuse de personnages tous gentiment plus allumé les uns que les autres.



Bien que Komi soit la divinité silencieuse de ce titre, les autres protagonistes gravitant autour d'elles s'avèrent tout aussi remarquables. Ce premier tome introduit le principal personnage masculin Tadano, figure habituel du héros lambda et peu sur de lui, souvent moqué par les autres camarades de classe, qui fait néanmoins preuve de bienveillance à l'égard de Komi. C'est son principal soutien bientôt assisté par d'intéressants seconds rôles tel que Najimi la fille/garçon ami.e avec tout le lycée , l'exact opposé de Komi ou encore Agari, la grande stressée de la vie. Ces trois personnages forment le début d'une longue liste trépidante d'amies que cherche à se faire Komi. Mais quand chaque futur ami s'avère aussi allumé que la demoiselle en question, les déclarations d'amitié deviennent des plus périlleuses. Heureusement que Komi peut compter sur le soutien du loyal Tadano. Ce premier volume laisse filtrer une agréable bienveillance qu'on peut relever notamment dans le super passage du tableau. Alors que Komi , incapable de s'exprimer oralement, décide d'entamer une première discussion avec Tadano par le biais du tableau de classe, un très bon passage plein de douceur et de légèreté qui ouvre le bal de Komi cherche ses mots.



On notera également la qualité des dialogues servis en toute fraicheur par le traducteur Kevin Stocker. Komi ne parle pas mais ce manga très verbal joue allégrement avec les répliques de ses personnages que ce soient les vannes borderline de Najimi ? les "sons" manifestés par Komi, les longues et menaçantes idolatries de la psychopathe Yamai.. En terme de lecture, Komi cherche ses mots est un titre des plus vivants que ce soit par ses personnages ou par la qualité de leurs punchlines.



Forcément tout en raccord avec cette avalanche de bonne humeur, le style du dessin est lui aussi très enlevé. Tout en gardant intact la beauté secrète de Komi mis en valeur par des plans tout en délicatesse, le mangaka Tomohito Oda multiplie les expressions effrontés; les regard ultra-pénétrants ahuris, il donne vie sans problèmes à cette salle de classe, à ce lycée dont on a hâte de découvrir les futurs amis de Komi.



Ce premier volume de Komi cherche ses mots annonce une excellente tranche-de-vie lycéenne aussi joviale que tendre. Un manga sur le pouvoir de l'amitié jamais traité de façon niais mais au contraire relevé par un humour de caractère et de répliques piquantes, qui font mouche à chaque case , le tout sublimé par la grâce de Komi, la déesse de ce titre.

La rencontre de Shiro et Digicode était des plus déjantés dans le premier tome, jusqu’à faire face à une certaine menace causée par trois extraterrestres qui cachaient bien leur jeu. Shiro avait le choix de mettre fin à la vie de ces trois aliens en utilisant les pouvoirs de Digicode, mais voilà que son grand cœur a eu raison d’elle, elle leur laisse la vie. C’est sur ce combat que se terminait le premier tome, Digicode venant « à la rescousse » de Shiro. Désormais, la paix semble être de retour à la station thermale… C’est ce que nous allons donc découvrir dans ce second tome de Omega - Alien Mégalo sous Contrôle, disponible chez Kazé.



Digicode a su tirer parti de son combat contre les aliens découvrant qu’il peut recharger son énergie en absorbant l’électricité via les prises électriques ou autres piles. Du coup, il imagine un plan d’attaque pour récupérer le joystick, mais cette pratique lui sera d’une autre utilité. En effet, une autre menace n’est pas bien loin et le gouvernement ne va pas tarder à agir. L’arrivée sur Terre de Digicode n’est pas passée inaperçue, bien au contraire. Tout comme le fait que la ville d’Atami cache un certains secret au niveau de sa population. C’est pourquoi deux agents du « Men in White » sont envoyés sur place afin de rencontrer Digicode et Shiro pour faire signer à cette dernière un contrat spécial lui donnant les pleins pouvoirs sur Digicode afin de combattre les menaces extraterrestres éventuelles... mais surtout imminentes. Du coup, direction le lycée !



Dans ce second tome, Tomohito Oda ne perd pas le sens de l’humour nous proposant toujours autant de situations loufoques allant même à faire allusion aux agents du film Men in Black que l’on connaît bien. Ici, la situation est équivalente et comme le gouvernement a constaté une anomalie au niveau de la population d’Atami il envoie les Men in white. Ce clin d’œil est plutôt bien placé je trouve et correspond bien à la situation dans laquelle nos deux héros de retrouvent. La différence avec les agents du film Men in Black est que ceux du Men in White sont tout aussi dingues que Shiro et Digicode, du moins à leur paraître. Mais on ne fera que croiser ces agents du MiW, l’accent étant porté sur deux autres personnes : Seigi, président du clan de la discipline du lycée, et MLLE Kondoraito que vous découvrirez au moment opportun.



On fait donc dans un premier temps la connaissance du chef de ce clan, Seigi Tanaka et forcément une rencontre Shiro/Digicode VS Seigi Tanaka a lieu et elle s’avère très électrique ! Ce genre de situation aura lieu de nombreuses fois au cours de ce tome. Le mélange action/humour marque toujours par sa présence, on passe du coq à l’âne mais de manière bien ficelée et c’est fort plaisant. Pas de changements au niveau des scènes de combats qui répondent à l’appel du shonen et qui ne manque pas de punch ! J’aime toujours autant les dessins qui émanent de ces scènes, avec de bonnes ponctuations graphiques. On n’oublie pas les autres situations délirantes portées sur les prises de becs entre Shrio et Digicode qu’on aime tant découvrir et qui s’entendent toujours comme chien et chat. Seigi n’y échappe pas non plus et j’ai d’ailleurs trouvé que ce personnage était bien mis en avant, dévoilant certains traits de caractère assez particuliers. Un personnage assez charismatique lors de certaines phases que je ne peux dévoiler pour éviter de vous gâcher le plaisir de découverte.



J’évoquais un second personnage important, MLLE Kondoraito, mais je préfère ne pas en dévoiler davantage, que ce soit au niveau de son apparition que de son statut. Je pense qu’il est important de garder le mystère sur ce personnage en particulier. Sachez qu’elle devrait être importante dans le troisième et dernier tome.



Vous l’aurez compris, dans ce tome 2 de Omega - Alien Mégalo sous Contrôle les diverses scènes d’actions ne manquent pas, le scénario suit son cours et on y découvre un fil conducteur bien plus long que dans le tome 1 où le déroulement était un peu entrecoupé de petites situations qui s’enchaînaient les unes derrière les autres. Ici, l’histoire met presque tout du long en avant le personnage de Seigi Tanaka, le président du clan de la discipline, face à Digicode et Shiro dont il est follement et secrètement attiré par elle. À la vue de certaines vignettes et même de certaines pages je dirais qu’il est peut-être… Comment dire… Pervers ? Euh… Et bien en fait, je n’en dirai rien, il faut le voir pour le croire.



J’ai une fois encore apprécié la lecture de Omega - Alien Mégalo sous Contrôle avec ce second tome où on prend plaisir à découvrir de nouveaux personnages qui semblent avoir une certaine importance pour le dénouement de l’histoire. Les mésententes entre Seigi est Digicode sont assez « punchy » tout en conservant une once de sérieux lors des affrontements. Le mystère est maintenu au sujet de MLLE Kondoraito mais plus pour très longtemps. Affaire à suivre et à clore dans le tome 3 qui paraîtra le 18 mai 2016 chez Kazé.



« Une intensité toujours bien menée et bien retranscrite lors des phases de combat comme dans le déroulement du scénario. Un point d’honneur est apporté au personnage de Seigi qui impose un certain charisme tout en gardant sa perversité. »


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Toujours le même délire, quelques scènes rigolotes et notre déesse Komi qui sort doucement de son mutisme et des personnages un peu barrés !! 😍



On s’attache à nos joyeux drilles (expression non utilisée depuis l’an de grâce 1970 😜).



Simple et attachant ! Ça dédramatise le trouble sans minimiser les difficultés hyper envahissantes ! Ça rend visible quelque chose de très intime et honteux pour ceux qui le subissent.

Notre adorable Komi est de retour, c'est toujours un régal de la revoir, ainsi que Tadano, par contre je me passerai bien de Yamai qui est très dérangeante. Najimi a aussi dépassé les limites, et ça ne m'a pas du tout fait rire.

Cela va être le festival du lycée, c'est la fête ! Ainsi que le présage la couverture. Ils vont d'ailleurs avoir bien du mal à se mettre d'accord.



Au début on aborde les amis de mes amis pour une personne anxieuse comme Komi, ce n'est pas si simple. Elle est troublée en voyant Tadano passait du temps avec une autre fille, un peu stalkeuse et jalouse.

Des sentiments qu'elles ne maîtrisent pas trop, mais elle aura l'occasion de plus développer sa relation avec cette autre fille et une autre, c'est chouette. Celle-ci verra également plus clair sur certains points. Encore une fois, on voit qu'elle avait une image très faussée de Komi.

L'autre fille encore qu'elle va côtoyer est une sacrée, elle perd un peu trop sa route, mais elle a quand même su faire quelque chose (demander à Komi de l'accompagner)



Méfiez-vous de cette personne d'internet qui écrit n'est peut être pas celle que vous croyez. Certains se trompent, là c'est assez amusant, mais également désolant de voir une telle différence de service.

Najimi ose tout, n'a peur de rien, a un sens commercial, même si par moment douteux, c'est quand même un personnage intéressant.



Yamai par contre on va oublier qu'elle existe, elle ne sert à rien à part déprécier la qualité du manga.

C'est quand même fou de voir comme tout le monde met Komi sur un piédestal, en la traitant de déesse.



Nous allons avoir quelques autres petites choses, comme Komi qui voit les filles allaient aux toilettes deux par deux, nous verrons la maman de Komi et quelques intempéries.

Komi continue à faire des efforts et relever des défis, mais attention on ne peut pas de trop lui en demander sur le coup non plus, il faut du temps.

Lorsque j’ai ouvert le premier tome de ce nouveau manga, j’avais un peu peur de ne pas aimer ou de m’ennuyer. J’étais loin de me douter que j’allais dévorer les deux en volumes si rapidement.



Dans le tome un, nous faisons la connaissance de Tadano, un lycéen qui va rencontrer une jeune fille qu’il trouve magnifique, mais très froide et qui semble très condescendante limite méchante. Partout où Komi passe, les personnes trépassent… enfin non, ils se pâment d’admiration devant elle. Elle leur apparait comme une déesse intouchable, et que ce soit les profs, les élèves, les passants, tous se forgent une image d’elle très loin de la vérité. Une apparence très éloignée de ce qu’elle éprouve vraiment.



C’est Tadano, notre héros, un garçon des plus ordinaires qui va découvrir ce que cache, bien contre son gré, Komi. La jeune fille souffre d’anxiété sociale qui l’empêche de s’exprimer. Elle ne parle pas, même, jamais, et ne sait pas se comporter avec les autres. De fait, elle n’a aucun ami… jusqu’à l’arrivée de Tadano.



Si le sujet traité est tout de même très sérieux, il l’est fait avec beaucoup d’humour. Tout est sujet de dérision et franchement ça passe très bien ! C’est même carrément prenant !



Dans ce premier opus, nous rencontrons également ceux qui vont devenir l’entourage proche de Komi, en plus de Tadano, on retiendra Najimi Osana, un garçon travesti en fille, Netsuno et la folledingue Yamai. Ils sont tous un peu, beaucoup tordus à leur niveau et franchement, je me suis éclatée avec cette bande de joyeux trublions.



Avec l’entremise de Tadano, ils vont aider Komi à se dévoiler autant qu’elle le peut et cela va prêter à bien des situations burlesques, voire carrément hilarantes.



Bref. Ce premier tome, même si je lui ai trouvé quelques longueurs, m’a bien accrochée et du coup, je me suis jetée sur sa suite. Il faut, dire, Komi est très attachante et mignonne avec ses drôles de mimiques.
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Komi est une jeune lycéenne qui ne laisse personne indifférent. Celle-ci est grande, svelte et raffinée. Bon, c'est assez subjectif, car on peut être petite, replète et également raffinée, mais ce n'est pas là le sujet. Malgré le fait d'attirer tous les regards sur elle, Komi souffre d'anxiété sociale et ne parvient pas à aligner un seul mot face à un.e inconnu.e, alors que son souhait le plus cher est de se faire des amis. C'est son camarade Tadano, un peu le bouc émissaire de la classe qui sera le premier à constater le soucis de Komi est viendra à l'aider.



Je sors un peu mitigé de cette lecture. Je trouve qu'il y a à boire et à manger. La thématique soulevée est des plus intéressante. L'anxiété sociale. Celle qui nous pousse à nous replier sur nous-mêmes et à éviter tout contact, celle qui nous fait dire des propos alambiqués ou bizarres aux autres des autres qui ne comprennent rien. Ici, Komi a une mauvaise perception d'elle-même. Tout le monde l'idolâtre, mais ce qu'elle perçoit est l'inverse. Quand elle essaye de parler, elle se met à trembler de toutes parts. Jusque là ça va. Où cela coince un peu, pour moi, c'est que le sujet aurait pu faire moins de longueurs pour ce tome 1. Pour celui-ci, elle fait trois rencontres et elle veut en faire cent. Je sens déjà arriver l'épopée qui va durer une plombe et sa manière de rencontrer les gens aurait pu être plus raccourcie pour laisser place à plus de moments introspectifs et à ce qu'elle ressent vraiment.



Dans l'ensemble, je trouve que ce manga est fort intéressant et je vais lire le tome 2 afin de décider si je vais continuer la suite ou pas.

Une héroïne silencieuse touchante dans des aventures déjantées.



A travers beaucoup d'humour, c'est un manga qui aborde le thème de l'anxiété sociale et de la timidité maladive ( je dirai même que cela ressemble fortement à du mutisme sélectif, trouble peu connu dont je souffre donc je suis vraiment contente qu'une série de livres y soit consacré ) En effet Komi n'arrive pas à prononcer un seul mot au sein du lycée. Ses camarades y trouvent comme explication sa terrible beauté que tous admirent jusqu'à l'idolâtrie et n'y voient donc aucun problème. Seul Tadano, un élève dit "banal" et peu confiant va s'intéresser à elle et vouloir l'aider. En communiquant grâce au tableau de la classe, ils vont se trouver comme objectif de lui trouver 100 amis.

Voilà donc le début de cette série aux situations à la fois réaliste et touchante dans les troubles de la jeune adolescente, que rocambolesque dans des scènes comiques avec des personnages tout aussi singuliers et bien déjanté pour certains !



" Komi cherche ses mots" parlera à tous les grand anxieux, timides et mutiques qui se reconnaîtront et ne se sentiront plus seuls et invisible. De quoi inspiré à s'ouvrir aux autres, en choisissant les bonnes personnes !



Un manga frais, entraînant et utile à (faire) découvrir à partir de l'adolescence, qui démontre qu'il n'y a pas toujours besoin de parler pour se comprendre.

Komi est toujours aussi adorable, et tout ce qui la concerne est bien capturé. Nous revoyons nos personnages, nous faisons la connaissance d'autres, notamment une jeune femme qui se plie en quatre pour les autres, et une qui fonce dans le tas, amie avec Yamai. Nous allons également vivre la traditionnelle saint valentin, que c'est compliqué pour nos jeunes gens.

Effectivement, Komi sera amenée à tenir la batte comme l'indique la couverture.

La série serait géniale si elle n'en faisait pas un peu trop par moment pour donner du comique, et que Yamai n'existait pas. Mais ne boudons quand même cette série car peu parlent ainsi de l'anxiété sociale.

Mention spéciale au chapitre qui montre les parents de Komi dans leur jeunesse.

Pour les personnes qui suivent mes avis, vous savez que j’aime ce manga et autant vous le dire, ce nouveau tome ne fait pas exception à la règle. Je l’ai adoré et dégusté comme il se doit. Dans cette suite, un voyage scolaire à Kyoto se prépare et cela rappelle de mauvais souvenirs à notre chère Komi.



Heureusement qu’aujourd’hui, ses ami. e. s ainsi que ses innombrables admirateur.rice. s vont faire en sorte qu’elle vive le plus beau des voyages. Croyez-moi, j’ai aussi passé un très bon moment à lire leurs aventures toujours aussi drôles et touchantes. Même la guide était adorable bien que parfois elle me faisait de la peine d’être ainsi ignorée par les élèves. Et j’ai oublié de parler d’un nouveau personnage qui apparait au début et qui m’a bien faire rire aussi ! Un jeune homme très narcissique qui va se retrouver dans l’entourage de notre Komi un peu contre son gré… ou pas.



Le manga continue de se poursuivre par différentes saynètes et si Komi en est la vedette principale il est impossible de ne pas remarquer les autres protagonistes qui l’entourent tant ils sont inoubliables avec des caractères bien distincts.



Bref. J’ai passé un excellent moment de lecture avec ce nouveau tome riche en humour et situations rocambolesques. Franchement, ce titre se lit sans faim, c’est une bouffée d’oxygène, un moment de détente parfait ! Je recommande à plus de 1000 % !
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Un cinquième tome qui commence à me faire perdre le rythme.



Alors certes, c'est toujours aussi drôle, et cela joue encore le rôle d'anti-dépresseur... Mais. Mais, on a toujours un tome pour voir Komi tenter de dire 1 mot, écrire toujours sur son cahier, et je trouve que sa problématique sur l'anxiété sociale n'est plus au centre de l'histoire mais une justification à tous les gags (qui font encore mouche, certes !).



De plus, je trouve que la mise en avant de la beauté physique de Komi en arrive un peu à ses limites. On assiste quand même à des scènes de harcèlement mais cela passe car c'est mignon et drôle. Dans tout ça, cela permet de mettre en avant Tadano mais je trouve que cela devient maladroit.



Je vais continuer mais j'espère que la position de Komi va évoluer !

Komi n’est pas du tout à la même période que nous. C’est un plaisir de la retrouver. Elle vit de nouvelles premières fois et toutes ses difficultés décuplées sont toujours bien retranscrite (pour trouver un cadeau, les réactions …)



Elle a une sacrée grand mère qui veille.



En petit ou en grand groupe, dans la famille ou avec les amis venez vivre entre autre Noël, nouvel an, bataille de boule de neige et patinoire …



Ainsi que retrouver de gros malentendus chez Komi ou autres …



Quelques petits moments limites, encore une fois surtout Yamai … et des jeux que je n’ai jamais apprécié …



A lire pour Komi et comment ça parle de l’anxiété sociale

Je le dis à chaque tome depuis le début de cette aventure, mais j’ai toujours peur de finir par me lasser ou que la série s’essouffle. Eh bien, sachez que plus on avance dans la vie de Komi et plus je suis complètement accro !



Komi cherche ses mots est un manga absolument génial, traité avec humour et empathie. On ne peut que prendre plaisir lors de sa lecture !

Ce manga est un vent de fraicheur et de bonne humeur ! Un anti-dépresseur qui quand je l’ai lu m’a fait un bien fou !



Parce que, on ne va pas se mentir, notre Komi est certes atteinte d’anxiété sociale, mais… oui qu’est-ce qu’elle est craquante ! Et l’air de rien, à force de côtoyer Tadano et ses nouveaux ami. e. s, la jeune fille commence très doucement à s’ouvrir aux autres et parler à voix haute ! J’admets qu’un passage m’a fait complètement fondre, c’était trop mignon.



Enfin bon. Là encore, nous avons droit à des intrigues qui se découpent comme de petites historiettes mettant en avant un moment de la vie de Komi et de ses camarades. Je retiens de ce cinquième tome, la jalousie de Komi (trop choupi), les saynètes avec Ren Yamai qui rêve de voir la culotte de Komi, mais également le restaurant de ramen qui m’a bien fait rire ou bien encore le maid café !



Mais dans l’ensemble, c’est tout le volume qui est génial et je ne me suis pas ennuyée un seul instant. Un début de romance semble même naître entre Komi et son premier interprète et ami, Tadano. Ce qui m’a bien plu parce que même si c’est toujours raconté avec humour, ça reste assez réaliste.



Bref. Je me régale toujours autant avec ce manga. Une comédie pleine de charme avec une belle profondeur, traitée sous forme d’humour qui me ravit toujours autant. Et, je suis fan des dessins de Tomohito Oda ! Comme les personnages de ce titre, je fais partie des amoureuses de la douce et introvertie Komi !



À lire d’urgence, je suis quasi-certaine que vous ne le regretterez pas.




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Komi est une élève de lycée souffrant d'angoisse sociale et, de ce fait elle a du mal à se faire des amis.



Tadano garçon qui lui voudrait se fondre dans la masse souhaite lui passer une année tranquille. Il se retrouve voisin de classe de Komi et ils vont briser la glace en écrivant des impressions sur le tableau, leur histoire.



Tadano touché par la personnalité et la beauté de Komi se mettra au défi de lui trouver 100 amis avant la fin de l'année.



Défi d'autant plus compliqué que Tadano est très gauche et n'a pas beaucoup d'amis non plus.



Beaucoup d'humour dans ce manga avec des dessins moyens mais des personnages très bien construits et un humour, décalage, qui marche très bien à mon sens.



Bons débuts pour un manga qui a le mérite d'aborder un sujet difficile.

Malgré un troisième tome que j’ai adoré, mon appréhension est revenue avant d’entamer le quatrième tome.



Les vacances d’été se terminent, notamment avec une partie de jeu vidéo organisée chez Nakanaka et quelques tranches de vie, ce que j’ai grandement aimé.

Mais les chapitres qui se déroulent en classe me saoulent parce que ça laisse trop de place à la démence malsaine des autres élèves… et puis les astuces narratives supposées être drôles sont répétitives, genre quand Najima demande à Komi d’aller lui chercher un sandwich et qu’elle reste pétrifiée devant la caissière pour revenir avec un casse-croûte qui n’a rien à voir avec ce que son camarade désirait, pour ne citer que cet exemple, mais ce n’est pas le seul.



Pourtant, il y a de bons moments, j’ai apprécié la fête du sport, même si certaines épreuves étaient du grand n’importe quoi, c’était amusant. Avec cet évènement, j’ai réalisé que ce qui me gêne dans cette saga, ce ne sont pas les intrigues ni leur mise en scène, en fait ce sont les personnages : Netsuno est nouvelle dans l’histoire, mais chacune de ses apparitions m’a fait grincer des dents… “roh, non, encore elle !”

Les personnages principaux ne me dérangent pas : j’aime beaucoup Komi, Tadano est sympathique et j’apprécie Najima malgré son excentricité. Mais les autres, c’est trop : ils sont stéréotypés jusqu’à l’extrême et je les trouve étouffants.



En conclusion, ce quatrième tome s’est laissé lire, sans plus.

Du coup, je ne sais pas trop si je vais continuer à lire les prochains. Je les achèterai probablement pour ma fille qui souhaite poursuivre cette saga, mais je vais peut-être m’arrêter à celui-ci. J’aviserai quand le cinq sera sorti.
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Komi cherche ses mots 1&2

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Le lycée privé Itan est un établissement renommé et réputé pour être difficile d'accès. Pourtant il semblerait que les élèves qui y sont scolarisés aient tous une particularité.



Après une scolarité mouvementée au collège, Hitohito Tadano s'est promis de ne pas faire de vague dans son nouveau bahut, il est donc déterminé à faire profil bas.

Pas de chance, dès le premier jour, il va se faire remarquer en parlant à Komi Shoko, la plus belle fille de l'école. C'est vrai qu'elle est jolie et le fait qu'elle n'adresse jamais la parole à qui que ce soit même aux profs lui vaut la réputation d'être insaisissable, telle une princesse.



Ce que personne n'a jamais su c'est qu'en réalité Komi est une timide maladive qui ne parvient pas à formuler ses pensées en phrases tellement elle est submergée par le stress quand elle se trouve face à une personne.



Tadano lui va rapidement s'en rendre compte et c'est par l'intermédiaire de l'écriture qu'il va commencer à parler avec elle. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'en fait c'est une pipelette…

Elle va alors lui confier son souhait le plus cher de faire 100 amis. Il va alors lui proposer de l'aider à réaliser son rêve et c'est cette aventure rocambolesque qu'on va suivre parce que se faire 100 amis quand on ne parle pas et qu'on est dans un lycée de gens étranges (y'a une fille qui se prend pour un toutou et une autre qui est carrément un psychopathe) ce n'est pas gagné !



J'ai trouvé les premiers tomes agréables à lire et plutôt marrants. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit si loufoque et j'ai été surprise que les lycéens soient si perchés mais ça rend le tout très drôle et hors du commun. Et puis on ne va pas se mentir les gens foufous c'est vraiment ce qu'il y a de mieux !!!



Je me demande ce que les prochains amis de Komi vont avoir comme particularités et je m'attends à tout vu le niveau qu'on a d'entrée de jeu ! Une chouette série.

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Si il y a bien un manga que j’attendais avec beaucoup d’impatience cette année, c’est bien celui ci. J’ai beaucoup entendu parler de l’anime (que je n’ai toujours pas regardé d’ailleurs) et j’avais hâte de pouvoir découvrir les deux premiers tomes. Et bien j’ai été totalement conquise par cette découverte, j’ai dévoré les deux premiers tomes et j’attendais avec grande hâte cette suite. Qu’est ce que ça m’a fait plaisir de retrouver Komi ainsi que les autres. Ce manga nous fait vraiment passer un excellent moment et ça fait hyper plaisir de voir l’anxiété sociale traité dans un manga.



Dans ce troisième tome, on retrouve Komi toujours victime de sa terrible phobie sociale. Grâce à sa rencontre avec Tadano, beaucoup de choses on changer dans sa vie. Il l’aide à se faire des amis, plus grand rêve de Komi. Tanado est vraiment d’une grande aide pour Komi. Cette fois ci c’est l’heure des vacances d’été! Au programme c’est sortie à la piscine avec ses amis, voyage chez sa grand-mère ou encore un festival sans pouvoir échanger le moindre mot!



J’aime énormément le personnage de Komi. Je la trouve tellement touchante mais surtout elle est tellement mignonne! Vraiment elle est beaucoup trop adorable. J’ai adoré la voir à la piscine avec tout le monde, ça se voit qu’elle s’est beaucoup amusée et ça me fait si plaisir pour elle, on dirait que je parle d’une personne réelle mais bon que voulez vous, je suis impliquée dans mes lectures. Lorsqu’elle voyage chez sa grand-mère, on fait la rencontre avec sa famille. Et en voyant son père, on comprend un peu mieux de qui Komi tient. Son père est exactement comme elle. J’ai trouvé ça plutôt drôle. J’aime beaucoup l’amitié entre Tadano et Komi. Il est vraiment un réel soutien pour elle et fait toujours tout pour l’aider et la mettre à l’aise.



Ce manga est un vrai coup de coeur et ça fait vraiment plaisir que le thème de la phobie sociale soit abordé dans un manga. Souffrant moi même de ce problème, bon quand même beaucoup moins que Komi mais tout de même, on nous prend souvent de haut. Ce n’est pas parce qu’on se croit supérieur aux autres, c’est juste que parler aux autres nous demandent un effort limite surhumain et c’est difficile de faire à ça. Je m’identifie beaucoup à Komi sur certains points et ça fait du bien! Maintenant je n’ai qu’une hâte, découvrir la suite de ce manga!
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J'ai lu les deux premiers tomes de Komi cherche ses mots, un manga dont la version animé connaît un joli succès. Avec humour, Komi cherche ses mots aborde un sujet qui n'a pourtant rien de drôle : l'anxiété sociale. Mais c'est là le charme de ce manga : traiter de cette phobie, qui empêche celui qui en souffre de communiquer avec les autres, avec bienveillance et légèreté en accentuant tous les quiproquos que cette phobie peut donc générer.



Tomohito Oda raconte avec ce manga comment Komi, qui souffre donc d'anxiété sociale et n'a aucun ami car sa beauté comme son caractère impénétrable impressionnent ses camarades, va voir sa vie bouleversée par Tadano, son nouveau voisin de classe. En effet, celui-ci va dés le départ essayer de percer le mystère de cette jeune fille et découvrir ce qui l'handicape dans ses relations sociales. Quand il aura compris, il va se lancer comme défi de lui trouver 100 amis. Le manga raconte alors comment chaque rencontre sera l'occasion de scènes étonnantes et drôles qui sortiront peu à peu Komi de son isolement.



J'ai trouvé le sujet de Komi cherche ses mots très intéressant. C'est à travers le regard de Tadano, notamment, que l'on découvre Komi. Les deux personnages forment un joli duo qui parvient peu à peu, au-delà des mots, à se comprendre, par les gestes, le regard et quelques conversations écrites. Ils vont nouer une relation touchante et Tadano va tout faire pour permettre à Komi d'avoir des amis, ce qui ne sera pas une mince affaire et source de beaucoup de situations amusantes. Une lecture sympathique !
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☼ Mon avis ☼





Oméga alien mégalo sous contrôle est le tout premier manga de Tomohito Oda paru au Japon en 2014 et en France en 2016.

Dans la même année, Tomohito Oda lance sont tout nouveau manga du nom de " Komi-san wa Commu-shou desu ".

À ce jour, ça série contient 16 tomes, mais il n'a pas encore été édité en France.

Oméga alien mégalo sous contrôle possède une jaquette assez basique qui ne m'aurait pas spécialement attiré lors de mes achats mangas.

Elle contient des couleurs vives ceux qui donne un côté assez dynamique.

On ressent bien le côté comique dans la posture et le regard du personnage.

On comprend assez facilement de par son résumé et le nombre d'étoiles sur la jaquette que cette série abordera le thème de l'espace.

Au dos du livre, on peut apercevoir que ce manga se termine en trois tomes.

La sous jaquette reste simple, il n'y a pas de petites histoires, ni de paysage, juste le titre avec quelques petits motifs.

Au niveau de l'histoire, j'ai particulièrement aimé le combat entre Digi et Breezer, j'ai trouvé cette séquence intéressante et on ressentait bien la puissance des deux personnages.

D'ailleurs, je n'ai pas compris sur le moment pourquoi mon chéri n'avait pas aimé ce livre.

Par la suite, le synopsis prend une tournure bien différente, le manga aborde des thématiques déjà vues et revues comme le harcèlement à l'école, les brimades, les moqueries ainsi que la maltraitance etc. ....

Shiho est traité comme une racaille aux yeux de tous alors qu'elle n'a rien fait pour être considéré comme tel.

Par contre, elle change des autres personnages " filles " qu'on rencontre dans les mangas, elle est du style à se bastonner mais juste pour protéger les personnes qui sont incapables se défendre et qui sont maltraitées par les autres élèves.

À de nombreux moments, Digi est montré comme une personne sans cœur prêt à tout pour réussir à anéantir la race humaine et autres monstres.

Malheureusement, son caractère qui était plutôt intéressant au début devient au fil du temps, banal, il commence à prendre de l'affection pour un chat, il devient de plus en plus tendre et perd toute crédibilité dans l'oeuvre.

Il a eu quelques séquences où il aurait bien pu tuer la fille et s'emparer de la manette mais à aucun moment il le fait.

Je n'ai pas ressenti sa haine envers les autres races durant la moitié du manga, entre l'histoire et Digi, je trouve que l'ensemble ne correspond pas à mes attentes.

Je m'attendais à un personnage comme Saintama ou Génos qui se bat réellement et qui ne tombe pas dans la niaiserie.

Au final, ce premier tome a pris une tournure qui ma complètement déçu.

Du côté des graphismes, je trouve que dans l'ensemble, ils sont plutôt corrects, ils sont jolis mais pas non plus exceptionnels.

En fin de compte, Oméga Alien mégalo sous contrôle est une série qui ne fera pas partie de ma collection.

Étant donné que cette série est terminée en seulement trois tomes, je vais continuer à la lire que si je le trouve en scan pour voir son évolution.
Lien : https://mangastra.blogspot.c..