Vic Verdier

Mon premier conte interdit.

Malheureusement je n ai vraiment pas accroché.

Jack le héros est un as de l nformatique qui inventé un logiciel de fraudes bancaires. Lui c est un geek bien grassouillet qui vit chez sa mère et passe son temps sur ses claviers à jouer.

Une amie de l université Harper vient lui rendre visite. Elle aussi touche en informatique mais son rêve c est de percer dans la musique.

Tout bascule quand des hommes de main d un homme cruel viennent voler le logiciel de Jack. Ils laissent Jack pour mort..

A sa sortie du coma Jack n a qu une idée en tête. Recuperer son logiciel et se venger.

Si le scénario n est pas si mal j ai ete genee par beaucoup de choses:

Beaucoup de termes informatiques auxquels je n ai rien compris et qui m ont ennuyée.

Des expressions québécoises déconcertantes

Un des personnages introduit des mots d anglais bizarres.

Certaines scènes de violence un peu inutiles.



J en retenterai un.

Comme toujours, j’apprécie le principe. J’aime bien faire les choix, même si, ici, il arrive à plusieurs reprises de ne pas avoir le choix ou que la suite dépende d’un choix précédent. Mais ça reste tout de même satisfaisant puisque la majorité des chapitres offrent de prendre tel ou tel chemin. De plus, l’écriture est agréable, le livre se lit vite.



Pour ce qui est de l’histoire, malheureusement, je ne suis pas convaincue. J’ai été emballée au départ, mais ça s’est très vite essoufflé. Et je ne parle que du premier chemin que j’ai suivi. La fin était complètement évidente, tellement qu’elle en était visible dès le premier chapitre – voire, dès la lecture du résumé. Je m’attendais à un peu plus de suspense. Surtout que je suis tombée sur une première fin qui en révélait plus que nécessaire, et qui était trop rapide à mon goût, passant très vite sur tous les éléments.



Je suis le genre de personne qui aime lire un livre jusqu’au bout, même un livre à choix. Aussi, j’ai lu chaque chapitre de celui-ci, en faisant tous les chemins possibles. Comme toujours dans cette série, le chapitre 13 est un plus, inaccessible par choix. Ce plus était plutôt pas mal. Mais concernant le reste du roman : beaucoup de chapitres ou paragraphes étaient pratiquement des copier-coller d’autres passages… Donc lire l’intégralité de ce roman était extrêmement redondant. Je comprends bien la difficulté d’écrire un tel ouvrage, le temps et l’investissement que ça exige, mais là j’ai eu l’impression que c’était vraiment léger. Au final, il se passait un peu toujours la même chose, seul l’ordre des événements changeait vraiment. Ce qui est dommage car j’avais vu avec « Hymne à la vengeance » qu’il était possible de faire quelque chose de très intéressant.



L’intrigue, de son côté, n’était pas palpitante. J’ai trouvé que ce roman ne faisait qu’effleurer l’horreur. Certes, on assiste à des scènes choquantes, mais je n’ai pas ressenti d’angoisse particulière. En revanche, ça restait intéressant, j’ai eu envie de connaître les choix suivants, c’était divertissant. Les personnages sont quant à eux plutôt bien faits, assez simples mais ça tient la route.



Si je n’ai pas été convaincue par cette histoire, je lirai tout de même d’autres livres de cette série.

Série des contes interdits découverte grâce à une amie, et je l'en remercie !

Car sans elle, je n'aurai jamais découvert ces contes de notre enfance revisités en version gore.

Ces livres ne laisseront personne indifférent : soit on trouvera l'idée excellente et originale pour casser les codes du conte classique, soit on trouvera cela vulgaire et immoral voir même inacceptable.

Ce tome est une réécriture de "Jack et le haricot magique", conte populaire anglais.



Kevin et sa bande, Dom et Baby, sont des loubards.

Jack est un jeune geek brillant en informatique et nul en drague, qui a vécu un traumatisme.

Harper est une de ses anciennes camarades de classe informatique.

Le haricot magique, ici, c'est la tour immense d'une grosse entreprise d'innovation informatique gérée par un big boss, le géant Verdier.

Petit moment d'humour en découvrant le nom du PDG, qui montre que l'auteur a de l'autodérision.

Comme dans le conte d'origine, Jack grimpera les étages du haricot pour affronter le géant.



Ce roman mêle vengeance, violence, prostitution, sexe, torture, humiliation, avec certains passages réservés à un public averti.



J'ai bien aimé cette réécriture qui est originale, drôle et gore à la fois.

Très sympathique roman ! Les héritiers d'un vieil industriel voient leurs relations aller de mal en pis à la mort du vieux. Vic, canard boiteux de la famille, se retrouve lésé et à la merci de son arrogant et ambitieux cadet. Il est cependant extrêmement apte et plein de ressources et se démerdera du mieux qu'il peut avec l'aide de son cercle d'amis tous plus ou moins marginaux et franchement charmants. L'affaire se passe dans la ville de Québec en 1919, avec l'ambiance et les références historiques bien intégrées et sonnant fort justes. La situation devient corsée, si bien que sang et magouille ne nous sont pas épargnés. Bref, que du positif. J'en lirai d'autres !

C'est le seizième conte interdit que je lis et je dois dire que j'ai beaucoup apprécié cette lecture ! 😍



Sur un domaine que j'affectionne beaucoup, l'auteur a basé sa réécriture du conte de Jack et le haricot magique. Jack, c'est au début de cette histoire un diplômé en informatique obèse qui a conçu le HMJ_V18, son haricot, un logiciel qui le rendra riche. Malheureusement, après qu'on lui a volé ce dernier et qu'on l'a passé à tabac, il sombre près de quatre ans dans le coma. Quand il s'en sort, c'est un autre homme qui a en ligne de mire le géant Verdier 😧



J'ai énormément aimé la construction de ce conte. L'auteur a mélangé deux critères, deux éléments qui m'ont fait passer un excellent moment : le domaine informatique 💻 (bien qu'il y ait trop de détails parfois pour réussir à tout saisir) et la vengeance 😈 Ça, pour moi, c'est un ingrédient que j'adore retrouver dans mes lectures. En plus de ça, j'ai trouvé le personnage de Jack très attachant, intelligent, humain et pourtant si solitaire.

Et puisqu'on parle des personnages, le géant Verdier m'a fait froid dans le dos 🥶 Le genre d'homme face auquel on ne sait pas comment réagir, ni quoi dire. Tout peut être déclencheur de sa folie, de sa furie. Il m'a fait penser à un catcheur, mais impossible de me rappeler son nom MDR

En outre, sa femme Nicky, m'a laissé une impression plus mitigée 🤔 Je ne dis pas que je n'ai pas éprouvé d'empathie pour elle ; la pauvre est torturée quotidiennement par son mari autant physiquement que moralement. Mais les réactions qu'elle a eues face à Jack m'ont laissée dubitative. À vrai dire, c'est son comportement qui m'a perturbée. Et comme le dit Jack à la fin « elle sera pire que lui... » 😨

Comme à mon habitude, le côté gore m'a enchantée, je ne l'ai pas trouvé too much et il ne m'a paru excessivement présent. C'est bien construit, bien ficelé et la plume est addictive malgré le patois québécois qui m'a perdue à certains moments. L'histoire ne sort pas de nulle-part, elle est même très réaliste selon moi. Alors, bien qu'on s'élève dans la tour, jusque dans les nuages, j'ai trouvé le tout très terre-à-terre et j'ai beaucoup aimé ça 😄



En conclusion c'est un des meilleurs contes interdits que j'ai lu ! Il va être difficile de faire un top 5 😂

Je me répète souvent, mais ce que j’apprécie le plus du fait d’être blogueuse, c’est découvrir de nouveaux auteurs grâce à mes partenariats. Encore une fois, je viens de découvrir un excellent auteur.



Au cours de ce premier tome, nous faisons la connaissance de notre héros, Vic Verdier. Oui, oui… le nom fictif de l’auteur est le même que celui de son héros! Bref, Vic est un policier du SPVM (service de police de la ville de Montréal), tout comme la femme qu’il aime. Et tous deux aspirent devenir sergent-détective. À la suite des résultats, voilà que les choses se corsent!



Peu de temps après les entrevues d’embauche pour le poste de sergent-détective, Mélanie est retrouvée brûlée, attachée au volant de sa voiture de patrouille. Évidemment, Vic étant son copain, le voilà dans la mire de Patenaude. Celui-là même qui a offert son aide à Mélanie pour gravir les échelons, se retrouvent à enquêter sur le meurtre de cette dernière.



Au fil de l’enquête, une équipe se forme en douce pour trouver le coupable du meurtre de Mélanie. Je n’ai pas vu le temps passé, j’étais complètement captivée par l’enquête. J’ai réellement apprécié la plume de l’auteur. Elle est simple, fluide et parfaitement adaptée aux personnages.



Ce qu’il faut savoir c’est que l’auteur a su intégrer à la perfection le monde particulier qu’est le SPVM. Je pouvais ressentir l’esprit de famille qui entoure les policiers d’une même unité. Les valeurs qui incarnent les policiers étaient parfaitement décrites. C’est bien le premier roman policier québécois où tout est si réaliste et qui a fait de moi, la simple lectrice que je suis, comme partie prenante de l’unité de Vic!



L’enquête est captivante et je dois avouer que la résolution de celle-ci, m’a énormément surprise. J’étais loin de m’attendre à cette finale. Vic et son équipe m’ont impressionné par leurs valeurs. L’auteur a su rendre Vic si attachant, humain et réaliste.



Finalement, je viens encore une fois de débuter une nouvelle saga et j’en suis particulièrement enchantée. Je sens que je vais prendre beaucoup de plaisir à suivre les aventures de Vic. L’auteur a une plume qui cadre à perfection avec l’environnement qui entoure les personnages, l’enquête est captivante, les personnages réalistes et le monde du SPVM parfaitement décrit. Je suis totalement charmée. Un joli et petit coup de cœur pour ce premier tome!


Lien : http://alapagedesuzie.blogsp..

4,5 serait une note plus juste pour ce livre.



Ce livre est un excellent divertissement. Il combine l'intrigue et l'humour de façon très intéressante. Ce n'est pas un livre humoristique, simplement une petite touche pour nous faire sourire ici et là. J'ai grandement apprécié le style de l'auteur, on a du plaisir à le lire. Je crois que c'est là une grande qualité pour un auteur.



Le fait que nous suivions deux histoires en parallèle mais qui sont tout de même reliée est intéressante. Lire l'oeuvre du personnage, rafraîchissant.



Bonne lecture à tous!

Il se dégage une odeur de roussi dans ce tourne-page qu’est la nouvelle version remaniée de ce roman paru en 2015 chez XYZ Éditeur. Un roman « incisif, direct, parfois comique, mais surtout très efficace » comme le qualifie un des personnages de « Cochons rôtis ».



Avec son intrigue solide, tissée serrée, cette histoire de vengeance à plusieurs niveaux s’appuie sur une description des plus réaliste du travail quotidien des équipes de patrouilleurs en binôme associées aux postes de quartier du Service de police de la ville de Montréal (SPVM). Au point de se demander si le récit est fictionnel.



L’auteur met en scène une galerie de personnages principaux et secondaires tous crédibles et les fait évoluer dans des lieux bien connus de la métropole québécoise. De brefs détails biographiques sur les membres du « Groupe 2 du poste de quartier 16 » du SPVM sont livrés au lecteur en pages liminaires.



J’ai été accroché à cette histoire « porcine » dès les premières pages, intrigué par ce narrateur psychologue qui « passe le plus clair de [ses] journées à écouter les problèmes des autres » qu’il considère « même parfois jouissif, un plaisir coupable ». En refermant le livre, force est de constater qu’il n’avait pas tort. Et, en passant, impossible de deviner la conclusion de cette enquête. Je me retiens de vous la dévoiler même si cela me brûle les lèvres .



J’ai grandement apprécié les quelques notes en bas de page qu’a insérées le romancier pour nous faire découvrir des expressions consacrées du travail policier :



• la désignation des voitures de police en patrouille ;

• l’organisation du travail sur un cycle de 35 jours ;

• l’abréviation SD, sergent détective ;

• les quatre centres opérationnels (C.O.) sur l’île de Montréal ;

• les « fall in », les réunions de toute l’équipe de policiers avant le début du quart de travail ;

• l’abréviation R-D-P qui fait référence au Centre de détention Rivière-des-Prairies;

• l’abréviation D.H., la « dernière heure, c’est-à-dire que le policier est libéré plus tôt, sans avoir mangé » ;

• « Un gars de date : un gars qui a beaucoup d’ancienneté » ;

• « Faire la roulette : changer de partenaire de patrouille à chaque quart de travail » ;

• les abréviations « M » et « A » : congé pour maladie ou annuel ;

• « Être dans le ‘’ blanc ‘’, par opposition à être dans le ‘’ rouge ‘’ qui fait référence aux policiers qui ne sont pas conscients des dangers de leur environnement » ;

• « Pointer le péteux : sortir son arme de service » ;

• « Copycat : tueur en série qui imite le modus operandi d’un autre » ;

• l’abréviation MAS : moralité, alcool et stupéfiant ;

• 10-10 : « code utilisé sur les ondes radio pour indiquer ‘’ annulé ‘’ » ;

• 02 : « code pour indiquer une période de repas » ;

• « Sam Brown : nom de la ceinture de travail sur laquelle les policiers accrochent leur équipement » ;

• « Chemise bleue : en référence à l’uniforme porté par la police municipale, par opposition à la chemise verte de la Sûreté du Québec » ;

• « MAPP : Module d’action par projet – un groupe de policiers dégagés de la patrouille pour se concentrer sur le renseignement criminel dans leur secteur » ;

• « Être en coop : porter main-forte à un collègue sur un appel ».



De l’aveu même de Vic Verdier, ce dernier a appris toutes ces informations et bien d’autres sur le milieu policier, les procédures et le fonctionnement du SPVM ayant été longtemps marié à une policière :



« On en discutait souvent à la maison. J'ai appris les codes et pris conscience des défis que pose la profession. C’est un peu un passage obligé si on s'intéresse à ce que l'autre fait au travail. Les histoires, les attitudes, les anecdotes des groupes de travail de mon ex-femme ont donc naturellement trouvé leur place dans le roman. »



De plus, l’auteur remercie les policiers de Montréal qu’il a eu le plaisir de côtoyer « et qui ont agi comme autant de sources et de conseillers lors de l’écriture », content de les « avoir eus en coop sur cet appel ».



Par contre, j’ai été irrité en cours de lecture, par l’abus de mots, d’expressions, de portions de dialogues… empruntés à la langue anglaise dans un roman francophone écrit par un francophone. On me dira qu’il s’agit là du langage courant des policiers de Montréal. Si c’est le cas, on a une belle illustration que le français est en danger dans les forces de l’ordre. Il faudra m’expliquer pourquoi il n’en est pas ainsi dans la très grande majorité des polars dont les récits se déroulent dans la même ville, à la même période !



Malgré cette remarque de forme, « Cochon rôtis » est un excellent roman qui se lit d’une traite. Le lecteur est rapidement happé par le rythme de l’écriture. Les chutes de fins de chapitres et l’accumulation progressive des indices et des hypothèses rendent l’expérience addictive.



L’éditeur annonce la parution d’un deuxième tome des enquêtes de Vic Verdier récemment promu sergent-détective, trois ans après les événements racontés dans « Cochons rôtis ». Je brûle de me plonger à nouveau dans l’imaginaire d’un auteur que je viens de découvrir sur le tard.



Vic Verdier… est le pseudonyme de Simon-Pierre Pouliot, même patronyme qu’un des personnages flamboyants du roman. Diplômé en histoire de l'Université Laval et en communications de l'Université McGill, il a travaillé « à écrire plein de choses pour plein de monde, aussi bien au Cirque du Soleil qu'à la Commission de la construction du Québec ». Vic Verdier – un nom emprunté à son grand-père qui a lui-même publié des œuvres musicales dans les années 1960 – est un projet d'écriture qui s’inscrit dans difféents genres tout en se moquant des étiquettes : le thriller, la science-fiction, l'horreur et le polar.



Merci aux éditions Alire pour le service de presse.





Originalité/Choix du sujet : *****



Qualité littéraire : ****



Intrigue : *****



Psychologie des personnages : *****



Intérêt/Émotion ressentie : *****



Appréciation générale : *****


Lien : https://avisdelecturepolarsr..

Difficile d’expliquer ici pourquoi mon avis est mitigé sans spoiler.

Dans ce livre nous suivons une psychiatre dépassée par les événements qui se déroulent dans sa vie. Les choix en fins de chapitres sont assez limités et au final n’influencent pas beaucoup le restant de l’histoire.

Bonjour tout le monde!



Post lecture terminée #14



J’ai lu en LC avec … “Jack et le Haricot Magique”, les contes interdits, de Vic Verdier aux éditions ADA.

Attention certaines scènes sont choquantes, cette lecture est réservée à un public averti.



Résumé



Jack est un petit génie de l’informatique et met au point un programme de fraude bancaire…

Harper son amie de l’université est tombée dans la protitution et rêve de révolutionner le monde la musique, et pour ça elle est prête à tout…

Victor Verdier un géant criminel sans scrupule, qui maltraite et humilie sa sa jeune femme et pas que…



Mon point de vue



Vous l’aurez compris nous sommes dans une version bien loin de celle que nous connaissons où vous trouverez de nombreuses scènes de tortures qui m’ont parfois un peu choqué. La trame du conte d’origine est plutôt bien respectée, on retrouve pas mal de similitudes.



Pour tout vous dire le début de ma lecture a été un peu compliqué, beaucoup de mal avec les expressions québécoises, et je n’arrivais pas à rentrer dans l’histoire, mais d’un coup tout s’est débloqué, et pour être honnête l’intrigue est vraiment géniale, si bien qu'après j’ai eu du mal à le lâcher. Il n’y a pas de temps mort, tout s'enchaîne et l’histoire est vraiment très prenante. Je ne peux que vous le conseiller si vous êtes adepte de ce genre de lecture.



Ici les maîtres mots sont trahison et vengeance!! Et la fin est vraiment excellente, je ne regrette pas d’avoir persévéré car cela vallait vraiment coup! Et au final il est l’un de mes préférés.



Jack est un geek, il parait un peu naïf avec son côté renfermé, il vit seul avec sa mère et passe le plus clair de son temps dans son sous-sol, mais au final les apparences sont trompeuses!! Harper je l’ai détesté qu’elle peste vraiment!! J’ai eu beaucoup de compassion pour Nicky la femme du géant, sa vie est un véritable enfer.



Certains passages sont vraiment très glauques, pourtant j’ai l’habitude de ce genre de lecture mais là, franchement c’était vraiment très dur par moment au point d’en ressentir la douleur.



Je commence à en avoir lu un certain nombre de cette collection et celui-ci m'a particulièrement marqué autant par son intrigue que par ces scènes abominables.



Connaissez vous cette collection ? En avez-vous déjà lu?

Une revisite qui n’est pas du tout, enfantine et bien sanglante du conte de « Jack et le haricot magique ». Je pense que même si ce n’est pas l’un de mes contes interdits favoris, j’ai beaucoup apprécié cette lecture, en même temps c’est une collection que j’adore. Même si je ne connais pas pleinement l’histoire originelle de Jack et le Haricot magique, je pense avoir retrouvé certains éléments et certains personnages et certains parallèles. En tout cas, âmes sensibles s’abstenir de lire ce conte car il est bien glauque. Mais il y a eu pire description dans les contes interdits.

L'idée paraissait originale mais finalement très moyen. L'histoire est insignifiante. Très éloigné d'un bon thriller je n'ai pas pris plaisir ni au style ni à l'histoire. Si la possibilité de choisir des voies différentes à des moments du roman pouvait être intéressant, il fallait à minima une intrigue digne d'intérêt ce qui pour ma part ne l'a pas été.

Jack et le haricot magique a été pour moi une bonne lecture. Un peu dur au démarrage car je ne suis pas familière avec le québécois, surtout qu'un personnage essaie de parler un anglais très personnel qui m'a donné du fil à retordre durant le premier chapitre. Mais une fois ces quelques pages passée, tout s'enchaîne. Il m'a fallu être attentive au début de l'histoire pour assimiler les personnages et comprendre l'intrigue, mais encore une fois l'effort à été rapidement récompensé et il m'a été difficile de lâcher le livre jusqu'à la fin. Et en parlant de la fin, je l'ai trouvée excellente. Encore une fois je suis contente de m'être lancée dans la lecture des contes interdits et celui-ci est un peu plus soft que les autres mais reste violent et déconseillé aux âmes sensibles. Bref, ce fut une bonne lecture pour ma part.

« Jack et le Haricot Magique » est trop bon! Et Vic Verdier est plus grand que nature! Une très bonne histoire de vol, de violence, de vengeance et de trahisons. Un excellent rythme, une histoire qui monte en intensité, j’ai bien aimé ma lecture! Bien hâte de lire la suite (ou l’avant) en mars prochain. Bravo Simon-Pierre Pouliot!

Bon et bien, c'était bien mais c'était pas une excellente lecture. Je m'explique. Ici on est sur la recherche du pouvoir, de l'argent et sur une vengeance très bien réfléchis.

Jack a été utilisé et on lui a volé son projet informatique (il y a des phrases sur ce thème qui par moment me perdais...beaucoup). Il se retrouve blessé et cherche à se venger.

Il est réfléchit, méthodique et par moment il joue avec le feu. Il apparaît aussi par moment comme le héros qui sauve les demoiselles en détresse.

Il y a du hard, du gore. Certaines scènes m'ont fait grimacer mais je n'ai pas frissonné comme cela m'est arrivé avec mon dernier conte interdit. Mais ce n'est pas grave, l'histoire se lit bien mais voilà ça ne l'a pas spécialement fait avec moi.

J’ai bien aimé l’histoire de ce personnage atypique, surtout la comparaison avec Hulk et la sous histoire autour de Nicky. Ames sensibles s’abstenir : c’est extrêmement violent et les scènes sont expliquées en détail, de quoi vous retourner l’estomac

Un début un peu fouilli. On a du mal à comprendre qui sont les différents personnages, à quelle époque de l'histoire se situe, qu'est-ce qui s'est passé… Tout au long de l'histoire, j'ai eu l'impression de n'avoir que des fragments de celle-ci. Comme s'il manquait des parties pour compléter le livre. Certaines scènes sont assez "spicys" ; elles sont, pour moi, un exemple du CNC (Consentement Non Consenti). Elles sont explicites, franches et difficiles. Elles sont le parfait exemple du non-respect de la femme, de l'humiliation *segsuelle* et de la domination sadique. Finalement, il y a peu d’horreur. Ce n'est pas ce à quoi je suis habituée. Cette version du conte est parfaite pour commencer la collection en douceur. Si vous aimez les aventures comateuses peuplée de secrets technologiques, montez dans l'ascenseur qui vous mènera dans les coulisses d'un magnat de l'économie...

Un informaticien qui sort du coma après plusieurs année veut se venger du monde qui lui ont voler son application Web et qui l'ont tabasser à mort. Une très bonne histoire, un des meilleurs contes interdits qu'en j'ai lu récemment. Les scènes sont assez torrides.

Me voila moyennement convaincue.



J’ai lu ce conte interdit en une soirée mais je reste vraiment mitigée.



D’abord, j’ai eu beaucoup de mal à accrocher à l’histoire avec tout le vocabulaire informatique. L’histoire m’a rapidement ennuyé car je ne comprenais pas ce que l’auteur voulait nous faire comprendre.



Puis, quand l’histoire a commencé à s’installer, j’ai rapidement compris le lien entre le conte interdit et le vrai conte. J’ai trouvé ça bien joué: le haricot magique, le géant et sa femme (d’ailleurs j’adore le clin d’œil que l’auteur se fait à lui même), la poule aux œufs d’or… on y retrouve bien le conte original.



Beaucoup de violence, de tortures, peu de sexe mais tant mieux, je n’aime pas les scènes de sexes qui n’ont pas d’intérêt à l’histoire. Ce roman se lit quand même très rapidement.



Je pourrais presque le relire pour comprendre le jargon du début, mais maintenant que je connais la fin, je n’ai pas envie de me replonger dans les scènes qui restent très violentes

💻 Jack et le haricot magique 💻

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Un jeune informaticien programme une fraude bancaire

Une amitié , une trahison, le coma , la vengeance...

Voilàa ce qui vous attends dans ce contes interdit de @vicverdier .

Comme vous le savez déjà je suis une grande fan des contes interdits.

C'est le premier de Vic Verdier ( enfin Simon-Pierre POULIOT).

Je trouve que l'histoire a été longue à se lancer . Au bout d'une quarantaine de pages, les affaires commencent .

C'est un peu moins trash que certains contes interdits mais il est très bien .

Bon il faut avoir certaines bases en informatique car parfois l'auteur m'a un peu perdu dans les mots techniques😂.
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