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Critiques de Yusuke Osawa (37)
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Green Worldz, tome 2

Au XXI siècle le réchauffement climatique est plus que jamais un problème. Les grandes villes, dont Tokyo, ont entamé une politique de "reforestation urbaine". Akira, un jeune lycéen, prend le métro dans l'idée d'aller voir Yui, son amie d'enfance dont il est amoureux depuis toujours mais à qui il n'a jamais pu avouer ses sentiments. Soudainement, une coupure de courant bloque l'ensemble de la rame. Bientôt Akira et un groupe de passagers réalisent que c'est l'ensemble du métro qui est concerné. En plus, des événements étranges semblent se produire à la surface. Quand enfin Akira peut quitter le métro, il découvre que le monde a changé...Des plantes gigantesques se sont mises à attaquer les hommes...



Dans ce tome 2 on découvre que la menace principale n'est peut-être pas celle que l'on croit...En tous cas, si les plantes sont un problème le jour, ce n'est pas le cas la nuit...Mais c'est alors que surgissent...Vous verrez bien en le lisant, mais sachez que c'est une menace propice au gore et à la stonba^^ (et d'ailleurs très japonaise dans l'esprit).

D'ailleurs, je me demande si, finalement, l'aspect survivaliste ne va pas finir par se résumer à de la baston bien trash...avec tronçonneuse améliorées d'un côté et...disons les armes fournies par dame nature de l'autre...

Sinon, le groupe de survivants se structure, en même temps qu'il se clairsème. Akira commence à se déniaiser et à comprendre que les bons sentiments c'est bien mais que, dans ce nouveau monde, une mentalité de psychopathe ça peut aider^^. Ce groupe finit par arriver en un endroit relativement protégé (la façon d'y accéder est d'ailleurs assez savoureuse), dirigé par un personnage que les fans de la série TV "Esprits Criminels" reconnaîtront immédiatement^^



En bref, je commence à m'attacher à ce titre finalement. Il y a quelques moments assez sympas, et je suis quand même curieux de voir l'évolution d'Akira et d'en apprendre plus sur Eudyptes, le mystérieux sauveur à la tronçonneuse et sur les néo-humains. Il ya quelques moments un peu dures, au delà du sang qui gicle (je veux dire psychologiquement), donc ce n'est pas, à mon sens, un manga à mettre entre toute les mains.
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Green Worldz, tome 2

Green WorldZ (T2) – Yusuke Osawa (Japon) – 2016 – Pika éditions

Hatano, qui s'était écartée pour aller faire pipi se trouve nez à nez avec une bête horrible…

Tous les monstres s'inspirent de vrais insectes mais en démesurés… Pas sûr que tout le monde s'en sorte en vie.

… Et le pire. C'est qu'il y en a beaucoup.

Comme dans Pokémon, le type insecte crain le Type Feu !

Akira se fait sauver par un jeune de 12 ans, qui s'avère être un psychopathe, remerciant Dieu pour ce nouveau monde…

Comme quoi le Monstre est aussi humain.

Il le prend pour sa petite soeur « Nana » mais je demande pourquoi Akira évite la confrontation avec ce frêle jeune homme ?

Akira a une prise de conscience. Tout ça c'est la nature. L'adaptation…

Un Tome 2 moins niais et plus cruel… « Pour survivre à cet univers, mieux vaut ne pas être normal »

Jusqu'où irez-vous pour rester en vie ?

Phoenix @++
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Green Worldz, tome 6

Un sixième tome avec toujours Yui, qui tente de sauver les gens mais certains comme Ryukoden se sert de la peur des gens pour éliminer les potentiels personnes pouvant se transformer en hommes d'osier... Et puis, il y a cette quête vers une possible guérison. Cette expédition sera difficile car le danger est présent partout. Le mangaka a beaucoup d'imagination, les monstres sont vraiment effrayants ! Après je me demande pourquoi le virus présent dans l'air n'a pas eu le groupe d'Akira. Peut-être une réponse à cette question plus tard...? Plein d'autres questions aussi sur les visions de Yui, d'autres rêves étranges. Encore deux tomes pour avoir le fin mot de l'histoire !
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Green Worldz, tome 2

Second tome de Green Worldz, on retrouve notre petite équipe qui va affronter de nouveaux dangers. Il y a bien plus que les plantes et les néohumains, il y a aussi des insectes énormes... Comment survivre dans ce monde ? Peut-on faire confiance à autrui ?

Un peu plus et on se croirait dans Chérie, j'ai rétréci les gosses à tenter d'échapper à cette nature féroce. Evidemment, C'est dix fois plus violent et l'entraide ne fait plus partie des priorités. Green Worldz est un manga survivaliste, le mangaka n'hésite pas sur les sentiments les plus noirs. Ca peut paraitre un peu extrême comme changement... A suivre !
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Green Worldz, tome 1

Green WorldZ (T1) – Yusuke Osawa (Japon) – 2016 – Pika éditions

Les premières pages du récit préviennent : catastrophe écologique !

Les dessins sont très beaux.

Akira Urabe est le personnage principal. Il a un problème de métro et rencontre la belle Rei Nishina. Comme s’ils avaient su inconsciemment que c’était le moment de se serrer les coudes.

Akira remonte à la surface pour y trouver une végétation luxuriante et de terribles monstres végétaux.

Nishina, elle, ne semble pas surprise. Dans quelle mesure est-elle déjà au courant ?

Les humains se réfugient dans le métro.

Akira est obsédé par l’idée de revoir Yui, sa chérie, mais on tente de le décourager.

Ils vont devoir remonter, chercher de quoi manger. Ca fait très « Love & Monsters »

Un p’tit côté horreur …

L’auteur a du s’amuser à dessiner les monstres.

En essayant d’échapper à un monstre dans le métro, Akira et sa bande se retrouvent dehors, rejoint par un combattant expérimenté à la tronçonneuse.

Leur poursuivant, le « néo humain » semble inarrêtable …

Il y a Empiflor de Pokémon (Plus ou moins !).

« C’est tellement désespérant que j’en ris nerveusement. Si Dieu existe, il doit vraiment avoir l’esprit tordu »

Les plantes n’attaquent pas la nuit.

« Mettre en danger la vie de ses camarades pour satisfaire ses désirs personnels… Est une attitude indigne d’un adulte ! »

Ciao !

Phoenix
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Green Worldz, tome 6

Au XXI siècle le réchauffement climatique est plus que jamais un problème. Les grandes villes, dont Tokyo, ont entamé une politique de "reforestation urbaine". Akira, un jeune lycéen, prend le métro dans l'idée d'aller voir Yui, son amie d'enfance dont il est amoureux depuis toujours mais à qui il n'a jamais pu avouer ses sentiments. Soudainement, une coupure de courant bloque l'ensemble de la rame. Bientôt Akira et un groupe de passagers réalisent que c'est l'ensemble du métro qui est concerné. En plus, des événements étranges semblent se produire à la surface. Quand Akira peut enfin quitter le métro, il découvre que le monde a changé...Des plantes gigantesques se sont mises à attaquer les hommes...



Ce tome 6 n'est pas mal du tout ! Il poursuit l'arc entamé à la fin du tome précédent, centré sur Yui, et qui devrait voir s'opérer la jonction entre son groupe de survivant et celui d'Akira. En attendant, Yui doit faire face, sur fond de paranoïa (dû à la mortelle contamination du pollen de la mort, qui soit tue, soit transforme le malade en "homme osier") au putch de Ryûkôden, qui se sert de ce climat délétère pour laisser libre cours à sa perversité...Heureusement que Nano intervient pour rééquilibrer les choses...C'est d'ailleurs un des persos de ce manga que je préfère, un de ceux qui aura pris le plus d'ampleur.



Et non seulement il fait son entrée tel le sauveur providentiel mais explique en sus comment obtenir un vaccin contre le pollen de la mort...Une expédition pleine de dangers doit être menée et il est bien décidé à en prendre la tête. Encore beaucoup d'action et de gore dans ce tome (Yusuka Osawa fait preuve d'une belle imagination lorsqu'il s'agit de créer des monstres) et le groupe qui se constitue est vraiment fun. Un nouveau personnage, qui semble avoir un lien avec Akira (ainsi que les mêmes aptitudes martiales que Yui) fait son apparition.



On voit clairement la fin se profiler à l'horizon...Espérons que les explications aux nombreuses questions en suspend seront satisfaisantes.
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Green Worldz, tome 4

Au XXI siècle le réchauffement climatique est plus que jamais un problème. Les grandes villes, dont Tokyo, ont entamé une politique de "reforestation urbaine". Akira, un jeune lycéen, prend le métro dans l'idée d'aller voir Yui, son amie d'enfance dont il est amoureux depuis toujours mais à qui il n'a jamais pu avouer ses sentiments. Soudainement, une coupure de courant bloque l'ensemble de la rame. Bientôt Akira et un groupe de passagers réalisent que c'est l'ensemble du métro qui est concerné. En plus, des événements étranges semblent se produire à la surface. Quand Akira peut enfin quitter le métro, il découvre que le monde a changé...Des plantes gigantesques se sont mises à attaquer les hommes...



Comme promis par Eudyptes dans le tome précédent, les explications commencent à émerger...non pas sur l'origine du mal (une néo-humaine plutôt susceptible à la tête d'une armée de bombyx géants...) mais plutôt sur l'origine d'Eudyptes et son lien avec Akira^^



Petite remarque en passant : si dans le tome 1 il fallait passer chez Husqvarna avant de venir, désormais il faut toujours passer chez Husqvarna avant de venir...et bien considérer que si une tronçonneuse annihile les mauvaises herbes, elle peut également servir d'insecticide...à condition que l'insecte en question soit assez gros pour cela, ce qui est le cas du bombyx géant...Certes, question entomologie, on est pas au niveau de Terra Formars, mais question baston ce tome 4 vaut des points...Attention chérie, ça va trancher^^



Bref, si tu aimes les accessoires coupants (attend c'est pour ton frère ça ? Prends ça plutôt...^^), les créatures maléfiques avec super régénération "loganesque" en option (ce qui fait que tu peux trancher encore et encore...) ainsi que, par voie de conséquence, les amputations diverses et variées, alors ce manga est fait pour toi !
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Green Worldz, tome 1

Au XXI siècle le réchauffement climatique est plus que jamais un problème. Les grandes villes, dont Tokyo, ont entamé une politique de "reforestation urbaine". Akira, un jeune lycéen, prend le métro dans l'idée d'aller voir Yui, son amie d'enfance dont il est amoureux depuis toujours mais à qui il n'a jamais pu avouer ses sentiments. Soudainement, une coupure de courant bloque l'ensemble de la rame. Bientôt Akira et un groupe de passagers réalisent que c'est l'ensemble du métro qui est concerné. En plus des événements étranges semblent se produire à la surface. Quand enfin Akira peut quitter le métro, il découvre que le monde a changé...Des plantes gigantesques ce sont mises à attaquer les hommes...



Franchement rien de bien transcendant dans ce manga horrifique à la sauce écolo...On retrouve des ingrédients qui me semblent assez répandus (dans le manga) et traités sans grande originalité : un héros assez peureux qui, on s'en doute, va se révéler au cours du temps, un groupe de survivants qui fait fasse à l'apocalypse comme il peut, un mystérieux homme super balèze qui se pose en sauveur providentiel (avec sa tronçonneuse), l'amour et les bons sentiments comme motivation pour survivre, des sous-entendus de manipulations scientifiques qui ont foiré, du gore en veux-tu en voilà (avec néo-humain très Akira dans l'esprit)...Le tout servi par des dessins corrects mais sans identité très marqué.



Bref, c 'est un moment de détente pas prise de tête et puis voilà...L'avantage c'est que la série semble se conclure en 8 tomes.
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Green Worldz, tome 7

Avant-dernier tome de la série sur un monde vert qui prend le contrôle de la Terre... Nos héros sont arrivés à destination, dans cet arbre géant qui contient une matière capable de fabriquer le vaccin pour vaincre l'étrange maladie qui transforme les hommes en hommes-osier. Un tome plein d'actions toujours, les scènes de combat ne manquent pas, heureusement ils sont tous super entrainés et forts pour combattre leurs ennemis. Evidemment, il y a les super méchants qui n'ont pas une once d'humanité en eux. On a enfin une explication sur les dons de divinition de certaines personnes (même si elle semble un peu tirée par les cheveux). Curieux de voir comment tout se va se terminer !
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Green Worldz, tome 3

Le petit groupe est maintenant arrivé chez Shiratori, une jeune femme qui fabrique des armes spéciales. Mais très vite, la situation devient grave, des bombyx géants arrivent et attaquent le lieu...

Par moments, j'ai pensé un peu à Terra formars avec ses insectes géants qui tuent très rapidement. Il ne faut pas s'attacher à certains personnages... (d'ailleurs certains sont carrément détestables !) De nouvelles questions se posent... notamment cette fille qui accompagne les insectes, qui est-elle ?

La réponse sera-t-elle dans le prochain tome ?
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Green Worldz, tome 8

Ainsi s'achève la série Green Worldz, comme elle avait commencé : dans le sang et les larmes (même si la toute fin est plutôt optimiste).



Bon, pour être honnête, ce ne sera pas la série du siècle, ni même celle de l'année. L'auteur le dit lui même : il avait en tête le début et la fin, pour ce qui est du chemin entre A et B, il y est allé un peu à l'aveugle...et ça se sent. Néanmoins, cette série à des atouts pour elle, même si certains sont sabordés par l'auteur (mais chacun verra midi à sa porte) :



-une menace coolissime, au départ (la nature), mais qui dérive vite vers des mutants, expériences de laboratoire foireuses, plus conventionnels, moins intéressants selon moi (même s'il faut reconnaître que, lorsque l'auteur allie les deux (les hommes d'osier), ça fait mouche)



-mais qui permettent, il est vrai d'enchaîner les "stonba" bien gores où l'opposition est plus visuelle que la charge d'un scarabée géant...



-cependant, par conséquent, l'aspect survivaliste est, comme je l'avais pressenti, réduit à peau de chagrin au profit, là encore, de la "stonba"



-il y a quand même deux ou trois personnages vraiment sympa



-l'aspect SF (voyage dans le temps) aurait pu être sympa mais apparaît, finalement un peu encombrant pour l'auteur et on en vient à se demander s'il n'a pas trouvé que ce prétexte pour expliquer l'identité d'Eudyptes...



En bref, un moment de détente sympa mais sans plus (encore faut-il aimer le genre "gros rouge qui tâche"^^) qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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Green Worldz, tome 5

Des monstres insectes de plus en plus résistants, des combats de plus en plus dangereux, le lecteur se lasse un peu. Heureusement Yusuke Osawa nous fait découvrir un nouveau personnage : Yui. D'autres combats, d'autres menaces... l'intérêt se relance un peu. Cette fille a l'air d'être aussi extraordinaire qu'Akira. Gageons que la suite soit aussi prenante maintenant que la deuxième partie de cette série est entamée (série en 8 tomes). L'humanité gagnera-t-elle le combat contre ses plantes et insectes gigantesques ?
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Green Worldz, tome 1

Akira se rend à Tokyo pour enfin déclarer sa flamme à son amie. Malheureusement, le métro dans lequel il se trouve est arrêté. Quand il parvient à se rendre à la surface, il voit des plantes immenses qui attaquent les hommes.

Dans un futur probable, la reforestation est choisie pour empêcher le réchauffement de la planète. Une conséquence terrible arrive : les plantes se sont développées, ont atteint une taille inimaginable et sont cannibales... Encore un manga post-apocalyptique... l'image de couverture m'a fait penser au manga VS Earth avec un héros opposé à un monstre. D'ailleurs, il se passe des moments dans le métro dans les deux séries. Ici, le maître mot est la survie, contrairement à VS Earth où le combat contre l'adversaire est plus mis en avant. Quelques questions se posent aussi : comment en est-on arrive là ? D'où vient donc cet homme à la tronçonneuse ? La question d'éventuels survivants n'est pas évidente... Le côté horreur ressorte bien aussi avec le danger omniprésent à l'extérieur du métro avec les néohumains ou les plantes. J'ai passé un bon moment même si ça manque un peu d'originalité à mon goût mais par curiosité et l'envie de me faire peur, je lirai la suite !
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Green Worldz, tome 3





Dans ce tome 3, le groupe de survivants mené par Eudyptes, toujours réfugié à l'armurerie de Shiratori, est attaqué par une néo-humaine, à la tête d'une armée de bombyx géants. Cette attaque avait été prédite par Eudyptes, qui semble lié à cette néo-humaine et qu'il ne prend pas à la légère...

Heureusement, la communauté peut compter sur la présence de Nano, un autre guerrier à la tronçonneuse améliorée, moins taciturne qu'Eudyptes, mais tout aussi efficace. Ce dernier commence également la formation d'Akira, en matière de combat, alors que, d'une manière générale, le groupe devient plus fort et commence à s'approprier des armes taillées sur mesure pour chacun de ses membres...



En bref, un moment de détente sympathique que ce tome 3, beaucoup d'action, toujours du gore en veux-tu en voilà...Quant aux explications sur l'origine de ce bordel, Eudyptes nous le promet, ça commencera dans le tome 4^^
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Green Worldz, tome 5

Au XXI siècle le réchauffement climatique est plus que jamais un problème. Les grandes villes, dont Tokyo, ont entamé une politique de "reforestation urbaine". Akira, un jeune lycéen, prend le métro dans l'idée d'aller voir Yui, son amie d'enfance dont il est amoureux depuis toujours mais à qui il n'a jamais pu avouer ses sentiments. Soudainement, une coupure de courant bloque l'ensemble de la rame. Bientôt Akira et un groupe de passagers réalisent que c'est l'ensemble du métro qui est concerné. En plus, des événements étranges semblent se produire à la surface. Quand Akira peut enfin quitter le métro, il découvre que le monde a changé...Des plantes gigantesques se sont mises à attaquer les hommes...



Il y a du bon et du moins bon dans ce tome 5...Suite au tome précédent, dans lequel est révélé le fait qu'Eudyptes n'est, en réalité, qu'Akira venu du futur pour tenter de vaincre la néo-humaine qui commande aux bombyx géants (ce qui parait étrange car il semble venir d'une époque où la menace des néo-humains et des plan-plantes géantes a disparue...), l'auteur, après la grosse baston du tome 4, ne laisse aucun répit à ses personnages, et ils n'ont la possibilité de croire en la victoire finale que le temps d'une page...Il est donc temps pour Eudyptes d'appliquer le plan Z. Sinon, Yusuke Osawa nous propose deux courts chapitre hors-série, centrés sur ce qu'on pourrait nommer les "origines" de la néo-humaine (pas top, je trouve, franchement pas à la hauteur de la place qu'elle a pour l'instant dans l'histoire) et de Nano (plus réussi)



Du coup, ça laisse un arrière goût de remplissage pour permettre d'enchaîner sur la suite qui nous présente ce qu'est devenue Yui (l'amie d'Akira et leitmotiv de sa survie) depuis l'apocalypse...Cette partie n'est pas mal, on lorgne du côté du gore "zombiesque", le personnage de Yui suscite la sympathie et l'auteur prend le temps de s'arrêter sur le passé qui la lie à Akira...Et puis on découvre un nouveau personnage dans les ultimes pages qui promet...Bref, on ne s'ennuie pas, après il faut aimer le genre sanguinolent.
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Green Worldz, tome 1

J'ai lu récemment « Dragon Head » et je dois dire que le récit commence un peu de la même façon à savoir un jeune qui se retrouve dans un métro sous un tunnel alors qu'il se passe une catastrophe à la surface qu'il va peu à peu découvrir. La menace n'est certes pas la même mais le pitch ressemble fort étrangement.



Le monde a été envahi par des plantes. On a l'impression que la nature reprend ses droits et combat l'homme par ses moyens. On retiendra le thème utilisé par le cinéaste Night Shamalan dans le film Phénomènes avec le fade Mark Wahlberg. Bon, par la suite, le mangaka va corser son histoire avec des monstres qui pourraient être issu de la série « L'attaque des Titans ».



Bref, on est bien dans le manga survival mais avec une dose moins crédible des situations. Par ailleurs, le dessin est tout juste correct. Je ne trouve pas les couvertures très réussies. A noter que le Z a été ajouté pour donner un côté World War Z sans les zombies. On ne peut pas tout avoir !

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Star Wars - The Mandalorian, tome 1

Adaptation en manga de la série éponyme, c'est avec bonheur que l'on retrouve ici les débuts de l'histoire de Din Djarin, Mandalorien chasseur de primes, qui va accepter un contrat qui va le mener sur des chemins qu'il n'aurait jamais pu soupçonner.

Ce premier tome reprend l'intégralité de l'épisode 1 ( ça promet pour le nombre de volumes ! ), Avec beaucoup de fidélité, tant scénaristique ( vraiment tout l'épisode est repris ) que dans la justesse du dessin.

Un pur moment de bonheur.
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La ballade de Ran, tome 1

- Avis pour les tomes 1 et 2 -



True est une ménestrel qui voyage afin de trouver l'inspiration pour ses chansons. Le jour où elle croise un exterminateurs de Karmas, elle décide de faire route avec lui afin de chanter ses aventures.



Côté visuel, on est sur du très bon ! Le design des karmas est superbe, il fourmille de détails et illustre parfaitement leur côté imposant et terrifiant. Le manga offre aussi de très beaux paysages, notamment la cathédrale des exterminateurs que j'ai trouvé magnifique.



Côté histoire, s'il est appréciable de trouver une série en 2 tomes, je trouve que le tout va trop vite et aurait mérité un tome ou deux en plus. L'histoire est resserrée sur un schéma rapide mais efficace : Ran affronte plusieurs karmas jusqu'à identifier la véritable menace et aller l'affronter. L'intrigue n'est donc pas étirée sans intérêt et c'est un bon point, mais malheureusement, ça a aussi des défauts.



Déjà, le lore n'est pratiquement pas dévoilé. Quelques informations sont balancées de-ci de-là, mais la vitesse du récit empêche de les développer jusqu'à rendre tout ça un peu cliché. Autre souci, on ne sait absolument rien concernant les karmas, ni ce qu'ils sont, ni d'où ils viennent, ce qui pose souci à mon avis.



Dans la ligne droite de ce reproche, les personnages paraissent également très cliché, pas parce qu'ils le sont réellement, mais parce que leurs histoires manquent clairement de finesse. Ran est ainsi un orphelin qui veut venger son maître, Sagaris a tout perdu y compris sa femme et veut se venger, Jill a perdu son père et veut le venger... En soit, ces tropes ne sont pas mauvais, mais comme le personnage se résume à ça, le tout ressort avec cliché tant ils manquent de consistance (et je ne parle pas de la consistance des boobs de ces madames, la blague franchement pas drôle et qui revient un peu trop souvent). Au final, le personnage que j'ai le plus apprécié c'est Gayle, le commandant de la compagnie des chevaliers des loups noirs (merci le nom à rallonge...).



Côté humour, même si j'ai apprécié qu'il y en a un peu dans cette histoire, je l'ai trouvé assez lourd. C'est bien dosé pour Gayle, mais entre les boobs et les sourires de Ran, j'avoue que ça ne m'a pas amusée plus que ça, j'ai plutôt trouvé ça un peu lassant.



De plus, et là c'est ce qui m'a le plus gênée à la lecture : on en parle du nombre de pompages sur des autres œuvres ?!! Qu'un bouquin fasse des clins d’œil ou rendent des hommages, je trouve ça sympa, mais là ce manga pompe quand même allégrement le boulot des autres. Rien que le début, on sent la forte inspiration sur le Sorceleur, avec True qui veut suivre Ran pour conter ses aventures, exactement comme Jaskier le fait avec Géralt. Les exterminateurs sont également copiés sur les Sorceleurs.

Et malheureusement, ça ne s'arrête pas là, puisque les pompages se multiplient tout le long des deux tomes : Dark Souls, Bloodborne, Mononoke, L'Attaque des titans, Berserk, Dragon Ball, Resident Evil, Skyrim... si on enlève tout ce qui vient d'autres œuvres, il ne reste plus grand chose de propre à ''La ballade de Ran'' !



Enfin, pour un manga classé comme Seinen, j'ai quand même trouvé le fond un peu gentillet puisque ça peut se résumer à ''vengeance'' vs ''pouvoir de l'amitié''. Personnellement, j'attends mieux d'un seinen.



En bref, le manga est très beau visuellement, l'histoire est efficace mais elle manque cruellement de finesse et de profondeur à cause du rythme, et les énormes pompages sur d'autres œuvres m'ont un peu agacée.
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La ballade de Ran, tome 2

Malgré quelques écueils inutilement graveleux, le premier volume de La Ballade de Ran promettait une mini-série de fantasy seinen efficace et graphiquement très soigné.



Ce second tome balaie vite ces mêmes écueils moins présent (mais toujours là, rassurez-vous avec en plus la figure du vieux papi vicelard ! ) pour nous offrir une seconde partie conclusive riche en actions et généreuse dans le développement de son background. Les personnages sont davantage étoffés, notamment True dont le chant devient beaucoup plus omniprésent et possède un réel impact quant à l'intrigue. De même, on découvre le passé misérable de Ran et surtout celui du bad guy dont la quête de vengeance, certes classique, s'avère plutôt logique et touchante.



Le scénario de La Ballade de Ran ne surprend pas. C'est un fait : la structure et le développement de l'intrigue sont assez classiques avec un point tragique suivie d'un revirement façon "l'union fait la force". Dommage surtout qu'un certain deus ex machina issu du passé fasse son apparition et rabaisse davantage le scénario dans un moule assez prévisible. Mais au fond peu importe , car si La Ballade de Ran ne sera pas le titre de fantasy le plus surprenant de l'année, il n'en reste pas moins diablement efficace.



Je ne connaissais pas le travail de Yusuke Osawa à qui nous devons Green Worldz , une série post-apo en huit volume chez Pika. Mais c'est avec intérêt que , personnellement, je me plongerais à l'occasion dans cette série juste pour le dessin d'Osawa-san. En terme d'action esthétique bien léchée, ce mangaka possède une certaine force. Le combat final contre les deux antagonistes est juste titanesques avec des plans dantesques sur une ville noyée dans une mare de lave, un monstre doté d'un aspect très cthulien. C'est simple, on aurait aimé que le combat s'éternise encore un peu jusqu'à durer pratiquement tout un volume...



L'encrage est soigné sans excessivité, les effets de style sont infernaux avec l'image d'un monstre envahi par les flammes, le design des personnages est très élégant (malgré le souci de proportion plastique chez True) et le mangaka se permet même d'insérer de véritables environnements dotés d'une certaine poésie comme en témoigne le début de ce second volume avec les Stèles Blanches et la dépouille de Jormungand, un désert blanc rongé par la souillure. Sans doute influencé par certaines forces vidéoludiques, Yusuke Osawa concocte un univers de l'imaginaire sérieux et détaillé à des lieux d'un imaginaire de fantasy dépouillé façon Isekai.



Cette ballade se révèle jusqu'au bout des plus plaisantes et rien que pour l'amour d'un dessin de fantasy aussi stylé et généreux, ce serait un blasphème pour les amoureuses et amoureux de manga de genre de passer à côté de ce seinen aussi stylé visuellement.



Encore une fois côté scénario, pas sûr que La Ballade de Ran reste dans les mémoires mais il serait dommage de se priver d'un petit diptyque réuni en coffret d'ailleurs qui a tout fait sa place dans le petit rayon fantasy de votre mangathèque.





Un second volume réjouissant qui vient conclure cette petite mais belle fantasy épique. Si le scénario accuse certains clichés, se réfugie un peu dans le classique, il n'en reste pas moins étoffé et surtout emmené par un dessin de très bonne qualité qui parvient à faire épanouir ses personnages dans des scènes de combats haletantes.



En somme , La Ballade de Ran demeure un titre efficace de fantasy epique qui ravira les gourmets de l'imaginaire même si c'est loin d'être le met le plus surprenant en terme d'écriture. Toujours est -il que c'est une petite mini-série de fantasy charismatique qu'on peut lire et relire à l'occasion si on a envie d'un peu d'imaginaire forgé dans l'acier ou dans de l'os de dragon en l'occurrence.

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La ballade de Ran, tome 1

Ce premier volume de La Ballade de Ran aurait pu être beaucoup plus si il n'était pas aussi régressif sur certains points.



Pour l'heure, il serait dommage de se priver de cette mini-série de dark fantasy crée par Yusuke Odawa ( Green World ) et édité par Doki Doki qui a le mérite de sélectionner quelques titres de fantasy épique de bonne facture comme Why nobody remenbers my world ? ou le tactique Alexis Empire Chronicles.



De bonnes séries marquées par un trait vraiment soigné , précis, détaillé que nous retrouvons avec joie dans La Ballade de Ran. Le design des monstres est très réussi; ce sont des créatures flippantes et fourmillantes face à lesquelles se dressent des exterminateurs déterminés dont les armes sont tout simplement des petits bijoux de fabrication. Le mangaka s'est vraiment amuser à proposer un design belligérant de qualité et cela fonctionne d'autant plus que ce premier volume rentre dans le vif du sujet avec apparition de la menace immédiate suivie de quelques confrontations d'envergures qui, tel des boss, régulent le rythme du manga comme l'apparition marquante du Rampage en fin de volume dont l'auteur a bien su travailler son immensité. Il règne littéralement sur la page. Les monstres, appelés karmas nous font tout simplement rêver et j'ai trouver leur design aussi réussi que ceux de Monster Hunter avec un petit côté horrifique en plus pour certains. La référence vidéoludique ici n'est pas anodine. Je ne serais pas surpris que Mr Yusuke Osawa soit amateur de jeux vidéos ou du moins de certains titres de fantasy comme The Witcher, notamment au niveau du scénario et de la construction du personnage principal.



Le coté cynique en moins, les exécuteurs peuvent être comparés aux sorceleurs de Sapkowsky. Ce sont des êtres spécialisés à tuer les monstres, entrainés pour cela, qui prennent une certaine substance avant le combat. Ils sont craints, parfois honnis par le peuple qui pourtant les respectent d'une certaine manière. Yusuke Osawa n'élève pas cette ballade de Ran vers des mélopées spectaculaires en terme d'écriture mais la dure réalité de l'exécuteur est bien établi avec une sorte de malédiction qui les ronge et qui fait que leur durée de vie est plutôt limité. Si cet aspect là est cité dans ce premier volume, nulle doute que cela va davantage jouer sur le second tome et peut-être cela peut aussi expliquer la durée de vie assez brève de cette série. Dans tous les cas, c'est une note funeste et intéressante qui sera pleinement jouée, je l'espère, dans le second volume.



Cette Ballade de Ran n'est pas dépourvue de quelques fausses notes et cela commence par un humour de fan service passablement gonflant. Dès les premières pages, l'auteur, tel un jeune ado puceau, nous entraine sur les vannes d'un humour basé sur les boobs avec un personnage de barde aussi inutile que pulpeux dont la silhouette juvénile est contrasté par cette source de gags plastiques. Tous les personnages féminins sont d'ailleurs introduits de manière assez chaude que ce soit l'elfe qui séduit la barde où la chevalière qui apparaît d'abord par des premiers plans sur sa poitrine généreuse. Je sais bien que cet humour de fan service, de bas de plafond est très fréquent dans l'univers manga mais ce n'est pas quelque chose d'indispensable et on se dit justement que La Ballade de Ran n'a pas besoin de cet humour pulpeux pour cela. Au contraire, cela fait régresser certains personnages féminins comme True la barde qui aurait mérité tellement mieux et qui, au final, s'affiche comme le personnage à la fois kawai et plastique du titre. Pour celles et ceux qui ont dépassé depuis longtemps l'humour " boobs", c'est assez lassant même si ,heureusement, l'auteur n'accumule pas le gag et nous promet à côté quelques bonnes envolées épiques.



En réalité, là ou ce premier volume baisse en qualité, c'est quand il s'éloigne de son premier degrés. On a un comique de répétition avec le sourire maladroit de Ran qui devient également lassant malgré quelques bons petits moments comme celui du marchand à la sauvette. Mais il semble qu'en dehors de l'action et du combat, les personnages aient du mal à s'épanouir.



Ran est un grand timide aussi intéressant à suivre qu'une glace en train de fondre. True est la bombasse kawai typique... Quelques personnages démarquent du lot comme l'elfe combative où le chevalier au grand coeur et à l'apparence intimidante qui demeure lui un bon exemple d'humour maîtrisé. De ce fait , l'auteur joue sur certains stéréotypes de fantasy et c'est dommage qu'il n'ait pas approfondie ce trait.



Toujours est il que ce premier volet de La Ballade de Ran reste suffisamment accrocheur pour nous entrainer vers le second et dernier volume. C'est une série en deux tomes dont l'esthétisme de dark fantasy est très réussi, très soigné avec quelques scènes d'actions vraiment bien emmenés. Je pense que le tome 2 étoffera davantage les personnages et la malédiction autour de ces exécuteurs marqués par la Souillure ... tant que l'humour boobs ne souille pas trop l'ensemble.



Ce premier volume de cette mini-série de dark fantasy aurait pu être beaucoup plus si il n'était pas entaché par un humour un peu débile mue par du fan service pas du tout indispensable et qui va même jusqu'à régresser certains personnages. Elément d'autant plus regrettable que ce premier tome impose un univers graphique très soigné, une bonne fantasy épique avec une petite touche de Monster Hunter et de Witcher. Dans tous les cas, si le second volume s'avère de bonne qualité, il serait dommage de se priver d'une petite fantasy épique au trait si soigné.



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