Yun Koga

M’aimer, c’est m’accepter moi comme je suis.

« Tu es l’unique. Je n’ai besoin de personne d’autre. Je t’offre tout. Jusqu’à ma dernière goutte de sang… Tu es le seul… »
Ce n’est pas de la force ça. Ce n’est pas de l’amour… Pauvre Seimei.

On peut détruire le cœur sans toucher au corps. Tu comprends ?

Tout le monde a le droit de vivre par lui-même.

Les mots sont comme des bombes qui jaillissent des lèvres. Ils transpercent le cœur de l’autre.

L’abandon du combat est pire que la défaite.

- C’est toi qui me plais, c’est tout ! Tu peux enfler ou vieillir, tu seras toujours toi-même. C’est ça aimer sincèrement !
- Alors tu es amoureuse de mon âme ?
- Exactement ! De ton âme.

La douleur est la preuve que l’on est en vie.

Quoi qu’il arrive plus tard, même si cela change, pour l’instant, ils sont avec moi. C’est suffisant pour moi.

Croire, ça veut dire quoi ? Je ne sais pas, mais même si tu me trahis, je te pardonnerai. Pour moi, c’est cela croire en quelqu’un.

Ne pardonne à personne de te faire du mal.

Nous ne saisissons ni nos sentiments, ni ceux des autres. Même pas la douleur. Par contre, nous pouvons la comprendre, s’il y a une raison. C’est la seule chose qui nous relie au monde. Les raisons sont très importantes… Tout dépend de cela.

Il n'y a pas plus important que l'amour...Sans doute...

Lorsque je désire une chose, il me la faut sur le champ. Je ne peux pas attendre. J’oublie le reste et je fais tout pour l’obtenir. Mais une fois que j’y suis arrivé, ça recommence avec quelque chose d’autre, et ainsi de suite…

- La douleur sert de signal de défense et vous n'en avez pas, alors vous risquez de mourir facilement. Aucune méfiance ne sera suffisante. [...]
- On est capable de tout vu qu'on n'a pas mal. C'est pour ça qu'on peut détruire.
- On ne ressent ni notre douleur, ni celle des autres. Ça pose un problème ?

La pluie me rend mélancolique...
Je n'ai aucune envie de faire quoi que ce soit...
Dans ce cas...
Je ne me force pas, surtout pas de corvée...
Je ne veux pas me lever...
Donc je reste au lit...
Je ne veux pas travailler.
Donc je reste au lit...

- Aujourd'hui encore, tu l'aimes ?
- Bien sûr ! Si je m'en détachais au premier problème, ce ne serait pas de l'amour !

Pour que seules les choses vraies parviennent.

Je me fiche de ce qui est bien ou non. Je punirai celui qui m'a rendu seul.

La douleur engendre la peur. Tu ne dois pas la redouter. Habitue-toi