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Critiques de Toni Morrison (1263)
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Beloved

J'ai aimé cette histoire sur un supposé retour de la fille tué par sa mère,

une culture africaine, sur la croyance du défunt qui vient hanter

la personne qui la tué.

C'est à la fin que l'on remarque que c'est une fiction, que non elle n'était pas

sa fille, enfin à moins que ce soit effectivement la défunte?

Il y a des retours en arrière, il faut être assez concentré.

J'ai un peu de mal avec la concentration (je suis peut-être TDAH je fais des tests actuellement)

Donc me plonger sur des livres tels que "Beloved" ou encore "le bruit et la fureur" de Wiliame Faulkner est un défi :)

Je recommande ce roman devenu un classique.

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Beloved

J'avais choisi ce livre pour son thème sur l'esclavage et son histoire qui m'avait l'air très intriguante. Donc j'ai commencé ce roman avec beaucoup de curiosité pour découvrir cette présence qui hante la maison et, en conséquence, le déroulement des événements.

Malheureusement j'ai perdu cet intérêt au fur et à mesure.

La façon d'écrire avec tous ces allers-retours dans le temps, les descriptions très longues et les répétitions ont été pénibles...
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Beloved

Certains livres dès les premières pages nous promettent un voyage inoubliable et bouleversant.

Beloved est de ceux la. De par son propos d'abord. Pour avoir lu nombre d'ouvrages sur l'esclavage et la condition des Noirs et alors que je pensais avoir tout lu ou presque et ne plus pouvoir m'étonner de rien sur le sujet, je suis restée scotchée de la première à la dernière page....

Toni Morrison livre un récit haletant et passionnant mais plus que tout, sa plume, la virtuosité avec laquelle elle en use, le mot toujours juste, tranchant, sublime, rien de trop, rien de "pas assez", tout contribue à mettre en valeur la profondeur d'âme de ses personnages et à nous faire toucher du doigt la Négritude jusqu'à devenir soi-même le noir encore debout même si chancelant, l'homme bafoué, torturé, humilié.

C'est, à travers un récit captivant mêlant fantastique et réalité qu'elle

nous embarque dans la découverte de la culture afro américaine, ses origines, ses blessures, ses espérances ..

Un livre poignant et superbement bien écrit....

Un gros coup de coeur pour moi....

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Beloved

Beloved est un roman qui plonge le lecteur au plus profond d’un océan de noirceur. La noirceur de l’histoire américaine du XIXe siècle qui s’est étendue trop longtemps encore au XXe. La noirceur des actes atroces commis de manière la plus naturelle qui soit par les blancs envers les noirs avant que l’esclavage ne soit prohibé juste après la guerre de sécession.

Roman de la « négritude » étendue au contexte américain, contre l’exploitation des hommes, contre l’indifférence et l’oubli, contre la barbarie.



Beloved est aussi un roman d’amour. Amour maternel qui dépasse tout le reste. Amour qui peut dans des situations de désespérance extrême conduire à des actes fous. Quand la folie des hommes est la référence, où se situe le crime ? Quand tout n’est que cassures et que plus rien ne peut être réparé que veut dire commettre l’irréparable ?



Toni Morrison nous plonge – au sens propre car on se sent réellement noyé – dans un univers à la fois onirique, car peuplé de fantômes, et à la fois cruellement réel, bien qu’on soit tenté par l’oubli tant les atrocités des hommes sont difficiles à comprendre.

Ce roman nous montre la pureté de l’esprit et la force de l’amour que les meurtrissures de la chair les plus mordantes ne peuvent faire vaciller. Un roman sur les liens du sang, sur la force des femmes, sur le pouvoir des âmes.

20 mars 2012

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Beloved

Vers 1870 à Cincinnati, le 124 Bluestone Road est une maison étrange, où les habitants sont maltraités par le fantôme d’un enfant. Sethe et sa fille Denver y habitent, les garçons ont fui il y a quelques années. Un jour, Paul D Gardner les rejoint et fait fuir le fantôme mais une jeune femme, Beloved, arrive et va semer le trouble dans la maison. [...]



Le récit n’est pas linéaire et nous offre un roman très dense. Au fur et à mesure, on découvre le passé des personnages et on comprend leur attitude. On découvre le drame qui s’est déroulé il y a 18 ans, juste après la fuite de Sethe et on en devine ses raisons sans qu’il y ait un flashback systématique. La 4e de couverture le dévoile, on peut le dire : Sethe a égorgé son bébé, « elle a choisi le mal pour éviter le pire ». Ce livre est une très belle réussite littéraire, il faut juste admettre un tout petit peu de surnaturel, mais cela va bien dans l’ambiance qui est décrite.



J’ai déjà lu des livres sur l’esclavage, je ne me rappelle plus de La case de l’Oncle Tom, mais j’ai beaucoup aimé Jubilee et même le plus feuilletonesque Racines, mais aucun n’a cette force. Avec un économie de moyens assez extraodinaire, juste des évocations, Toni Morrison nous fait revivre les conditions inhumaines de l’esclavage : les esclaves considérés comme un cheptel reproducteur dont on vendra les enfants pour rentabiliser l’exploitation, des objets sexuels, des animaux qui n’ont pas à avoir de sentiments. Et pour faire bonne mesure, on les bat, on leur met un mors, on les abat comme les bêtes quand ils ont irrécupérables.
Lien : http://jimpee.free.fr/index...
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Beloved

1850. Sethe, esclave de la plantation de Mme Garner, le Bon Abri, s’est enfuie pour retrouver ses trois enfants envoyés chez sa Belle –mère Baby Suggs à Cincinnati. Son fils Halle, le mari de Sethe l’a en effet « rachetée » à Mr Garner moyennant de travailler tous ses dimanches afin de payer sa dette.

Arriver à Cincinnati n’est pas une mince affaire, surtout si l’on est noire, en fuite , et enceinte de surcroit presqu' à terme. Marchant de nuit , se cachant le jour, morte de faim et de soif elle finira par accoucher au fond d’une barque aidée par la seule fille blanche qui lui ait jamais tendue la main, en cavale comme elle Amy Denver. Sa ténacité, l’aide des noirs de la ville lui permettront d’atteindre le 124 , la maison relais de Baby Suggs, sa belle-mère.



la suite sur:

http://www.biblioblog.fr/post/2012/10/23/Beloved-Toni-Morrison

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Beloved

Un livre dur et difficile. Dur parce qu’il décrit la conditions des noirs américains dans l’Ohio vers 1875. La guerre de sécession est finie, mais la misère et le racisme sont là.

C’est histoire d’une fille, Sethe, de sa fille, Denver, et de tous ceux qui l’entourent. Des scènes poignantes d’évasion, de traques, de joies fugaces et de malheur (je repense à un autre livre « underground railroad »).



Un livre difficile parce que j’ai eu du mal à y entrer, tellement le style (en français) me le rendait impénétrable. Au bout de 100 pages, c’était bon.



Prix Pulitzer.
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Beloved

Terrible, l'espèce humaine !
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Beloved

J'ai eu beaucoup de mal à entrer dedans car l'écriture est particulière.

De même pour l'histoire pourtant attachante.
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Beloved

Les personnages de cet extraordinaire roman de Morrison vivent en nous pour toujours.
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Beloved

Un style dense, complexe, dans lequel il peut être difficile de s'y retrouver (comme c'est mon humble cas). Des phrases qui font justement penser à ces « chaines forgées à la main » citées dans le texte. Des chaines qui cassent parfois pour des instants lumineux de liberté, de poésie pure... ou de chaines qui font des noeuds à une histoire qui s'emmêle. Au final, mis à part un témoignage essentiel sur l'histoire des esclaves afro-américains, une impression de beauté d'une force rare émerge de ma propre confusion.
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Beloved

Ancienne esclave affranchie, Seth a tué sa petite fille au nom de l'amour et de la liberté. Mais voici que Beloved (c'est sa petite fille devenue grande) revient chez sa mère, qui vit avec Denver, sa première fille. Curieusement, je me suis aperçu que dans mon imagination, celle que nous avons tous en lisant un livre, les images des personnages étaient des blancs, alors que sais pertinemment que ce sont des noirs, tous anciens esclaves. Je n'ai pas vraiment eu le sentiment que c'était un livre sur l'esclavage, bien que celui-ci soit présent à chaque page. C'est un livre sur l'amour d'une mère, dans un monde violent, cruel, et peu respectueux de l'homme. Et c'est évidemment bien écrit.
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Beloved

1ère année de fac, et 1ère lecture imposée.

Et là : bada-boum ! C'est le coup de coeur !!



J'ai été tout de suite happée par ce récit. Un récit de femme, et de femme noire qui plus est. Une femme blessée et meurtrie dans sa chaire. Coupable, oui mais de quoi ? D'être née femme et esclave ? D'avoir trop bien compris sa situation au point d'avoir peur de la faire revivre à quelqu'un d'autre (et par conséquent d'en être responsable) ?



C'est vrai que l'écriture de Toni Morrison n'est pas toujours facile à comprendre car elle transcris avec une très grande fidélité le "parler" afro-américain. Alors quand on y rajoute les ellipses temporelles et retour en arrière... ça peut être un véritable cauchemar stylistique !



Mais c'est un roman tellement fort qu'on oublie vite cet aspect. C'est l'un des romans où il y a tellement de choses à dire -je trouve - qu'on finit par ne pas pouvoir résumer le tout dans une critique. S'il n'y avait qu'un livre de cette auteure à lire, c'est celui-ci à n'en pas douter.
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Beloved

Sethe est une ancienne esclave, échappée enceinte il y a 18 ans du Bon Abri, une mère de famille qui a vu partir ses fils, qui vit avec sa fille Denver tout en souffrant de la disparition provoquée de ses mains, de son jeune bébé, un enfant qu'elle a voulu soustraire à la servitude qui aurait été son destin. Son mari Halle n'est plus, sa belle-mère Baby Suggs si admirable ... n'est plus. Mais un jour Paul D, également ancien esclave au Bon Abri, apparaît sur le seuil de sa maison du 124. A la même époque vient et s'installe une jeune fille mystérieuse, Beloved, qui s'entend tout de suite à merveille avec Denver, et fait resurgir de façon douloureuse les fantômes du passé de Sethe.



Je suis assez fière de moi, modestement. Il y a de longues années, à plusieurs reprises, j'avais essayé de lire un roman de Toni Morrisson, sans succès : l'écriture exigeante, la construction alambiquée du récit, l'incorporation d'éléments irrationnels avaient à chaque fois raison de mon cerveau peu vif. Mais après avoir écouté un extrait de Beloved dans l'émission de Guillaume Gallienne sur France Inter ("Ca peut pas faire de mal", du 22 septembre 2012), j'avais des mots glaçants qui me restaient en tête et l'envie irrépressible de me replonger coûte que coûte dans ce roman, convaincue qu'au moins un passage saurait me remplir d'émotions. Chose faite. Lecture laborieuse cependant, il m'a fallu plusieurs semaines pour achever le roman.



Il y a toujours ce style torturé, poétique et exigeant, une construction qui enchaîne les flash backs sans prévenir, les souvenirs des personnages par bribes, les personnages survenus de nulle part, les nombreux protagonistes, les histoires qui ne se dessinent que très lentement, en reconstituant laborieusement les éléments d'un puzzle, mais il y a aussi cette musique, ces métaphores terrifiantes, ces images marquantes, ce tragique tout droit issu de l'Histoire, de celle de l'esclavage aux Etats-Unis, et rendu palpable, fait chair grâce au talent de Toni Morrison. De cette lecture on sort péniblement indemne mais riche de l'épaisseur d'un souvenir partagé dans la douleur.
Lien : http://chezlorraine.blogspot..
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Beloved

Challenge Nobel 2013-2014

2/15



"Beloved" est un roman que je souhaite lire depuis bien longtemps. C'est chose faite grâce au challenge Nobel. Néanmoins, si je souhaitais le lire, je n'avais qu'une idée imprécise du sujet et aucune du style de l'auteur. Je n'ai pas été déçue même si je reste assez mitigée.

En effet, je crois avoir voulu aller trop vite dans la lecture et la connaissance des faits. La quatrième de couverture - à laquelle j'essaye généralement de ne pas trop m'attacher - m'a "trompée" et j'ai voulu tout de suite savoir comment, quand et pourquoi Sethe avait tué sa fille. Or, le livre est assez lent, composé de nombreux allers-retours entre passé et présent sans transitions très nettes. Comme pour un puzzle, il m'a fallu reconstituer petit à petit les faits chronologiques du récit. Ce qui d'habitude ne me perturbe pas plus que cela mais qui m'a ici passablement fatiguée.

Mais, l'écriture de Toni Morrison est indéniablement une écriture poétique, puissante et torturée. Flamboyants, les mots s'animent devant nos yeux au fil de sa plume. Les scènes du passé de Sethe - que la romancière narre petit à petit pour mieux nous en faire concevoir l'effroyable réalité - sa vie d'esclave, sa fuite, son arrivée chez sa belle-mère dans l'Ohio et ce jour fatal où Sethe commet l'impensable sont véritablement celles qui ont retenu mon intérêt et qui créent l'émotion.

Ainsi, si le roman se montre à mon goût très lent, la poésie de l'écriture et le destin tragique de Sethe, et à travers elle celui de tous les esclaves, hante longtemps l'esprit une fois sa lecture achevée.
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Beloved

C’est un roman magistral, d’une écriture saisissante qui aborde des thèmes tabous mais universels. Un chef d’œuvre selon moi
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Beloved

L’histoire que nous dépeint Toni Morrison est inspirée d’une histoire vraie. Elle la raconte avec des mots crus, avec violence, mais également avec énormément de poésie.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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Beloved

Organique est le mot qui me vient à l'esprit après avoir terminé la lecture de ce roman fascinant. Son écriture est de chair comme son héroïne Sethe. Peut-être ais-je tort d'identifier cette histoire au mythe d'Orphée et de sa descente aux enfers.

Toni Morrison a écrit une oeuvre magnifique sur l'identité, la résilience, l'espérance, la langue. C'est un roman qui a un corps, une odeur. Il est bruyant et violent.

Je conçois parfaitement que l'auteure ait obtenu le prix Nobel pour ce titre.

J'admire son écriture et les images qu'il porte. Bouleversant et enthousiasmant.
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Beloved

Il s'agissait pour moi d'une relecture, et j'ai été sidérée de voir tout ce que j'avais loupé la première fois! Ca ne m'avait pas empêché de l'adorer, c'est donc clairement un bon point: on peut le lire de différentes manières, à des âges différents, à différents niveaux, sans que cela perde de sa magie. Evidemment, ce roman ayant reçu le prix Pulitzer en 1988, on s'attend logiquement à ce que ce ne soit pas du même acabit que "Martine à la plage", mais style de qualité ne signifie pas style illisible. Seules certaines brèves parties (sublimes, d'ailleurs) sont hachées et énigmatiques, mais n'entravent pas la fluidité de l'écriture.



On aborde donc le thème douloureux de l'esclavage aux Etats-Unis. D'un côté, le "Bon Abri" de monsieur Garner, où les noirs étaient des hommes, des travailleurs dignes de respect, et non des animaux. Mais ce côté vaguement présentable de l'esclavage vole en éclats face aux cruautés des autres blancs, notamment de Maître d'Ecole, qui traite les Noirs moins bien que son propre bétail. C'est difficile à lire (le mors, notamment, est terriblement pénible à imaginer), révoltant, bouleversant.



Mais l'esclavage est le passé dont les personnages principaux tentent de se relever... si c'est possible. Comment reprendre goût à la vie quand on a été confronté au pire? Comment faire confiance à nouveau, quand on sait de quoi est capable l'être humain? Qu'est-ce que la liberté, au juste?



Quand on aime, jusqu'où aimer?



Ce n'est pas un roman facile, que ce soit par le thème ou par l'écriture (je vous l'ai dit, ce n'est pas "Martine à la plage"), plusieurs scènes sont très dures, mais il vaut définitivement la peine de s'y plonger. C'est le genre de livres qui fait réfléchir, qui provoque peu à peu l'empathie la plus complète avec les personnages, et traîne encore dans la tête bien après que l'on ait tourné la dernière page. Quand on se rend compte qu'à la place de Sethe, on aurait peut-être fait la même chose, et que la morale entre en lutte avec la compassion.



J'en viens au thème de la maternité. Je l'avais compris en surface (je ne suis quand même pas bigleuse) durant ma première lecture, du haut de mes vingt ans, du temps où j'étais pure et fraîche comme une pâquerette. Maintenant que je suis devenue maman et que je suis un peu plus renseignée sur les trucs de bébés, le parallèle entre l'évolution d'un enfant et celui de Beloved est flagrant. Une re-naissance en pure et due forme.



Il reste bien des questions à la fin du roman, et cela participe à sa richesse, puisqu'on a aussitôt envie de s'y replonger pour dénouer les fils ténus qu'on pense avoir saisis. Toute l'histoire grouille de non-dits, de petits secrets, les révélations ne sont faites qu'à demi-mots ou au contraire noyées dans un flot de paroles. Il y a sans doute matière à quantités de thèses et d'analyses (j'avoue que certains détails me démangent, comme la symbolique de l'arbre que Sethe porte dans le dos: c'est ouvert à des tonnes d'interprétations).



Allez, disons que je le relirai encore dans dix ans, histoire de voir ce que j'y découvrirai de neuf!
Lien : http://cequejenlis.canalblog..
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Beloved

Je vais peut être aller à contre courant de beaucoup, mais je n'ai pas du tout aimé ce roman. Si le thème est passionnant et l'approche originale, j'ai eu beaucoup de mal à suivre l'intrigue. Le roman m'a semblé terriblement long. Le côté fantastique avec la presence constante des morts m'a semblé totalement artificiel, dénaturant la profondeur du recit sur la vie de cette ancienne esclave. J'ai eu du mal à suivre la chronologie des évenements et je n'ai pas du tout accroché avec les differents personnages. Il faut reconnaitre par contre la veritable beauté de l'écriture de Toni Morisson : c'est poetique, trés imagé (parfois trop ?) et elle restitue avec beaucoup de subtilité la noirceur du contexte historique.

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