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Critiques de Yuki Kodama (II) (78)
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Kids on the slope, tome 7

Ritstuko semble vouloir se rapprocher de Kaoru, ce dernier saisira-t-il sa chance ?

Tout change pour notre petit groupe...
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The Blue Flowers and The Ceramic Forest, to..

J'avais vraiment regretté de ne pas avoir pris le 2e tome en même temps que le premier, mais c'était mon premier manga, alors, j'ai préféré jouer la prudence !

Je n'ai donc pas perdu de temps pour retourner à la librairie puisque l'expérience avec le premier volume s'était révélée concluante.



J'ai retrouvé avec plaisir Aoko et Tatsuki.

J'aime bien la relation qui se tisse entre les deux, elle est faite de quelques maladresses et incompréhensions mais il y a un côté touchant.

La place de la fabrication de céramique permet aussi de découvrir d'avantage cet artisanat et c'est très intéressant.

Me concernant je découvre aussi le Japon par la même occasion.



Le seul côté frustrant est l'attente entre les tomes, car ce découpage en série, se clôture à chaque fois sur un nouvel élément perturbateur...et cela promet de se répéter un certain nombre de fois, puisque la série est en 10 tomes ! Heureusement, le tome 3 est annoncé pour le 10 avril !



Du côté du dessin, je suis vraiment ravie, c'est vraiment doux, épuré. Cela me convient parfaitement.



Par contre la police d'écriture est un peu petite, surtout pour les notes...qui sont parfois peu lisibles car située presque dans la pliure.



J'attends maintenant la suite avec impatience !
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The Blue flowers and the ceramic forest, to..





Mangetsu crée la surprise en publiant ici non seulement un josei, lui dont le directeur éditorial semblait peu friand de lecture au féminin à ses débuts, et en signant en plus le retour de Yuki Kodama que les fans de shojos plus matures regrettaient grandement. Ce fut un pari largement gagnant pour moi.



J’ai autrefois eu la chance, dans les années 2010, de lire Kids on the slope, la série phare de l’autrice. Elle avait fait souffler un vent de fraîcheur avec son trait très épuré, son histoire en apparence simple et ses émotions pourtant à fleur de peau. Cela avait été une très belle incursion dans son univers et surtout son interprétation de ce Japon si jazzy et rock’n’roll des années 60-70. Depuis lors, silence radio chez nous, alors qu’elle continue à publier chez elle dans le célèbre et qualitatif magazine Flowers, c’est donc avec un plaisir certain que je l’ai retrouvée ici.



J’ai vraiment apprécié de retrouver sa touche. C’est-à-dire une histoire en apparence très simple mais cache en fait une belle profondeur psychologique. Cette fois, pas de lycéen, pas de musique, des personnages plus âgés, proches de la trentaine et une autre passion : la poterie, la céramique. Ça tombe bien, je ne demande qu’à découvrir cet univers et je suis ravie de le faire avec des personnages plus proches de moi en âge ! Car en effet, dans le panorama du shojo en France, il y a quand même assez peu de titres avec des personnages au-delà de la vingtaine et je suis ravie de voir peu à peu les choses changer.



Ici, nous allons à la rencontre des membres d’un atelier de poterie dans une ville célèbre pour cela. Un jour, un nouveau venu arrive et bouleverse un peu leur équilibre, surtout celui d’Aoko, passionnée par la peinture sur céramique. D’emblée on sent l’autrice nous proposer une petite romance comme elle en a le secret, avec ici le célèbre trope du ennemis to lovers que nous sommes beaucoup à chérir. Nous suivons donc avec amusement les échanges tendus entre Tatsuki, fraîchement débarqué de Finlande et passionné de céramique blanche et uniquement blanche, et Aoko, qui elle est une militante de la peinture sur ces jolis objets. Cela ne peut faire que des étincelles.



Mais le talent de Yuki Kodama est de proposer, derrière ce schéma narratif assez classique, une histoire toute en nuances. Elle dévoile déjà dans ce premier volume un protagoniste qui n’est pas dépourvu de saveur, avec un Tatsuki qui semble avoir certains traumas, expliquant et son retour et son caractère un peu lointain et taciturne. Aoko, elle, nous livre avec enthousiasme sa passion et fait montre d’une imagination des plus fertiles dès qu’elle touche les oeuvres du jeune homme. Cela ne peut que donner lieu à une très belle rencontre entre eux qu’on a forcément envie de vite se déployer sous nous yeux.



Cependant l’autrice gère à merveille sa narration. Elle nous offre ici à la fois poésie, émotion, tendre humour et mystère. Elle sait nous faire patienter et miroiter une suite plus piquante et émouvante encore. Elle manie avec brio le verbe et crée des situations d’échange à mettre des étoiles dans nos yeux, qu’il s’agisse de poterie ou de sentiments. On frétille d’avance. Surtout que son dessin, toujours aussi simple et épuré, se livre parfois à de belles envolées lyrique lui aussi et qu’on est éblouis par la pureté des lignes du travail de Tatsuki et la luxuriance de la nature des motifs d’Aoko. Un très beau mélange.



Vous l’aurez compris, je suis totalement conquise par le premier tome de ce qui semble se présenter comme une belle et mélancolique comédie romantique adulte via le prisme de la céramique d’art. Le retour de Yuki Kodama est ainsi une belle surprise et une franche réussite, car c’est une autrice qui sait me faire rêver malgré sa simplicité. Nulle doute que cette nouvelle série ira aussi droit à mon coeur comme sa précédente. D’ailleurs une petite réédition, ce ne serait pas mal, non ?
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The Blue Flowers and The Ceramic Forest, to..

Cette année les amateurs de romances adultes sont vraiment gâtés avec les parutions des éditeurs, cela faisait longtemps qu’ils n’avait pas eu autant de titres leur étant destinés disponibles en même temps et c’est un vrai bonheur d’être confronté à des histoires qui nous parlent vraiment et résonnent en nous.



Après des débuts peut-être un peu légers et tirant sur la comédie, nous entrons de plus en plus dans le coeur de l’intrigue et ce n’est pas un coeur pour rose, mais plutôt un coeur fêlé riche en teintes et couleurs. L’ex d’Aoko refait surface comme si de rien n’était alors qu’il l’a fait terriblement souffrir et qu’elle a mis du temps à se remettre. Heureusement son amie Shinobu et son nouveau collègue Tatsuki sont là pour l’aider et la protéger.



La thématique de l’ex est un grand classique de la romance, mais souvent je trouve qu’elle est traitée bien caricaturalement dans le manga. Ça m’a fait du bien ici de voir une autrice y apporter autant de nuance et de réalisme. Elle nous présente un homme qui est parti du jour au lendemain sous un bon prétexte mais qui a ensuite coupé les ponts, et qui revient un peu la bouche en coeur comme si de rien n’était. On pourrait facilement le détester. On pourrait imaginer le harceleur qui insiste pour reconquérir celle qu’il voit comme une évidence pour lui. C’est plus fin que ça. L’autrice rend à merveille les tourments de chacun. Elle nous montre la grande gentillesse de cet homme, sa jovialité, bref ce qui a fait craquer Aoko autrefois. Mais elle nous montre aussi le versant plus sombre, celui de la rupture mal digérée, celui de la souffrance et du traumatisme que ce fut pour cette artiste fragile.



Ce fut donc une très belle idée de petit à petit instiller sur ces bases un rapprochement avec Tatsuki, ce collègue taciturne arrivé il y a peu, qui a trouvé une forme de camaraderie et d’écho avec Aoko, dans leur passion commune pour la céramique. Alors comme elle l’a aidé à surmonter un peu son propre trauma, il compte bien, avec sa discrétion naturelle, l’aider lui aussi et l’accompagner dans ce moment. J’ai beaucoup aimé là aussi la finesse d’écriture de l’autrice qui tout en reprenant des codes bien connus rend cela très mature. On n’a pas de crêpage de chignons, on n’a pas de disputes violentes. On a juste des moments où on ose se dire les choses avec honnêteté, on a des moments où on tend la main et aide son prochain, c’est simple mais c’est beau. Ainsi le rapprochement qui s’était entamé entre Aoko et Tatsuki se poursuit avec une belle profondeur et une riche émotion.



Leur passion pour la céramique est encore un superbe vecteur de communication. Ayant du mal à exprimer chacun leurs sentiments, on les comprend bien mieux à travers leur art. Quand ça ne va pas, Aoko commet des bourde ou n’arrive à rien. Quand une connexion s’établit entre eux, on le voit direct dans l’assiette qu’ils ont réalisé en commun. Et l’autrice s’empare à merveille de la chose pour exprimer dans son trait avec force et puissance la beauté et la richesse de cet art. Les planches autour de la céramique sont toujours aussi magique, poétique et parfois même sensuelle.



Tome peut-être un peu plus doux-amer, il amorce une très belle évolution encore plus en profondeur d’une série qui déjà m’avait touchée par le pouvoir thérapeutique de l’art qu’elle célébrait. En abordant avec maturité la thématique de la blessure sentimentale, Yuki Kodama retrouve pleinement toute la finesse que je lui connaissais et j’ai déjà très très hâte de continuer à voir Tatsuki s’ouvrir et Aoko guérir à son contact. C’est vraiment émouvant.
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The Blue Flowers and The Ceramic Forest, to..

Un second tome qui tient toutes les promesses du précédent ; on y retrouve la délicatesse des traits et la sensibilité des personnages qui œuvrent ensemble dans l’un des ateliers de poterie de la ville de Hasami. Si Aoko, peintre sur céramique, y travaille depuis un petit moment, étant native de la ville, Tatsuki, tourneur, vient d’arriver pour réapprendre les bases de la poterie.



« Tu dis ça... parce que c'est difficile pour toi de sympathiser avec eux... en sachant que tu ne comptes pas rester plus d'un an ? » Aoko est très sociable, et elle ne comprend pas que Tatsuki soit si renfermé, si solitaire. D’autant plus qu’elle a pu voir sur la tablette de celui- ci une photo de lui souriant et heureux.



« Tu es encore plus stupide que je le pensais. » Alors qu’elle tente de percer la carapace de son nouveau collègue, Aoko se prend cette réflexion terriblement humiliante…



« Ce motif est parfait parce que c'est toi qui l'as imaginé, Aoko... » Et puis quelques temps plus tard, dans le cadre d’un concours interne à leur atelier, dans lequel on leur demande de faire équipe, Tatsuki sort ces paroles plus que tendres. Que se passe-t-il ?



Au final, un deuxième tome dans lequel on voit nos deux protagonistes évoluer, et qui laisse le lecteur sur sa faim ! Heureusement que le tome 3 vient tout juste de sortir !

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The Blue Flowers and The Ceramic Forest, to..





Mais quel plaisir vraiment de retrouver à la fois Yuki Kodama et l’émotion de ses histoires et une comédie romantique mettant en scène des personnages adultes. The Blue Flowers and the ceramic forest est vraiment la lecture que je n’attendais pas et je suis ravie de tomber dessus.



Comme L’amour est dans le thé, mais dans un registre plus sérieux et dramatique, nous avons là sur le marché français, enfin des romances qui s’adressent à un public adulte et surfent sur le succès de ce genre ces derniers temps. Ça fait plaisir. Mais résumer The Blue Flowers à cela serait un peu juste. C’est également une très belle histoire tranche de vie, mettant magnifiquement en valeur, à l’image de ces couvertures aux motifs changeants, la passion des héros pour la céramique. Et j’avoue que j’adore leur duo !



Tandis que les éléments pour une romance slow burn sont enclenchés et que l’autrice développe joliment, en prenant son temps, le passif de chacun, nous assistons aussi à un beau rapprochement sous l’égide de leur passion commune : la céramique. J’ai adoré voir leur duo chien-chat entamer un rapprochement sous prétexte d’un festival puis d’un concours. Leurs deux visions de leur art se complètent bien au final et leurs réalisations sont ainsi splendides ! J’ai été fascinée par la forme donnée à leur première création mais également par la variété des motifs. J’ai été émue par la passion de Tatsuki pour le tourage et la forme qu’il donne à ses objets, ce qui s’est accentué lors de leur seconde réalisation commune. Bref, c’est un duo qui professionnellement marche très bien pour moi.



Mais c’est également un duo qui commence à fonctionner plutôt bien personnellement également. L’autrice use avec astuce et finesse de certains schémas scénaristiques bien connus des amateurs de romances, pour rapprocher ses personnages et leur offrir l’occasion de s’ouvrir. Nous assistons ainsi entre émotion et tendre humour, à un très beau moment confession de la part de Tatsuki, qui explique bien pourquoi il est ainsi. Et ensuite, nous assistons peu à peu à un rapprochement entre eux avec des petites scènes basiques de la vie en atelier, mais où on voit une complicité nouvelle. Charmant.

Dans ce délicat mélange d’artisanat d’art et de comédie romantique, en prenant son temps, l’autrice nous offre la rencontre et le portrait d’un fort joli duo d’artistes qui aurait tout pour s’entendre. C’est beau, c’est plein d’amour pour la céramique et c’est poignant aussi au vu de leurs parcours. C’est un bien joli retour tout en émotion pour Yuki Kodama et je remercie Mangetsu d’avoir redonné sa chance à cette belle figure du shojo/josei manga.
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Kids on the slope, tome 1

Voilà une incursion intéressante dans le swinging Tokyo des années 60. C’est bien connu que ce fut une place importante pour le jazz. Il faut savoir que ce pays possède la plus grande proportion d'amateurs de jazz dans le monde selon certaines estimations.



Pour le reste, nous avons une histoire classique entre trois lycéens formant une espèce de triangle amoureux. Dans ce trio, deux protagonistes que tout semble opposer et qui vont devenir très amis pour une passion commune : la musique et notamment le jazz.



La trame est certes classique mais la lecture très agréable avec un bon enchaînement des événements. Il se distille tout de suite une certaine ambiance qu’on apprécie. C’est une série bien réalisé. Il est dommage que l’édition n’a pas fait particulièrement un gros effort. En conclusion, un titre qui entre dans le rythme car le contraire serait un comble.
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Chiisako garden

Un manga fantastique plein de poésie, idéal pour se détendre, un régal !
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Chiisako garden

J’attendais énormément ce manga que j’ai adoré. Certes nous capturons des instants de vie mais nous n’oublions pas d’avoir des surprises, de relier les choses. Ainsi nous ne sommes en aucun cas frustré.

Magnifique livre, magnifiques histoires. C’est beau, c’est touchant. Le graphisme est sublime. Et un voir un humain sympathisait avec un chiisako ça n’a pas de prix.

Une merveille
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Kids on the Slope, tome 2

Un deuxième tome qui permet de nouer la trame classique des shojos : l'amour.

On est en plein marivaudage avec la fameuse intrigue de "qui aime qui?", les interprétations liées à tout cela, les stratagèmes pour que les gens se déclarent, les maladresses laissant supposer que les sentiments ne sont pas partagées.... Tout cela avec en arrière fond le jazz et la recherche du swing, l'acquisition d'une liberté émotionnelle pour s'approprier cette musique. C'est charmant!
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Kids on the slope, tome 1

Un joli shojo autour de l'univers du jazz et des années 60. Nishimi, jeune lycéen introverti, à l'habitude de passer de classes en classes au gré des déménagements. Sujet à de profondes crises d'angoisse, il se lie d'amitié à son plus grand étonnement avec la petite frappe locale Kawabuchi et la charmante Nishimi.

Ce premier tome d'introduction aux personnages est vraiment charmant. La petite histoire surréaliste sur l'homme graine de fin de livre est pleine de poésie et originale.
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The Blue flowers and the ceramic forest, to..

Jamais je n'aurais cru qu'un manga sur la céramique serait aussi captivant. On voit vraiment les étapes de fabrication de la ceramique artisanale. L'histoire d'amour se met tout doucement en place car au départ rien ne laisse supposer qu'il s'agit d'un shojo. Totalement embarquée par la passion d'Aoko pour la peinture sur céramique !

Bravo Mangetsu
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Kids on the slope, tome 9

Dernier tome de la série qui est assez inégale selon les chapitres. Celui-ci a une trame classique pour clôturer un récit. Un évènement (la fuite de Sentarô) amène l'éclatement du groupe d'amis et on reprend l'histoire quelques années plus tard avec la révélation du destin de chacun. C'est assez tendre et surprenant.

Le jazz reste en arrière fond comme le hobby sympathique de tout le monde (j'ai un peu de mal à croire qu’après des années à ne pas jouer ensemble on y parvienne mais bon) et je pense que c'est ce qui m'a le plus déçu. J'aurais aimé quelque chose de plus éclatant et artistique pour la musique qu'un simple retour à l'ordre établi et codifié. Bref une lecture sympathique dans l'ensemble mais qui manque un peu de corps et d'âme par moment.
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Kids on the Slope, tome 2

Après un premier tome qui me laissait quand même sur ma faim, j'ai été vraiment convaincu par ce tome. On y retrouve bien sûr la musique au premier plan, mais surtout l'amitié qui lie les personnages et les bluettes amoureuses propres à tous les ados. J'aime le traitement qui est fait du personnage de Kaoru et le regard qu'il porte sur leur histoire. Beaucoup de jolis moment^^
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The Blue flowers and the ceramic forest, to..

La céramique. C'est la première fois que je lis un manga sur ce thème et celui-ci est particulièrement réussi.

On a quelques termes de techniques bien sûr. Mais l'histoire est avant tout centrée sur la relation entre les deux personnages de la couverture. Vont-ils réussir à s'apprivoiser et se comprendre ? La fin du premier tome laisse entrevoir une petite complication.

Le dessin est très beau et fin. Une jolie réussite à offrir à tous ceux qui s'essaient au tour !
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The Blue Flowers and The Ceramic Forest, to..

Le tome 3 à peine arrivé chez la libraire, puisque sa date de sortie était le 10 avril, aussitôt récupéré et aussitôt lu ! Merci à mon mari qui a été le chercher pour moi ^^ m'épargnant une attente interminable !



Bon, l'attente interminable va se poursuivre...au moins 2 mois. Le site de l'éditeur indique une sortie du 4e tome prévue autour du 5 juin !



Je n'aurais jamais cru qu'un manga pourrait autant me plaire. Bon, je n'ai pas une très grande expérience, comme je l'ai déjà dit sur les 2 premiers volumes, mais je ne regrette pas mon choix.



Je me débrouille de mieux en mieux avec le sens de lecture, quelques petits loupés par moment, mais globalement ça va.



Le dessin est toujours aussi clair, net et élégant.Mais je ressent toujours le côté frustrant du noir et blanc.



L'histoire avance tranquillement, à chaque tome on apprend un peu plus de l'un ou l'autre des personnages.

Je me suis vraiment attachée à Aoko et Tatsuki. Ils me touchent beaucoup.



Dans ce tome, un élément perturbateur dans la personne de Kumahei vient troubler Aoko. Mais ce 3e tome ne permet pas de savoir exactement ce qu'il s'est passé...



C'est peut-être l'aspect le plus frustrant pour moi. L'histoire prend son temps, et en même temps, comme les suites ne sont pas encore traduites, on reste sur notre faim...et en même temps, si j'avais déjà les 10 sous la main, je les aurais déjà tous lus et j'aurais peut être été déçue que ça soit déjà terminé, alors que là, j'attends la suite avec impatience !



Si vous n'êtes pas habitués aux mangas, si vous aimez l'univers de l'artisanat et de la céramique en particulier et une histoire d'amour naissante, cette série pourrait vous plaire.



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Chiisako garden

J’ai eu ce livre dans un swap que j’ai organisé avec ma sœur. En effet une à deux fois par an, on s’organise un swap sur un thème donner. Là c’était les mangas. Je l’avais vu dans un cultura et avait dit que la couverture me plaisait beaucoup. Donc je l’ai un peu choisi pour la couverture sans même savoir si les dessins ou l’histoire serait susceptible de me plaire. Et j’ai appris récemment que l’auteur allait en sortir un second tome et je suis très heureuse de le savoir…

Nous sommes sur un manga seinen de type josei qui aborde des thèmes tranche de vie et fantastique.

A l’intérieur on y découvre plusieurs petites histoires sur les chiisakos sans rapport les unes aux autres sauf pour la première et l’avant-dernière. Car le chiisako présent dans la première histoire et le même que dans l’avant-dernière. Même si les histoires n’ont aucun rapport entre elles, je les ai trouvés très bien menée. Elles ont belles et tournent toutes autour du thème de l’amour. Que ce soit l’amour d’une mère pour son enfant ou un premier amour. On apprend d’ailleurs dans le livre que les humains ne voient plus les chiisakos une fois qu’ils ont connus l’amour.

Ce manga m’a permis d’en apprendre un peu plus sur le folklore japonais. Car il est vrai que je ne connaissais pas du tout les chiisakos avant d’ouvrir ce livre. Je connaissais les yokais et certaines créatures fantastique du folklore japonais mais je n’avais jamais vu les chiisakos. Sans doute parce qu’ils ont été inventé par l’autrice elle-même mais je n’en suis pas totalement sûr.

Je me suis beaucoup attachée aux personnages. Ils avaient tous le petit truc qui les rendaient attachant. Mais si je ne devais choisir que deux personnages je dirais que je choisirais Ten que j’ai trouvé aussi mimi que téméraire. Mon cœur a adoré Araï, je l’ai trouvé touchant et quand il s’est rendu compte qu’il éprouvait de l’amour pour sa romancière mon cœur à chavirer. Il était tellement gêné que j’ai trouvé cela adorable.

Côté dessins… Je dois dire que je ne suis pas très fan de ce style. J’ai trouvé les chiisakos plein de détails et les humains négligeaient. Je pense que les deux auraient pu être mieux exploités. La couverture était tellement belle que je m’attendais à une qualité de dessin énorme qui aller me faire voyage et pas du tout en fait. Même les arrières plans ne sont pas trop travailler alors que cela aurait peut-être donner une plus-value au manga et à l’histoire autour de chiisako. Si les histoires n’avaient pas été aussi belles, je ne sais pas si j’aurais apprécié ma lecture.

Dans l’ensemble j’ai adoré le manga. C’était une lecture très légère qui ma permis de découvrir un nouvel mangaka et de finir l’année sur de bonne base. Je pense m’intéresser à l’auteur et ne pas rater sa prochaine parution. Je croise les doigts pour que les dessins soient juste un peu plus travailler pour me faire voyager un peu plus encore.
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Chiisako garden

Comme l’explique le résumé, ce one shot est en fait un recueil de cinq histoires courtes, partageant les mêmes thématiques et mettant les chiisakos au cœur des interactions. Car ces créatures, vues seulement par les enfants, les gens ne connaissant pas l’amour ou ceux proches de la mort, semblent être des révélateurs de ce que les gens ont en eux et de leurs sentiments.



Ainsi, le dénominateur commun de toutes ces histoires est qu’au contact des chiisakos, les différents personnages vont s’ouvrir aux autres et parfois prendre conscience de sentiments qu’ils éprouvent. Que ce soit une mère qui finit par comprendre sa fille, un éditeur qui se rend compte que sa relation à son autrice n’est pas seulement professionnelle, ou autre… les chiisakos apparaissent comme de petits esprits assez espiègles qui sont connectés aux sentiments humains aussi bien qu’à la nature.



Et justement, la nature ne me semble finalement pas au cœur du récit, contrairement à ce que je croyais. Ce n’est pas un problème en soi, car la thématique principale réelle, qui est la complexité des rapports humains, est également passionnante et traitée avec intelligence. De plus, une autre couche thématique vient s’y ajouter du fait que dans plusieurs histoires, le rapport à l’imaginaire et à la fiction est central. En effet, plusieurs personnages sont auteurs ou travaillent au contact de ces derniers.



Et sur ce point, c’est clairement la dernière histoire qui va le plus loin selon moi. Sans en dévoiler trop, elle est centrée sur une autrice à succès, sur le point de mourir de vieillesse, qui a été marquée par sa rencontre avec un prince chiisako durant sa jeunesse. Elle traite ainsi les deux thématiques conjointement pour mon plus grand plaisir, et trouve une conclusion très touchante. Et c’est finalement ce qui m’a manqué dans les autres histoires, ce qui fait que, bien que la lecture ait été agréable, ce n’est pas un coup de cœur pour moi.



En résumé, je recherchais de belles émotions dans ces récits, et je dois avouer que seul le dernier m’a vraiment offert cela. Les autres sont très réussis au demeurant, mais me concernant, je n’ai pas été touché plus que ça. Est-ce que pour autant je dirai que ce recueil n’est pas à la hauteur ? D’un côté, j’en attendais plus, mais de l’autre, je dois admettre que c’est quand même une bonne lecture, très bien écrite et intéressante. Mais comme toujours, tout cela reste très personnel.
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Kids on the slope, tome 1

Kaoru Nishimi est un fils à papa fraîchement arrivé dans la villa de son oncle. Il est de formation classique, joue du piano et a toujours été le meilleur de sa classe. Lors de son arrivée dans son nouveau lycée, il est renfrogné et un peu inquiet car la moindre contrariété lui donne la nausée. Il va faire la connaissance de Sentaro, un jeune homme bagarreur un peu bad boy et de Ritsu, la jolie déléguée de classe. Ensemble, ils vont former un trio d’amis réunis par la passion du jazz.

Un manga plein de bons sentiments, un peu facile et niais par moment (à l’image de Sentaro, qui est censé être redouté de tous, mais qui n’est pas si impressionnant que ça, et de Ritsu, un peu agaçante, comme un cliché de maîtresse d’école.) Cependant, cela reste une lecture agréable qui promet des découvertes sur l’univers assez confidentiel du jazz.

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The Blue flowers and the ceramic forest, to..

Une très belle découverte tout en douceur !



Cet année, je me suis décidée à lire davantage de josei. Ainsi lorsque j'ai découvert ce titre qui allie mon objectif avec un art que j'affectionne particulièrement, la poterie, je n'ai pas pu résister très longtemps !



J'ai donc profité de la sortie combinée des deux premiers tomes pour me lancer dans cette série. D'ailleurs, je pense que ça m'a permise de mieux m'immerger et profiter !



Les dessins sont simples, épurés, laissant tout l'espace aux personnages pour exprimer leur non-dits.

Les motifs sur céramique sont également très élégants ! Ca m'a donné envie de me rendre à Hasami, le village de la poterie, pour les voir de mes propres yeux. (Oui, le village existe vraiment)



En bref, une lecture très agréable, feel-good, qui démarre très bien !
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