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3.85/5 (sur 683 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Waukesha, Wisconsin , le 02/10/1944
Biographie :

Vernor Steffen Vinge est un écrivain de science-fiction. Il a été également professeur d’informatique et de mathématique à l'Université de San Diego.

Il publie sa première nouvelle en 1965 dans la revue Analog Science Fiction. Bien qu’écrivant peu, il contribue alors à quelques magazines de science-fiction avant d’être remarqué en 1981 avec sa novela True names, qui est l’une des premières ayant pour thème le cyberspace et qui illustre l’intérêt de l’auteur pour la théorie de la singularité technologique. Cet intérêt se retrouve d’ailleurs dans la plupart de ses romans.

Toutefois, ce n’est qu’en 1992 que l’auteur remporte le prix Hugo avec son roman Un feu sur l'abîme. Ce roman est suivi en 1999 d’une prémisse Au tréfonds du ciel, lui aussi reçu un prix Hugo en 2000.

En 2002, Vernor Vinge prend sa retraite et quitte son poste à l’Université de San Diego pour se consacrer pleinement à l’écriture.

En 2007, il obtient de nouveau le prix Hugo pour son roman Rainbows end.

Vernor Vinge a été le premier époux de Joan D. Vinge qui est elle aussi un auteur de science-fiction.

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7 févr. 2011 Qu'est-ce que la Singularité Technologique ? Vernor Vinge, qui a inventé le terme, parle de l'évolution technologique rapide, du déchargement de notre intelligence sur l'environnement et du potentiel impressionnant de l'intelligence artificielle forte qui, selon lui, culminera dans la singularité technologique d'ici 2023. "D'ici trente ans, nous aurons les moyens technologiques de créer une intelligence surhumaine. Peu de temps après, l'ère humaine sera terminée." - "La singularité technologique à venir" de Vernor Vinge, 1993 Vernor Vinge a popularisé et inventé le terme "singularité technologique" dans son essai de 1993 "The Coming Technological Singularity", dans lequel il soutient que la création d'une intelligence artificielle surhumaine marquera le point où "l'ère humaine sera terminée", de sorte que aucun modèle actuel de la réalité n'est suffisant pour prédire au-delà. Vinge a publié sa première nouvelle, "Bookworm, Run!", Dans le numéro de mars 1966 d'Analog Science Fiction, puis édité par John W. Campbell. L'histoire explore le thème de l'intelligence augmentée artificiellement en connectant le cerveau directement à des sources de données informatisées. Il est devenu un contributeur modérément prolifique aux magazines SF dans les années 1960 et au début des années 1970. En 1969, il a développé deux histoires connexes ("La princesse barbare", Analog, 1966 et "L'histoire de Grimm", Orbit 4, 1968) dans son premier roman, Grimm's World. Son deuxième roman, The Witling, est publié en 1975. Vinge s'est fait connaître en 1981 avec sa nouvelle True Names, peut-être la première histoire à présenter un concept pleinement étoffé du cyberespace, qui sera plus tard au cœur des histoires cyberpunk de William Gibson, Neal Stephenson et d'autres.

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Citations et extraits (54) Voir plus Ajouter une citation
— Écoutez, dit-elle. Toute intervention dans la Transcendance et dans l’En delà Supérieur est dangereuse en soi. Les civilisations, là-haut, ne durent pas longtemps, mais il y aura toujours des gens pour essayer quand même. La menace n’est pas toujours directement concrétisée. Si vous voulez savoir, les Straumliens ont dû tomber sur une recette qui leur promettait un trésor fabuleux. Elle était peut-être là depuis des millions d’années, trop risquée pour que d’autres acceptent de l’essayer. Vous avez raison, les Straumliens étaient parfaitement au courant des dangers.
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Vernor Vinge
La science a donné à chaque animal humain l'audace d'agir comme un petit dieu.
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Horreur . Il était passé tout près d'une nouvelle mort .
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Elle nous a échappé parce que certains idiots sont très difficiles à sous-estimer.
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Dans la mesure du possible, ils demeurèrent dans les ombres denses projetées par le soleil dans sa course vers le nord. Ils se glissèrent de mamelon en mamelon, aux endroits où il n'y avait pas d'ombres. Juste avant d'arriver au premier membre blessé, Scribe prononça quelques mots, les plus effrayants de cet après-midi.
- Surtout, ne vous inquiétez pas. Je sais exactement comment ça se passe, je l'ai lu mille fois.
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En vingt-quatre ans d'existence, Dixie Mae s'était souvent demandé s'il existait rage plus intense que la brume écarlate qui lui apparaissait lorsqu'elle cassait des choses. Jusqu'à aujourd'hui, elle ne l'avait jamais su. Mais, oui, il existait bien quelque chose qui transcendait la rage de berserker. Elle ne balaya pas le terminal de la table, elle ne cassa la gueule à personne. Elle resta avachie un instant, se sentit complètement vidée.
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La promesse du jour était au coin de la rue .
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Korolev. C'était le nom officiel de la ville (comme l'avait décidé Yelén Korolev). Elle portait pratiquement autant de noms qu'il y avait d'habitants. Les amis indiens de Wil l'appelaient Delhi 3, le gouvernement néo-mexicain en exil éternel La Nouvelle Albuquerque. Les optimistes préféraient Seconde-Chance, les pessimistes Dernière-Chance, les mégalomanes Mégapole.
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Regardez l'univers. Il ne se soucie pas de vos problèmes et malgré toute notre science il y a des catastrophes que nous sommes incapables d'éviter. Le bien et le mal pèsent peu devant la Nature. En ce qui nous concerne, nous nous consolons en nous disant qu'il y a autour de nous un univers à admirer, qui ne peut être forcé ni en bien ni en mal, mais qui a le mérite, tout simplement, d'exister.
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Page 11
Dixie Mae n’avait jamais travaillé dans un service client ; jusqu’à ce qu’elle passe le teste du Pr Reich, la semaine précédente, son job le mieux payé avait consisté à faire griller des hamburgers. Bien sûr, comme tout un chacun, elle avait souvent été la victime des services clients. Elle achetait un livre neuf, ou une jolie robe, et celle-ci était trop petite, et le dos de celui-là se cassait ; lorsqu’elle contactait le service client, on ne répondait pas à sa requête sauf avec des phrases préenregistrées, ou alors on cherchait à lui vendre un autre truc – quand bien même la pub affirmait que la priorité de la boîte était d’aider ses clients.

LotsaTech semblait résolue à changer tout cela. Ses patrons avaient compris que pour venir en aide à une clientèle humaine, mieux valait un personnel humain. Aussi embauchaient-ils des centaines et des centaines de personnes comme Dixie Mae.
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