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3.71/5 (sur 183 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Vanessa Vale est une écrivaine.

Elle est l'auteure de plus de 40 best-sellers romantiques et sexy, dont notamment sa populaire série de romans historiques "Bridgewater" et ses romances contemporaines érotiques mettant en vedette de mauvais garçons qui n'ont pas peur de dévoiler leurs sentiments.

Elle a écrit également sous le pseudonyme de Vanessa Dare.

Mère de deux fils, elle vit à l'ouest des États-Unis.

son site : https://vanessavaleauthor.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/vanessavaleauthor
Twitter : https://twitter.com/iamvanessavale

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Citations et extraits (151) Voir plus Ajouter une citation
Elle et mon père m'avaient forcée à accepter une image du bonheur et de la bien séance. Pas étonnant que ma mère ait fui cet endroit - elle avait toujours cherché la normalité. Elle avait toujours été plus soucieuse d'être intégrée qu'aimée. Et c'est ce qu'elle avait voulu pour moi aussi. Une vie normale. Une vie qui correspondant à l'idéal sur laquelle elle avait jeté son dévolu. Qu'elle avait atteint.
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Rien ne pouvait me faire oublier mon travail plus rapidement qu’un homme mordillant doucement mon téton. Et pas n’importe quel homme. Sam Kane. Mon Dieu, il avait été mon béguin d’enfance, la star de mes fantasmes d’écolière, mais c’était il y a quinze ans.
Il n’était alors qu’un garçon. C’était désormais un homme entier et je l’escaladais comme un arbre. Nous avions passé une heure entière à nous disputer et il savait instinctivement comment me faire démarrer au quart de tour. Au lieu de le lui donner un coup dans les couilles, j’étais dans le couloir d’un bar et je le laissais me toucher, me goûter et me lécher.
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Je savais que je devrais être abasourdie. Effrayée, peut-être, par leur audace flagrante. Mais je n’étais pas effrayée. J’étais tendue, oui, car rien de tel ne m’était jamais arrivé. Jamais. Mais, bizarrement, je me sentais en sécurité. Comme s’ils savaient ce que je voulais, savaient jusqu’où aller. D’une certaine manière, ils savaient que j’avais besoin d’être retenue, de les laisser faire. Ils savaient exactement ce que je voulais. Non, ce dont j’avais besoin.
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A la seconde où nos yeux se sont croisés, oui je sais, ça fait plutôt ringard, cette alchimie grotesque entre nous était dingue. Je bandais comme un taureau quand elle s’est dégagée de mon doigt avant d’être entraînée sur la piste de danse. J’ai bandé sur tout le trajet retour jusqu’au ranch et débandé uniquement en me paluchant sous la douche. Et encore, seulement pour un bref instant parce qu’impossible de m'arrêter de penser à elle.
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C’était loin des tenues auxquelles j’étais habituée, mais la simple robe avec son tablier blanc propre était un retour à une autre époque, tout comme cette ville dans laquelle je me trouvais. Bridgewater. Comment diable étais-je arrivée ici ? Pas seulement ici, comme au Montana, mais ici à me cacher. Mettre ma vraie vie en attente à cause d’un connard d’ex. Qui m’avait obligée à m’enfuir.
Cette question trottait en permanence dans ma tête depuis que je m’étais arrêtée dans cette petite ville, il y a deux semaines. Alors qu’elle était sise dans une vallée parfaite, ce n’était pas exactement Londres. C’était loin d’être une destination de vacances, et être serveuse dans le restaurant local était l’opposé de la carrière de rêve que j’avais laissée derrière moi. On ne tourne pas le dos comme ça à dix ans d’études et d’internat. Personne sauf moi. Mais une femme en fuite ne pouvait pas être difficile, et Bridgewater était aussi paumée que n’importe quelle ville pouvait l’être. Et c’était le but, n’est-ce pas ? Je n’étais pas là en vacances. Je ne profitais pas des paysages. J’étais là pour me cacher, tout simplement.
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Si quelqu'un devait souffrir de douleurs physiques et émotionnelles, ça aurait dû être moi. J'avais toujours été le plus dur, le plus fort. Non pas que Cooper ne fût pas fort, putain, il était l'homme le plus fort que je connaissais, mais il n'avait jamais eu besoin de l'être. Il avait eu une bonne vie, avait grandi dans une famille aimable. Une mère incroyable et deux papas que je respectais énormément. Moi ? Je m'étais entraîné toute ma vie à faire face à la douleur et à me battre contre le désespoir. J'étais habitué à tirer les mauvaises cartes et faire avec. Y aller à fond même si les chances étaient contre moi. Je pouvais aller en enfer et en revenir en riant. Cooper... il était trop gentil pour cette merde. Il était parti en enfer, c'était sûr, mais je ne savais pas s'il en reviendrait.
Je le suivis hors de l'hôtel et de l'autre côté de la rue au restaurant. Sa jambe brisée avait guéri et je n'avais plus besoin de ralentir mon rythme pour égaler le sien. Mais les cicatrices resteraient.
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Les relations, ce n’est pas mon truc. Je n'ai jamais voulu avoir de nana. J'ai toujours pensé que j'étais trop chtarbé. Mais je n'ai jamais trouvé une femme qui m'accroche comme Sadie. Je veux tout savoir sur son compte, même des histoires comme celle de son frère disparu. Ça l'a profondément affectée. Si profondément qu'elle a choisi sa carrière en fonction.
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Je ne connaissais pas toute l’histoire, mais ils avaient servi dans le petit pays de Mohamir, aujourd’hui disparu, d’où était originaire cette coutume; et là-bas les hommes partageaient leurs femmes. La protégeaient, la chérissaient et l’aimaient d’une manière qui l’empêchait de se retrouver seule, quelles que soient les circonstances. Si un mari décédait, le second prenait soin d’elle et des enfants. Bien que concept paraissait étrange aux personnes en-dehors de Bridgewater, ce mode de vie avait été conçu en mettant la femme au centre de chaque famille. Ces principes initiaux fixés par nos ancêtres étaient aujourd’hui encore en vigueur. Bien que tout le monde à Bridgewater ne soit pas marié de cette façon, c’était quelque chose de courant et d’admis. Sam et moi, nous avions grandi de cette façon - avec une mère et deux pères - et nous voulions ce genre de mariage pour nous-mêmes.
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…Mon père, toujours ivre suite à une cuite qui avait duré toute la nuit, était monté dans sa voiture et avait failli tuer M. et Mme Duke en venant me chercher.
Et je venais de laisser Duke, qui faisait probablement partie des trois hommes sur terre qui avait raison de me détester, me faire jouir. Et il avait ma culotte.
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Je voulais être capable de déterminer la couleur de ses tétons, sentir le poids de ses seins entre mes paumes, les regarder rebondir pendant qu’elle s’enfonçait en moi, ma queue bien au fond de sa chatte sucrée. Merde.
Je l’aurais. Je le savais dès le moment où je m’étais assis à côté d’elle et que j’avais humé son parfum un peu citronné. Quand ses yeux pâles avaient croisé les miens, j’y avais vu beaucoup de désir. C’était comme si j’avais reçu un uppercut. Un coup de tonnerre. Autant de clichés. Je n’avais pas désiré une fille aussi fort depuis mes douze ans. Et cela n’avait pas très bien marché. Mais Catherine était une femme adulte avec des seins parfaits et des hanches bien rondes. Elle n’était sans doute pas grande, mais elle avait tout d’une femme. Douce. Toute en courbes.
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